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Santé

Attention aux produits cosmétiques contenant du CBD

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Image par Erin Stone de Pixabay

Le CBD est le diminutif du cannabidiol.

Il s’agit d’un des principes actifs que l'on retrouve dans la plante de cannabis, mais qui ne contient pas de THC, la substance psychotrope. Le CBD n’est donc pas un stupéfiant, il est utilisé pour ses propriétés thérapeutiques. Le CBD est par exemple connu pour favoriser le sommeil. Mais ce produit à la mode intéresse aussi le secteur de la cosmétique.

On peut désormais trouver des crèmes pour le visage contenant du CBD, ainsi que des produits d’hygiène buccale ou des huiles de massage. 

Problème: certains produits peuvent avoir une concentration en CBD équivalente à celle utilisée dans les produits thérapeutiques, il y a donc des risques pour les consommateurs. 

Quels sont-ils ? La réponse de Didier Ortelli, chimiste cantonal adjoint au Service de la consommation et des affaires vétérinaires du canton de Genève:

Didier OrtelliChimiste cantonal adjoint au SCAV

Concrètement, si on met une crème de jour qui contient du CBD, est-ce qu’on va se retrouver dans un état second?

Didier OrtelliChimiste cantonal adjoint au SCAV

Que penser des huiles à ingérer pour mieux dormir par exemple?

Didier OrtelliChimiste cantonal adjoint au SCAV

Quels conseils peut-on donner aux consommateurs?

Didier OrtelliChimiste cantonal adjoint au SCAV

 

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Genève

Stress et alcool ne font pas toujours bon ménage

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Source KEYSTONE Byline UELI CHRISTOFFEL

C’est le thème de la journée nationale sur les problèmes liés à l’alcool.

Elle a lieu ce jeudi 25 mai, avec comme question centrale: “Stress et alcool : un cercle vicieux ?” 

Un sujet qui peut parler à toutes les personnes qui consomment, de façon régulière ou non, de l'alcool pour faire face à un stress ou à l’anxiété. 

Alors pourquoi ce stress peut-il être problématique?

Christian Wilhelm, directeur de la fédération genevoise de la prévention alcool et cannabis FEGPA:

Christian WilhelmDirecteur de la fédération genevoise de la prévention alcool et cannabis FEGPA

Les personnes concernées peuvent se faire aider, grâce à plusieurs structures ou associations, comme la FEGPA. Mais lorsqu'elles refusent de voir la réalité, quels conseils donnés aux proches? Christian Wilhelm:

Christian WilhelmDirecteur de la fédération genevoise de la prévention alcool et cannabis FEGPA

A Genève, plusieurs animations sont prévues ce jeudi, notamment à Planète Charmille entre 16h et 19h avec des jeux ou des cocktails sans alcool.

Toutes les infos sont à retrouver ici

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Genève

VIDEO - Rupture de médicaments : l'outil qui vous permet de les connaître

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(image d'illustration). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)
Les Hôpitaux universitaires de Genève (HUG) ont créé avec pharmaGenève une plateforme libre d'accès recensant les médicaments en rupture de stock dans le canton de Genève. Des alternatives sont proposées pour les substances manquantes, comme nous l'expliquent Benjamin Smadja et Elsa Duperray.
Cet instrument doit servir à mieux gérer les pénuries de médicaments auxquelles sont confrontés depuis des mois hôpitaux et pharmacies. La plateforme fournit des informations telles que la date de détection de la pénurie, sa durée prévue, de même que les autres médicaments possibles et leurs fournisseurs, notent mercredi les HUG.

La plateforme est disponible à toutes les pharmacies. Elle peut aussi être utile aux médecins qui peuvent la consulter lors de la prescription de produits à leurs patients et patientes. L'objectif, à terme, sera de mettre sur pied une plateforme analogue au niveau romand, voire couvrant toute la Suisse.

Ces derniers jours, "entre 150 et 200 produits en rupture de stock étaient recensés par les HUG dans leur assortiment d'environ 2400 références". Plusieurs produits font défaut pour une durée indéterminée. Rien qu'aux HUG, deux personnes au moins sont spécialement missionnées, chaque jour, pour chercher des solutions.

 

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la journée finit bien

VIDEO - Attention, la saison des pollens est avancée

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Les pollens de graminées étaient déjà dans l'air à la mi-avril l'an dernier. (© Pixabay, Pitsch)

La saison pollinique approche de son pic. Si la chaleur d'avril se poursuit, les graminées vont fleurir partout, disséminant leur pollen qui est la principale cause du rhume des foins. Benjamin Smadja a fait le test... Il est allergique à presque tout.

En raison de l'évolution du climat, la floraison des graminées s'est déplacée de mai à avril en l'espace de 40 ans, écrit aha! le Centre d'Allergie Suisse mardi dans un communiqué. La dissémination dans l'air des pollens parmi les plus allergènes commencera donc un peu plus tôt que d'habitude cette année,

Toujours selon le Centre d'Allergie, il faut s'attendre à des concentrations modérées à fortes de pollen de graminées en plaine de mai à mi-juillet. Le pic devrait se situer de la mi-mai à juin. Au-dessus de 1500 mètres d'altitude, les graminées fleurissent trois à quatre semaines plus tard. L'évolution de la saison dépend toutefois fortement de la météo, précise le centre.

Pour les personnes allergiques, il est pratiquement impossible d'échapper aux pollens de graminées, note aha!. Un seul brin de cette plante libère jusqu'à quatre millions de grains de pollen. Et les graminées poussent pratiquement partout.

