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Pose de la première pierre de la Maison des enfants et des adolescents à Genève

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@Judith Monfrini

La Maison des enfants et des adolescents a posé sa première fondation ce lundi matin aux HUG, à côté de la maternité. La MEA est issue d'un partenariat public-privé avec notamment la Fondation Children Action. Elle s'ouvrira en juin 2023 et accueillera le service de psychiatrie pour les enfants et les adolescents mais aussi des lieux dédiés à la culture. 

Pose de la première ce lundi matin de la future Maison des enfants et des adolescents aux Hôpitaux universitaires de Genève. Des enfants et des adolescents ont déposé des capsules dans les premières fondations. Des capsules destinées aux générations futures. Avec différents objets choisis par les jeunes, comme de vieilles Nike, un jeans troué, des messages, un livre d’allemand, le jeu Fortnite et même un vieux vinyle !

Ecoutez les choix de Sarah et Sofia, elles ont 17 et 16 ans.

Sarah

Sarah

Sofia

Sofia

La maison accueillera le service de psychiatrie des enfants et adolescents et celui de la médecine somatique pour les adolescents. Située entre la maternité et la pédiatrie, elle va allier santé et culture. Elle s’étale sur plus de 14'000 m2 sur 6 étages dont 2 dédiés à l’hospitalisation. Mais aussi plusieurs espaces culturels. Les précisions de Paola Flores, responsable du partenariat pour la MEA.

Paola FloresResponsable des partenariats pour la MEA

La MEA est issue d’un partenariat public-privé, avec notamment la participation de la Fondation Children Action. Elle devrait voir le jour en 2023. Le service de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent compte 14'000 consultations ambulatoires par an, soit 700 entrées par jour.

Sur 11 sites différents actuellement

Actuellement elle est éclatée sur 11 sites différents, ce qui rend le parcours de soins parfois difficile. Professeur Alain Gervaix, pédiatre et chef du département de la femme, de l’enfant et des adolescents aux HUG.

Alain GervaixProfesseur de pédiatrie

La MEA va regrouper plusieurs types d’activités. Pr Alain Gervaix.

Alain GervaixProfesseur de pédiatrie

A l’origine du projet avec la Fondation Children Action, le Professeur François Ansermet, ancien chef de la psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent. Beaucoup d’émotion pour le professionnel de santé. Pr François Ansermet.

Professeur François AnsermetAncien chef de la psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent

Empêcher la stigmatisation

Les personnes qui souffrent psychiquement sont souvent stigmatisées d’où l’importance d’avoir cette Maison de l’enfant et l’adolescent au cœur de la cité.

Professeur François AnsermetAncien chef de la psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent

La culture peut être de grand secours pour soigner les patients raison pour laquelle la MEA mêle l'aspect culturel et la santé. Professeur François Ansermet.

Professeur François AnsermetAncien chef de la psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent

Concrètement les jeunes pourront s’essayer à l’art, au théâtre et à la danse. Des conférences auront lieu et la MEA devrait devenir un véritable pôle culturel dans la cité.

Partenariat public-privé

Le coût du projet s’élève à 75 millions de francs, dont 45 millions sont issus de fonds privés. Children Action collabore depuis plus de 20 ans avec les HUG pour le bien de l’enfant. Bernard Sabrier, le président de Children Action.

Bernard SabrierPrésident de la Fondation Children Action

La MEA s’inscrit dans un cadre de rénovation et de reconstruction plus large qui comprend également l’hôpital des enfants. Plusieurs étapes sont prévues jusqu’en 2050.

 

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Santé

Lonza se sépare de sa division Capsules & Health

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Lonza a décidé d'abandonner sa division Capsules & Health. (archive) (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

A l'approche de la journée des investisseurs, Lonza a confirmé ses perspectives pour l'ensemble de l'année 2024. Le sous-traitant pharmaceutique bâlois a décidé d'abandonner sa division Capsules & Health, sans toutefois donner de date précise.

Lonza entend désormais se concentrer sur son coeur de métier, à savoir son activité de sous-traitance pharmaceutique (CDMO). L'entreprise se retirera de l'activité Capsules & Health (CHI) "au moment opportun" et "dans le meilleur intérêt des actionnaires et des parties prenantes", indique-t-elle jeudi dans un communiqué, à l'approche de sa journée des investisseurs qui doit se tenir dans l'après-midi.

