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La fièvre des réseaux sociaux: Les rassemblements se réinventent sur les réseaux sociaux!

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Nous le savons, les événements et les grands rassemblements risquent d'être interdits pour un moment. Le retour à la normale va se faire encore attendre. Mais heureusement, sur les réseaux sociaux les initiatives se multiplient pour réinventer les rassemblements et continuer à partager !

La fièvre des réseaux sociauxLes rassemblements se réinventent sur les réseaux sociaux

Préserver le lien social grâce aux réseaux sociaux

L'être humain est avant tout un animal social, nous avons ce besoin de nous réunir, de communiquer, d'être ensemble. Et face à l'épidémie de Coronavirus et aux mesures de distanciation sociale, ce besoin est mis à rude épreuve.  C'est pourquoi, les initiatives de rassemblement grâce à internet, sur les réseaux sociaux et via les applications de visioconférence se multiplient.

Clubbing, concerts, festivals... Les événements se réinventent avec une nécessité d'innover, de trouver de nouveaux formats pour rassembler le public mais aussi de nouveaux modèles économiques. Tout cela avec toujours un même objectif, partager et rester positifs !

 

L'événement humanitaire : des stars se rassemblent pour la bonne cause

Premier format que l'on retrouve sur les réseaux sociaux : l'événement caritatif. Il y a quelques semaines, le concert virtuel organisé par Lady Gaga et l'association Global Citizen au profit de l'OMS et du personnel soignant, "One World : Together at home" a connu un immense succès.

Le show, diffusé sur la chaîne Youtube de l'ONG mais aussi plusieurs télévisions nationales à travers le monde, réunissait un parterre de super stars du monde entier telles que Céline Dion, Taylor Swift, Christine and The Queens, Angèle et bien d'autres encore. Le temps d'un concert qui avait des airs de skype-apéros entre amis, toutes ces stars ont chanté depuis chez elles pour le plus grands bonheur des spectateurs confinés.

Soulignons d'ailleurs la prestation des Rolling Stones, eux aussi au programme de ce show incroyable, qui ont joué en accord parfait "You Can't Always Get What You Want" tout en étant à distance.

Une prouesse d'organisation pour un événement virtuel très réussi qui a rassemblé pas moins de deux milliards de personnes dans le monde et dont les bénéfices s'élèvent à 127,9 millions de dollars, reversés intégralement à l'OMS pour la lutte contre l'épidémie de Covid-19.

 

Des concerts intimes, exclusifs et payants

Parmi les artistes ayant décidés de se réinventer en proposant des concerts en live sur les réseaux sociaux, il n'y a pas que les super stars qui font cela bénévolement.

Beaucoup d'artistes dépendent des revenus de leurs concerts pour vivre et dans le contexte actuel, ils doivent s'adapter et trouver de nouvelles sources de revenus. Plusieurs proposent donc à leurs fans des showcases intimistes voir privés en live dont la plupart sont payants.

 

Les Festivals aussi se réinventent

Les festivals font aussi partie des événements très impactés par la crise. Alors que la période phare de ces événements musicaux en plein air se situe entre juin et août et que les mesures de distanciation sociale prolongées rendent impossible leur tenue, les grands festivals ont pour beaucoup dû annuler leur édition 2020, ou du moins la repousser à l'année prochaine.

Il y a malgré tout une possibilité pour les festivals de se réinventer en mode virtuel. On l'a déjà vu avec le Swiss Sofa Festival qui s'est tenu sur Instagram du 25 et 27 mars dernier et qui rassemblait de nombreux artistes suisses comme Bastian Baker, Aliose ou encore Nick Melow. Mais de grands noms du monde des festivals ont également pris cette direction à l'instar du Printemps de Bourges en France par exemple.

Une bonne idée à récupérer pour nos festivals romands non ?

