Le Genève-Servette Hockey Club s'incline 4-2 face au HC Bienne dans un match où les Grenat n'ont pas paru ridicules. Au final, cette défaite ne fera que du bien à la bande de Patrick Emond tant les enseignements à tirer sont nombreux.
Tout avait pourtant bien commencé. Dans un premier tiers plaisant à suivre et dans la lignée du match de la veille face à Langnau, le GSHC a su imposer son jeu et son rythme aux Seelandais. Sereins, les Grenat trouvèrent la faille en powerplay sur un but de Wingels servi à la perfection par le Top Scorer de la soirée, le jeune Deniss Smirnovs.
Toujours dans le calme et malgré l'égalisation biennoise tombée de la canne de Yannick Rathgeb en powerplay, les Aigles purent s'envoler à 1 minute 10 de la fin du premier tiers, à nouveau en powerplay, sur une réussite d'Eric Fehr (son premier but en National League) reprenant au rebond un tir de Tommy Wingels.
Mais c'est dès la reprise du deuxième tiers que les Genevois ont commencé à peiner, sans pour autant rompre. Une peine finalement concrétisée dans le 3e tiers. Les deux buts biennois en 69 secondes et le repli défensif seelandais ont amené un GSHC en panne d'inspiration offensive et semblant pressé, parant au plus pressé dès la ligne médiane franchie.
Au final, c'est un match plein d'enseignements qu'a disputé le Genève-Servette. Une défaite qui permet également d'éviter une euphorie autour de l'équipe et qui montre que, malgré la bonne prestation globale, beaucoup de travail reste à accomplir.
Des enseignements
Le manque d'expérience
Pour la première fois en 120 minutes de jeu, le Genève-Servette a semblé presser de repartir en attaque dès le 3-2 biennois. Une situation qui a mené à des tentatives d'exploit individuel. Une marque de la jeunesse de cette équipe selon l'entraîneur assistant Jan Cadieux
Jan Cadieux
Entraîneur assistant du GSHC
Jan CadieuxEntraîneur assistant du GSHC
Jan CadieuxEntraîneur assistant du GSHC
Un manque de réalisme
Menant alors 2-1, les Aigles ont disposés de plusieurs grosses occasions, notamment en powerplay, de marquer le troisième goal. Finalement, trop d'opportunités gachées ont permis au HC Bienne de revenir au score. L'attaquant grenat Timothy Kast le dit, il aurait fallu "tuer le match avant"
Tim Kast
Centre du GSHC
Tim KastCentre du GSHC
Tim KastCentre du GSHC
Patrick Emond a su imposer son style
Flagrant à Langnau et bien visible face à Bienne, le style de Patrick Emond est bien intégré par l'équipe quand tout fonctionne. Un jeu simple, prudent et en possession du puck, voilà ce que propose ce GSHC version 2019-2020. Pour Tim Kast, toute l'équipe a adhéré au projet
Tim Kast
Centre du GSHC
Tim KastCentre du GSHC
Tim KastCentre du GSHC
Deniss Smirnovs n'a pas fini de nous surprendre
Auteur d'une superbe passe décisive sur l'ouverture du score, Deniss Smirnovs épate plus d'un observateur sur la glace. Aligné au centre de la 1ère ligne suite à la blessure de Tanner Richard (la durée de son absence n'est pas encore connue), il a parfaitement rempli son rôle. Agé de 20 ans, il pourrait bien faire les beaux jours du Genève-Servette s'il continue sur cette voie. Pour l'entraîneur assistant du GSHC, sa réussite n'est pas le fruit du hasard.
Jan Cadieux
Entraîneur assistant du GSHC
Jan CadieuxEntraîneur assistant du GSHC
Jan CadieuxEntraîneur assistant du GSHC
Réecouter le match, commenté par Geff Scarantino et Sébastien Telley
GSHC - Bienne - 1er tiers
Geff Scarantino et Sébastien Telley
GSHC - Bienne - 1er tiersGeff Scarantino et Sébastien Telley
GSHC - Bienne - 1er tiersGeff Scarantino et Sébastien Telley
GSHC - Bienne - 2e tiers
Geff Scarantino et Sébastien Telley
GSHC - Bienne - 2e tiersGeff Scarantino et Sébastien Telley
GSHC - Bienne - 2e tiersGeff Scarantino et Sébastien Telley
GSHC - Bienne - 3e tiers
Geff Scarantino et Sébastien Telley
GSHC - Bienne - 3e tiersGeff Scarantino et Sébastien Telley
GSHC - Bienne - 3e tiersGeff Scarantino et Sébastien Telley
L'économie suisse continue d'enregistrer des signaux négatifs qui portent à croire qu'un ralentissement interviendra d'ici la fin de l'année. Le Centre d'études conjoncturelles (KOF) de l'EPF de Zurich a constaté un nouvel affaiblissement en septembre.
Le baromètre publié mensuellement par le KOF a reculé de 0,3 point par rapport à août, se fixant à 95,9 points. Cette baisse est principalement imputable à une série d'indicateurs des secteurs manufacturiers et des services, indiquent vendredi les économistes du centre zurichois.
L'évolution des secteurs financier et bancaire n'incite pas à l'optimisme.
Dans l'industrie, les entreprises actives dans la métallurgie, le papier et l'imprimerie pèsent sur les perspectives économiques, tout comme la chimie, la pharma et le plastique. En revanche, le secteur alimentaire apparait comme résilient, précise le communiqué.
Le KOF souligne par ailleurs les perspectives négative pour l'emploi dans l'industrie manufacturière et la construction, alors que la situation au niveau de la production est considérée comme favorable.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
La phase de test grandeur nature des navettes autonomes des TPG a débuté jeudi sur le site de Belle-Idée.
Depuis jeudi et jusqu'au 30 novembre, le grand public peut tester les trois navettes autonomes des TPG qui sillonnent le site des HUG à Thônex. Les utilisateurs peuvent ainsi se déplacer sur les 38 hectares du site, sans arrêts fixes, à bord d’un véhicule automatisé.
Radio Lac a testé ces navettes électriques et sans chauffeur. Reportage.
Benoît Rouchaleau
Reportage
Benoît RouchaleauReportage
Benoît RouchaleauReportage
Pour la phase de test, la loi prévoit qu'un conducteur des TPG soit à bord du véhicule mais à terme les navettes seront totalement autonomes. Comment ça fonctionne? Les explications de Melisa Fazlic, coordinatrice innovations aux TPG.
Melisa Fazlic
Coordinatrice innovations aux TPG
Melisa FazlicCoordinatrice innovations aux TPG
Melisa FazlicCoordinatrice innovations aux TPG
Et en cas de souci technique? Pour les tests ouverts au public, un opérateur des TPG est présent pour tous les trajets et s'assure que tout fonctionne mais demain tout sera supervisé à distance depuis un bureau de contrôle.
Melisa Fazlic
Coordinatrice innovations aux TPG
Melisa FazlicCoordinatrice innovations aux TPG
Melisa FazlicCoordinatrice innovations aux TPG
Et la suite?
Le projet s'inscrit dans la cadre du programme ULTIMO, auquel participent trois villes pilotes d’Europe, à savoir Genève, Kronach et Oslo. Avec l'ambition, dès 2025, de déployer plusieurs véhicules autonomes.
La Finma rappelle Comparis à l'ordre. Au terme d'une enquête (procédure d'enforcement), le gendarme financier est arrivé à la conclusion que le comparateur en ligne doit être considéré comme un intermédiaire d'assurance non lié.
La Finma ordonne à la société zurichoise de s'enregistrer dans le registre public prévu à cet effet. Comparis conteste depuis le début de cette procédure d'être un intermédiaire d'assurance.
Comparis devra également remplir "les obligations d'information prescrites envers les consommateurs", souligne vendredi l'Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (Finma).
Les compagnies d'assurance rémunèrent Comparis au moment où une demande d'offre leur est transmise par le biais du comparateur en ligne. Afin d'éviter le statut d'intermédiaire d'assurance, le groupe zurichois a chargé une filiale - enregistrée dans le registre public - de cette partie de l'activité.
"Le processus reste toutefois fondamentalement le même, dans la mesure où il est possible de commander des offres sur le site Internet de Comparis sur la base d'un comparatif d'assurance", argumente le régulateur. La décision de la Finma peut faire l'objet de recours devant la justice.
Selon la définition du gendarme financier, un intermédiaire d'assurance désigne toute personne ou société qui "agit pour des entreprises d'assurance ou d'autres personnes en vue de la conclusion de contrats d'assurance ou conclut de tels contrats". Les intermédiaires non liés n'ont pas d'attaches juridiques ou économiques avec un assureur.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Credit Suisse, désormais intégrée au sein d'UBS, a dégagé sur les six premiers mois de l'année un bénéfice net attribuable aux actionnaires de 2,21 milliards de francs, grâce à un effet unique.
La performance doit toutefois beaucoup à l'amortissement intégral en mars des obligations AT1 par l'Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (Finma), qui a généré à lui seul un gain de 14,11 milliards de francs, indique le fleuron bancaire helvétique déchu dans un communiqué vendredi.
Ce bénéfice extraordinaire a toutefois été rogné par l'inscription d'un écart d'acquisition de 2,35 milliards, la constitution de provisions pour litige à hauteur de 1,48 milliard, des ajustements de valorisations pour 2,20 milliards ou encore une dépréciation de 1,84 milliard sur des logiciels développés à l'interne.
L'établissement souligne que sa comptabilité étant tenue en francs suisses, des variations existent avec ses résultats publiés par son nouveau propriétaire, qui tient la sienne en dollars.
Le rapport rappelle en outre qu'UBS a constitué une division de défaisance, comprenant une part non négligeable des activités de Credit Suisse dans la banque d'affaires ainsi que dans la gestion de fortune et d'actifs.
Les actifs pondérés au risque de l'unité de défaisance étaient estimés au 30 juin à environ 55 milliards de dollars, dont 3 milliards en provenance d'UBS, qui doivent être réduits de moitié à l'horizon 2026.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
C’est ce que l’on saura dans 10 jours, après la première édition du Chef Festival!
Ce concours débute vendredi et et se déroule jusqu’au 8 octobre. 15 restaurants se sont pris au jeu de proposer une recette originale qui n’est pas à la carte, au prix imposé de 17 francs. Tout le monde peut participer grâce à un code.
Cette idée est née dans les esprits de deux amis, Xavier et Valentin, qui ne sont pas du monde de la gastronomie. Pourquoi cette idée? La réponse de Xavier Lacroix:
Xavier Lacroix
Co-fondateur du Chef Festival
Xavier LacroixCo-fondateur du Chef Festival
Xavier LacroixCo-fondateur du Chef Festival
Comment sont-ils parvenus à convaincre les restaurateurs:
Xavier Lacroix
Co-fondateur du Chef Festival
Xavier LacroixCo-fondateur du Chef Festival
Xavier LacroixCo-fondateur du Chef Festival
A la fin du concours, le Chef Festival remettra deux trophées, un prix du public et le deuxième le prix du chef.
C’est Danny Khezzar, finaliste de Top Chef, et chef du Bayview à Genève qui choisira parmi les trois meilleurs burgers ayant reçu les meilleures notes du public.