"Nous ne sommes pas pressés par le temps", a déclaré le directeur financier (CFO) de Lonza, Philippe Deecke, lors d'une conférence téléphonique. La division CHI, qui représentait 17% du chiffre d'affaires du groupe sur l'exercice 2023, était une "solide génératrice de liquidités", a-t-il reconnu. "Mais même sans CHI, les flux de trésorerie de Lonza continueront de croître", assure M. Deecke.

Dans le même temps, Lonza souhaite apparemment devenir plus active sur le front des acquisitions complémentaires, qui devraient gagner en importance. Par ailleurs, les prévisions actuelles excluent d'éventuels rachats, selon le directeur financier.

Dans le cadre de la stratégie "One Lonza", l'entreprise a également présenté jeudi une nouvelle structure organisationnelle. Trois "plateformes commerciales" viendront remplacer les quatre divisions actuelles. "La nouvelle configuration devrait être achevée au deuxième trimestre 2025", a indiqué M. Deecke.

Prévisions confirmées

Enfin, le groupe bâlois a confirmé ses prévisions pour l'ensemble de 2024. Les ventes devraient connaître une évolution stable et la marge opérationnelle bénéficiaire (Ebitda) devrait être de l'ordre de 27 à 29%.

Pour 2025, les ventes devraient croître de 20%. L'acquisition du site de Vacaville, aux Etats-Unis, devrait contribuer au chiffre d'affaires à hauteur d'environ un demi-milliard de francs. La marge Ebitda approchera les 30%.

Pour la période après 2025, Lonza prévoit une progression des ventes de 15% et de l'Ebitda supérieure à la croissance du chiffre d'affaires. Les prévisions sont conformes aux précédentes perspectives à moyen terme pour 2028, précise encore la société.

Lonza a par ailleurs également confirmé sa politique de dividendes. Le groupe bâlois s'est engagé à maintenir ou à augmenter le dividende par action d'une année à l'autre, à un taux de distribution compris entre 35 et 45%.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

La BNS modère ses prévisions d'inflation

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La Banque nationale suisse (BNS) a revu ses prévisions d'inflation à la baisse. (archive) (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

La Banque nationale suisse (BNS) a revu jeudi ses prévisions d'inflation à la baisse. Le renchérissement doit ralentir à 1,1% (1,2%) sur l'année qui s'achève, pour s'amenuiser à 0,3% (0,6%) en 2025 avant de rebondir à 0,8% en 2026.

Ces projections sont calculées sur la base d'un taux directeur maintenu à 0,50%, établi ce jour suite à un élagage de 50 points de base, souligne le garant de la stabilité des prix dans son relevé périodique.

L'abaissement des estimations d'inflation s'explique par un renchérissement moindre qu'escompté des produits pétroliers et des denrées alimentaires.

Sur le front de la croissance, les experts de la BNS campent sur une estimation de l'ordre de 1% pour l'exercice en cours, et modèrent celle pour 2025 entre 1,0 et 1,5% en lieu et place d'environ 1,5% en septembre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

Inquiète d'une inflation anémique, la BNS sabre son taux directeur

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Martin Schlegel, président de la Banque nationale suisse (BNS), lors de la présentation de la nouvelle politique monétaire. (archive) (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

La Banque nationale suisse (BNS) abaisse sensiblement son taux directeur, de 50 points de base, à 0,5% contre 1,0% jusqu'ici.

"Avec l'assouplissement de notre politique monétaire décidé aujourd'hui, nous controns la diminution de la pression inflationniste," a exposé le nouveau patron de l'institut d'émission Martin Schlegel dans le discours d'accompagnement de cette décision de politique monétaire.

La pression inflationniste a de nouveau diminué par rapport au trimestre précédent, explique jeudi la BNS dans son communiqué. De 1,1% en août, le renchérissement est passé à 0,7% en novembre, rappellent les banquiers centraux, qui soulignent que le ralentissement est constaté dans les biens et les services. L'inflation reste surtout portée par le renchérissement des services suisses.

La plupart des économistes tablaient sur un coup de rabot à hauteur de 25 points de base.

Grande première

"Martin Schlegel livre un signal clair d'une détermination à combattre une inflation insuffisante à la hauteur de celle de son prédécesseur," analyse Karsten Junius, économiste chez J. Safra Sarasin dans un commentaire. Il s'agit en effet de la première annonce de politique monétaire de la BNS de l'ère Schlegel, qui assume la fonction de président du directoire de la banque centrale helvétique depuis le 1er octobre.

"Cela montre aussi que la BNS considère la tendance à l'appréciation du franc suisse ainsi que ses conséquences comme très risquées," abonde de son côté Philipp Merkt, responsable de l'investissement de PostFinance.