 

La fièvre du samedi soir s'invite dans votre salon 

Bars, boîtes de nuit et restaurants fermés, est-ce une raison pour renoncer à faire la fête ? La réponse est non ! De nombreux DJs proposent des sets en live sur Facebook ou Instagram pour vous permettre de continuer à profiter de vos samedis soirs mais depuis votre salon ou votre terrasse. Pas plus de 5 personnes à la fois et avec 2m de distance entre chaque s'il vous plait !

A Genève, une telle opération a été organisée samedi 25 avril. Geneva United Session a rassemblé cinq DJs pour six heures de sets retransmises en live sur Facebook. Le tout pour relayer un appel aux dons au profit de la Croix-Rouge Suisse. Comme quoi, on peut même conjuguer plusieurs de ces nouveaux formats.

 

Voir cette publication sur Instagram

 

👹👹👹 @djtictactec

Une publication partagée par GENEVA UNITED SESSIONS (@genevaunitedsessions) le

A travers tous ces exemples, on constate que, malgré tout, nous recherchons toujours à créer du lien, à maintenir le contact et à continuer à nous rassembler même si pour un temps, ce sera virtuellement.

Et si aujourd'hui, ces réseaux sociaux dont on dit souvent tant de mal, constituait notre meilleur moyen de garder le contact et de continuer à tisser un lien social entre les individus ? Une réflexion intéressante lorsque l'on voit toutes les initiatives qui émergent pour lutter contre la solitude, l'ennui, la distance mais aussi pour s'entraider, se soutenir et rester positifs.

Alors, allons-y, réinventons les modèles de rassemblements, tirons le meilleur des réseaux sociaux et surtout, n’oublions pas de profiter et de partager virtuellement!

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Un nouveau variant du Covid peut déclencher une vague d'infections

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Le nouveau variant du coronavirus s'appelle BA.2.86 (archives). (© KEYSTONE/EPA NATIONAL INSTITUTES OF HEALTH/NIAID- RML/NATIONAL INST)

BA.2.86, le nouveau variant du coronavirus, a le potentiel de déclencher une vague d'infections, alerte un infectiologue de l'hôpital de Winterthour. "Depuis la mi-août, nous avons à nouveau quatre à six patients hospitalisés de manière constante à cause du Covid-19".

Il s'agit en général de personnes âgées souffrant de comorbidités telles que des troubles du rythme cardiaque ou une insuffisance cardiaque, déclare dans la NZZ am Sonntag Urs Karrer, chef du service d'infectiologie de l'hôpital de Winterthour (ZH). Les décès dus à une infection par le SARS-CoV-2 sont cependant devenus rares, ajoute celui qui était vice-président de la task force Covid-19 de la Confédération.

Le nouveau variant ne se propage pas particulièrement vite jusqu'à présent et les données actuelles n'indiquent pas qu'elle provoque des évolutions graves, note l'expert. Il recommande aux personnes à risque et aux personnes souffrant d'un Covid long de se faire vacciner pour prévenir tout risque.

"Je ne m'attends pas à ce que plus de 75% de la population soit infectée en peu de temps, comme cela a été le cas durant l'hiver 2022", indique le docteur Karrer. "Mais je pense que le Covid-19 a toujours le potentiel de provoquer une vague sérieuse, où 20 à 30% de la population pourrait être infectée", poursuit-il, soulignant qu'elle pourrait commencer "dès novembre ou décembre".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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La Suisse a violé le droit international selon un comité de l'ONU

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Le Comité de l'ONU pour l'élimination de la discrimination raciale CERD) estime que la Suisse n'a pas honoré ses engagements internationaux en refusant pendant longtemps de lever les brevets sur les vaccins contre le coronavirus pendant la pandémie (archives). (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

La Suisse et d'autres pays du Nord ont violé le droit international en refusant de lever la propriété intellectuelle sur les vaccins contre le coronavirus, selon un comité de l'ONU. Ils n'ont pas honoré leurs engagements en termes de garantie de non-discrimination.

