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Techno

Bientôt des batteries chargées en 6 minutes

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Photo by Mike from Pexels

Le monde de demain : A quand des temps de charge express pour les véhicules électriques ? 

benoit rouchaleauLe monde de demain

Aujourd’hui la plupart des voitures électriques se rechargent en 8 à 10 heures, c’est long, trop long... Imaginez demain une recharge complète qui ne prendrait que 6 petites minutes, le temps d’un express et votre batterie est à bloc.

C’est en tout cas la promesse de la startup « Echion Technologies », fondée par un doctorant en nanoscience de l’Université de Cambridge. Il affirme non seulement que sa technologie est au point mais qu’elle pourrait être commercialisée dès l’an prochain.

On en sait plus sur les secrets de cette batterie révolutionnaire ? 

Pas dans le détail, mais on sait tout de même que la batterie utilise un composé secret, une poudre spéciale, à la place du graphite contenu dans une cellule Lithium-ion.

Echion Technologies prévoit de produire sa technologie à grande échelle, jusqu’à 1000 tonnes. Et le procédé servirait d’ailleurs aussi bien pour une batterie de voiture électrique que pour celle d’un smartphone.

Reste toutefois à répondre à quelques interrogations : notamment sur le tarif, la sécurité du produit et le nombre de cycles de charge possibles.

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Suisse Romande

Un projet d'aiguillage digital pour mieux gérer les urgences

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Le projet pilote consiste à utiliser une série d'apps pour déterminer la meilleure prise en charge indiquée pour une situation d'urgence dans le cadre du réseau de l'Ensemble hospitalier de la Côte (image prétexte). (© KEYSTONE/VALENTIN FLAURAUD)

Quatre acteurs romands de la santé s'allient pour mieux orienter les patients en situation d'urgence ambulatoire. Ce projet-pilote, qui combine trois applications médicales et l'Ensemble Hospitalier de la Côte (EHC), a pour objectif d'assurer une prise en charge efficace et d'éviter la saturation des services d'urgences hospitalières.

Plusieurs centaines de milliers de personnes consultent chaque année en situation d'urgence dans le canton de Vaud. Pour la grande majorité, il s'agit d'urgences dites "debout", à savoir sans hospitalisation. "Cependant, le premier réflexe reste souvent de se rendre aux urgences hospitalières, ce qui entraîne une saturation de ces services et des délais d'attente dont la moyenne cantonale dépasse les trois heures", indique mardi un communiqué de l'EHC.

Il existe pourtant des alternatives aux urgences hospitalières, "dont certaines plus rapides et mieux adaptées pour les besoins de patients", poursuit le document. Dans cette optique, le projet-pilote propose une "interface inédite" combinant les solutions digitales "Medigo", "Soignez-moi.ch" et "OneDoc" avec le réseau de soins de l'EHC.

Apps en cascade

Dans un premier temps, le patient peut visualiser l'affluence dans les différents services d'urgences via l'app Medigo. "Soignez-moi.ch" se chargera ensuite d'évaluer la situation clinique et de guider le patient vers l'offre de soins la plus adaptée (urgences hospitalières, permanence médicale, généraliste, téléconsultation,...). Dans le cas d'une semi-urgence, le patient pourra ensuite prendre rendez-vous dans une permanence médicale du réseau EHC via l'app OneDoc.

Le projet-pilote vise à "étudier l'intérêt d'interfacer ces trois solutions digitales pour mieux guider le patient dans le système de santé". Suivant les résultats, cette interface pourrait être étendue à d'autres hôpitaux et prestataires de santé dans le canton ou en Suisse.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Guy Parmelin inaugure un des plus puissants ordinateurs au monde

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Le ministre de la recherche Guy Parmelin a pris la parole à l'inaguration du superordinateur "Alps". (© KEYSTONE/TI-PRESS/Samuel Golay)

La Suisse s'est dotée d'un nouveau superordinateur. "Alps" a été officiellement inauguré samedi par le conseiller fédéral Guy Parmelin au Centre suisse de calculs scientifiques (CSCS) à Lugano (TI). Il fait partie des ordinateurs les plus puissants au monde.

L'appareil est notamment utilisé pour les prévisions météorologiques de MétéoSuisse. Il doit aussi effectuer des calculs en climatologie et dans le domaine de l'intelligence artificielle.

Il faudrait 40'000 ans à un laptop du commerce pour effectuer les opérations qu'"Alps" est capable d'effectuer en une journée, a expliqué le directeur du CSCS Michele De Lorenzi à Keystone-ATS.

En juin, "Alps" figurait au sixième rang de la liste des 500 superordinateurs les plus puissants au monde. Il devrait encore grimper dans le classement, car lors de la dernière mesure, sa construction n'était pas encore achevée.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

SpaceX réussit la première sortie spatiale privée de l'histoire

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Sarah Gillis filmée alors qu'elle sort de la capsule dans l'espace. (© KEYSTONE/AP)

SpaceX a réalisé jeudi la première sortie spatiale privée de l'Histoire avec sa mission Polaris Dawn. Deux membres d'équipage se sont aventurés hors de leur vaisseau dans leur combinaison blanche et grise, une image historique.

Sur une retransmission vidéo en direct de l'entreprise, le milliardaire américain Jared Isaacman, le commandant de la mission, a émergé en premier en dehors de la capsule, se tenant à une structure métallique installée sur l'avant de celle-ci pour l'occasion.

"C'est magnifique", a-t-il déclaré, alors qu'il se trouvait à environ 700 km d'altitude, soit bien plus haut que la Station spatiale internationale (ISS).

L'employée de SpaceX Sarah Gillis lui a ensuite succédé. Elle a également effectué des mouvements pour tester les toutes nouvelles combinaisons de SpaceX destinées à des sorties spatiales, l'un des principaux objectifs de la mission.

Tous deux sont restés environ une dizaine de minutes hors du vaisseau Dragon, qui a ensuite été re-pressurisé. La sortie s'est achevée environ une heure trois quarts après avoir commencé.

Deux autres passagers, le pilote Scott Poteet et l'autre employée de SpaceX Anna Menon, ont aussi été exposés au vide spatial dès l'ouverture de l'écoutille du vaisseau, celui-ci n'étant pas équipé de sas.

Deux ans d'entraînement

Les combinaisons sont reliées par des cordons à la capsule pour fournir les membres d'équipage en oxygène.

La mission Polaris Dawn de l'entreprise d'Elon Musk a été lancée sous l'impulsion du milliardaire Jared Isaacman, 41 ans, et avec sa participation financière, d'un montant non révélé. Elle marque une nouvelle étape dans l'exploration commerciale de l'espace.

Les quatre membres de l'équipage ont suivi plus de deux ans d'entraînement pour se préparer.

Depuis la première sortie dite "extravéhiculaire" en 1965, toutes avaient jusqu'ici été réalisées par des astronautes professionnels.

Autour de l'ISS, ces sorties durent toutefois de longues heures, et les astronautes effectuent des tâches très techniques.

Risque

Malgré tout, compte tenu de l'altitude et des circonstances, "le risque" de la sortie de SpaceX "n'est pas de zéro, c'est certain", avait commenté avant son début Sean O'Keefe, ancien patron de la Nasa. "Et il est sans aucun doute plus élevé que tout ce qui a été accompli par le secteur commercial jusqu'ici", avait-il souligné auprès de l'AFP.

Les combinaisons des quatre aventuriers sont dérivées de celles déjà utilisées par SpaceX à l'intérieur de ses vaisseaux et ont été modifiées pour pouvoir résister à des températures extrêmes ou améliorer leur mobilité.

Elles sont aussi équipées d'une caméra, et des informations sur la pression, la température et l'humidité de la combinaison sont directement affichées dans le casque.

SpaceX souhaite pouvoir en produire "des millions", afin de permettre à l'humanité de devenir une espèce multiplanétaire, son but affiché.

"Un jour, quelqu'un pourrait en porter une version sur Mars", c'est donc "un grand honneur" de les tester, avait dit en août Jared Isaacman, patron de l'entreprise financière Shift4, lors d'une conférence de presse.

Exploration commerciale

La mission a décollé mardi de Floride pour environ cinq jours. Dès le premier jour, la capsule s'est aventurée jusqu'à 1400 km d'altitude, soit plus loin que tout équipage depuis les missions lunaires Apollo, il y a plus d'un demi-siècle.

Au-delà de leur sortie dans l'espace, l'équipage doit également tester une communication laser par satellites entre le vaisseau spatial et la vaste constellation de satellites Starlink de SpaceX, fournissant internet depuis l'espace.

Ils doivent également réaliser quelque 36 expériences scientifiques.

Polaris Dawn inaugure le programme Polaris, annoncé il y a deux ans et demi par Jared Isaacman, qui défend l'utilité des investissements privés pour accélérer la conquête du cosmos.

Le programme doit comporter trois missions au total. Après une deuxième similaire à celle en cours, la troisième doit elle être le premier vol avec équipage de la méga-fusée Starship de SpaceX, actuellement en développement et destinée à des voyages vers la Lune et Mars.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Politique

Le Conseil des Etats soutient l'e-ID suisse

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Le Parlement soutient l'introduction d'une identité électronique en Suisse dès 2026 (illustation). (© KEYSTONE/GIAN EHRENZELLER)

Les Suisses devraient avoir accès à une identité électronique (e-ID) dès 2026. Après le National, le Conseil des Etats a soutenu mardi à la quasi-unanimité le projet du gouvernement. La sécurité des données devra être garantie.

