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Un an après le couronnement de Charles, un anniversaire assombri

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Aucun évènement fastueux n'était prévu pour célébrer cette première année écoulée depuis le couronnement de Charles III le 6 mai 2023 (archives). (© KEYSTONE/AP Pool/ALASTAIR GRANT)

Le Royaume-Uni marque lundi sans fanfare le premier anniversaire du couronnement du roi Charles III. Le souverain voit son début de règne assombri par son cancer, diagnostiqué en début d'année, après avoir attendu longtemps pour succéder à sa mère Elizabeth II.

Aucun évènement fastueux n'est prévu pour célébrer cette première année écoulée depuis le couronnement de Charles III et de la reine Camilla le 6 mai 2023 à l'Abbaye de Westminster. A midi, la Royal Horse Artillery effectuera 41 tirs de canon depuis Green Park, près du palais de Buckingham, puis l'Honourable Artillery Company en tirera 62 autres depuis la Tour de Londres à partir de 13h00 locales.

Le palais de Buckingham n'a pas indiqué où le roi âgé de 75 ans célèbrerait cet anniversaire. Charles III suit actuellement un traitement contre un cancer qui lui a été diagnostiqué en début d'année, neuf mois après son couronnement, à l'occasion d'une opération de la prostate.

Engagements limités

Après trois mois sans engagement public, mais tout en continuant d'exercer certaines fonctions officielles, le souverain a repris la semaine dernière ses activités publiques.

Symboliquement, il a d'abord visité mardi dernier un centre spécialisé contre le cancer avec la reine Camilla, 76 ans. Il est apparu détendu et souriant, serrant de nombreuses mains, et s'est entretenu avec des soignants et des malades.

Dans les jours qui ont suivi, il a reçu au palais de Buckingham le Coronation Roll, le document officiel retraçant le couronnement. Il a également assisté à un concours hippique à Windsor, que la reine Elizabeth II adorait.

Le palais de Buckingham avait annoncé le 26 avril que Charles III allait reprendre un "certain nombre" d'engagements, "soigneusement calibrés", en "concertation étroite avec ses médecins". Ils sont "très encouragés par les progrès accomplis jusqu'à présent et restent optimistes sur la poursuite du rétablissement du roi", avait précisé le palais.

Retrouvailles avec Harry?

Cette semaine, le roi doit notamment assister mercredi à une Garden Party à Buckingham, et peut-être, selon des médias britanniques, revoir son fils le prince Harry, qui vit en Californie mais qui sera à Londres pour le dixième anniversaire des Jeux Invictus, une compétition pour soldats et vétérans blessés.

Pour les prochaines semaines, le palais a seulement annoncé que le roi recevrait en juin l'empereur Naruhito du Japon et son épouse l'impératrice Masako, pour une visite d'Etat à l'invitation du gouvernement britannique.

D'autres engagements possibles - Royal Ascot, 80 ans du D-Day, Trooping the Color en juin, traditionnelles garden parties - seront conditionnés à l'avis des médecins, plus près de leur date.

Roi mieux aimé

Dans le contexte de ce début de règne compliqué, la famille royale a vu sa popularité croître dans le pays. Selon un sondage publié dimanche dans le tabloïd The Mail on Sunday, 54% des Britanniques ont une opinion favorable de Charles III, en hausse de 4 points sur un an. Et 56% pensent qu'il remplit bien sa mission de souverain.

La princesse Kate, elle aussi atteinte d'un cancer qu'elle a révélé fin mars dans un message vidéo, est elle la "royal" la plus populaire, avec son époux le prince William, héritier du trône. A 42 ans, Kate n'a pas été vue en public depuis Noël, à part cette brève vidéo.

Signe de cette approbation, dimanche, une manifestation du mouvement antimonarchiste Republic n'a rassemblé que quelques dizaines de personnes sur Trafalgar Square à Londres, et ce malgré le regain de vigueur du mouvement prorépublicain depuis la disparition d'Elizabeth II.

"La question pour la monarchie est de savoir si c'est une amélioration momentanée (de sa popularité), du fait de la sympathie du public, où si elle peut se maintenir, notamment parmi les jeunes générations", analyse Gideon Skinner, de la société de sondage Ipsos.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Un enfant sur huit exposé à des images à caractère sexuel

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Des élèves de 4ème année primaire suivent à l'aide d'une tablette un cours d'éducation numérique. (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Un enfant sur huit dans le monde s'est retrouvé durant l'année écoulée confronté ou exposé à son insu à des images à caractère sexuel, selon une étude publiée lundi.

Cette étude de l'institut Childlight, qui dépend de l'université d'Edimbourg en Ecosse, est présentée comme la première à donner une estimation de l'ampleur mondiale du problème.

