Fini le combo pyjama/cheveux gras/chausettes pilou-pilou, avec le Don't Rush Challenge, dernier défi à la mode sur Tik Tok, en un coup de pinceau, vous serez sur votre 31 même pour rester chez vous ! Un challenge créatif, fun et participatif qu'on vous présentait ce matin dans La Fièvre des Réseaux Sociaux.
La fièvre des réseaux sociaux
Le Don't Rush Challenge, dernier défi tendance sur Tik Tok !
La fièvre des réseaux sociauxLe Don't Rush Challenge, dernier défi tendance sur Tik Tok !
La fièvre des réseaux sociauxLe Don't Rush Challenge, dernier défi tendance sur Tik Tok !
Les challenges en tout genre ont la côte sur Tik Tok, c'est d'ailleurs ce qui fait le succès de l'application chez les plus jeunes. Mais maintenant que les vieux débarquent sur le réseau social, ces défis fun et créatifs consistant à reproduire et partager des vidéos sur un titre musical bien précis comptent de plus en plus de participants. Il faut dire que ces petites vidéos créatives nous occupent pas mal et le résultat est souvent très fun.
Le Don’t Rush Challenge, un challenge fun et participatif
C'est le cas du Don't Rush Challenge, dernier challenge très à la mode sur le réseau social. Ce challenge tire son nom de la chanson sur laquelle il est réalisé : Don't Rush de Young T & Bugsey.
L’objectif du challenge est simple : montrer face caméra votre meilleure transformation, de votre tenue lounge wear à la maison à votre plus beau costume pour sortir.
Les tiktokeurs se filment donc au naturel, en pyjama, chez eux, plongés dans un ennui infini. Puis, telles des youtubeuses beauté, ils passent un coup de pinceau de maquillage sur la caméra et réapparaissent comme par magie sur leur 31.
Et, là où le défi est inédit, c’est qu’il nous aide à rompre avec l’isolement social en incluant nos amis. L’idée ? Se passer tour à tour le pinceau, cet objet "magique", comme si nous étions réunis. Une illusion parfaitement orchestrée grâce au montage réalisé sur l’application Tik Tok.
Bien entendu, avec une idée aussi créative et participative, le challenge a très vite pris de l’ampleur et fait le tour du monde. De nombreux influenceurs de toutes nationalités se sont prêtés au jeu.
Et le concept de départ a été décliné dans des propositions encore plus créatives. A l'instar d'un groupe de médecins américaines qui ont réalisé le challenge en utilisant leurs blouses blanches à la place du pinceau de maquillage. Leur objectif avec cette vidéo, célébrer le National Doctors Day (le30 mars aux USA) et mettre en avant le personnel soignant dans cette période de crise.
L'équipe de natation française s'est aussi lancée dans le challenge. Cette fois, ils passent d'une tenue de ville chez eux à leur plus beau maillot de bain en utilisant leur bonnet de bain pour masquer l’objectif.
On a même eu droit à une version réalisée par toute l'équipe de la série Orange is The News Black qui cartonne depuis maintenant plusieurs années. Et en guise de clin d'oeil à la série, c'est une orange qui leur a servi d'objet "magique".
Le Don't Rush Challenge est un challenge qui fait appel à notre créativité, notre sens du théâtre et notre sens de l'autodérision tout en créant un contenu participatif et donc en contribuant à rassembler virtuellement les personnes entre elles. Mais il ne s'arrête pas là. Il y a derrière l'idée de ce challenge un message encore plus fort ! Comme l'explique la créatrice du Don't Rush Challenge, une jeune britannique de 20 ans, l'objectif derrière ces vidéos est de célébrer la beauté des femmes et tous les types de beautés, avec ou sans maquillage, en jogging ou en robe du soir... Au fond, un message d'acceptation de soi et de ses différences ! Une idée qui fait du bien non ?
Le Don't Rush Challenge, comment le réaliser ?
A vous de jouer à présent ! Rassemblez (virtuellement) vos amis, votre famille, vos collègues... et c'est parti !
Voici la marche à suivre :
1. Filmez vous au naturel chez vous dans une situation marrante puis avec un pinceau ou tout autre objet de votre choix, venez masquer l'objectif.
2. Réalisez une seconde vidéo qui débutera par l'objectif masqué par votre objet. Reculez l'objet pour vous dévoiler vous, sur votre 31.
3. Jetez ensuite l'objet hors du champs dans la direction que vous souhaitez.
4. Demandez à vos amis de faire la même chose. Attention ! Mettez vous d'accord sur la direction dans laquelle l'objet entre et sort du champ pour éviter les faux raccords.
5. L'un de vous rassemble toutes les vidéos et réalise le montage sur Tik Tok avant de le publier sur l'application !
Fous rires garanties pendant le tournage et carton assuré sur Tik Tok !
