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Politique

Florence Bettschart-Narbel seule candidate à la présidence du PLR

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Si elle est élue le 8 décembre prochain, Florence Bettschart-Narbel deviendrait ainsi la première femme à la tête du PLR Vaud. (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La députée au Grand Conseil vaudois Florence Bettschart-Narbel est la seule candidate pour la présidence du PLR Vaud. Actuelle vice-présidente du parti cantonal, elle sera sauf surprise élue le 8 décembre prochain lors du congrès de Savigny pour remplacer Marc-Olivier Buffat et deviendrait ainsi la première femme à la tête du parti cantonal.

Comme il l'avait laissé entendre, M. Buffat a décidé de remettre son mandat pour la fin de l'année. L'avocat lausannois et député au Grand Conseil dirige le parti depuis en avril 2018. La candidature de Mme Bettschart-Narbel a été annoncée mardi par la direction du PLR Vaud dans un communiqué.

Cette avocate lausannoise de 48 ans est membre du Grand Conseil depuis 2017. En mars 2021, elle s'était présentée à l'élection à la Municipalité de Lausanne, sans succès.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Coûts de la santé: un comité appelle à voter deux fois oui le 9 juin

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Des élus socialistes et centristes s'engagent pour les deux initiatives sur la santé en votation le 9 juin. A gauche, le conseiller national Roger Nordmann (PS/VD), à droite son collègue Giorgio Fonio (Centre/TI). (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Les initiatives du Centre et du PS sur les coûts de la santé soulageront les familles et la classe moyenne. Un comité d'élus socialistes et centristes a plaidé lundi en faveur d'un double "oui" le 9 juin en votation.

Le texte centriste propose d'introduire un frein aux coûts de la santé lié à la conjoncture économique et au niveau des salaires. L'initiative du PS demande de plafonner les primes à 10% du revenu disponible.

Avec l'explosion des primes maladie, les familles et la classe moyenne ont besoin d'un soutien urgent. Les initiatives garantissent plus de justice et d'efficacité dans le domaine, a dit en conférence de presse le conseiller national Roger Nordmann (PS/VD).

Le comité est également composé de ses collègues Céline Widmer (PS/ZH), Stefan Müller-Altermatt (Centre/SO) et Giorgio Fonio (Centre/TI). Il entend mettre une "double pression" sur le monde politique.

Le comité s'éloigne ainsi des positions officielles des deux partis. Mais il se dit porté par de fortes minorités en leur sein.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Affaire des subventions de CarPostal: condamnations contestées

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Les peines infligées par Fedpol comprennent des amendes avec sursis allant de 56'000 à 420'000 francs ainsi que des amendes fermes allant de 12'000 à 60'000 francs (image d'illustration). (© KEYSTONE/URS FLUEELER)

Les sept personnes sanctionnées dans l'affaire des subventions de CarPostal ont fait opposition aux décisions pénales qui leur ont été infligées. L'Office fédéral de la police (Fedpol) a ensuite émis des ordonnances pénales à leur encontre.

Cinq personnes de l'ancienne direction de CarPostal (Suisse) SA ont été condamnées pour fraude multiple en matière de prestations, indique Fedpol lundi. De plus, une personne de l'ancienne direction du groupe et une du conseil d'administration de La Poste Suisse SA ont été condamnées pour omission d'empêcher la fraude aux prestations.

Les peines comprennent des amendes avec sursis allant de 56'000 à 420'000 francs ainsi que des amendes fermes allant de 12'000 à 60'000 francs, précise l'office fédéral.

Les personnes concernées peuvent demander un jugement par le tribunal pénal dans les dix jours suivant la notification de l'ordonnance pénale. A l'heure actuelle, aucune des ordonnances pénales n’est entrée en force, souligne Fedpol.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Deux tiers des enfants bénéficient d'un accueil extrafamilial

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Les parents suisses confient souvent leurs enfants à des crèches et des structures d'accueil parascolaire (image d'illustration). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Près des deux tiers (62%) des enfants de moins de 13 ans bénéficient d'un accueil extrafamilial en Suisse. Les parents s'appuient principalement sur les crèches et les structures d'accueil parascolaire (36%) ainsi que sur les grands-parents (28%).

En 2022, les parents se sont le plus souvent tournés vers les crèches (37%) et les grands-parents (35%) pour s'occuper de leurs enfants de moins de 4 ans, indique lundi l'Office fédéral de la statistique (OFS).

Les enfants de 4 à 12 ans ont quant à eux fréquenté avant tout les crèches et les structures d'accueil parascolaire, comme les écoles à horaire continu ou les garderies (36%). Un quart des enfants dans cette tranche d'âge étaient gardés par leurs grands-parents (24%).

La proportion d'enfants confiés à une garde extrafamiliale augmente avec le revenu du ménage: en 2022, elle était deux fois plus élevée (80%) dans la classe de revenus la plus haute que dans la classe la plus basse (41%).

En outre, 60% des enfants des ménages les plus aisés fréquentaient une crèche ou une structure d'accueil parascolaire. Dans les ménages les moins bien lotis, la proportion s'élevait à 24% (1er quintile) et 29% (2e quintile).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

L'Université de Berne se défend contre les reproches des occupants

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Les occupants accusent l'Université de Berne de parti-pris pro-israélien, des reproches contestés par la haute école. (© KEYSTONE/JULIEN GRINDAT)

L'occupation de l'Université de Berne par des étudiants pro-palestiniens s'est poursuivie lundi. Selon les occupants, une centaine de personnes s'est jointe au mouvement entamé dimanche soir. La Haute école rejette les reproches qui lui sont faits.

Les étudiants rassemblés dans le bâtiment d'Uni Tobler reprochent à la direction de l'université d'adopter une position unilatérale pro-israélienne dans le conflit au Proche-Orient. Ils exigent que la haute école coupe ses liens avec les universités de l'Etat hébreu.

Des accusations rejetées par l'alma mater bernoise. Les universités ne sont pas des acteurs politiques, a déclaré un porte-parole à Keystone-ATS. L'Uni de Berne a des accords avec deux universités israéliennes pour des échanges d'étudiants. Il n'y a pas de collaboration plus importante en matière de recherche.

Comme c'est courant dans le monde scientifique, il existe une coopération entre des chercheurs bernois et israéliens dans des grands projets internationaux, par exemple dans le cadre du Cern à Genève, a-t-il ajouté. Il y a aussi des publications communes dans les domaines de la recherche biomédicale ou clinique, en biologie, dans les sciences de la terre ou dans les sciences historiques.

Contre une instrumentalisation

Le porte-parole a rappelé que les hautes écoles ont pour mission de fournir des prestations académiques dans le domaine de la recherche et de l'enseignement. Le maintien du discours académique est d'une importance capitale.

"Les hautes écoles ne peuvent pas tolérer l'exclusion de personnes ou d'institutions qui font partie de la communauté académique", a-t-il souligné. Selon lui, une instrumentalisation des universités n'est pas une condition à un dialogue constructif.

Une soixantaine de militants ont commencé à occuper dimanche soir le restaurant et certaines salles de l'université de Berne. Ils ont appelé au dialogue et affirmé qu'ils ne voulaient pas perturber le fonctionnement de la haute école.

La direction de l'alma mater n'a jusqu'ici pas indiqué si elle laisserait faire les occupants. Elle observe attentivement la situation, a précisé le porte-parole. L'université veut garantir pleinement l'enseignement et prendra, si nécessaire, "les mesures qui s'imposent".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Pedro Sánchez gagne son pari en Catalogne face aux indépendantistes

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Cette victoire est "une étape pour tous les Catalans, quoi qu'ils pensent", a réagi l'ancien ministre socialiste Salvador Illa. (© KEYSTONE/AP/Emilio Morenatti)

Les partis indépendantistes, qui dirigent depuis une décennie la Catalogne, ont perdu dimanche leur majorité lors d'un scrutin régional. Il a été remporté par les socialistes du Premier ministre espagnol Pedro Sánchez.