Dans une décision prise mercredi et rendue publique jeudi à Genève, le Comité de l'ONU pour l'élimination de la discrimination raciale, qui ne s'exprime pas au nom de l'ONU s'en prend aussi aux Etats-Unis, aux autorités britanniques et à l'Allemagne. Dans plusieurs pays en développement, moins de 1% de la population a reçu au moins une dose de rappel.

Or la part dans le monde entier atteint un tiers, a ajouté le Comité. La Suisse et d'autres pays s'étaient résolus à accepter à l'Organisation mondiale du commerce (OMC) une levée provisoire des brevets sur les vaccins, mais seulement après deux ans de pandémie.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Le variant BA.2.86 du coronavirus détecté en Suisse (OMS)

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L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a précisé que La Suisse est l'un des rares pays où le variant BA.2.86 du coronavirus a été détecté (archives). (© Keystone/MARTIAL TREZZINI)

Le variant BA.2.86 du coronavirus que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) surveille étroitement a été détecté dans les eaux usées en Suisse, selon l'institution. Pour le moment, une dizaine de cas ont été observés dans cinq pays.

Ce variant a plus de 30 mutations. Pour cette raison, l'OMS avait décidé il y a une semaine de le mettre parmi ceux à surveiller, aux côtés de six autres.

Mais il n'est pas considéré comme un variant d'intérêt ou préoccupant. "Tout dépendra de la circulation" au sein des différents pays, a affirmé vendredi à la presse une épidémiologiste de l'OMS, Maria Van Kerkhove.

Des cas ont été identifiés au Danemark, aux Etats-Unis, en Israël, en Grande.Bretagne et en Afrique du Sud. Le variant a aussi été "détecté dans les eaux usées en Suisse et en Thaïlande", a aussi ajouté la responsable de l'organisation.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Un nouveau variant du Covid surveillé par l'OMS et les Etats-Unis

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Tanja Stadler, directrice de l'ancienne conseil de la task force scientifique (archives) (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

L'Organisation mondiale de la santé et les autorités sanitaires américaines ont annoncé vendredi surveiller de près un nouveau variant du virus du Covid-19. Même si "pour l'heure l'impact potentiel des nombreuses mutations de BA.2.86 sont inconnues".

L'OMS a décidé de classer de nouveau variant "dans la catégorie des variants sous surveillance en raison du très grand nombre (supérieur à 30) de mutations du gène spicule qu'il porte", écrit l'organisation dans son bulletin épidémiologique consacré à la pandémie de Covid-19 et diffusé dans la nuit de jeudi à vendredi.

C'est la protéine spicule qui donne au virus son aspect hérissé et c'est elle qui permet au SARS-CoV-2 de pénétrer les cellules de l'hôte.

Dans trois pays

Pour l'heure, ce nouveau variant a seulement été détecté en Israël, au Danemark et aux Etats-Unis. Dans ces pays, les CDC (Centres pour le contrôle et la prévention des maladies) ont également indiqué surveiller de près le variant, dans un message publié sur le réseau social X (ex-Twitter).

Actuellement, seules quatre séquences connues de ce variant ont été signalées, sans lien épidémiologique associé connu, explique l'OMS.

"L'impact potentiel des mutations BA.2.86 sont actuellement inconnues et font l'objet d'une évaluation minutieuse", précise l'organisation, qui souligne une nouvelle fois l'importance de continuer à surveiller, à séquencer et à notifier les autorités compétentes pour avoir une vision exacte et d'ensemble de la pandémie de Covid-19.

Trois variants traqués

L'OMS traque actuellement trois variants d'intérêt (XBB.1.5, XBB.1.16 et EG.5) et sept variants sont classés sous surveillance (BA.2.75, BA.2.86, CH.1.1, XBB, XBB.1.9.1, XBB.1.9.2 et XBB.2.3).

La plupart des Etats qui avaient mis en place des dispositifs de surveillance spécifiques de la présence du virus du Covid-19 et de ses variants les ont en général démantelés, estimant que la menace était désormais moins sévère et ne justifiait plus ces dépenses.

