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Economie

Dégâts des intempéries évalués à 20 millions de francs par Allianz

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Les violents orages de ces derniers jours ont provoqué des dégâts évalués à 20 millions de francs, selon l'assureur Allianz Suisse (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Les violents orages de ces derniers jours ont causé des dégâts évalués à 20 millions de francs, selon Allianz Suisse, qui s'attend à recevoir 7000 à 8000 déclarations de sinistre.

La région de Berne et le Plateau ont été particulièrement touchés, a souligné Allianz Suisse mardi.

L'assureur estime les dommages, notamment causés par la grêle sur les véhicules, entre 8 et 10 millions de francs pour environ 3000 déclarations.

En Suisse centrale et dans le Jura, il table sur 10 à 12 millions de francs de dégâts et 4000 formulaires. Les véhicules ont notamment souffert des inondations.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

La Suisse entre dans le top 10 des pays importateurs de champagne

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Les importations cde champagne ont augmenté de près de 4% ern Suisse en 2022 par rapport à l'année précdente (Photo prétexte). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

Le champagne a toujours plus la cote en Suisse. Avec plus de 6,3 millions de bouteilles importées en 2022, la hausse a atteint 3,9% par rapport à l'année précédente. La Suisse entre ainsi dans le top 10 des pays importateurs du breuvage champenois.

Le chiffre d'affaires réalisé sur le marché suisse avec le champagne a même grimpé de 15,7% pour cent par rapport à 2021 et a atteint 145,3 millions d'euros, a indiqué le Bureau du Champagne Suisse.

La Suisse s'est ainsi hissée à la 8e place du classement mondial des importateurs de champagne. La première place des pays importateurs de champagne est occupée par les Etats-Unis, suivis du Royaume-Uni et du Japon. Le marché suisse est certes relativement petit, mais la demande soutenue fait de ce pays un marché important pour l'industrie du champagne, poursuit le communiqué.

À titre de comparaison, la quantité totale de champagne exportée de France en 2022 s'élevait à 325,5 millions de bouteilles (+1,5%), selon les données. Et la valeur de toutes les exportations a en outre dépassé pour la première fois la barre des 6 milliards d'euros.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Rebond surprise de l'inflation au Royaume-Uni à 10,4% en février

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Les prix de l'alcool en hausse dans les pubs et restaurants ont largement contribué à ce rebond surprise tout comme "l'alimentation et les boissons non alcoolisées, qui ont grimpé au rythme le plus rapide depuis plus de 45 ans (archives). (© KEYSTONE/AP/ALBERTO PEZZALI)

L'inflation est repartie à la hausse à 10,4% sur un an en février au Royaume-Uni contre 10,1% en janvier. Le renchérissement a été tirée notamment par les prix de l'alimentation et des vêtements, a indiqué mercredi l'Office national des statistiques (ONS).

"Les prix de l'alcool en hausse dans les pubs et restaurants" ont largement contribué à ce rebond surprise tout comme "l'alimentation et les boissons non alcoolisées, qui ont grimpé au rythme le plus rapide depuis plus de 45 ans", souligne Grant Fitzner, économiste de l'ONS.

"Le recul de l'inflation n'est pas inévitable, nous devons donc nous en tenir à notre plan de diviser par deux l'inflation cette année", a insisté le ministre des Finances Jeremy Hunt dans un communiqué, à la veille d'une décision de la Banque d'Angleterre sur les taux d'intérêt.

Celle-ci doit à la fois agir pour calmer l'envolée des prix en pleine crise du coût de la vie au Royaume-Uni, mais aussi ménager la croissance dans un pays au bord de la récession.

Un contexte économique qui pourrait encore être obscurci par les turbulences financières dans la foulée d'une série de banques régionales américaines et du rachat précipité du géant suisse Credit Suisse par UBS.

"Si l'inflation a grimpé en février, les perspectives pour les mois à venir ont l'air moins sombres grâce à la baisse des prix de gros de l'énergie", tempère toutefois Alpesh Paleja, économiste de la CBI, la principale organisation patronale britannique.

Il note cependant que cette année va rester "un environnement d'inflation élevée pour les ménages comme les entreprises" et se félicite de la décision du Chancelier de l'Echiquier - titre officiel de Jeremy Hunt - de prolonger un plafond des prix de l'énergie.

M. Paleja invite toutefois pour le long terme le gouvernement à "renforcer la résilience énergétique" du pays en investissant dans les énergies renouvelables produites localement.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Le prix de l'électricité va augmenter en 2024, annonce Swissgrid

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Comme en 2023, le prix de l'électricité connaîtra une hausse l'an prochain (Photo prétexte). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Le prix de l'électricité va continuer de grimper en 2024. En plus des coûts de réseau plus élevés, l'exploitant de ce dernier, Swissgrid, facture pour la première fois les coûts des réserves hivernales. Un ménage moyen paiera plus du double de cette année.

Au total, un tel ménage avec une consommation annuelle de 4500 kilowattheures (kWh) devra payer en 2024 des tarifs Swissgrid de 146 francs. En 2023, il lui en coûtait 70 francs sur la facture d'électricité.

