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La fièvre des réseaux sociaux : Pourquoi tout le monde fait son pain maison ? (et le partage)

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Depuis le début des mesures de confinement, une tendance est apparue sur les réseaux sociaux : faire son pain maison et le partager avec sa communauté. Une tendance qui soulève une question : pourquoi ? Roxane vous donne quelques éléments de réponse dans la Fièvre des Réseaux Sociaux.

La fièvre des réseaux sociauxPourquoi tout le monde fait son pain maison et le partage sur les réseaux sociaux ?

 

Je ne sais pas si vous avez remarqué, peut-être d’ailleurs en faites-vous même partie, mais beaucoup de personnes se sont mises à faire leur pain maison depuis le début de l'épidémie de Coronavirus et surtout à le partager sur leurs réseaux sociaux. C'est la grosse tendance du moment et on peut dire que le monde des réseaux sociaux s'est divisé ces dernières semaines en deux parties : ceux qui font leur pain et ceux qui se demandent pourquoi.

Je dois vous l'avouer, je fais partie de la seconde catégorie et c’est pour cela que je suis allée à la recherche de ce pourquoi.

Faire son pain soi-même : Quelle est la raison derrière cette nouvelle tendance phare des réseaux sociaux?

Il y a plusieurs des raisons qui poussent les gens à se lancer dans cette entreprise. Tout d'abord, des raisons très évidentes comme le fait qu'il est déconseillé de se rendre à la boulangerie, que c'est une activité qui occupe pas mal de temps pour les adultes comme les enfants et en plus, il faut avouer qu'un bon pain artisanal, c'est bien meilleur que le pain industriel !

 

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PETITS PAIN AU LEVAIN 🌱 . Je suis enfin parvenue à realiser des petits Marcelino convaincants avec Marcel #lelevain 👌 . Pour cette fois, j'ai utilisé un mélange de farine de blé 1/2 complète et de farine de sarrasin. . Ils pourraient être encore plus développés mais le goût et le croustillant sont au rendez-vous ! Alors je suis satisfaite 👌 . . Comme je vois que vous êtes nombreux à avoir réalisé votre levain maison ! J'imagine que la recette peut vous intéresser ? . Je ne vais pas vous cacher que la realisation est un peu longue, Marcel à besoin de patience 😅 . Je vous souhaite une douce journée ❤ __________________ #levain #painmaison #homemade #breakfast #yummy #cook #boulangerie #healthyfood #mangermieux #mangerenpaix #eatclean #cooking #faitmaison #marcel

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Mais cela n’explique pas le besoin de partager son oeuvre en masse sur les réseaux. Si l'on creuse un peu la question et que l'on demande à ces boulangers en devenir, faire son pain serait, pour eux, une nouvelle performance, un objectif dans la journée et donc un moyen de combler un vide (celui du manque d'activité, de réussite...).
En plus, derrière le pain se cache un symbole fort de partage et communauté. Serait-ce donc un moyen de lutter contre la distanciation ? De retrouver le plaisir de partager son morceau de pain virtuellement sur Instagram ? La réponse est oui.

Mais surtout, partager son plus beau pain sur son compte Instagram nous permet de montrer qu’on peut performer tout en restant chez soi et que notre occupation principale n'est pas de rester affalé sur notre canapé devant Netflix.

 

Réussir son pain grâce aux boulangers sur les réseaux sociaux.

Alors faire son pain c'est bien mais encore faut-il le réussir ! Et toute personne qui a déjà essayé sait que ce n’est pas si aisé.

L’activité est technique et nécessite les bons ingrédients, à commencer par la farine. D’après un boulanger que je suis sur Instagram : il faut la choisir bio de préférence et de qualité, une farine complète est plus indiquée car elle contient plus de bactéries pour permettre la levée de votre pain.
Si vous êtes débutants dans la pratique, de nombreux boulangers partagent leurs recettes sur leurs propres réseaux sociaux pour vous aider. Un bon moyen de continuer à communiquer sur leur activité même si ils enregistrent une baisse de fréquentation dans leur boutique.