Maladie pas anodine

Les graminées succèdent au bouleau, dont la saison n'a pas été aussi intense cette année qu'en 2022. Mais, à cause du réchauffement climatique, des végétaux comme le bouleau, justement, pourraient à l'avenir se répandre dans des régions plus élevées, ce qui pourrait entraîner une augmentation du pollen dans les montagnes.

"De nouvelles plantes allergènes provenant de la région méditerranéenne peuvent également s'installer chez nous, comme l'olivier, le cyprès ou la pariétaire", explique Roxane Guillod, experte en allergies citée dans le communiqué.

Une allergie au pollen n'est pas une maladie anodine. "Si elle n'est pas traitée correctement, elle menace de provoquer de l'asthme", avertit Mme Guillod. C'est pourquoi le rhume des foins doit être examiné et traité par un ou une allergologue, ce qui se fait généralement avec des antihistaminiques, éventuellement en combinaison avec des corticostéroïdes. Une désensibilisation permet également de s'attaquer à la cause de l'allergie au pollen.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

VIDEO : E-cigarettes : trop de mineurs réussissent à en acheter

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Trop de mineurs réussissent à acheter des e-cigarettes. (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

A Genève, l'interdiction de vendre des cigarettes électroniques jetables aux mineurs connaît des ratés, comme nous l'expliquent Benjamin Smadja et Elsa Duperray.

Sur 93 achats-test, 37 se sont soldés par une vente illégale à un mineur, relève lundi, dans un communiqué, le département de la sécurité, de la population et de la santé et le département de l'économie et de l'emploi. Les commerces pris en faute s'exposent à une amende pouvant aller jusqu'à 80'000 francs.

Les cigarettes électroniques jetables, qui ont l'apparence de bâtonnets colorés, sont particulièrement prisées par les jeunes, soulignent les deux départements. Malgré leur air innocent, elles sont néfastes pour la santé, notamment parce qu'elles contiennent du sel de nicotine, une substance qui entraîne une forte dépendance.

Les autorités genevoises rappellent aux commerces contrevenants qu'en cas de violation grave ou de récidive, ils s'exposent à une suspension ou à un retrait de l'autorisation de vente de cigarettes électroniques jetables. Et d'avertir que "de nouvelles campagnes d'achat-tests seront menées dans les mois à venir".

Avec ATS

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Santé

Genève: plateforme de neurosciences cellulaires humaines inaugurée

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Théo Ribierre, coordinateur scientifique, réalise des images de neurones à l'occasion de l'inauguration de la plateforme "NeuroNA" de neurosciences cellulaires humaines au Campus Biotech à Geneve. (© KEYSTONE/Valentin Flauraud)

Une plateforme de neurosciences cellulaires humaines, NeuroNA, soutenue par la fondation du même nom, a été inaugurée lundi à Genève. Elle vise à mieux comprendre les troubles neurodéveloppementaux et psychiatriques en utilisant des organoïdes de cerveau.

Notre connaissance de la structure et du fonctionnement du cerveau des animaux de laboratoire est très avancée, mais nous manquons terriblement d’information sur le cerveau humain, beaucoup plus grand et sophistiqué, et sur la façon dont son assemblage se dérègle dans des conditions telles que l'autisme et la schizophrénie, a indiqué la fondation dans un communiqué.

"Les principes fondamentaux de fonctionnement des cellules neuronales et des cellules gliales semblent être, pour autant qu’on puisse le dire, semblables entre humains et rongeurs. Cependant, les rongeurs ne présentent pas spontanément de maladies psychiatriques", souligne Pierre J. Magistretti, professeur émérite de neurosciences et de psychiatrie (EPFL/UNIL/UNIGE).

Un des moyens de mimer le développement du cerveau est de voir ce qui se passe au moment de la mise en place de différents circuits qui le constituent. La plateforme vise donc à étudier des modèles de circuits neuronaux humains en trois dimensions.

Cellules reprogrammables

Pouvoir étudier des cellules humaines et leurs mécanismes moléculaires, c’est le chainon qui manquait à la recherche, ont indiqué les responsables du projet devant la presse. Les scientifiques entendent utiliser à cet effet des cellules pluripotentes induites qui peuvent se transformer et donner naissance à tous les types de cellules constituant un organisme adulte, y compris humain.

Ces cellules sont reprogrammables. Elles peuvent par exemple provenir à l’origine de la peau ou du sang d’une personne, en l’occurrence d’un patient si l’on souhaite étudier les mécanismes d’un trouble neurodéveloppemental ou d’une maladie psychiatrique.

Une fois différenciées en cellules du cerveau (neurones et glie), elles peuvent constituer des structures tridimensionnelles que l’on appelle organoïdes et qui reproduisent en partie la complexité cellulaire de certains circuits du cerveau. Cela devrait permettre aux chercheurs de comparer les propriétés des cellules issues de patients et de personnes saines.

Ce projet s'inscrit dans la continuité du Pôle de recherche national "Synapsy", soutenu par le Fonds national suisse, qui de 2010 à 2022 a visé à rapprocher la recherche fondamentale de la psychiatre, a indiqué à Keystone-ATS le Pr Magistretti, qui en fut le premier directeur.

La Plateforme NeuroNA est d'ores et déjà en service au Campus Biotech à Genève. Elle a pu être mise sur pied en moins d’une année. La fondation entend également contribuer à la déstigmatisation des maladies neuropsychiatriques et des troubles neurodéveloppementaux en venant apporter des clés de compréhension des mécanismes biologiques qui les sous-tendent, selon le communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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