Comme à l'accoutumée, la BNS rappelle être prête à intervenir sur le marché des devises si besoin, afin de garantir de la stabilité monétaire.

Nouvelle atténuation en vue

Le garant de la stabilité des prix modère par ailleurs ses prévisions d'inflation à plus ou moins brève échéance. Le renchérissement doit ralentir à 1,1% (1,2% estimé en septembre) sur l'année qui s'achève, contre encore 2,1% en 2023. Le phénomène doit encore s'atténuer à 0,3% (0,6%) en 2025 avant de rebondir à 0,8% en 2026. Ces projections sont calculées sur la base d'un taux directeur maintenu à 0,50%.

"Sans la baisse de taux décidée aujourd'hui, la prévision serait plus basse," insiste la BNS.

"Nous anticipons de nouveaux éléments déflationnistes pour l'an prochain, tels qu'un allégement des prix de l'énergie ou en abaissement du taux de référence hypothécaire, qui devrait se répercuter sur le niveau des loyers," prévient de son côté Philipp Burckhardt, chez Lombard Odier, stratégiste pour Lombard Odier.

L'abaissement des estimations d'inflation s'explique par un renchérissement moindre qu'escompté des produits pétroliers et des denrées alimentaires.

Sur le front de la croissance, les experts de la BNS campent sur une estimation de l'ordre de 1% pour l'exercice en cours, et modèrent celle pour 2025 entre 1,0 et 1,5% en lieu et place d'environ 1,5% en septembre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Politique

Le Parlement favorable au "Swiss Governement Cloud"

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Le "Swiss Governement Cloud" et les nuages externes se complèteront dans une infrastructure hybride (image d'illustration). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

L'administration fédérale doit avoir son propre service en nuage souverain. Suivant le National, le Conseil des Etats a accepté jeudi à l'unanimité un crédit de 246,9 millions de francs pour le "Swiss Governement Cloud" (SGC).

La transformation numérique de l'administration publique entraîne une hausse des besoins en outils numériques et requiert des infrastructures informatiques qui répondent à des exigences accrues en matière de performance, de fiabilité et de sécurité, a expliqué Peter Hegglin (C/ZG) pour la commission.

La protection des données est centrale. C'est un investissement dans le futur, qui augmente la souveraineté, a ajouté la ministre des finances Karin Keller-Sutter.

Le SGC et les nuages externes se complèteront dans une infrastructure hybride. Les cantons, villes et communes pourront l'utiliser. Aucun service ne sera toutefois fourni au secteur privé au moyen du SGC.

Le Conseil des Etats a apporté deux précisions à la version du National.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

La Roumanie et la Bulgarie vont rejoindre l'espace Schengen

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La Roumanie et la Bulgarie sont déjà membres depuis le printemps d'"Air Schengen" (archives). (© KEYSTONE/AP/ANDREEA ALEXANDRU)

Les pays de l'Union européenne (UE) ont donné jeudi leur accord à l'adhésion complète de la Roumanie et de la Bulgarie à l'espace de libre circulation Schengen à partir du 1er janvier. Les contrôles aux frontières avec les autres Etats Schengen seront ainsi supprimés.

La levée des contrôles aux frontières terrestres avec ces deux pays est "un moment historique", a estimé le ministre de l'Intérieur hongrois Sandor Pinter, dont le pays assure la présidence tournante du Conseil de l'UE.

"Il s'agit d'une décision historique", concrétisant "un objectif clé" de Bucarest et Sofia "depuis leur entrée dans l'Union européenne" en 2007, ont abondé les deux ministères des affaires étrangères dans un communiqué commun.

Présence de Beat Jans

La Roumanie et la Bulgarie sont déjà membres d'"Air Schengen" depuis fin mars, ce qui signifie qu'il n'y a pas de contrôles aux frontières aériennes ou maritimes. Les contrôles aux frontières terrestres entre la Roumanie et la Bulgarie, la Roumanie et la Hongrie ainsi que la Bulgarie et la Grèce sont désormais supprimés.

L'accord permet aux quelque 420 millions de personnes des 25 Etats membres de l'UE faisant partie de Schengen, ainsi qu'à la Suisse, à la Norvège, à l'Islande et au Liechtenstein, de voyager librement entre les Etats membres sans subir de contrôles aux frontières.

En tant que membre de Schengen, la Suisse peut participer au Conseil de l'UE, mais ne peut pas voter. La Confédération est représentée par le conseiller fédéral Beat Jans.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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