 

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Buona domenica! Come cantava il grande @antonellovenditti.official qualche anno fa , domeniche passate chiusi in casa (vabbè li erano pene d’amore... qui ....) ad aspettare Aspettiamo o diventiamo attori protagonisti del cambiamento? L’inadeguatezza di alcuni, forse di molti, non dev’essere la scusa per accettare supinamente decisioni e scelte a dirò poco miopi Siamo nel 2020, si stanno facendo scelte che neanche nel 1929... Proclami ai quali segue poca sostanza nel piccolo come nel grande Ok non devo andare in loop su sta roba: giusto! Però rivoglio la possibilità di credere in un futuro che mi posso ricostruire, io con chi mi vuole bene, chi mi sta accanto e chi avrà voglia di correre con me , con noi. Non voglio un futuro a debito perché (parafrasando un vecchio slogan) c’è lo chiede l’Europa Siamo italiani. Siamo la culla della cultura e dell’arte Siamo bravi, eruditi, abbiamo un paese invidiabile e invidiato (forse è proprio questo il problema) e possiamo cavarcela egregiamente da soli. Basta che ci si lasci provare . Torniamo alle cose belle , alla nostra arte allora , quella del pane per esempio: questo impasto diretto lo dedico ai miei amici fuori regione @chef_paolo_cappuccio , @chef_domenico_ditondo e @_massichef_ : giochiamo a sovvertire le regole e allarghiamo il #breadathomechallenge lanciato da @danielerebosio Dai ragazzi “uscitemi” il vostro 🥖 🍞 top Buona domenica a tutti amiche e amici di Instagram come sempre a tutto ❤️ . Photo by @_laura.bianchi_ Me making bread . . . #agricuoco #coronavirusdemmerda #italia #nazione #cucina #chef #chefalert #igtvumami #cookin_liguria #photography #food #amici #cuochi #cuoco #chefathome #ciboècultura #ciboecultura #cheflife #sestrilevante #liguriariparte

Une publication partagée par Emanuelecuoco (@emanuelerevello) le

Je vous rappelle également la petite astuce de Sophie pour ceux qui mangent leur pain sans gluten : remplacer l'eau par de l'eau gazeuse afin de permettre à votre pain d'être plus aéré !

Voilà, vous avez toutes les clés pour vous lancez, vous aussi et nous partager vos photos sur Instagram ! A vos fourneaux !

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Un nouveau variant du Covid peut déclencher une vague d'infections

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Le nouveau variant du coronavirus s'appelle BA.2.86 (archives). (© KEYSTONE/EPA NATIONAL INSTITUTES OF HEALTH/NIAID- RML/NATIONAL INST)

BA.2.86, le nouveau variant du coronavirus, a le potentiel de déclencher une vague d'infections, alerte un infectiologue de l'hôpital de Winterthour. "Depuis la mi-août, nous avons à nouveau quatre à six patients hospitalisés de manière constante à cause du Covid-19".

Il s'agit en général de personnes âgées souffrant de comorbidités telles que des troubles du rythme cardiaque ou une insuffisance cardiaque, déclare dans la NZZ am Sonntag Urs Karrer, chef du service d'infectiologie de l'hôpital de Winterthour (ZH). Les décès dus à une infection par le SARS-CoV-2 sont cependant devenus rares, ajoute celui qui était vice-président de la task force Covid-19 de la Confédération.

Le nouveau variant ne se propage pas particulièrement vite jusqu'à présent et les données actuelles n'indiquent pas qu'elle provoque des évolutions graves, note l'expert. Il recommande aux personnes à risque et aux personnes souffrant d'un Covid long de se faire vacciner pour prévenir tout risque.

"Je ne m'attends pas à ce que plus de 75% de la population soit infectée en peu de temps, comme cela a été le cas durant l'hiver 2022", indique le docteur Karrer. "Mais je pense que le Covid-19 a toujours le potentiel de provoquer une vague sérieuse, où 20 à 30% de la population pourrait être infectée", poursuit-il, soulignant qu'elle pourrait commencer "dès novembre ou décembre".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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La Suisse a violé le droit international selon un comité de l'ONU

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Le Comité de l'ONU pour l'élimination de la discrimination raciale CERD) estime que la Suisse n'a pas honoré ses engagements internationaux en refusant pendant longtemps de lever les brevets sur les vaccins contre le coronavirus pendant la pandémie (archives). (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

La Suisse et d'autres pays du Nord ont violé le droit international en refusant de lever la propriété intellectuelle sur les vaccins contre le coronavirus, selon un comité de l'ONU. Ils n'ont pas honoré leurs engagements en termes de garantie de non-discrimination.

