Sur le front du Covid, 2500 à 3000 contaminations sont enregistrées chaque jour à Genève. Malgré ce chiffre stratosphérique, la situation reste sous contrôle dans les hôpitaux. Des signes de détente s'observent selon la Médecin cantonale Aglaé Tardin, même elle reste prudente.
Les contaminations Covid se poursuivent au même rythme à raison de 2500 à 3000 cas par jour. Du côté des hospitalisations, plus de 460 personnes sont hospitalisées. 35 sont aux soins intensifs ou intermédiaires. 262 sont aux soins aigus. La moitié des patients ont plus de 75 ans. Une morbidité moindre est constatée avec le variant omicron qu’avec le delta. Pour les autorités sanitaires, des signes de détente s’observent mais il faut attendre encore de 10 jours à deux semaines avant de relâcher la pression. Aglaé Tardin est au micro de Judith Monfrini
Dr Aglaé Tardin
Médecin cantonale genevoise
Dr Aglaé TardinMédecin cantonale genevoise
Dr Aglaé TardinMédecin cantonale genevoise
Du côté des vaccinations, la demande du booster poursuit sa baisse. Avec 150 personnes qui se désinscrivent chaque jour, soit parce qu'elles ont été contaminées, soit parce qu'elles ne l'estiment plus nécessaire. Les risques de contracter le virus sont réduits de 33% avec le booster et de 70% de finir aux soins intensifs, selon la Doctoresse Tardin. La charge virale est moindre et le risque de contaminer d'autres personnes est aussi fortement diminué.
Je suis résidente au jardin du Rhône établissement pour personnes autonome, ois avons une grande quantité de malade. Ça se promène
Sans masque au restaurant partout réponse tout le monde est responsable. J’ai fait attention pendant 2 ans, pas vu la famille petits enfants
Etc, là je l’ai choper. Je trouve dans un établissement de la sorte 70 à 95 ans ou plus ! Il devrait avoir un contrôle sérieux.
Comme dans les ems.
Je suis furieuse et me sent mal
Arrêtez de donner des instructions par des mail etc si on laisse les gens sans control3.
Un incendie s'est déclaré vendredi, en fin d'après-midi, dans un appartement du quartier des Pâquis, à Genève. Le feu s'est propagé aux combles de l'immeuble. Les trois occupants du logement, incommodés par les fumées, ont été emmenés à l'hôpital.
Les locataires de l'appartement en feu, deux adultes et un enfant, se sont réfugiés sur le toit de l'immeuble. Ils ont été secourus et évacués grâce à une grande échelle, a indiqué le porte-parole du Service incendie et secours (SIS) de Genève, le lieutenant Nicolas Millot, confirmant une information de la Tribune de Genève.
Les pompiers sont intervenus avec 10 véhicules et 40 hommes. Outre les 3 occupants de l'appartement détruit par les flammes, les secours ont pris soin de 7 personnes, qui ont été contrôlées au nid de blessés qui avait été aménagé par le SIS. Une enquête de police a été ouverte pour déterminer les causes de l'incendie.
En début de soirée, vendredi, l'incendie était sous contrôle. Les pompiers ont démonté le toit du bâtiment pour dénicher d'éventuels foyers cachés qui auraient permis au feu de redémarrer.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Un important feu d'appartement s'est déclaré ce vendredi après-midi aux Pâquis.
Un feu d’appartement à Genève.
Les flammes sont parties au 4e étage d’un immeuble aux Pâquis, rue du Docteur Alfred Vincent, 21. L’alerte a été donnée vers 16h. Les pompiers ont été confrontés à un important dégagement de fumée à leur arrivée. Sept personnes ont été impliquées, trois qui se trouvaient sur le toit ont été évacuées par les soldats du feu. Il s’agit de deux adultes et d’un enfant. Ils ont été transportés aux HUG, aucun pronostic vital n’est engagé.
Trois ambulances, 40 pompiers, 10 véhicules et deux lances incendies sont mobilisés. Le feu n’est toujours pas maîtrisé.
Le Trophée du Léman se déroule ce week-end à la Queue d'Arve.
C’est un sport peu connu en Suisse: le patinage artistique à roulettes. Une compétition est organisée ce dimanche à Genève.
Connaissez-vous le patinage artistique à roulettes?
Si ce n’est pas le cas, vous pourrez le découvrir ce dimanche lors de la deuxième édition du Trophée du Léman. Un événement qui va regrouper une centaine de jeunes de 5 à 20 ans venant de toute la suisse, et d’un club italien. 21 patineurs issus du Geneva Roller Skating, le club organisateur y participeront. Chaque danseur doit présenter une chorégraphie individuelle entre une et trois minutes suivant les catégories.
