Rejoignez-nous

Coronavirus

La Fièvre des Réseaux Sociaux: #MeAt20, #Throwbackchallenge... Partageons nos photos d'enfance sur les réseaux sociaux !

Publié

,

le

Si vous avez un compte sur Facebook ou Instagram, vous n'avez pas pu passer à côté de ces challenges qui vous invitent à partager vos photos de jeunesse et à mentionner vos amis pour qu'ils fassent de même. Une tendance qui a le vent en poupe et dont on vous parlait ce matin dans La Fièvre des Réseaux Sociaux.

La fièvre des réseaux sociaux#MeAt20, #Throwbackchallenge : partageons nos photos de jeunesse sur les réseaux sociaux !

Parmi la multitude de tendances qui se dessinent en ce moment sur les réseaux sociaux, il y en a une dont on vous parle régulièrement dans La Fièvre des Réseaux Sociaux et qui nous plaît particulièrement chez Radio Lac : ce sont les challenges.

Qu'ils soit culinaires, créatifs, artistiques, fun ou participatifs, les challenges ont la côte en ce moment et ils nous divertissent chaque fois un peu plus, que l'on y prenne part ou que l'on en regarde seulement le résultat.

Aujourd'hui, nous nous attardons sur un nouveau de ces défis sur les réseaux sociaux, ou plutôt une tendance qui a donné naissance à plusieurs challenges: partager nos photos de jeunesse ou d'enfance sur nos profils.

 

Partager ses photos de jeunesse : le nouveau challenge tendance sur les réseaux sociaux.

A moins que vous n'ayez pas de comptes Facebook ou Instagram, vous n’avez pas pu passer à côté de ces nombreuses photos en noir et blanc de vos amis à 15 ans, de votre tante à 20 ans ou encore de vos cousins lorsqu'ils étaient au cycle.

Ces challenges s'appellent #MeAt20 ou #Throwbackchallenge, ils envahissent Instagram, Facebook mais aussi Twitter. Leur objectif bien sûr, en plus de nous faire partager nos propres photos, est d'identifier nos amis pour les inviter à faire de même et les obliger à ressortir quelques vieux dossiers qu'ils auraient peut-être préféré oublier.

Même les célébrités se prêtent au challenge. Ici, l'actrice française Leila Bekhti a posté quelques photos de ses amis comédiens lorsqu'ils étaient enfants. Les reconnaissez-vous ?

Quel bonheur de retomber au détour d'un scroll sur une photo de votre meilleure amie à 15 ans ou de votre acteur préféré dans les années 90 ! Ces challenges nous permettent de replonger dans nos souvenirs, dans des époques un peu dépassées aujourd'hui et surtout de rire. En somme, un voyage dans le temps plein de tendresse.

Pourquoi partager nos photos de jeunesse nous fait-il du bien ?

Lorsque l'on voit l'engouement face à de tels challenges, on se demande, et c'est légitime, pourquoi un tel succès ?

D’abord, ça fait du bien à notre petit coeur. Se rappeler de bons souvenirs de jeunesse, quoi de mieux pour nous remonter le moral ? On sourira en repensant à nos vacances d'été à 20 ans ou au petit chat Fripouille qu'on avait à 5 ans... Et ces souvenirs nous rappellent que la vie n’a pas toujours été aussi compliquée qu'en ce moment et que si il y a eu un avant, il y aura aussi un après "coronavirus".

Enfin, étant souvent éloignés de nos familles et privés de grandes réunions, revoir les photos prises à Pâques 1989 ou Noël 2002, cela nous fait aussi du bien. On se rappelle avec nostalgie Papi qui racontait des blagues et notre petit cousin Nicolas qui avait mangé beaucoup trop de chocolat...

On garde aussi le lien avec les autres en partageant cette photo de classe de 1995 et en taguant toutes nos amies pour rire ensemble de la coupe de cheveux qu’on avait osé à l’époque ! Ah bon, la coupe au bol c'était vraiment à la mode ?