Dans une décision prise mercredi et rendue publique jeudi à Genève, le Comité de l'ONU pour l'élimination de la discrimination raciale, qui ne s'exprime pas au nom de l'ONU s'en prend aussi aux Etats-Unis, aux autorités britanniques et à l'Allemagne. Dans plusieurs pays en développement, moins de 1% de la population a reçu au moins une dose de rappel.

Or la part dans le monde entier atteint un tiers, a ajouté le Comité. La Suisse et d'autres pays s'étaient résolus à accepter à l'Organisation mondiale du commerce (OMC) une levée provisoire des brevets sur les vaccins, mais seulement après deux ans de pandémie.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Le variant BA.2.86 du coronavirus détecté en Suisse (OMS)

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L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a précisé que La Suisse est l'un des rares pays où le variant BA.2.86 du coronavirus a été détecté (archives). (© Keystone/MARTIAL TREZZINI)

Le variant BA.2.86 du coronavirus que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) surveille étroitement a été détecté dans les eaux usées en Suisse, selon l'institution. Pour le moment, une dizaine de cas ont été observés dans cinq pays.

Ce variant a plus de 30 mutations. Pour cette raison, l'OMS avait décidé il y a une semaine de le mettre parmi ceux à surveiller, aux côtés de six autres.

Mais il n'est pas considéré comme un variant d'intérêt ou préoccupant. "Tout dépendra de la circulation" au sein des différents pays, a affirmé vendredi à la presse une épidémiologiste de l'OMS, Maria Van Kerkhove.

Des cas ont été identifiés au Danemark, aux Etats-Unis, en Israël, en Grande.Bretagne et en Afrique du Sud. Le variant a aussi été "détecté dans les eaux usées en Suisse et en Thaïlande", a aussi ajouté la responsable de l'organisation.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Un nouveau variant du Covid surveillé par l'OMS et les Etats-Unis

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Tanja Stadler, directrice de l'ancienne conseil de la task force scientifique (archives) (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

L'Organisation mondiale de la santé et les autorités sanitaires américaines ont annoncé vendredi surveiller de près un nouveau variant du virus du Covid-19. Même si "pour l'heure l'impact potentiel des nombreuses mutations de BA.2.86 sont inconnues".

L'OMS a décidé de classer de nouveau variant "dans la catégorie des variants sous surveillance en raison du très grand nombre (supérieur à 30) de mutations du gène spicule qu'il porte", écrit l'organisation dans son bulletin épidémiologique consacré à la pandémie de Covid-19 et diffusé dans la nuit de jeudi à vendredi.

C'est la protéine spicule qui donne au virus son aspect hérissé et c'est elle qui permet au SARS-CoV-2 de pénétrer les cellules de l'hôte.

Dans trois pays

Pour l'heure, ce nouveau variant a seulement été détecté en Israël, au Danemark et aux Etats-Unis. Dans ces pays, les CDC (Centres pour le contrôle et la prévention des maladies) ont également indiqué surveiller de près le variant, dans un message publié sur le réseau social X (ex-Twitter).

Actuellement, seules quatre séquences connues de ce variant ont été signalées, sans lien épidémiologique associé connu, explique l'OMS.

"L'impact potentiel des mutations BA.2.86 sont actuellement inconnues et font l'objet d'une évaluation minutieuse", précise l'organisation, qui souligne une nouvelle fois l'importance de continuer à surveiller, à séquencer et à notifier les autorités compétentes pour avoir une vision exacte et d'ensemble de la pandémie de Covid-19.

Trois variants traqués

L'OMS traque actuellement trois variants d'intérêt (XBB.1.5, XBB.1.16 et EG.5) et sept variants sont classés sous surveillance (BA.2.75, BA.2.86, CH.1.1, XBB, XBB.1.9.1, XBB.1.9.2 et XBB.2.3).