Un peu moins de 2% des nouvelles demandes adressées à l'AI entre 2021 et 2023 concernent des personnes souffrant de Covid long. Une rente est plus souvent accordée à ces personnes qu'aux assurés non atteints par cette maladie.
Environ 2900 personnes s'étaient annoncées à fin 2023 auprès de l'AI pour cause de Covid long, selon une étude de l'Office fédéral des assurances sociales publiée jeudi. Les personnes présentent souvent des symptômes graves et environ neuf sur dix d'entre elles se retrouvent en incapacité de travail totale. Deux tiers des personnes atteintes du Covid long sont des femmes.
A la fin de l'année 2023, 12% des personnes atteintes de Covid long qui avaient déposé leur demande en 2021 ou 2022 percevaient une rente AI. La proportion de rentes octroyées dans ce genre de cas continuera probablement d'augmenter.
Dans près de 60% des cas, la capacité de travail s'améliore dans les deux premières années qui suivent l'annonce à l'AI. L'incapacité de travail reste de 100% pour de nombreuses personnes.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Une commission au congrès américain sur le Covid-19 estime que la fuite du virus d'un laboratoire de Wuhan, en Chine, est l'hypothèse "la plus plausible" pour expliquer son origine. Après deux ans d'enquête, la commission a fourni un rapport de plus de 500 pages.
La question de l'origine de la pandémie, entre potentielle transmission du virus par un animal ou fuite de laboratoire, a pris depuis plusieurs années aux Etats-Unis une tournure géopolitique, sur fond de rivalité accrue avec la Chine.
Donald Trump, récemment élu pour la seconde fois à la Maison-Blanche, a affirmé à plusieurs reprises, sans preuve, que le virus avait fuité d'un laboratoire chinois, ce que conteste fermement Pékin.
Sans trancher cette question, le renseignement américain avait assuré dans un rapport de juin 2023 n'avoir aucune preuve indiquant que le Covid-19 avait été créé dans un laboratoire en Chine.
La sous-commission sur la pandémie due au coronavirus a été mise en place en février 2023, lorsque les républicains ont repris la majorité à la chambre des représentants. Après 38 dépositions ou entretiens et 25 auditions, son rapport sera officiellement publié mercredi.
"Consensus"
"Ce travail aidera les Etats-Unis et le monde à prédire la prochaine pandémie, à s'y préparer, à nous en protéger, et, espérons-le, à la prévenir", a déclaré le président de cette commission, l'élu républicain et médecin podologue de métier Brad Wenstrup.
Le rapport se targue d'un "consensus" entre membres démocrates et républicains sur plusieurs questions, notamment sur le fait que "la possibilité que le Covid-19 ait émergé d'un accident lié à un laboratoire ou à des recherches n'est pas une théorie du complot".
Pour appuyer leur affirmation, les élus avancent cinq raisons, parmi lesquelles, selon eux, le fait que "le virus possède une caractéristique biologique qui n'est pas présente dans la nature".
Près de cinq ans après son émergence, la communauté scientifique internationale n'est pas encore parvenue à déterminer avec certitude l'origine du Covid-19. Une étude publiée en septembre dans la revue Cell a cependant apporté de nouveaux éléments venant renforcer l'hypothèse d'une transmission aux humains par des animaux infectés introduits sur un marché de Wuhan à la fin 2019.
Avec plus de 1,1 million de morts, les Etats-Unis ont de loin été le pays le plus touché par la pandémie de Covid-19.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Les Suisses souhaitant se faire vacciner contre le Covid-19 devront participer aux coûts dès le 1er juillet. L'assurance obligatoire des soins (AOS) remboursera la vaccination pour les personnes auxquelles elle est recommandée.
Le 18 juin 2023, le peuple suisse a accepté la prolongation de certaines dispositions de la loi Covid-19. Celles-ci arrivent à échéance à la fin du mois. Parmi elles figure la prise en charge des coûts du vaccin contre le coronavirus par l'AOS, la Confédération et les cantons.
A partir du 1er juillet, les dispositions introduites spécifiquement pour la pandémie disparaîtront pour laisser place aux structures habituelles de remboursement par l'AOS, rappelle mardi l'Office fédéral de la santé publique (OFSP) dans un communiqué. La vaccination sera donc soumise à la participation aux coûts, avec franchise et quote-part.
La vaccination sera prise en charge par l'AOS pour les personnes auxquelles elle est recommandée, soit notamment les personnes vulnérables ayant des antécédents médicaux ou âgées de plus de 65 ans.