Parmi toutes ces photos de jeunesse partagées, celles qui rencontrent le plus de succès sont celles de nous lorsque nous étions enfant. Un moyen peut-être de replonger en enfance et retrouver l'insouciance que l'on avait à l'époque pour se protéger dans la situation actuelle.

Si vous passez un peu de temps sur Facebook ou Instagram, il est fort probable que vous ayez déjà vu ces challenges ou peut-être même que l'on vous ait déjà identifier pour y prendre part. Alors lancez-vous, succès garanti auprès de vos amis et beaux moments de souvenirs en perspective !

Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Coronavirus

Covid-19: un rapport américain parle de la fuite d'un laboratoire

Publié

le

Le SARS-CoV 2 a tué plus de sept millions de personnes depuis 2019 et fait encore 1700 morts par semaine, selon l'OMS (archives). (© KEYSTONE/AP CDC/HANNAH A. BULLOCK, AZAIBI TAMIN)

Une commission au congrès américain sur le Covid-19 estime que la fuite du virus d'un laboratoire de Wuhan, en Chine, est l'hypothèse "la plus plausible" pour expliquer son origine. Après deux ans d'enquête, la commission a fourni un rapport de plus de 500 pages.

La question de l'origine de la pandémie, entre potentielle transmission du virus par un animal ou fuite de laboratoire, a pris depuis plusieurs années aux Etats-Unis une tournure géopolitique, sur fond de rivalité accrue avec la Chine.

Donald Trump, récemment élu pour la seconde fois à la Maison-Blanche, a affirmé à plusieurs reprises, sans preuve, que le virus avait fuité d'un laboratoire chinois, ce que conteste fermement Pékin.

Sans trancher cette question, le renseignement américain avait assuré dans un rapport de juin 2023 n'avoir aucune preuve indiquant que le Covid-19 avait été créé dans un laboratoire en Chine.

La sous-commission sur la pandémie due au coronavirus a été mise en place en février 2023, lorsque les républicains ont repris la majorité à la chambre des représentants. Après 38 dépositions ou entretiens et 25 auditions, son rapport sera officiellement publié mercredi.

"Consensus"

"Ce travail aidera les Etats-Unis et le monde à prédire la prochaine pandémie, à s'y préparer, à nous en protéger, et, espérons-le, à la prévenir", a déclaré le président de cette commission, l'élu républicain et médecin podologue de métier Brad Wenstrup.

Le rapport se targue d'un "consensus" entre membres démocrates et républicains sur plusieurs questions, notamment sur le fait que "la possibilité que le Covid-19 ait émergé d'un accident lié à un laboratoire ou à des recherches n'est pas une théorie du complot".

Pour appuyer leur affirmation, les élus avancent cinq raisons, parmi lesquelles, selon eux, le fait que "le virus possède une caractéristique biologique qui n'est pas présente dans la nature".

Près de cinq ans après son émergence, la communauté scientifique internationale n'est pas encore parvenue à déterminer avec certitude l'origine du Covid-19. Une étude publiée en septembre dans la revue Cell a cependant apporté de nouveaux éléments venant renforcer l'hypothèse d'une transmission aux humains par des animaux infectés introduits sur un marché de Wuhan à la fin 2019.

Avec plus de 1,1 million de morts, les Etats-Unis ont de loin été le pays le plus touché par la pandémie de Covid-19.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Coronavirus

Fin de la gratuité du vaccin Covid-19 en Suisse dès le 1er juillet

Publié

le

Le vaccin Covid-19 ne sera plus gratuit pour toute la population suisse dès le 1er juillet (archives). (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Les Suisses souhaitant se faire vacciner contre le Covid-19 devront participer aux coûts dès le 1er juillet. L'assurance obligatoire des soins (AOS) remboursera la vaccination pour les personnes auxquelles elle est recommandée.