Reportage lors d'un entraînement:
Et dimanche 21 avril marquera un jour historique pour les sports à roulettes, car il y a 100 ans naissait à Montreux la Fédération Internationale de Patinage à Roulettes (FIPR).
Le Trophée du Léman se déroule ce week-end à la Queue d'Arve.
A Bernex, la fête des mères à l’école de Lully tourne à la polémique suite à l’annonce d’un nouveau concept mis en place par le personnel de l’établissement scolaire.
Le pot de fleurs en poterie ou la carte dessinée que les écoliers réalisent habituellement en classe pour la fête des mères tournent à la polémique politicienne à Bernex. En cause : un nouveau concept de la fête des mères souhaité par le directeur de l’école primaire de Lully.
Dans un courrier adressé jeudi aux parents d’élèves, le chef d’établissement explique que dans un souci d’inclusion et d’égalité homme-femme, le concept de fêtes mères va changer cette année. Ainsi, les enfants prépareront désormais des cadeaux pour les “gens qu’ils aiment” et non plus spécifiquement pour leurs parents. Avec une date fixée au 24 mai.
L'équipe enseignante de l'école de Lully précise dans la lettre avoir pris la décision, "au vu de la mouvance actuelle traitant de l'inclusion des genres et de l'égalité femme/homme, de ne plus fêter exclusivement les mamans durant le mois de mai, mais, de manière plus globale, les gens qu'on aime."
Il n’en fallait pas plus pour que l’UDC Genève ne dénonce aussitôt “la nouvelle mission woke du DIP”, assurant même que la conseillère d’Etat Anne Hiltpold avait déclaré la guerre avec les parents. Inquiétude aussi dans les rangs du MCG qui a déposé une question écrite au Grand Conseil.
Sauf que la conseillère d’Etat en charge du DIP parle, elle, d’une erreur de la part de la direction de l’école et lui demande de revenir sur sa décision.
A Genève, le Conseil d'Etat a décidé d'agir face à la multiplication des manifestations à caractère politique au centre-ville. Une hausse qui provoque l'exaspération des commerçants. Désormais, il ne sera plus possible de défiler quand on veut et où on veut.
Ces restrictions concernant les parcours et les horaires ont été annoncées par la conseillère d'Etat Carole-Anne Kast sur les ondes de la télévision locale Léman Bleu. L'idée est de faire une pesée entre trois libertés: la liberté d'expression, la liberté de manifester et la liberté de commercer.
Ce changement de cap prendra un peu de temps avant de se concrétiser. Les autorisations déjà délivrées ne sont pas remises en cause. Seules les nouvelles demandes seront soumises au nouveau régime. La manifestation pour Gaza samedi aura ainsi lieu comme prévu, selon le parcours qui a été validé.
Depuis le début de l'année, il existe une hausse importante des demandes des organisateurs de manifestation de faire passer leur cortège d'une rive à l'autre, relève vendredi le porte-parole du département des Institutions et du numérique (DIN) Laurent Paoliello. Les défilés sont presque devenus hebdomadaires.
Ces manifestations génèrent des coûts collatéraux, souligne encore M. Paoliello. Elles bloquent par exemple les transports publics. De leur côté, les commerces du centre-ville se plaignent d'un manque à gagner, surtout lorsque les manifestations ont lieu le samedi, jour de grande affluence pour eux.
Projet de loi
Cette question n'a pas échappé au monde politique. Le PLR Genève a ainsi déposé un projet de loi pour que "les manifestations n'entravent pas les principaux axes de circulation et ne péjorent pas les commerçants". Le parti veut empêcher les défilés d'emprunter les tracés dévolus aux trams et le périmètre du "U Lacustre".
Interrogée par la Tribune de Genève, Clémence Jung, une juriste travaillant pour la campagne de boycott contre Israël BDS dit craindre une violation des libertés d'expression et de manifestation. "Si des refus par principe devaient être signifiés, la justice serait saisie", avertit-elle.
Petite stella
22 avril 2022 à 13 h 47 min
Je suis résidente au jardin du Rhône établissement pour personnes autonome, ois avons une grande quantité de malade. Ça se promène
Sans masque au restaurant partout réponse tout le monde est responsable. J’ai fait attention pendant 2 ans, pas vu la famille petits enfants
Etc, là je l’ai choper. Je trouve dans un établissement de la sorte 70 à 95 ans ou plus ! Il devrait avoir un contrôle sérieux.
Comme dans les ems.
Je suis furieuse et me sent mal
Arrêtez de donner des instructions par des mail etc si on laisse les gens sans control3.