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Emissions

Conseils juridiques : compensations d'entretien des enfants

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Tous les jours, à 12h50, Nati Gomez et Alexandre Alimi du cabinet Litigium vous apportent des conseils juridiques et moraux concernant des situations pouvant concerner beaucoup d'entre vous.

Emission du 10.01.19 : Compensation d'entretien des enfants

Le cas étudié :

Déborah
Est apprentie cuisinière en 2ème année
A convenu avec ses parents qu’elle devait subvenir à ses besoins grâce à son salaire ;
Assurance maladie, abonnement de bus, vêtements ,sorties, abonnement téléphonique... Une fois tout payé, il lui reste environ 150 francs pour payer : sa nourriture, ses cours, ses loisirs…
Elle souhaite passer son permis de voiture et ses parents refusent de l’aider mais elle n’en a pas les moyens.

Comment peut-elle faire pour que ses parents l’aident ?

Ce que dit la loi :

276 al. 1 CC : Les père et mère doivent pourvoir à l’entretien de leur enfant.
276 al. 3 CC
277 CC : Cette obligation demeure jusqu’à en principe la majorité de l’enfant. Si à sa majorité l’enfant n’a pas encore de formation appropriée, les père et mère doivent dans la mesure où les circonstances permettent de l’exiger d’eux, subvenir à son entretien jusqu’à ce qu’il ait acquis une telle formation.

Les père et mère doivent «dans la mesure où les circonstances le permettent» subvenir à l’entretien de l’enfant.
Selon le Tribunal fédéral, l’obligation d’entretien après la majorité doit se situer dans un rapport d’équité entre ce que l’on peut raisonnablement exiger des parents et de ce que l’on peut raisonnablement attendre de l’enfant.

Lorsque le jeune adulte est dépendant de l’aide de ses parents, il doit adapter son niveau de vie et ses exigences à la contribution qui peut lui être fournie sans sacrifice excessive.
Il est clair qu’étant apprentie cuisinière, elle n’a pas encore atteint la formation appropriée au sens de la loi. Donc elle aurait droit à une contribution «dans la mesure où les circonstances permettent aux parents».
Il faudrait donc analyser le montant du revenu de ses parents. Il serait injuste que Déborah bénéfice d’un niveau de vie sensiblement plus élevé que ses parents.
Dans l’hypothèse où les parents ne sont pas en difficulté financièrement, ils devraient octroyer une contribution d’entretien à Déborah qui dépendra de leur situation financière.

Du point de vue de la morale :

Ses parents ont beaucoup de chance d’avoir a faire à une enfant qui se prend aussi bien en charge et Déborah a de la chance d’être aussi bien responsabilisée, cela va beaucoup l’aider dans le futur pour savoir gérer son budget entre autres.

Elle doit s’informer du coût exact de son permis de conduire (surtout frais fixes) et faire un budget précis pour déterminer quel est le montant qui lui manque.

Présenter ce budget aux parents et leur demander une aide précise.
Si les parents ont les moyens : accepter
Si les parents sont en difficulté financière : envisager un plan de remboursement
Si les parents sont incapables de l’aider financièrement : rechercher un petit job d’appoint (Mac Do, babysitting, aide pour les devoirs, etc.), elle mettra alors petit à petit de côté pour payer.

Les liens utiles :

• Genève famille
 www.genevefamille.ch/N535177/calcul-pension-alimentaire-contribution-d-entretien-droit-de-visite-finances-conseils.html
www.genevefamille.ch/N277349/enfants-majeurs-etudes-et-financement.html

• Divorce famille
www.divorce.ch/tout-sur-le-divorce/les-enfants/l-obligation-d-entretien-des-enfants/l-enfant-majeur/l-entretien-de-l-enfant-majeur

• Justice Genève
www.ge.ch/justice/memento-sur-les-questions-relatives-aux-enfants

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Il suffit de demander

Les restos d’Edouard:Bistrot du boeuf rouge

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Direction les Pâquis au bistrot du bœuf rouge.Une véritable institution tenue par la famille Farina depuis plus de 50 ans. Carlos Farina,le fils,est le gérant de l’établissement,et c’est aux côtés de son épouse et d’une petite équipe fidèle qu’il fait tourner ce restaurant de spécialités lyonnaises.

Le restaurant est aujourd’hui une histoire de famille, Carlos a d’abord suivi un parcours qui ne le prédestinait pas au métier de la restauration.Successivement professeur de tennis, programmeurinformatique chez SwissAir et apprenti en commerce à Lucerne,Carlos Farina revient en 2004 au restaurant familial.« Notre maison respire la tradition. Les convives viennent peut-être chez nous pour retrouver la chaleur des repas de famille »,nous confie Carlos Farina.L’essentiel est que la clientèle se sente à l’aise attablée au bœuf rouge.