Au cours de l'année écoulée, un enfant sur huit dans le monde (soit 302 millions de jeunes) s'est retrouvé confronté, de manière non consentie, à des photos ou vidéos à caractère sexuel. Cela inclut des prises ou des partages d'images sans l'accord du jeune ou son exposition à des contenus pornographiques.

En Europe de l'ouest, près de 20% des jeunes ont été concernés, selon Childlight, une organisation oeuvrant pour la sécurité des enfants. Par ailleurs, 12,5% des enfants dans le monde ont été confrontés sur internet à des interactions à caractère sexuel non désirées.

L'étude évoque notamment des messages sexuels ou des cas de demandes d'actes sexuels de la part d'adultes et d'autres jeunes. Sont également mentionnés le chantage aux photos intimes et l'utilisation de l'IA pour créer des deepfakes. Un cas est reporté chaque seconde dans le monde, selon les auteurs de l'étude.

"C'est une pandémie mondiale qui est restée cachée trop longtemps", selon Paul Stanfield, le président de Childlight cité dans un communiqué, qui a travaillé pour Interpol et l'Agence de lutte contre la criminalité britannique, la NCA. Le phénomène existe "dans chaque pays, grossit de manière exponentielle et nécessite une réponse mondiale", ajoute-t-il.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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Gaza: Amnesty demande une enquête sur trois frappes israéliennes

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Les secours palestiniens déplacent des corps tués dans une frappe israélienne à Gaza. (© KEYSTONE/AP/Abdel Kareem Hana)

Trois frappes aériennes israéliennes dans le centre et le sud de la bande de Gaza ont tué en avril 44 civils palestiniens dont 32 enfants, selon Amnesty International qui demande à la CPI d'ouvrir une enquête pour "crimes de guerre".

Selon l'ONG, ces frappes ont eu lieu le 16 avril sur le camp de réfugiés d'al Maghazi, dans le centre de la bande de Gaza, et les 19 et 20 avril à Rafah, dans le sud.

"Ces frappes dévastatrices ont décimé des familles et ôté la vie à 32 enfants", déclare dans le communiqué une responsable d'Amnesty, Erika Guevara-Rosas, affirmant que l'enquête de l'ONG apporte "des éléments de preuve essentiels pointant des attaques illégales imputables à l'armée israélienne".

Amnesty a interrogé 17 rescapés et témoins, visité un hôpital où les blessés sont soignés, photographié des fragments de munitions. Dans les trois cas, l'organisation "n'a trouvé aucune preuve de la présence de cibles militaires dans ou autour des lieux ciblés par l'armée israélienne", indique-t-elle, ajoutant ne pas avoir encore reçu de réponses à ses questions de l'armée israélienne.

Selon Amnesty, la frappe du 16 avril à al Maghazi a touché une rue où des enfants jouaient au babyfoot, tuant 10 d'entre eux âgés de 4 à 15 ans et cinq hommes.

A Rafah, une bombe aérienne a frappé la maison d'Abou Radwan, un fonctionnaire à la retraite, le 19 avril, tuant neuf membres de la famille, dont 6 enfants, selon Amnesty.

Le 20 avril, une frappe a détruit la maison de la famille Abdelal dans l'est de Rafah, faisant 20 victimes - 16 enfants et quatre femmes - et blessant deux autres enfants. "La Cour pénale internationale (CPI) doit ouvrir une enquête pour crimes de guerre" sur ces trois frappes, écrit Amnesty.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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Lituanie: réélection du président Nauseda, selon des résultats officiels partiels

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"Maintenant que j'ai cinq ans d'expérience, je pense que je serai certainement en mesure d'utiliser ce joyau correctement, avant tout pour atteindre les objectifs de bien-être pour tous les habitants de la Lituanie", a déclaré M. Nauseda. (© KEYSTONE/AP/Mindaugas Kulbis)

Le président sortant de Lituanie Gitanas Nauseda a été réélu dimanche à l'issue du second tour de l'élection présidentielle, selon des résultats officiels partiels. Sa rivale a concédé sa défaite.

La Commission électorale a indiqué que M. Nauseda avait recueilli 76% des suffrages, après le dépouillement de 80% des bulletins. La Première ministre Ingrida Simonyte a dit "féliciter le président élu de la Lituanie".

Le peuple lituanien "m'a confié un grand mandat de confiance et je suis bien conscient que je devrai chérir ce crédit de confiance", a déclaré M. Nauseda, 60 ans, à la presse à Vilnius, après que sa rivale l'a félicité.

"Maintenant que j'ai cinq ans d'expérience, je pense que je serai certainement en mesure d'utiliser ce joyau correctement, avant tout pour atteindre les objectifs de bien-être pour tous les habitants de la Lituanie", a-t-il ajouté.

Pro-européen

M. Nauseda est un ancien banquier de centre-droit qui s'est imposé comme un homme d'Etat pro-européen et un fervent défenseur de l'Ukraine au cours de son premier mandat.

Le président lituanien dirige la politique de défense et la politique étrangère et assiste aux sommets de l'UE et de l'Otan, mais il doit consulter le gouvernement et le parlement pour nommer les plus hauts responsables.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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L'OMS lance un appel pour recevoir sept milliards pour quatre ans

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L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a besoin de trouver plusieurs milliards pour son dispositif de 2025 à 2028 dans les différents pays (archives). (© Keystone/MARTIAL TREZZINI)

L'OMS doit trouver sept milliards de dollars pour concrétiser ses prochains axes de travail pour 2025 à 2028. Le directeur général Tedros Adhanom Ghebreyesus a lancé dimanche soir à Genève le premier appel à investissements pour atteindre cet objectif.

"Nous faisons cette demande à un moment difficile", a affirmé le patron de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), à la veille de l'ouverture de l'Assemblée mondiale de la santé. Les conflits, le changement climatique, les déplacements ou la pauvreté constituent des défis qui demandent chacun des ressources.

Mais la pandémie a montré que "quand la santé est menacée, tout est menacé", a insisté M. Tedros. Dans quelques jours, les 194 membres devront approuver les grands axes de l'organisation pour 2025-2028.

Ceux-ci requièrent une enveloppe de 11,1 milliards de dollars. Selon les estimations, les contributions devraient l'alimenter avec quatre milliards. Ces dernières années, l'OMS a multiplié les changements pour tenter d'améliorer son financement.

L'assiette des contributeurs volontaires a été élargie, la Fondation OMS a permis de s'ouvrir à de nouveaux donateurs, notamment du secteur privé, et les Etats ont accepté il y a deux ans d'augmenter la part de leur financement obligatoire à 50% du budget de l'institution d'ici 2030. Cette augmentation est déjà mise en oeuvre, mais elle ne suffit pas.

40 millions de personnes à sauver

L'appel à investissement donnera lieu d'ici la fin de l'année à une réunion de donateurs plus formelle. Il doit permettre une approche à plus long terme avec un financement "plus flexible" et "plus prévisible", selon le directeur général.

"Des personnes en dépendent", a renchéri de son côté l'ambassadeur de l'OMS pour un financement durable de la santé mondiale, l'ancien Premier ministre britannique Gordon Brown. "Nous devons nous lever pour les quatre milliards de personnes qui se voient refuser des soins", a-t-il dit.

"Nous devons voir des efforts pour l'accord contre les pandémies", affirme-t-il. Alors que les Etats membres n'ont pas réussi à trouver un consensus dans les deux ans prévus, l'Assemblée mondiale de la santé devra décider de la suite des discussions.

Plus largement, "l'OMS est plus indispensable que jamais", ajoute l'ancien Premier ministre. L'organisation veut sauver 40 millions de personnes supplémentaires, aider au lancement de 10'000 infrastructures de santé qui résistent au changement climatique et gagner près de 3,3 millions de nouveaux membres du personnel médical. Elle souhaite aussi pouvoir établir en une semaine quand une épidémie est observée.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Israël bombarde Gaza, les efforts pour une trêve se poursuivent

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Des bombardements et des tirs d'artillerie ont visé de nouveau le nord et le centre du territoire, ainsi que Rafah, malgré une décision vendredi de la Cour internationale de justice (CIJ) ordonnant à Israël de suspendre ses opérations. Ici, des déplacés vivant dans une école de l'Unrwa détruite. (© KEYSTONE/EPA/HAITHAM IMAD)

L'armée israélienne a mené dimanche de nouveaux bombardements dans la bande de Gaza, au moment où s'intensifient les efforts en vue d'une reprise des négociations pour parvenir à une trêve. Benjamin Netanyahu s'est dit "fermement opposé" à la fin de la guerre.

A Tel-Aviv et dans le centre d'Israël, des sirènes d'alerte ont retenti pour la première fois depuis des mois. L'armée israélienne a fait état de huit roquettes tirées depuis Rafah, dans l'extrême sud de la bande de Gaza, où l'armée mène depuis le 7 mai des opérations pour détruire les derniers bataillons du Hamas, contre qui elle est en guerre depuis bientôt huit mois.

Dans la bande de Gaza, des frappes aériennes et des tirs d'artillerie ont visé notamment Rafah, malgré une décision vendredi de la Cour internationale de justice (CIJ) ordonnant à Israël de suspendre ses opérations dans ce secteur essentiel à l'entrée de l'aide humanitaire.

Centre de déplacés: dizaines de victimes

Dans la soirée, le bureau des médias du gouvernement du Hamas à Gaza a indiqué qu'au moins 30 personnes avaient été tuées et des dizaines d'autres blessées dans des frappes israéliennes sur un centre pour déplacés près de Rafah.

Plus tôt dans la journée, un haut responsable israélien a annoncé à l'AFP qu'une réunion du cabinet de guerre était prévue dimanche soir, afin d'évoquer les efforts destinés à obtenir une libération d'otages, retenus à Gaza depuis l'attaque du Hamas le 7 octobre qui a déclenché la guerre, dernier épisode du long conflit israélo-palestinien.

Près de 36'000 morts

L'attaque sur le sol israélien de commandos du Hamas infiltrés depuis la bande de Gaza a entraîné la prise en otage de 252 personnes, selon Israël, emmenées dans le territoire palestinien. Après une trêve en novembre ayant notamment permis la libération d'une centaine d'entre eux, 121 sont toujours retenus à Gaza, dont 37 sont morts, selon l'armée.

En réponse, l'armée israélienne a lancé une offensive tous azimuts dans le territoire palestinien, qui a fait au moins 35'984 morts, essentiellement des civils, selon le ministère de la Santé du Hamas.

Par ailleurs, l'armée israélienne d'occupation a annoncé dimanche la mort de deux soldats, portant à 289 le bilan de ses militaires tués depuis l'entrée des troupes israéliennes le 27 octobre dans l'étroite bande de terre assiégée.

Efforts en vue d'une trêve

Après plus de 230 jours de guerre, les efforts internationaux se poursuivent pour arracher une trêve entre Israël et le Hamas, arrivé au pouvoir à Gaza en 2007.

Peu avant la réunion du cabinet de guerre dimanche à Tel-Aviv, Benjamin Netanyahu a accusé le chef du Hamas dans le territoire palestinien, Yahya Sinouar, de "continuer d'exiger la fin de la guerre, le retrait des forces de défense israéliennes de la bande de Gaza et de laisser le Hamas intact, afin qu'il puisse perpétrer encore et encore les atrocités du 7 octobre", a déclaré son bureau dans un communiqué, ajoutant que le Premier ministre "s'y opposait fermement".

Début mai, des pourparlers indirects entre Israël et le mouvement palestinien, par l'entremise du Qatar, de l'Egypte et des Etats-Unis, n'avaient pas débouché sur un accord de trêve associée à la libération d'otages et de prisonniers palestiniens détenus par Israël.

Nouveau cadre

Ce week-end, des médias israéliens ont rapporté que David Barnea, le chef du Mossad (les services de renseignement israéliens), avait trouvé un accord avec le directeur de la CIA, William Burns, et le Premier ministre qatari, Mohammed ben Abdelrahmane Al-Thani, sur un nouveau cadre pour les négociations, lors d'une réunion à Paris.

L'Egypte poursuit également "ses efforts pour réactiver les négociations", selon Al-Qahera News, un média proche du renseignement égyptien, tandis que des responsables qataris devraient rencontrer une délégation du Hamas dans les prochains jours, d'après le site américain Axios.

"Le droit d'avoir un Etat"

Mardi, l'Espagne, l'Irlande et la Norvège devraient reconnaître officiellement l'Etat de Palestine."Les Palestiniens ont le droit d'avoir un Etat, comme les Israéliens ont ce droit", a estimé dimanche le ministre espagnol des Affaires étrangères Jose Manuel Albares.

Dans ce contexte, les ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne se réuniront lundi à Bruxelles avec leurs homologues d'Arabie saoudite, du Qatar, de l'Egypte, des Emirats arabes unis et de la Jordanie, ainsi qu'avec le secrétaire général de la Ligue arabe.

"Faim et soif"

Pendant ce temps, la situation demeure désastreuse dans la bande de Gaza. Le point de passage de Rafah, à la frontière avec l'Egypte, qui permettait l'acheminement de l'aide humanitaire, a été fermé après le lancement de l'opération terrestre israélienne.

"Nous souffrons (...) de la faim, de la soif et d'un manque cruel d'aide", raconte à l'AFP Moaz Abou Taha, un Palestinien de 29 ans, depuis cette ville qu'ont fui quelque 800.000 personnes au cours des deux dernières semaines, selon l'ONU.

L'Egypte, qui refuse de rouvrir le terminal de Rafah tant que les troupes israéliennes contrôlent le côté palestinien, a annoncé dimanche que des camions d'aide en provenance du territoire égyptien ont commencé à entrer dans la bande de Gaza par le point de passage israélien de Kerem Shalom, selon Al-Qahera News.

D'après ce média, un total de "200 camions" se sont dirigés vers Kerem Shalom, sans préciser combien de véhicules avaient passé les contrôles.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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