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Expositions et spectacles

Genève rend hommage aux démineurs

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Une exposition qui tire le portrait de professionnels du déminage, photographiés par Alexandre Streuli. C'est ce qu'a mis en place la Fondation suisse de déminage (FSD) au café Foound, à deux pas de la gare Cornavin à Genève. 

Une vingtaine de photographies constituent cette exposition. Elles représentent des démineuses et des démineurs, mais également des populations directement touchées par les mines, qui font des milliers de victimes chaque année. Il s'agit de clichés - à taille réelle - prises par le photographe Alexandre Streuli, qui parcourt les zones de conflit depuis plusieurs années. Ici, il s'est limité à trois pays: l'Irak, l'Afghanistan et l'Ukraine.

Au café Foound, l'exposition est divisée en trois parties. La première est consacrée aux professionnels du déminage, des hommes et des femmes protégés par une tenue spéciale. Une seconde partie présente plusieurs victimes des mines. Enfin, un espace est dédié à la prévention et à la sensibilisation aux différents dangers, notamment pour les enfants.

Changement

Depuis des décennies, le travail de déminage n'a que peu changé. Sur un terrain miné, le démineur progresse lentement, parfois centimètre par centimètre pour désamorcer les explosifs. Pourtant, de nouvelles techniques se développent, notamment en terme d'évaluation de la topographie. C'est ce qu'explique le directeur de la Fondation suisse de déminage, Hansjoerg Eberle.

Hansjoerg Eberle Directeur de la FSD

Enjeux

A l’occasion du vernissage au café Foound, les curieux ont droit à une démonstration de déminage, faite par un démineur professionnel qui connaît bien le terrain. Présent également sur place, le photographe qui a réalisé les clichés, Alexandre Streuli. Cela fait plusieurs années qu'il voyage en Irak, en Afghanistan et en Ukraine pour observer au plus près le travail des démineurs. Pour lui, il s'agit de "véritables héros".

Alexandre Streuli Photographe

Du côté de la Fondation suisse de déminage, on estime également qu'un important travail reste à faire. Son directeur Hansjoerg Eberle explique les enjeux de demain pour le déminage.

Hansjoerg Eberle Directeur de la FSD

Groupes armés 

Si par le passé les mines ont largement été utilisées par des Etats, aujourd'hui ce sont plutôt des groupes armés qui s’en servent. Un véritable changement de paradigme pour Hansjoerg Eberle.

Hansjoerg Eberle Directeur de la FSD

Davantage d'informations sur cette expositions^ gratuite sur le site de la FSD.

 

 

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Culture

Les éditions Zoé fêtent leur 50 ans dans une exposition

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Les éditions Zoé fêtent leur 50 ans dans une exposition

C’est une maison d’édition genevoise qui fête ses 50 ans d’existence. Les éditions Zoé sont au cœur d’une exposition en ce moment à la Bibliothèque de Genève.

Les éditions Zoé sont à l’honneur la Bibliothèque de Genève.

Une exposition retrace leurs 50 ans d'histoire.

La maison genevoise a publié son premier ouvrage en 1975, un texte annonciateur de mai 68 qui circulait sous le manteau: "De la misère en milieu étudiant".

Depuis les éditions Zoé ont été le relais de 400 auteurs et autrices dont les plus connus sont Nicolas Bouvier ou Elisa Shua Dusapin. L’exposition s'ouvre sur une série de photos, on découvre que cette grande aventure est partie d’un garage.

Eloi Contesse, conservateur en charge du centre d’iconographie à la Bibliothèque de Genève:

Eloi ContesseConservateur en charge du centre d’iconographie à la Bibliothèque de Genève

Et l’exposition de rappeler l'importance d’une maison d’édition locale:

Eloi ContesseConservateur en charge du centre d’iconographie à la Bibliothèque de Genève

L'exposition “Zoé ou l'aventure" est à découvrir jusqu'au 4 octobre.

L'exposition est aussi visible en version virtuelle sur le blog de la Bibliothèque de Genève.

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Culture

Spectacles d’impro et performance au programme ce week-end à Genève

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Spectacles d’impro et performance au programme ce week-end à Genève (Gabriel Asper)

Le festival “Pour la première fois ce soir” s'ouvre ce jeudi pour sa première édition à Genève. Un évènement qui réunit humour et impro au Théâtre des Grottes.

“Pour la première fois ce soir” est un festival qui mêle impro et humour. Il est organisé par la compagnie Alliance Créative.

Le coup d'envoi sera donné ce jeudi soir avec des spectacles inédits encore jamais joués à Genève. Les organisateurs ont voulu créer une sorte de laboratoire rassemblant des comédiens professionnels qui vont se lancer, expérimenter et tenter des choses sur scène. 

Ce jeudi, Adrien Laplana présentera son tout nouveau spectacle de stand up «Histoire drôle d’un gars triste». Puis place aux Conférences improvisées. Vendredi, ce sera une série médicale improvisée.  

Des formats inédits donc, dont une vraie performance de 5 heures pour clôturer l'événement samedi. Pourquoi un format si long? Eric Lecoultre, comédien et co-organisateur du festival:

Eric LecoultreComédien et co-organisateur du festival “Pour la première fois ce soir”

L’impro gagne en popularité ces dernières années et touche un nouveau public en particulier à Genève. L’analyse d’Eric Lecoultre:

Eric LecoultreComédien et co-organisateur du festival “Pour la première fois ce soir”

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Expositions et spectacles

Sauvage comme le loup: une exposition entre nature et anthropologie

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Via Pexels

Ce week-end, la Galerie Ruines, située au cœur des Eaux-Vives à Genève, accueille l’exposition "Sauvage comme le loup" de Claire Galloni d’Istria, photographe et anthropologue. À travers une série de 20 clichés en noir et blanc, l’artiste nous invite à réfléchir sur les relations complexes entre l’homme et cet animal fascinant. Elle était mon invitée.