Ce tarif plus que doublé s'explique par une augmentation du prix du réseau de transport et par les coûts des réserves d'électricité hivernales.

Les services du gestionnaire de réseau reviendront à 92 francs. Cela représente 7% de la facture annuelle d'électricité. A ce tarif plus élevé s'ajoutera en 2024 l'indemnisation pour les réserves hydroélectriques et les centrales de réserve. Cela coûtera 54 francs supplémentaires au consommateur moyen.

Swissgrid explique la forte augmentation du prix de la prestation de base du réseau de transport par les prestations liées aux services-système. Leur tarif passe de 0,46 centime par kWh cette année à 0,75 centime en 2024.

Selon ses propres indications, le gestionnaire de réseau s'attend à une augmentation des dépenses d'acquisition pour la mise en réserve de la puissance de réglage. Il doit en outre résorber un déficit de couverture qui est dû à la forte augmentation des prix de l'électricité.

De plus, le tarif pour les pertes de transport passe de 0,3 à 0,34 centimes par kWh. Là encore, la raison en est, selon Swissgrid, la forte augmentation des coûts d'approvisionnement dans un contexte de prix élevés.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Une seule grande banque est une catastrophe pour la démocratie

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UBS a désormais une énorme influence, y compris sur la BNS et sur sa politique monétaire, estime Urs Birchler (archives). (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

Une place financière suisse avec une seule grande banque est une catastrophe pour la démocratie et la politique monétaire, estime l'économiste Urs Birchler. La concurrence va en souffrir et il ne sera plus possible de légiférer de manière neutre, lâche-t-il.

"Si le monde politique traite désormais des lois sur les banques, ce sera toujours une loi contre un établissement en particulier: UBS", déclare M. Birchler, l'un des pères de la réglementation "too big to fail", dans un entretien diffusé mercredi par Republik, trois jours après la reprise de Credit Suisse par UBS. "Une législation qui n'a pas une certaine neutralité de base est délicate".

Bien qu'il existe encore un certain contrepoids sur le marché hypothécaire, grâce aux banques cantonales notamment, la concurrence est menacée, remarque l'expert, qui a fait partie de la direction de la Banque nationale suisse (BNS). Selon lui, les petites banques risquent d'aligner leurs taux sur ceux d'UBS. "On peut s'attendre à ce que les hypothèques, par exemple, aient tendance à devenir un peu plus chères".

"Tout va de travers maintenant", note M. Birchler. "UBS est désormais comme un enfant unique sorti du cadre familial, un enfant unique qui génère un bilan deux fois plus important que le revenu annuel de ses parents". Cette situation confère à UBS une grande influence, y compris sur la BNS et sur sa politique monétaire, ajoute-t-il.

Et le droit de la concurrence, le droit des actionnaires, le droit de la prise de contrôle et le droit de propriété ont été bafoués pour arriver à ce résultat, relève le professeur émérite à l'institut de la banque et de la finance de l'université de Zurich. "La Suisse n'est plus la même aujourd'hui qu'il y a deux semaines. La sécurité juridique n'existe plus".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Credit Suisse: Lazard Frères Gestion essuie 142 millions de pertes

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L'émission des obligations AT1 de Credit Suisse visait à renforcer le niveau de solvabilité sans émettre de nouvelles actions (archives). (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Les sociétés de gestion d'actifs française Lazard Frères Gestion et américaine Pimco ont essuyé des pertes de 141 millions et 314 millions de francs dans le rachat de Credit Suisse par UBS. L'opération a provoqué l'effacement de certains titres de dette.

L'opération a en effet conduit à l'annulation de 17 milliards de dollars (15,7 milliards de francs) de titres de dette dits "CoCo" (pour "Contingent Convertible"), aussi appelés "Additional Tier 1" ou "AT1", détenus par des investisseurs professionnels (banques, fonds).

Au 14 mars, au début de la débâcle et des fortes craintes de faillite de Credit Suisse, Lazard Frères Gestion détenait un total de 142 millions d'euros de ces titres, selon une déclaration transmise mardi à l'AFP par l'entreprise. Cela ne représente que 0,4% du total des actifs gérés par la filiale de la banque d'affaires franco-américaine Lazard.

Dernière position

La société américaine Pimco, filiale de l'assureur allemand Allianz, a de son côté perdu environ 340 millions de dollars dans cette affaire, a indiqué mardi une source proche de la société.

Pimco détenait initialement des obligations AT1 de Credit Suisse, qui valaient 807 millions de dollars quand elles ont été émises, mais leur valeur avait fondu ces derniers mois, a précisé cette source. Cela en faisait le plus gros détenteur d'obligations AT1 de Credit Suisse selon des données de l'agence d'informations financières Bloomberg. C'est toutefois une part minime au milieu des 1740 milliards de dollars gérés par Pimco.

Créée après la crise financière de 2008, cette catégorie de dette, qui arrive en dernière position dans l'ordre de priorité pour le remboursement en cas de difficultés financières, visait à renforcer le niveau de solvabilité sans émettre de nouvelles actions et, ainsi, éviter que le contribuable ne finisse par payer l'addition en cas de sauvetage.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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