Le nombre de personnes contaminées par le coronavirus en Suisse s'élève à 9765. Selon le ministre de la santé Alain Berset, le pays s'approche du sommet de la courbe, mais il faut maintenir la discipline.
Le respect des consignes est décisif pour la lutte contre la maladie. Il faut respecter les distances sociales et les consignes d'hygiène, rester le plus possible à la maison, a précisé le conseiller fédéral à la presse. Les entreprises qui ne peuvent pas respecter les consignes doivent fermer.
La vie est passablement ralentie, mais elle continue. La solidarité est visible dans tout le pays et il y a des signes d'espoir. Les systèmes sanitaires sont bien organisés et la collaboration fonctionne, s'est félicité le conseiller fédéral.
La Suisse est l'un des pays qui teste le plus le Covid-19 au monde. Il y aura bientôt 10'000 tests par million d'habitants, a précisé M.Berset.
L'opération "Samedi du partage", menée vendredi et samedi derniers dans les cantons de Vaud et de Genève, a permis d'engranger 268 tonnes de produits de base pour les personnes dans le besoin. La solidarité ne faiblit pas, même dans un contexte économique difficile, se réjouissent les organisateurs.
Quelque 70 tonnes de marchandises ont été récoltées dans le canton de Vaud et 198 tonnes à Genève. Cela représente une augmentation de 8,5% par rapport à l'édition de novembre 2022, indique mercredi un communiqué. Plus de 1800 bénévoles ont participé à l'action.
L'ensemble des produits récoltés sont désormais en cours d'acheminement vers les banques alimentaires des différentes régions, où elles seront triées et redistribuées dans les prochains mois. La prochaine édition du Samedi du partage est prévue les 31 mai et 1er juin 2024.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Des proches parentes de l'escort-girl française qui avait été tuée à son domicile, en 2019, à Genève, ont regretté mardi les mensonges à répétition du principal accusé dans cette affaire. Cet homme de 43 ans est jugé depuis lundi pour assassinat par le Tribunal criminel de Genève.
Elles ont précisé à la Cour avoir suivi en France le procès de l'autre protagoniste du meurtre. Ce jeune homme de 21 ans a été condamné en mars dernier à 13 ans de réclusion. "Nous avons vu une personne qui assume et qui évolue et nous n'avons pas l'impression que ce soit le cas du prévenu" jugé à Genève, ont-elles fait savoir.
Elles ont notamment trouvé que les remords émis par l'accusé étaient insultants. "Il ne fait que mentir et nous avons peu d'espoir que cet homme violent change un jour". Elles ont dit attendre que le tribunal prenne des mesures afin qu'une telle horreur ne se produise plus et que l'accusé ne puisse "plus faire de mal".
Des antécédents
Outre le meurtre de l'escort-girl, le prévenu est également jugé pour une tentative d'extorsion et de chantage à l'encontre d'une prostituée de l'est et pour s'en être pris, en le menaçant chez lui avec une arme à feu, à un ressortissant ukrainien qu'il soupçonnait de diriger un réseau clandestin de prostitution à Genève.
Pour cette expédition punitive, le prévenu avait engagé un Biélorusse comme homme de main et un Moldave comme chauffeur. Tous deux sont jugés par le Tribunal criminel pour brigandage aggravé et complicité de brigandage aggravé. Les deux hommes ont été interrogés par la Cour mardi.
Les juges ont aussi entendu l'ancienne compagne de la victime du brigandage. Habitant en Ukraine, elle a été entendue en visioconférence par le tribunal. Elle a été surprise d'apprendre, sur une question d'un des avocats, que son ancien compagnon avait retiré sa plainte dans cette affaire.
L'homme soupçonné d'avoir assassiné l'escort-girl avec un jeune complice nie l'essentiel des faits. Le quarantenaire affirme n'avoir pas été présent dans l'appartement de la prostituée quand celle-ci a été tuée. Il a juste concédé avoir aidé à mettre le corps de la malheureuse dans une valise pour le transporter jusqu'à Evian (F).
Le cadavre a ensuite été brûlé et enterré en bas d'un ravin, dans une forêt de la petite commune de Marin.
Le procès se poursuit mercredi avec l'audition de plusieurs témoins. Puis viendra le tour du représentant du Ministère public de formuler ses réquisitions.
Les entrées de commandes dans le secteur de la construction en Suisse ont enflé de 4,1% sur un an entre juillet et fin septembre, pour s'établir à 5,7 milliards de francs.