Dépistage de l'amyotrophie spinale
D'autres modifications concernant le remboursement des prestations par l'AOS entreront en vigueur au 1er juillet. Par exemple, le dépistage néonatal sera étendu à l'amyotrophie spinale, une maladie héréditaire rare et grave qui se caractérise par une faiblesse musculaire progressive.
Un traitement médicamenteux efficace existe en Suisse depuis 2017. Il sera désormais possible de diagnostiquer et de traiter cette affection à un stade précoce, avec l’espoir de meilleurs résultats thérapeutiques, salue l'OFSP.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Quatre ans après le début de la crise du Covid, la ville de Lausanne tire un bilan du soutien accordé aux acteurs économiques lausannois. Elle a versé quelque 17 millions de francs d'aides diverses, plus un prêt sans intérêts de 1 million de francs en faveur du Fonds pour l'équipement touristique de la région lausannoise (FERL).
Le dimanche 15 mars 2020, le Conseil fédéral déclarait l'état d'urgence. Face à l'ampleur de la crise engendrée par le coronavirus, la municipalité avait pris une série de mesures, en complémentarité des actions de la Confédération et du canton.
Ces mesures "exceptionnelles" n'étaient pas que des réponses immédiates et urgentes aux problèmes. Elles posaient également "des bases solides pour la relance économique post-crise", souligne lundi le municipal Pierre-Antoine Hildbrand, cité dans un communiqué.
Prestations gratuites
Pour rappel, la ville a accordé une série de gratuités - pour environ 4 millions de francs -, renonçant à facturer certains émoluments notamment pour les terrasses et les marchés. Pour renforcer le commerce de proximité, elle a distribué à ses habitants pour 6,6 millions de bons de réduction d'achat et d'achat direct.
Autres mesures: la rue centrale est devenue piétonne le samedi matin, jour de marché. Le nombre de terrasses est passé de 518 fin 2019 à 631 fin 2023. En tant que propriétaire d'immeubles, Lausanne a renoncé à certains loyers commerciaux et a maintenu son sponsoring aux grandes manifestations, malgré leur annulation. Et les Services industriels ont offert la gratuité du téléréseau à leurs clients hôteliers. Le tout pour un montant de 4,25 millions.
Taxis et hôtels
La ville a également soutenu l'Association intercommunale pour la règlementation des taxis et Taxis Services, la centrale d'appel. Pour aider les indépendants à évaluer leur situation financière, elle a offert, avec des partenaires, des "check-ups" gratuits. Ces initiatives totalisent 3 millions de francs. Enfin, l'hôtellerie a bénéficié d'un prêt sans intérêts d'un million de francs au FERL.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Deux semaines après avoir tenu des propos sur le coronavirus ayant suscité une vive réaction, Ueli Maurer assume. "Bien sûr qu'il y a eu une hystérie autour du Covid", réaffirme-t-il dimanche dans la presse.
Cette hystérie était même "d'ampleur mondiale", assure le Zurichois dans Le Matin Dimanche et la SonntagsZeitung. "On a dit que le Covid était mortel, et à partir de cette supposition, on a tendu un filet sanitaire comme on n'en avait jamais vu auparavant, assure-t-il. Quiconque osait poser une question critique était écarté ou traité de 'conspirateur'".
Ueli Maurer avait déjà tenu des propos similaires dans la presse dominicale deux semaines plus tôt, suscitant une vive réaction. "Concernant le Covid, je n'ai que répété ce que j'ai toujours dit, réagit-il. Que cela ait suscité pareil tollé m'a surpris". Les critiques provenaient surtout des médias, selon l'ancien ministre des finances, qui dénonce un "réflexe anti-Maurer".
"Pas un antivax"
L'ancien conseiller fédéral nuance toutefois ses déclarations sur les vaccins anti-Covid qui ont particulièrement choqué. Il avait affirmé que ces vaccins renfermaient "beaucoup d'air chaud". "Bien sûr, on a tout de suite affirmé que j'étais un antivax. Ce qui n'est pas vrai", dit-il.
L'utilité des vaccins n'est pas contestée, mais la Suisse est allée trop loin en disant à tout le monde de se vacciner, assure Ueli Maurer. "Je suis convaincu que, ces prochaines années, nous nous occuperons de façon croissante des dommages causés par le vaccin", ajoute-t-il.
"L'Etat pas responsable de tout"
L'ancien conseiller fédéral revient également sur les crédits Covid dont il était en charge durant la pandémie. Il lui avait été notamment reproché d'avoir laissé tomber les PME. "L'Etat ne peut pas être responsable de tout. Il ne peut pas non plus protéger chacun de la mort", se défend-il.
La responsabilité individuelle a, selon lui, été dissoute comme jamais auparavant, poussant la Confédération à dépenser sans compter. "L'Etat doit protéger, mais il ne peut distribuer que l'argent qu'il prend d'abord aux gens".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats