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International

Les 12 jurés du procès de Trump à New York ont été sélectionnés

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Donald Trump, assis à la table de la défense, n'a pas quitté des yeux les nouveaux jurés, lorsqu'ils ont prêté serment de juger l'affaire de manière "juste et impartiale". (© KEYSTONE/AP/TIMOTHY A. CLARY)

Le jury de douze personnes au procès pénal historique à New York de l'ancien président américain Donald Trump a été constitué, a annoncé jeudi le juge Juan Merchan, qui préside les débats. Des suppléants doivent encore être désignés.

"Nous avons notre jury", a déclaré jeudi en fin d'après-midi le juge. Il s'est dit "optimiste" à l'idée que le jury soit définitivement constitué vendredi, lorsque cinq des six jurés suppléants nécessaires auront été sélectionnés.

Donald Trump, assis à la table de la défense, n'a pas quitté des yeux les nouveaux jurés, lorsqu'ils ont prêté serment de juger l'affaire de manière "juste et impartiale". Après cette étape cruciale et parfois laborieuse, le procès du candidat des républicains à la présidentielle de novembre pourra entrer dans le vif des débats.

Premier ex-président des Etats-Unis à comparaître au pénal, Donald Trump est jugé dans une affaire de paiements dissimulés pour acheter le silence d'une ancienne vedette de films pornographiques, Stormy Daniels, à quelques jours du scrutin de 2016 qu'il avait remporté sur le fil face à la candidate démocrate Hillary Clinton.

Une jurée jette l'éponge

La troisième journée d'audience a démarré de manière un peu chaotique. D'abord, une jurée sélectionnée mardi a fait part de ses craintes d'être identifiée, en disant avoir été reconnue par des proches, alors que le jury est censé rester anonyme pour éviter les pressions.

Un peu plus tard, le juge a renvoyé un autre membre du jury, dont les procureurs ont révélé avoir découvert, après des recherches, qu'il n'avait peut-être pas dit toute la vérité en répondant au long questionnaire délivré à chaque juré potentiel.

Ces premiers accrocs posent notamment la question de la garantie de l'anonymat des jurés tout au long du procès, alors que Donald Trump, qui dénonce une "chasse aux sorcières", s'est lamenté plusieurs fois d'être jugé à New York, bastion démocrate.

Le candidat républicain a repris mercredi à son compte, sur le réseau Truth Social, les propos d'un animateur de Fox News, Jesse Watters, assurant sans preuve qu'"ils sont en train de choisir des activistes progressistes infiltrés qui mentent au juge pour faire partie du jury".

Vie scrutée

Le juge a d'ores et déjà interdit à Donald Trump de s'en prendre aux jurés sur les réseaux sociaux.

Tout au long de la journée jeudi, le milliardaire a assisté, dans une salle d'audience frigorifiée - "on gèle", a-t-il lâché - au ballet des candidats, citoyens anonymes plongés du jour au lendemain dans une affaire historique et dont la vie est scrutée. Plusieurs dizaines d'entre eux se sont encore fait récuser, avouant qu'ils ne pourraient pas juger Donald Trump de manière impartiale.

"La question n'est pas de savoir si [Donald Trump] est sympathique... Je préside des procès d'accusés qui ne sont pas toujours sympathiques, des membres de gangs, des meurtriers, des délinquants sexuels", a souligné le juge.

Plus de trois ans après avoir quitté la Maison-Blanche dans le chaos, Donald Trump encourt en théorie une peine de prison. Cela ne l'empêcherait pas d'être candidat au scrutin présidentiel du 5 novembre, où il rêve d'une revanche sur Joe Biden, mais projetterait la campagne dans l'inconnu.

Trois autres procès pénaux

S'il était déclaré non coupable, ce serait en revanche un succès majeur pour le candidat républicain, d'autant plus qu'il est parvenu à force de recours à différer ses trois autres procès au pénal, deux pour tentatives illicites d'inverser les résultats de l'élection de 2020 et un pour gestion supposément désinvolte de documents classifiés.

Donald Trump est inculpé de falsifications de documents comptables de son entreprise, la Trump Organization, qui auraient eu pour but de cacher, sous couvert de "frais juridiques", le paiement de 130'000 dollars à Stormy Daniels par son avocat personnel de l'époque, Michael Cohen.

En échange, l'ex-vedette de la pornographie avait accepté de taire une relation sexuelle avec le milliardaire en 2006. Donald Trump a toujours nié cette relation et sa défense assure que les paiements relevaient de la sphère privée. Mais le procureur entend démontrer qu'il s'agit bien de manoeuvres frauduleuses pour cacher des informations aux électeurs quelques jours avant le vote.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Culture

Trump veut chasser l'"idéologie inappropriée" des musées fédéraux

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L'administration Trump veut reprendre le contrôle "idéologique" des musées de la capitale fédérale, dont la Smithsonian Institution (archives). (© KEYSTONE/AP/Andrew Harnik)

Donald Trump a signé jeudi un décret exécutif visant à reprendre le contrôle du contenu des musées Smithsonian de Washington, des institutions de la capitale accusées par le président américain de mener un "endoctrinement idéologique" racial.

"Au cours de la dernière décennie, les Américains ont été témoins d'un vaste effort coordonné pour réécrire l'histoire de notre pays, remplaçant des faits objectifs par un récit déformé, inspiré par une idéologie plus que la vérité", écrit Donald Trump dans son décret.

"Sous ce révisionnisme historique, l'héritage sans égal de notre pays dans la promotion de la liberté, des droits individuels, et du bonheur humain est reconstruit comme étant de manière inhérente raciste, sexiste, tyrannique, ou avec des défauts irrémédiables", ajoute-t-il, en ciblant particulièrement l'institution Smithsonian.

Les musées et le zoo Smithsonian à Washington sont parmi les principales attractions touristiques de la capitale américaine, en raison notamment de leur caractère gratuit.

Parmi les plus prisés, figurent notamment le musée d'histoire naturelle, la galerie nationale d'art, ou encore le musée national de l'histoire et de la culture afro-américaine, inauguré en 2016 par Barack Obama.

JD Vance en charge

Le vice-président JD Vance sera ainsi chargé, grâce à son siège au conseil d'administration du Smithsonian, de "chercher à retirer toute idéologie inappropriée" de ces établissements. Il devra aussi travailler avec le Congrès pour empêcher que des fonds publics fédéraux financent des "expositions ou programmes qui déshonorent les valeurs américaines partagées, et divisent les Américains sur la base de la race".

"Les musées dans la capitale de notre pays devraient être des endroits où les individus viennent pour apprendre, pas pour subir un endoctrinement idéologique", ajoute Donald Trump dans son décret.

Pendant la campagne électorale, Donald Trump s'était engagé à supprimer tout financement fédéral des écoles ayant adopté la "théorie critique de la race". Un concept qui désigne au départ un courant de recherche et est utilisé de manière péjorative par les conservateurs pour dénoncer les enseignements de sensibilisation au racisme.

Restaurer des monuments

Le président américain ordonne en outre à son gouvernement de déterminer si depuis 2020, des monuments ou statues sous juridiction fédérale ont été "retirées ou changées pour perpétuer une reconstruction erronée de l'histoire américaine", et si c'est le cas, de réinstaurer ceux-ci.

En 2020, la mort de l'Afro-Américain George Floyd sous le genou d'un policier blanc avait déclenché des manifestations à travers les Etats-Unis sous la bannière "Black Lives Matter" (les vies noires comptent) et provoqué des débats véhéments sur le racisme et la présence dans l'espace public de symboles du passé esclavagiste du pays.

Plusieurs monuments confédérés ont dans la foulée été démontés et de nombreux établissements (écoles et même bases militaires) ont changé de nom.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Environnement

Des pêcheurs tentent de bloquer le principal port du Chili

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Des pêcheurs artisanaux dans leurs bateaux tentent de bloquer un cargo étranger à Valparaiso, au Chili. (© KEYSTONE/EPA/ADRIANA THOMASA)

Des pêcheurs artisanaux ont tenté jeudi de perturber les opérations portuaires au Chili, au troisième jour d'une manifestation pour réclamer l'augmentation de leurs quotas de pêche, ont indiqué les autorités.

Les manifestations, qui ont fait depuis mardi une vingtaine de blessés, pour la plupart des policiers, et autant d'arrestations, se sont poursuivies jeudi dans le port de San Antonio, où transite la plus grande partie du fret du pays.

Des manifestations ont également eu lieu dans les ports de Valparaiso et de Quinteros, aussi situés sur la côte centrale du Chili, à environ 120 km de Santiago.

Les pêcheurs artisanaux réclament l'approbation "immédiate" par le Parlement d'un projet de loi visant à augmenter leur quota de pêche et à réduire celui des pêcheurs industriels. La loi, présentée en septembre 2024 par le gouvernement du président Gabriel Boric, a été approuvée par la Chambre des députés et est en cours d'examen par la commission des finances du Sénat.

"Les manifestants ont tenté d'empêcher le passage de navires (...) dans le but de bloquer les opérations portuaires", a déclaré la marine chilienne dans un communiqué.

Troupes mobilisées

La marine a utilisé l'un de ses navires pour asperger d'eau une embarcation avec trois pêcheurs portant le drapeau chilien, a constaté l'AFP sur place.

En outre, des troupes ont été mobilisées sur des bateaux rapides pour repousser les manifestants. Quatre personnes ont été arrêtées, a indiqué la marine dans un communiqué.

Aucune autorité n'a signalé de suspension des activités portuaires.

Le président de la fédération de la région de Valparaiso, Miguel Angel Hernandez, a déclaré à l'AFP qu'un de ses collègues avait été blessé par des projectiles tirés par la marine.

Il a également affirmé qu'une centaine d'embarcations avaient tenté de bloquer "le passage des navires industriels" à San Antonio.

Mercredi, des affrontements avec la police dans plusieurs régions du pays ont fait quinze blessés parmi les policiers et un parmi les manifestants. Un véhicule des forces de l'ordre a été incendié dans la région de Maule (sud), lors de manifestations particulièrement violentes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Trump renonce à nommer Elise Stefanik comme ambassadrice à l'ONU

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Trump renonce à nommer Elise Stefanik au poste d'ambassadrice à l'ONU, ce qui aurait nécessité la démission de l'élue républicaine de la chambre basse du Congrès. (© KEYSTONE/AP/Rod Lamkey)

Donald Trump a annoncé jeudi renoncer à nommer l'élue new-yorkaise Elise Stefanik comme ambassadrice des Etats-Unis à l'ONU, déclarant ne pas vouloir "prendre de risque" face à la fine majorité dont disposent les républicains à la Chambre des représentants.

La confirmation d'Elise Stefanik à ce poste aurait nécessité sa démission comme élue de la chambre basse du Congrès et la tenue d'une élection partielle dans sa circonscription de l'Etat de New York.

Le président américain a donc préféré éviter le risque d'éroder la marge de manoeuvre de son parti, et a affirmé sur sa plateforme Truth Social qu'il était "essentiel de maintenir CHAQUE siège républicain au Congrès".

Après les démissions récentes de deux élus républicains de Floride, des élections partielles doivent avoir lieu mardi pour les remplacer. Mais alors qu'ils avaient confortablement remporté ces sièges en novembre, les républicains s'inquiètent des sondages qui donnent le démocrate Josh Weil au coude-à-coude avec leur candidat Randy Fine dans l'une de ces circonscriptions.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Rubio met en garde Caracas contre toute attaque du Guyana

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Le secrétaire d'État américain Marco Rubio, en visite jeudi au Guyana, a mis en garde le Venezuela voisin contre toute attaque sur le petit état pétrolier. (© KEYSTONE/AP/Nathan Howard)

Le secrétaire d'État américain Marco Rubio, en visite jeudi au Guyana pour l'assurer de sa protection, a averti le Venezuela voisin que toute attaque de ce petit pays pétrolier se "terminerait mal". Le président vénézuélien Maduro l'a aussitôt traité "d'imbécile".

"S'ils (les Vénézuéliens) devaient attaquer le Guyana ou attaquer (le groupe pétrolier américain) ExxonMobil (...) ce serait une très mauvaise journée - une très mauvaise semaine - pour eux. Cela se terminerait mal", a déclaré le responsable américain lors d'une conférence de presse à Georgetown, soulignant la force et la présence de la marine américaine.

"Il y aura des conséquences à l'aventurisme. Il y aura des conséquences à des actions agressives," a-t-il insisté.

Une décennie après la découverte de vastes réserves, le petit pays anglophone d'Amérique du Sud est sur le point de devenir cette année le plus grand producteur de pétrole par habitant, dépassant le Qatar et le Koweït.

Mais le Guyana s'inquiète des revendications de Caracas, adversaire déclaré de Washington, sur l'Essequibo. Caracas estime que ce territoire riche en pétrole de quelque 160'000 km2, qui couvre les deux tiers de la superficie du Guyana, lui appartient. Des prétentions "illégitimes d'un régime de narcotrafic", a estimé M. Rubio.

Personne ne menace le Venezuela

Le président Maduro a répondu en soirée à la télévision publique, traitant M. Rubio "d'imbécile".