La nouvelle identité électronique, émise par la Confédération, permettra de prouver son identité. Quiconque dispose d'une carte d'identité ou d'un passeport suisse, ou encore d'un titre de séjour pour étranger, pourra demander l'obtention d'une e-ID, en ligne ou auprès du service des passeports.

La sécurité des données doit être garantie, a dit pour la commission Matthias Michel (PLR/ZG). Contrairement au précédent projet qui a échoué devant le peuple en 2021, la nouvelle e-ID sera entièrement en mains publiques et elle permettra aux titulaires de garder un contrôle maximal sur leurs données.

Protection des données

La Chambre des cantons a apporté quelques modifications au projet. Elle souhaite notamment que l'e-ID soit conservée exclusivement dans une application de la Confédération spécialement conçue à cet effet (portefeuille électronique ou wallet).

Les fournisseurs privés de telles applications doivent en principe aussi être admis pour la conservation et la présentation de l'e-ID à l'avenir, mais uniquement dans la mesure où ils respectent des prescriptions strictes édictées par le Conseil fédéral.

Dès 2026

Le Conseil fédéral estime que l'e-ID pourrait être disponible à partir de 2026. "Elle sera facultative, gratuite et facile à utiliser pour tout un chacun", a assuré le ministre de la justice Beat Jans.

Il sera possible de s'en servir sur Internet pour demander un extrait du casier judiciaire ou un permis de conduire. Mais aussi dans le monde physique via une application sur smartphone, entre autres pour prouver son âge lors d'un achat. Un canton ou une commune pourront aussi l'utiliser pour délivrer un permis de chasse, ou une attestation de résidence, par exemple.

Toutes les démarches auprès de la Confédération qui pourront se faire virtuellement pourront continuer à se faire physiquement. En même temps, toutes les autorités suisses seront tenues d'accepter l'e-ID comme document d'identité valable si elles acceptent le principe d'une preuve électronique de l'identité. Enfin, ces systèmes répondront aux normes internationales, de sorte que l'e-ID puisse être utilisée aussi à l'étranger.

Les coûts de mise en oeuvre jusqu'en 2028 se montent à 182 millions de francs. Les frais d'exploitation à partir de 2029 sont estimés à environ 25 millions de francs par an.

Demande à Fedpol

Concrètement, toute personne souhaitant se munir d'une e-ID devra télécharger une application, qui fonctionne comme un portefeuille. Il devra ensuite demander une e-ID auprès de Fedpol.

Pour ce faire, il devra scanner sa carte d'identité, son passeport ou son titre de séjour. Une vérification filmée en temps réel est ensuite prévue. Fedpol émettra ensuite l'e-ID, ce qui devrait prendre quelques minutes. Les données sont les mêmes que celles sur une carte d'identité et qui sont déjà en main de Fedpol, à quoi s'ajoute le numéro AVS.

Le sénateur Pirmin Schwander (UDC/SZ) a plaidé pour que les démarches en vue d'obtenir une e-ID ne puissent se faire que physiquement, à un guichet. "Le niveau de protection pour garantir une sécurité optimale du partage des données personnelles en ligne n'est pas suffisant à l'heure actuelle", a-t-il martelé. Il n'a pas été suivi.

Le National avait aussi apporté quelques modifications au projet du Conseil fédéral. Le dossier lui retourne.

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Culture

La numérisation aggrave les incertitudes pour les acteurs culturels

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Instagram ou TikTok offrirent une nouvelle tribune aux artistes, mais les obligent à alimenter les médias sociaux en contenu. (© KEYSTONE/DPA/CHRISTOPH DERNBACH)

Avec la numérisation, la situation des créateurs culturels pourrait encore se dégrader. Le droit d'auteur, la protection de la personnalité et les assurances sociales ne sont pas suffisamment adaptés aux changements en Suisse, selon TA-Swiss.

Les artistes doivent s'affirmer dans un environnement de plus en plus international. Presque aucun art ou sa diffusion ne peut aujourd'hui se passer de moyens numériques, a souligné la Fondation d'évaluation des choix technologiques (TA-Swiss) dans un rapport de plus de 500 pages publié mardi.

La numérisation crée de nouvelles possibilités d'expression et de nouvelles façons de rendre les ½uvres accessibles à un public mondial. Les avantages des technologies numériques ne seraient toutefois accessibles qu'au prix d'un investissement supplémentaire en temps et en argent, souvent supporté par les créateurs culturels eux-mêmes, selon TA-Swiss.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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