La plupart des Etats qui avaient mis en place des dispositifs de surveillance spécifiques de la présence du virus du Covid-19 et de ses variants les ont en général démantelés, estimant que la menace était désormais moins sévère et ne justifiait plus ces dépenses.

"Désarmement" dénoncé

L'OMS n'a de cesse de dénoncer ce "désarmement" et continue "d'appeler à une meilleure surveillance, séquençage et notification de la Covid-19 alors que ce virus continue de circuler et d'évoluer".

Si, depuis début mai, l'OMS ne considère plus la pandémie comme une urgence sanitaire mondiale, "le virus continue de circuler dans tous les pays, continue de tuer et continue de changer", a encore souligné la semaine dernière son directeur général Tedros Adhanom Ghebreyesus.

Sur la dernière période sous revue (du 17 juillet au 13 août 2023), plus de 1,4 million de nouveaux cas de Covid-19 et plus de 2300 décès ont été notifiés, selon le bulletin épidémiologique de l'OMS. Cela représente respectivement une augmentation de 63% et une diminution de 56%, par rapport à la période des 28 jours précédents.

Au 13 août 2023, plus de 769 millions de cas confirmés de Covid-19 et plus de 6,9 millions de décès ont été signalés dans le monde. Le bilan réel des infections et des décès est considéré comme beaucoup plus lourd, nombre de cas ayant échappé au recensement.

Avec Keystone-ATS

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Policiers pas plus contaminés que la population générale

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Malgré leurs interactions avec la population, les membres de la police cantonale bernoise n'ont pas été plus contaminés par le Covid-19 que la population générale d'âge comparable, selon cette étude (archives). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Les membres des forces de police ne sont pas plus susceptibles de contracter le Covid-19 que le reste de la population, même si leurs contacts avec la population sont très fréquents. C'est le constat d'une étude bernoise menée entre 2021 et 2022.

Un millier de participants ont été recrutés au sein de la Police cantonale bernoise, soit environ 35% de l’ensemble du personnel, pour participer à cette étude sur les anticorps, réalisée par l’Institut des Maladies Infectieuses de l’Université de Berne. Des échantillons sanguins ont été prélevés sur les volontaires et sur une période de 16 mois.

L'équipe de Parham Sendi a dans un premier temps examiné quels facteurs influencent la quantité d’anticorps dans le sang. On sait qu’elle diminue avec le temps et aussi avec l’âge, et c'était également le cas dans cette population relativement jeune et saine, que les anticorps proviennent d’une infection ou d’une vaccination.

Différences selon les variants

Comme attendu, plus le niveau d’anticorps est élevé, meilleure est la protection. Mais les résultats ont montré des différences notables entre les variants Alpha et Delta d’une part, et les variants Omicron d’autre part.

Pendant les vagues Alpha et Delta, environ 90% des participants à l’étude ont reçu au moins deux doses d’un vaccin. Les scientifiques ont constaté que la vaccination était efficace durant ces périodes aussi bien contre les formes sévères de la maladie que contre les infections légères et asymptomatiques.

À partir du 21 décembre 2021, Omicron, plus facile à transmettre par mutation, a dominé en Suisse. Ici, la vaccination contre le Covid-19 ou une infection antérieure était efficace contre les formes graves de la maladie, mais pas contre les infections asymptomatiques ou les infections bénignes.

Pas plus contaminés

Globalement, il s’est avéré que les policiers et policières, qui ont été fortement exposés durant la pandémie, n’étaient pas plus contaminés que la population générale à un âge comparable, selon ces travaux publiés dans le Journal of Medical Virology.

Jusqu’à cinq prélèvements de sang ont été effectués chez les participants. Cela a permis d’analyser la dynamique des anticorps sur la totalité de la période de 16 mois, donc de la vague Alpha et Delta à la vague Omicron, où des doses de rappel étaient déjà disponibles.

Selon le Pr Sendi, cité lundi dans un communiqué de l'alma mater bernoise, "il est important d’analyser de telles données nationales de haute qualité, car tous les facteurs issus de la recherche étrangère ne peuvent pas être transposés de manière non critique pour chaque pays".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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