Menés par Salvador Illa, ancien ministre de la Santé durant la pandémie de Covid-19, les socialistes catalans ont remporté 42 sièges au Parlement régional qui en compte 135. C'est neuf de plus que lors du dernier scrutin de février 2021.

Saluant un résultat "historique" sur X, Pedro Sánchez a estimé qu'une "nouvelle étape (s'ouvrait) en Catalogne". "Une étape pour tous les Catalans, quoi qu'ils pensent", a renchéri, sous les acclamations de ses partisans, M. Illa, qui reste toutefois loin de la majorité et va devoir entamer dès lundi des négociations avec de potentiels alliés pour espérer diriger la région.

Ce résultat est une victoire pour Pedro Sánchez qui entendait prouver que la politique de détente menée en Catalogne depuis son arrivée au pouvoir en 2018 a porté ses fruits et entraîné une diminution du sentiment séparatiste dans cette région de huit millions d'habitants qui est l'un des moteurs économiques et industriels du pays.

Le Premier ministre a notamment gracié en 2021 les dirigeants indépendantistes condamnés à la prison et a accepté en fin d'année dernière de faire adopter une loi d'amnistie pour tous les séparatistes poursuivis par la justice, dont Carles Puigdemont, en échange du soutien de leurs partis à sa reconduction pour un nouveau mandat de quatre ans.

Ce résultat représente aussi une bouffée d'air pour le socialiste au moment où son mandat a été fragilisé par l'ouverture d'une enquête judiciaire contre son épouse face à laquelle il a songé à démissionner.

Plus de majorité indépendantiste

Gagnant plus de 200'000 voix, les socialistes ont réussi à priver de majorité les indépendantistes qui gouvernaient dans la région depuis une décennie et avaient tenté de faire sécession de l'Espagne en octobre 2017, alors que Carles Puigdemont était à la tête du gouvernement régional.

Les trois formations séparatistes disposant jusqu'ici de la majorité des sièges au parlement régional n'en ont obtenu dimanche que 59 sièges contre 74 en février 2021. Si la formation de Carles Puigdemont, Junts per Catalunya (Ensemble pour la Catalogne), a gagné du terrain en obtenant 35 sièges (+3), le parti modéré ERC (Gauche républicaine de Catalogne) de l'actuel président régional Pere Aragonès s'est effondré à 20 sièges (-13) comme la CUP, formation d'extrême gauche indépendantiste.

Même en comptant les deux sièges d'Alliance catalane, une nouvelle formation séparatiste d'extrême droite avec qui Junts, ERC et la CUP ont assuré refuser de s'allier, les indépendantistes restent loin de la majorité absolue de 68 sièges. M. Puigdemont - qui a fait campagne depuis le sud de la France alors qu'il est toujours sous le coup d'un mandat d'arrêt en Espagne - avait assuré qu'il se retirerait de la politique locale en cas d'échec.

Négociations

Vainqueur du scrutin, le socialiste Salvador Illa est toutefois loin de la majorité et va devoir trouver des soutiens pour se faire investir président régional. En 2021, M. Illa avait déjà remporté les régionales mais n'y était pas parvenu dans un Parlement majoritairement indépendantiste.

L'hypothèse la plus citée par les analystes est un accord avec l'extrême gauche, qui gouverne en Espagne avec M. Sánchez, et ERC, le parti le plus modéré chez les indépendantistes. Ces trois partis détiennent ensemble tout juste la majorité absolue avec 68 sièges.

Ce scrutin a été marqué par ailleurs par une percée des conservateurs du Parti Populaire (PP), qui ont obtenu 15 sièges contre 3 en 2021 tandis que le parti d'extrême droite Vox s'est maintenu avec 11 sièges.

Ces deux formations, profondément anti-indépendantistes, sont vent debout contre la politique catalane de Pedro Sánchez et contre la loi d'amnistie qui doit être adoptée définitivement par les députés espagnols d'ici quelques semaines et permettre le retour de Carles Puigdemont en Catalogne. Elles accusent le Premier ministre, soutenu au Parlement espagnol par Junts et ERC, d'être devenu leur "otage" dans le simple but de se maintenir au pouvoir.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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