"Désarmement" dénoncé

L'OMS n'a de cesse de dénoncer ce "désarmement" et continue "d'appeler à une meilleure surveillance, séquençage et notification de la Covid-19 alors que ce virus continue de circuler et d'évoluer".

Si, depuis début mai, l'OMS ne considère plus la pandémie comme une urgence sanitaire mondiale, "le virus continue de circuler dans tous les pays, continue de tuer et continue de changer", a encore souligné la semaine dernière son directeur général Tedros Adhanom Ghebreyesus.

Sur la dernière période sous revue (du 17 juillet au 13 août 2023), plus de 1,4 million de nouveaux cas de Covid-19 et plus de 2300 décès ont été notifiés, selon le bulletin épidémiologique de l'OMS. Cela représente respectivement une augmentation de 63% et une diminution de 56%, par rapport à la période des 28 jours précédents.

Au 13 août 2023, plus de 769 millions de cas confirmés de Covid-19 et plus de 6,9 millions de décès ont été signalés dans le monde. Le bilan réel des infections et des décès est considéré comme beaucoup plus lourd, nombre de cas ayant échappé au recensement.

Avec Keystone-ATS

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Policiers pas plus contaminés que la population générale

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Malgré leurs interactions avec la population, les membres de la police cantonale bernoise n'ont pas été plus contaminés par le Covid-19 que la population générale d'âge comparable, selon cette étude (archives). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Les membres des forces de police ne sont pas plus susceptibles de contracter le Covid-19 que le reste de la population, même si leurs contacts avec la population sont très fréquents. C'est le constat d'une étude bernoise menée entre 2021 et 2022.

Un millier de participants ont été recrutés au sein de la Police cantonale bernoise, soit environ 35% de l’ensemble du personnel, pour participer à cette étude sur les anticorps, réalisée par l’Institut des Maladies Infectieuses de l’Université de Berne. Des échantillons sanguins ont été prélevés sur les volontaires et sur une période de 16 mois.

L'équipe de Parham Sendi a dans un premier temps examiné quels facteurs influencent la quantité d’anticorps dans le sang. On sait qu’elle diminue avec le temps et aussi avec l’âge, et c'était également le cas dans cette population relativement jeune et saine, que les anticorps proviennent d’une infection ou d’une vaccination.

Différences selon les variants

Comme attendu, plus le niveau d’anticorps est élevé, meilleure est la protection. Mais les résultats ont montré des différences notables entre les variants Alpha et Delta d’une part, et les variants Omicron d’autre part.

Pendant les vagues Alpha et Delta, environ 90% des participants à l’étude ont reçu au moins deux doses d’un vaccin. Les scientifiques ont constaté que la vaccination était efficace durant ces périodes aussi bien contre les formes sévères de la maladie que contre les infections légères et asymptomatiques.

À partir du 21 décembre 2021, Omicron, plus facile à transmettre par mutation, a dominé en Suisse. Ici, la vaccination contre le Covid-19 ou une infection antérieure était efficace contre les formes graves de la maladie, mais pas contre les infections asymptomatiques ou les infections bénignes.

Pas plus contaminés

Globalement, il s’est avéré que les policiers et policières, qui ont été fortement exposés durant la pandémie, n’étaient pas plus contaminés que la population générale à un âge comparable, selon ces travaux publiés dans le Journal of Medical Virology.

Jusqu’à cinq prélèvements de sang ont été effectués chez les participants. Cela a permis d’analyser la dynamique des anticorps sur la totalité de la période de 16 mois, donc de la vague Alpha et Delta à la vague Omicron, où des doses de rappel étaient déjà disponibles.

Selon le Pr Sendi, cité lundi dans un communiqué de l'alma mater bernoise, "il est important d’analyser de telles données nationales de haute qualité, car tous les facteurs issus de la recherche étrangère ne peuvent pas être transposés de manière non critique pour chaque pays".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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