Ce rebond atténue à 4,6% le déficit de demande sur les neuf premiers mois de l'année, contre encore 8,3% à mi-parcours.
Le chiffre d'affaires a progressé de 1,7% à 6,3 milliards de francs sur le seul troisième trimestre.
Fin septembre, les réserves de travail représentaient 15,5 milliards de francs, soit 1,5% de plus que douze mois plus tôt, indique mercredi la Société suisse des entrepreneurs (SSE) dans un rapport périodique, considérant qu'il s'agit là d'une marge de sécurité non négligeable.
Prenant congé de Credit Suisse, avec qui elle concoctait jusqu'à présent l'indice de la construction, la SSE table pour le quatrième trimestre sur une progression de 1,5% du chiffre d'affaires. Les revenus du secteur sur l'ensemble de l'année doivent ainsi avoisiner les 23,3 milliards de francs en valeur nominale affichés en 2022. Corrigée de l'inflation, l'activité demeurera toutefois légèrement moindre que sur la période de comparaison.
La faîtière se montre en outre modérément pessimiste pour l'an prochain, laissant entrevoir une légère érosion des recettes du fait du prix toujours élevé pour les matériaux, ainsi que du renchérissement induit par la hausse des taux d'intérêt, qui coûte déjà un point de croissance au secteur par an.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
La proportion de couples non mariés avec enfants a doublé au cours de la dernière décennie. Selon une étude, un couple sur cinq avec des enfants de moins de cinq ans vit en concubinage. Les mères non mariées sont exposées à un risque de prévoyance plus élevé.
Avec un taux d'occupation moyen de 58%, les mères vivant en concubinage travaillent certes davantage que les mères mariées (45%), relève mercredi le groupe d'assurance-vie Swiss Life dans un communiqué. Mais en cas de séparation ou de décès du partenaire, les mères travaillant à temps partiel et non mariées sont moins bien couvertes que les mères mariées.
Pour les besoins de l'étude, 4029 personnes âgées de 25 à 64 ans ont été interrogées en février et mars. Les recherches ont été menées par l'institut d'études de marché Valuequest, à la demande de Swiss Life.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Le boulevard du Pont-d’Arve rouvre vendredi, avec deux voies de circulation pour les voitures. La Ville de Genève précise que son plan de marquage, qui ne demandait qu’un axe pour les véhicules, n’a pas reçu l’aval du canton. Le conseiller d'Etat aux mobilités, Pierre Maudet, répond, lui, que cette demande a été faite très tardivement et qu'il faut un travail plus concerté sur la question avant toute modification.
"Ce n'est pas d'un claquement de doigts que l'on va dégrapper de bon matin ou que l'on va peindre des lignes, de nuit, pour se faire plaisir. C'est un peu plus subtil que cela"
Le boulevard du Pont-d'Arve va enfin rouvrir, le 1er décembre... après plus de cinq mois de travaux et de nombreux retards. La Ville souhaitait que le boulevard passe à une seule voie pour les voitures. Elle assure avoir envoyé un plan de marquage, le 16 octobre dernier au département des mobilités... qui n'a pas donné son aval:
"On a reçu, non pas le 16 octobre mais le 21 novembre, cette demande, c'est extrêmement tardif. Le chantier du boulevard du Pont-d'Arve, on le connaît depuis le mois de juin. Si la Ville a des intentions, il faut qu'elle les manifeste assez en amont. La Ville devrait savoir que la modification du trafic, sur une rue, a un impact sur beaucoup d'autres rues. On a un quartier qui est chargé, je le reconnais et on y travaille (...) Ce n'est pas d'un claquement de doigts que l'on va dégrapper de bon matin ou que l'on va peindre des lignes, de nuit, pour se faire plaisir. C'est un peu plus subtil que cela. Il y a un travail, en profondeur, qui doit être fait. On ne peut pas simplement, quelques jours ou quelques semaines avant la réouverture de cet axe, se dire on passe de deux voies à une voie sans tenir compte des effets collatéraux pour tout le quartier. On continue le travail, avec la Ville, sur la régulation des feux, sur l'0rientation du trafic, sur une atténuation de celui-ci sur tous ces axes, il n'y a pas que le boulevard du Pont-d'Arve. On le fait de façon concertée, coordonnée et un tout petit peu sérieuse".
VIVIANE M NOUDELMAN
25 mars 2020 à 16 h 48 min
BRAVO et COMMENT SE FAIRE TESTER ????
MERCI PAR AVANCE