Qu’est-ce qu’on mange?

Amateurs de cuisine Lyonnaise,soyez aux anges! Vous retrouvez sur la carte l’essentiel avec l’incontournable quenelle de brochet,le saucisson pistaché,la cervelle de canut,les andouillettes natures ou accompagnées de sauces moutarde ou beaujolaise.Et pas de panique si rien de tout cela ne vous tente,vous pouvez commander les filets de perches du léman,ou du poulet aux morilles.Alors n'hésitez plus!Ouvrez-vous l'appétit aux Pâquis!

Retrouvez les restos d’Edouard chaque jeudi à 11h20 dans l’émission Il suffit de demander.

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Expositions et spectacles

[ITW] Cinzia Cattaneo, l'humoriste genevoise qui parle de nous

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Cinzia Cattaneo dans "La journée finit bien" sur Radio Lac

Jeudi 20 mars au Théâtre Les Salons de Genève, Cinzia Cattaneo monte sur scène "Avec des gens". Un titre évocateur pour ce seul en scène d'une humoriste qui a su transformer son anxiété sociale en force comique. « Le stand-up, c’est toujours mieux avec les gens. C’est un art qui dépend tellement des réactions du public. Et puis, je parle aussi de comment j’ai réussi à lutter contre mon stress dans mes interactions sociales. » Elle était mon invitée, à retrouver en version longue.

 

Récompensée par le Prix SSA Nouveau Talent Humour, Cinzia Cattaneo s’inscrit dans cette nouvelle vague d’humoristes qui osent mêler le rire aux sujets plus profonds. « Au début, je faisais des sketchs très légers. Puis, je me suis rendu compte que le stand-up pouvait toucher les gens encore plus quand on parle de choses intimes. »

Son spectacle ne se limite pas à son vécu personnel. Il crée un véritable écho auprès du public : « Ce qui m’a le plus touchée, c’est quand deux jeunes femmes de 20 ans m’ont dit que ça leur faisait du bien, qu’elles se reconnaissaient et qu’elles se sentaient moins seules. »

Un équilibre subtil entre légèreté et profondeur

Si parler de soi permet de toucher les autres, l’humour reste l’objectif premier. Cinzia veille à garder une balance entre introspection et rires. « Il faut savoir jongler entre légèreté et profondeur. Mon passage sensible dure cinq à huit minutes, pas plus. Je ne veux pas faire un one-woman-show thérapeutique, ça reste un spectacle d’humour avant tout! »

Sur scène, elle alterne donc entre des thèmes intimes et des sujets plus légers: les brunchs, les soirées arrosées, les gynécologues et leur don pour le small talk, ou encore son expérience dans un atelier de thé ne manquerons pas de faire mouche!

Une genevoise qui s'exporte à Paris

Cinzia Cattaneo fait partie de cette nouvelle génération d’humoristes suisses qui s’exportent. Partagée entre Genève et Paris, elle constate une différence dans l’univers du stand-up : « À Genève, on est une petite famille. À Paris, c’est plus compétitif. Là-bas, tu dois tout le temps montrer le meilleur de toi-même. »

Grâce à "Avec des gens", elle prouve que le stand-up suisse a de beaux jours devant lui. « Il y a encore des gens qui ne savent pas trop ce que c’est, mais ça se développe. Genève commence vraiment à s’ouvrir au stand-up. »

Avec IA

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Festivals

Paléo 2025 commenté par ses programmateurs

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Daniel Rossellat, fondateur et president du Paleo festival, pose avec l'affiche lors de la conference de presse d'annonce de la programmation de l'edition 2025 du Paleo festival le mardi 18 mars 2025 dans une salle de l'Usine a Gaz a Nyon. (KEYSTONE/Jean-Christophe Bott)

Le Paléo Festival de Nyon frappe fort pour son édition 2025! Du 22 au 27 juillet, la plaine de l'Asse vibrera au son de l'électro, du rock, du rap et de la chanson française. "C'est un menu riche et rafraîchissant", se réjouit Daniel Rossellat, taulier du festival. Tour d'horizon avec l'équipe de programmation, à retrouver en versions longues.

Avec 120 artistes venus de 30 pays et 250 concerts répartis sur huit scènes, Paléo 2025 mise sur la diversité. "L'ADN du festival, c'est de s'adresser à tous les publics", explique Mathieu Monnier, programmateur.

 

Cette année, le festival accueillera des icônes comme Queens of the Stone Age, les Sex Pistols et Texas côtoyant des artistes montants.