"L'imbécile Marco Rubio menace le Venezuela depuis le Guyana! Imbécile, personne ne menace le Venezuela!", a-t-il lancé, ajoutant que "Marco Rubio (...) fait partie de l'élite corrompue de Miami, très corrompue qui déteste le Venezuela".

L'armée vénézuélienne "ne tolérera pas les menaces d'un fonctionnaire ou d'un gouvernement étranger (...) nous répondrons avec fermeté et détermination à toute provocation ou action", avait quant à lui écrit le ministre de la Défense Vladimir Padrino Lopez.

A Georgetown, M. Rubio a notamment signé un mémorandum d'entente décrivant la coopération en matière de sécurité entre les Etats-Unis et le Guyana.

L'administration Trump a déclaré qu'elle envisageait de mettre en place avec ce pays une relation analogue à celles avec les nations du Golfe persique riches en pétrole, qui accueillent des troupes américaines.

Le président du Guyana, Irfaan Ali, s'est félicité de la protection américaine. "Je suis très heureux que les Etats-Unis" aient promis de garantir "notre intégrité (territoriale) et notre souveraineté", a-t-il déclaré.

Tensions croissantes

D'obédience socialiste, le président vénézuélien Nicolas Maduro, honni par le Cubano-Américain Marco Rubio, a relancé les revendications territoriales vénézuéliennes, organisant notamment un référendum sur l'Essequibo en 2023.

Caracas a approuvé l'année dernière un projet de loi pour déclarer l'Essequibo 24e État du Venezuela et assure vouloir y faire élire un gouverneur lors des élections régionales en mai.

En mars, le Guyana a dénoncé "l'incursion" d'un navire militaire vénézuélien dans ses eaux.

Caracas estime que l'accord de Genève signé en 1966 - avant l'indépendance du Guyana - jette les bases d'un règlement négocié hors de la Cour internationale de justice (CIJ) et soutient que le fleuve Essequibo doit être la frontière naturelle, comme en 1777.

Le Guyana assure de son côté que la frontière, datant de l'époque coloniale anglaise, a été entérinée en 1899 par une cour d'arbitrage à Paris. Et demande à la CIJ de le ratifier.

ExxonMobil prévoit une production brute de 1,3 million de barils par jour au Guyana d'ici la fin de la décennie mais la majorité des 800'000 habitants du Guyana continue toutefois de vivre dans la pauvreté.

M. Rubio a quitté Georgetown pour effectuer une halte chez le voisin du Guyana, le Suriname, petit pays néerlandophone, dont la production pétrolière est aussi en augmentation.

Lors de sa tournée caribéenne (Jamaïque, Guyana, Suriname), M. Rubio, qui a critiqué à plusieurs reprises l'influence de la Chine dans la région, a évoqué l'épineux dossier des taxes sur les bateaux fabriqués en Chine proposées par Trump.

Si le secrétaire d'Etat a souligné qu'il était "dangereux d'avoir un pays dans le monde construisant tous les navires", il a, dans un changement de ton par rapport à la position habituellement inflexible de Donald Trump, reconnu les préoccupations des pays des Caraïbes qui craignent que ces taxes renchérissent leur approvisionnement et génèrent une inflation importante.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Faille de sécurité US: un juge ordonne de conserver les messages

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Après la faille de sécurité sur le Yémen, un juge fédéral américain a ordonné jeudi au gouvernement de conserver tous les messages sur Signal du 11 au 15 mars 2025 (image symbolique). (© KEYSTONE/AP/Kiichiro Sato)

Un juge a ordonné jeudi au gouvernement de Donald Trump de conserver les messages de la conversation dans laquelle les lieutenants du président américain parlent de frappes militaires à venir dans une spectaculaire faille de sécurité.

L'affaire qui secoue Washington depuis lundi a été révélée par un journaliste du magazine The Atlantic, intégré par erreur à ce groupe de discussion sur l'application chiffrée Signal, où les plus hauts responsables de l'administration évoquent des opérations contre les rebelles houthis du Yemen.

Une association de défense de la transparence, American Oversight, a porté plainte mercredi contre les éminents membres du chat - chef du Pentagone, vice-président ou encore patron de la CIA -, les accusant d'avoir contrevenu à l'obligation d'archiver tout document officiel.

A l'issue d'une audience de référé, un juge fédéral a ordonné à ceux inclus dans la conversation de "faire tout leur possible pour conserver toutes les communications sur Signal du 11 au 15 mars 2025".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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