Le 18 juin 2023, le peuple suisse a accepté la prolongation de certaines dispositions de la loi Covid-19. Celles-ci arrivent à échéance à la fin du mois. Parmi elles figure la prise en charge des coûts du vaccin contre le coronavirus par l'AOS, la Confédération et les cantons.

A partir du 1er juillet, les dispositions introduites spécifiquement pour la pandémie disparaîtront pour laisser place aux structures habituelles de remboursement par l'AOS, rappelle mardi l'Office fédéral de la santé publique (OFSP) dans un communiqué. La vaccination sera donc soumise à la participation aux coûts, avec franchise et quote-part.

La vaccination sera prise en charge par l'AOS pour les personnes auxquelles elle est recommandée, soit notamment les personnes vulnérables ayant des antécédents médicaux ou âgées de plus de 65 ans.

Dépistage de l'amyotrophie spinale

D'autres modifications concernant le remboursement des prestations par l'AOS entreront en vigueur au 1er juillet. Par exemple, le dépistage néonatal sera étendu à l'amyotrophie spinale, une maladie héréditaire rare et grave qui se caractérise par une faiblesse musculaire progressive.

Un traitement médicamenteux efficace existe en Suisse depuis 2017. Il sera désormais possible de diagnostiquer et de traiter cette affection à un stade précoce, avec l’espoir de meilleurs résultats thérapeutiques, salue l'OFSP.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Coronavirus

Lausanne: plus de 17 millions d'aides durant les années Covid

Publié

le

En 2020, la rue Centrale est devenue piétonne le samedi matin, jour de marché. (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Quatre ans après le début de la crise du Covid, la ville de Lausanne tire un bilan du soutien accordé aux acteurs économiques lausannois. Elle a versé quelque 17 millions de francs d'aides diverses, plus un prêt sans intérêts de 1 million de francs en faveur du Fonds pour l'équipement touristique de la région lausannoise (FERL).

Le dimanche 15 mars 2020, le Conseil fédéral déclarait l'état d'urgence. Face à l'ampleur de la crise engendrée par le coronavirus, la municipalité avait pris une série de mesures, en complémentarité des actions de la Confédération et du canton.

Ces mesures "exceptionnelles" n'étaient pas que des réponses immédiates et urgentes aux problèmes. Elles posaient également "des bases solides pour la relance économique post-crise", souligne lundi le municipal Pierre-Antoine Hildbrand, cité dans un communiqué.

Prestations gratuites

Pour rappel, la ville a accordé une série de gratuités - pour environ 4 millions de francs -, renonçant à facturer certains émoluments notamment pour les terrasses et les marchés. Pour renforcer le commerce de proximité, elle a distribué à ses habitants pour 6,6 millions de bons de réduction d'achat et d'achat direct.

Autres mesures: la rue centrale est devenue piétonne le samedi matin, jour de marché. Le nombre de terrasses est passé de 518 fin 2019 à 631 fin 2023. En tant que propriétaire d'immeubles, Lausanne a renoncé à certains loyers commerciaux et a maintenu son sponsoring aux grandes manifestations, malgré leur annulation. Et les Services industriels ont offert la gratuité du téléréseau à leurs clients hôteliers. Le tout pour un montant de 4,25 millions.

Taxis et hôtels

La ville a également soutenu l'Association intercommunale pour la règlementation des taxis et Taxis Services, la centrale d'appel. Pour aider les indépendants à évaluer leur situation financière, elle a offert, avec des partenaires, des "check-ups" gratuits. Ces initiatives totalisent 3 millions de francs. Enfin, l'hôtellerie a bénéficié d'un prêt sans intérêts d'un million de francs au FERL.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Coronavirus

Maurer réaffirme qu'il y a eu "une hystérie autour du Covid"

Publié

le

L'ancien conseiller fédéral Ueli Maurer se dit surpris du tollé suscité par ses propos tenus deux semaines plus tôt sur le Covid (archives). (© KEYSTONE/URS FLUEELER)

Deux semaines après avoir tenu des propos sur le coronavirus ayant suscité une vive réaction, Ueli Maurer assume. "Bien sûr qu'il y a eu une hystérie autour du Covid", réaffirme-t-il dimanche dans la presse.