Côté électro, David Guetta, qui préfère aujourd'hui les stades, clôturera en apothéose. "Il était content de revenir à Paléo, un des premiers festivals à l'avoir accueilli sur une grande scène", confie Monnier.

Dany Hassenstein, autre programmateur du festival, souligne le retour en force du rock: "Associer des légendes à du rock jeune et innovant, c'était un pari, mais ça marche". Parmi les artistes attendus: Jean-Louis Aubert, qui jouera exactement 40 ans après sa première venue au Paléo avec Téléphone, comme l'explique Daniel Rosselat.

 

"Will Smith, c'est probablement le nom le plus surprenant de la programmation", admet Monnier. L’icône du hip-hop des années 90 fera son retour sur scène après 20 ans d'absence, avec un nouvel album.

Les fans de rap retrouveront également Macklemore, Ninho & Niska, Hamza, SDM et Kalash, confirmant l'importance du genre au Paléo. Avec 17 artistes helvètes à l'affiche, le festival n'oublie pas ses racines. "On ne se pose même pas la question, c'est une évidence de soutenir la scène suisse", affirme Monnier.

Des tarifs en hausse

250'000 festivaliers sont attendus, et les billets seront mis en vente dès le 26 mars. Les tarifs augmentent légèrement, passant de 90 à 94 francs pour mercredi et dimanche. "L'inflation impacte tous les coûts, mais nous restons accessibles", justifie David Franklin, directeur des ventes.

Avec Keystone-ATS / Avec IA

 

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Le meilleur des réveils

Pourquoi le changement d'heure est-il si difficile ?

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La Suisse n'y coupera pas, dans la nuit du samedi 29 au dimanche 30 mars 2025, à 2 heures du matin, il sera "déjà" 3 heures ! 

Une heure de sommeil en moins, mais aussi des journées plus longues et un avant-goût de l’été. Même si ce changement d'heure est opéré 2 fois dans l'année depuis 1981, on s'accorde tous à dire qu'il est plutôt difficile.

Le changement d'heure peut perturber le rythme biologique des individus, en particulier :

Les enfants : Ils ont des horaires de sommeil très stricts, et un changement d'heure peut perturber leur routine et leur humeur.

Les personnes âgées : Avec l'âge, le corps devient moins flexible face aux modifications des horaires de sommeil et à l'ajustement des rythmes circadiens. Ce changement peut entraîner une fatigue accrue et des troubles du sommeil.

Les travailleurs : Ceux qui ont un emploi nécessitant des horaires fixes peuvent avoir plus de difficulté à s'adapter, surtout si le changement d'heure intervient pendant une période de stress ou de travail intense.

Les personnes souffrant de troubles du sommeil : Le changement d'heure peut aggraver les symptômes de personnes ayant des troubles comme l'insomnie ou le trouble affectif saisonnier.

Les parents d'enfants en bas âge : Les enfants ont souvent un rythme de sommeil très régulier, et même un décalage d'une heure peut perturber leurs habitudes, ce qui entraîne des nuits plus difficiles pour les parents.

Les animaux : Comme les humains, les animaux ont un rythme circadien, qui est influencé par la lumière du jour et de la nuit. Ce rythme régule leur sommeil, leurs périodes d'activité, et même leur digestion. Un changement brutal d'une heure perturbe ce cycle, surtout chez les animaux qui sont habitués à des horaires précis pour manger, dormir ou sortir (animaux domestiques ou de ferme).

Bien que ce système de changement d'heure ait été mis en place pour économiser de l'énergie, son efficacité est désormais remise en question. La transition peut être difficile à gérer pour de nombreux individus et animaux, soulevant ainsi des interrogations sur la pertinence de maintenir cette pratique à l'ère moderne.

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Genève

[ITW] Maïtena Biraben dynamite les clichés au Salon du livre

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Maitena Biraben en couverture de son livre "La Femme invisible" chez Grasset © JF PAGA

Elle aurait pu se contenter d’un rôle de figure médiatique sage et consensuelle. Mais non. À 57 ans, Maïtena Biraben continue de déconstruire les récits dominants. Invitée d'honneur du Salon du Livre de Genève, la journaliste revient avec un livre "La femme invisible", et un média indépendant, mesdames.media, consacré aux femmes de plus de 45 ans. Elle était mon invitée, à retrouver en version longue.

 

Le constat est sans appel: « Un homme de 50 ans est valorisé, on vante son expérience, ses cheveux poivre et sel, son assurance… Une femme de 50 ans, elle, disparaît du paysage. On ne la regarde plus, ou alors comme une personne en fin de course. ». Maïtena Biraben ne veut pas seulement dénoncer, elle veut agir. Avec "mesdames.media", elle veut donner à voir cette réalité que la société peine encore à accepter: les femmes de 50 ans sont là, elles sont actives, elles ont une voix. « J’écris un livre, j’ai ouvert une boîte, j’ai lancé un média, j’ai des amis, je vote, je réfléchis, je lis des livres. Je sais, c’est transgressif! » ironise-t-elle. Et de rappeler l’évidence : « Nous sommes une force vive, nous soutenons nos parents, nos enfants, nous créons de la valeur… et pourtant, le récit nous range dans la case "finissante".* »

Un mot revient souvent dans la bouche de Maïtena Biraben: récit. Car pour elle, la société est avant tout une histoire qu’on raconte. Et aujourd’hui, l’histoire des femmes de 50 ans est biaisée. « Le problème, ce n’est pas notre âge, c’est le regard qu’on porte sur nous. Il faut changer la manière dont on nous raconte. »

Un combat qui passe aussi par la santé

Ce regard biaisé, on le retrouve dans de nombreux domaines, y compris la médecine. « Quand une femme va voir son médecin en périménopause et qu’elle dit "j’ai des douleurs, j’ai des troubles du sommeil, j’ai des bouffées de chaleur", on lui répond souvent "attendez trois à six mois". Vous imaginez qu’on dise ça à un homme avec des troubles de l’érection ? »

Elle pousse la réflexion plus loin: l’intelligence artificielle, qui commence à révolutionner le domaine médical, est elle aussi biaisée. « Les études médicales sont majoritairement faites sur des hommes. Parce qu’une femme, ça a des cycles, et donc ça complique les résultats. Vous vous rendez compte? La moitié de l’humanité est ignorée dans les données scientifiques parce qu’elle a ses règles. C’est délirant! »

Chantal Birman: le droit à disposer de son corps

Aux côtés de Maïtena Biraben, une autre voix puissante s’exprimera au Salon du Livre de Genève: celle de Chantal Birman, sage-femme, militante et autrice engagée pour les droits des femmes. « Chantal, c’est une philosophe. Elle a mis ses actes de militance à l’épreuve du réel », souligne Maïtena. Membre du Mouvement pour la liberté de l’avortement et de la contraception (MLAC) à une époque où l’IVG était encore illégal en France, elle a consacré sa vie à défendre le droit des femmes à disposer de leur propre corps. « Elle est au service des femmes, pas d’un dogme », insiste Biraben, soulignant l’évolution de son regard sur des pratiques comme l’accouchement dans l’eau, qu’elle a un temps défendues avant d’en constater les limites sur le terrain.

Dans son livre Au monde ce qu’accoucher veut dire, Chantal Birman livre un témoignage poignant sur son expérience de sage-femme et la nécessité de redonner du pouvoir aux femmes face aux décisions médicales. « Je vous en supplie, ne laissez pas votre accouchement entre les mains de quelqu’un d’autre. Allez vous renseigner ! » exhorte Maïtena Biraben. « Ce qui est à notre main, il faut le prendre. Il faut qu’on soit proactives là-dessus. » Un message essentiel dans un monde où, encore aujourd’hui, les droits acquis restent menacés.

Le message est clair: les femmes n’ont pas besoin qu’on leur explique leur propre vie. mesdames.media s’inscrit dans cette logique: un espace où la parole des femmes de plus de 45 ans existe sans filtre.

Maïtena Biraben raconte une anecdote révélatrice : « Les jeunes femmes de 25-35 ans qui nous suivent nous disent qu’après 45 ans, il n’y a plus rien sur leur fil Instagram. Pour elles, ce n’est plus seulement une inquiétude, c’est une angoisse. Elles voient un vide. »

Le compte Instagram de mesdames.media est une réponse à cette absence: il ne montre que des femmes de plus de 50 ans. « Et rien que ça, c’est perçu comme étonnant. Comme si ce n’était pas normal. »

Un retour à Genève chargé d’émotion

À Genève, Maïtena Biraben n’est pas en terrain inconnu. « C’est une ville qui compte énormément pour moi. Y revenir, c’est un peu comme retourner dans une ancienne vie. C’est chez moi, mais ce n’est plus tout à fait chez moi. J’ai beaucoup de joie à être là. ». Et elle ne boude pas son plaisir de retrouver le public genevois. « Ici, j’ai appris, je me suis construite. Il y a une relation très saine, très tranquille avec les gens. C’est une ville qui m’a marquée. »

En attendant, elle se prépare à monter sur scène au Salon du Livre de Genève, pour discuter de tout cela avec le public. Et si elle devait résumer son message? « Les femmes de 50 ans ne sont pas invisibles. C’est juste qu’on ne sait pas les regarder. »

 

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