Cette hystérie était même "d'ampleur mondiale", assure le Zurichois dans Le Matin Dimanche et la SonntagsZeitung. "On a dit que le Covid était mortel, et à partir de cette supposition, on a tendu un filet sanitaire comme on n'en avait jamais vu auparavant, assure-t-il. Quiconque osait poser une question critique était écarté ou traité de 'conspirateur'".

Ueli Maurer avait déjà tenu des propos similaires dans la presse dominicale deux semaines plus tôt, suscitant une vive réaction. "Concernant le Covid, je n'ai que répété ce que j'ai toujours dit, réagit-il. Que cela ait suscité pareil tollé m'a surpris". Les critiques provenaient surtout des médias, selon l'ancien ministre des finances, qui dénonce un "réflexe anti-Maurer".

"Pas un antivax"

L'ancien conseiller fédéral nuance toutefois ses déclarations sur les vaccins anti-Covid qui ont particulièrement choqué. Il avait affirmé que ces vaccins renfermaient "beaucoup d'air chaud". "Bien sûr, on a tout de suite affirmé que j'étais un antivax. Ce qui n'est pas vrai", dit-il.

L'utilité des vaccins n'est pas contestée, mais la Suisse est allée trop loin en disant à tout le monde de se vacciner, assure Ueli Maurer. "Je suis convaincu que, ces prochaines années, nous nous occuperons de façon croissante des dommages causés par le vaccin", ajoute-t-il.

"L'Etat pas responsable de tout"

L'ancien conseiller fédéral revient également sur les crédits Covid dont il était en charge durant la pandémie. Il lui avait été notamment reproché d'avoir laissé tomber les PME. "L'Etat ne peut pas être responsable de tout. Il ne peut pas non plus protéger chacun de la mort", se défend-il.

La responsabilité individuelle a, selon lui, été dissoute comme jamais auparavant, poussant la Confédération à dépenser sans compter. "L'Etat doit protéger, mais il ne peut distribuer que l'argent qu'il prend d'abord aux gens".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Coronavirus

Le "contact-tracing" n’a eu qu’une efficacité relative

Publié

le

Le suivi des contacts mis en place pendant la pandémie de coronavirus n'a eu qu'une efficacité relative (archives). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Environ 40% des personnes infectées par le coronavirus ont été identifiées par le biais du suivi des contacts, selon une étude genevoise. Ces résultats suggèrent que le "contact-tracing" à lui seul ne suffit pas à stopper la propagation du coronavirus.

De surcroît, la proportion de personnes infectées identifiées de cette manière a fluctué selon le variant en cause, le type de logement habité, et la richesse du quartier.

En cas d'épidémie, le suivi des contacts doit donc être complété par une multitude d'autres mesures qui tiennent compte des caractéristiques spécifiques de chaque maladie, ont indiqué mercredi l'Université et les Hôpitaux universitaires de Genève (UNIGE/HUG) dans un communiqué.

Pour évaluer l'efficacité du traçage des contacts, une équipe dirigée par Delphine Courvoisier a analysé les données de plus de 140'000 cas de coronavirus et 185'000 contacts recensés dans le canton de Genève entre juin 2020 et mars 2022.

En moyenne, environ 40% des personnes contaminées ont pu être identifiées par" contact-tracing", avec des variations de 25% - au sommet des vagues épidémiques - à 60% pour les périodes les plus calmes.

Facteurs socio-économiques

Mais les facteurs socio-économiques pèsent fortement. Ainsi, plus les bâtiments sont grands et équipés de parties communes (commerces au rez-de-chaussée, par exemple), plus les gens ont tendance à ne pas déclarer leurs contacts.

"Il s’agit probablement d’omissions involontaires: on se croise sans y penser, on ne connaît pas forcément ses voisins, le virus reste en suspension dans l’ascenseur", explique Denis Mongin, statisticien aux HUG, cité dans le communiqué. "D’ailleurs, cet effet disparaît pendant les phases de restriction de rassemblement et de port de masque obligatoire, ce qui nous permet aussi d’évaluer l’efficacité de ces mesures."

En revanche, plus les quartiers sont à statut socio-économique élevé, moins les gens déclarent leurs contacts. "De nombreuses hypothèses ont été évoquées: respect moindre des directives gouvernementales, mais aussi plus grande possibilité de s’auto-isoler en raison de la taille des logements et des professions permettant de télétravailler, sans nécessité de certificat médical", note Delphine Courvoisier.

Une mesure parmi d’autres

Le Covid-19 est une maladie très contagieuse, transmise par aérosols et contaminante avant l’arrivée des symptômes. Ces caractéristiques rendent le traçage des contacts particulièrement complexe.

"Pour Ebola, par exemple, où les malades ne sont contagieux qu’après l’apparition des symptômes, ou, plus proche de nous, pour la rougeole, le traçage des contacts a prouvé son efficacité pour couper les chaînes de transmission", souligne la spécialiste.

Conclusion: le "contact-tracing" seul n’a eu qu’une efficacité relative sur la dynamique de l’épidémie. Mais il ne faut pas négliger son importance comme soutien psychologique auprès de la population pour rassurer et écouter les gens pendant cette période anxiogène, écrit l'UNIGE.

Il s'agit d’utiliser ces expériences pour construire une réponse plus solide et multimodale lorsque nous serons à nouveau confrontés à une épidémie de grande ampleur, concluent les auteurs. Ces résultats sont publiés dans la revue Eurosurveillance.

Continuer la lecture

Derniers titres

Publicité

L'info en continu

InternationalIl y a 33 minutes

Macron assure qu'il accomplira son mandat "jusqu'à son terme"

Emmanuel Macron a assuré jeudi, lors d'une allocution aux Français, qu'il accomplirait son mandat "pleinement, jusqu'à son terme", alors qu'un...

InternationalIl y a 51 minutes

Les Etats-Unis émettent une alerte au tsunami, séisme en Californie

Un puissant séisme de magnitude 7 a frappé jeudi près des côtes du nord de...

EnvironnementIl y a 1 heure

L'Islande autorise la chasse à la baleine jusqu'en 2029

Seul pays avec la Norvège et le Japon à autoriser la chasse à la baleine,...

GenèveIl y a 3 heures

[Interview] Téléthon: Comment avance la recherche à Genève?

Chaque année, le Téléthon rappelle à quel point la recherche scientifique a besoin de soutien...

InternationalIl y a 3 heures

Google a développé une IA prévoyant la météo sur 15 jours

Un programme d'intelligence artificielle (IA) développé par Google est capable de prévoir la météo sur...

InternationalIl y a 4 heures

Italie: la prévision de croissance divisée par deux pour 2024

L'Institut national des statistiques (Istat) italien a nettement revu jeudi à la baisse sa prévision...

InternationalIl y a 4 heures

Fonction publique: 200'000 manifestants en France, selon la CGT

Les manifestations des agents publics contre la "dégradation de leurs conditions de travail et de...

GenèveIl y a 4 heures

Pas d'ouverture des magasins genevois le 22 décembre: recours au TF

Genève Commerces et la Nouvelle organisation des entrepreneurs (NODE) feront recours au Tribunal fédéral (TF)...

InternationalIl y a 4 heures

Les chefs des diplomaties russe et ukrainienne s'affrontent à Malte

Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a été traité par son homologue ukrainien...

GenèveIl y a 4 heures

Un comité de soutien pour l'achat de la propriété de Zep

Le potentiel achat de la propriété de Zep, aux Charmilles, par la Ville de Genève...