 

« Le loup, c’est un animal dont on ne cesse de parler. Il est porteur d’une symbolique forte, celle du sauvage, mais aussi d’un miroir pour nos propres comportements », explique Claire Galloni d’Istria. Cette exposition ne cherche pas à apporter des réponses tranchées sur la place du loup en Europe, mais plutôt à interroger nos perceptions. Entre mythes et réalités, les photos transportent les visiteurs dans des paysages alpins intemporels, où la présence du loup est à la fois suggérée et absente.

Un travail intime mais jamais solitaire

Certains clichés capturent des montagnes majestueuses, comme les glaciers d’Argentière et de Trient, mais sans trace visible de l’homme ou du loup. « C’est un contraste volontaire », souligne l’artiste. « Ces lieux, que l’on imagine sauvages, sont en réalité marqués par l’empreinte humaine : téléphériques, parkings, hélicoptères. » L’objectif est d’interroger le concept même de nature sauvage dans un monde où chaque espace semble partagé entre l’homme et l’animal.

L’exposition est également une aventure familiale. Certaines photos ont été réalisées par le fils de Claire Galloni d’Istria, offrant un regard complémentaire. « C’est ma manière de le remercier pour ces années où il m’a accompagnée sur le terrain », confie la photographe.

Un mariage fructueux

Outre son travail visuel, le métier d'anthropologue joue un role dans l'exposition. « L’image, ce n’est pas qu’un outil pour illustrer une histoire, c’est un partenaire de recherche. Elle permet de construire des récits et de nourrir la réflexion sur nos interactions avec le sauvage », explique-t-elle. Une de ses œuvres emblématiques, une photo floutée qui se défloute progressivement, illustre cette zone grise où s’effacent les frontières entre l’homme et l’animal.

L’exposition explore également le mythe du loup-garou. « Cette figure symbolise la métamorphose et les transgressions, des thèmes omniprésents dans les récits alpins », note l’artiste. Ce lien entre folklore et anthropologie enrichit l’expérience des visiteurs rappelle Claire Galloni d’Istria.

A voir ce week-end ou cet été

L’exposition « Sauvage comme le loup » est ouverte jusqu’à ce dimanche à la Galerie Ruines, Rue des Vollandes à Genève, de 14h à 20h. Une occasion unique de plonger dans un univers où nature, culture et mythologie se rencontrent.

Claire Galloni d’Istria promet de nouvelles expositions à venir, notamment en 2026 au musée de Bagne et cet été à la Biennale. Un rendez-vous à ne pas manquer pour tous les passionnés de récits alpins et de symbolisme sauvage.

© Claire Galloni d'Istria

Avec IA

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Expositions et spectacles

[Interview] Au musée Rath, 18 œuvres jamais vues à Genève

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Une personne regarde une oeuvre de Mike Kelley, lors d'une presentation a la presse de l'exposition "L'image revenante", ce mercredi 11 decembre 2024 au Musee Rath a Geneve. Invitee par le MAH, la Fondation "la Caixa" presente une exploration captivante de l'art contemporain a travers les ouvres de 18 artistes, dont certaines sont exposées pour la premiere fois a Geneve. La collection d'art contemporain de la Fondation "la Caixa", créée au milieu des années 1980, est devenue une reference en Europe et l'une des plus importantes au monde. Cette exposition, est proposée du 12 décembre au 13 septembre 2025. (© KEYSTONE / MARTIAL TREZZINI)

Pour les fêtes de fin d'année, Genève devient le théâtre de l'exposition hors norme "L'image revenante", organisée au Musée Rath en partenariat avec la Fondation espagnole La Caixa. Cette collection privée, l'une des plus prestigieuses d'Espagne, présente pour la première fois en Suisse 18 œuvres exceptionnelles, qui explorent le pouvoir de l'image et son évolution à travers l'histoire de l'art. Samuel Gross, curateur au Musée d'art et d'histoire, était mon invité.

 

 

« L'image revenante offre une immersion dans la manière dont les artistes contemporains réinterprètent la tradition et l'histoire de l'art », explique Samuel Gross. Parmi les pièces majeures, une installation monumentale de l'artiste américain Mike Kelley occupe le centre de l'exposition. Cette œuvre, rarement montrée, évoque la trajectoire de la lumière dans la caverne de Platon, une métaphore puissante de la perception et de la connaissance.

L’exposition propose également des œuvres emblématiques de Marcel Duchamp, dont la célèbre Boîte à valise, qui illustre l'influence durable de l'artiste sur l'art contemporain. « L'exposition oscille entre présence et absence de l'image, comme en témoignent les monochromes d'Allan McCollum ou les œuvres religieuses revisitées d'Antonio Saura », précise Samuel Grosse.

Un dialogue entre Genève et l'Espagne

Depuis des décennies, la Fondation La Caixa s'impose comme un acteur majeur de la scène artistique. « Les œuvres voyagent rarement, et certaines n'avaient jamais quitté l'Espagne jusqu'à maintenant. C'est un privilège pour Genève d'accueillir une telle collection », souligne Samuel Gross.

Ce partenariat n'est pas le fruit du hasard: les liens historiques entre le MAH et La Caixa ont permis cet échange culturel exceptionnel. Par ailleurs, la cité de Calvin, ancrée dans son passé réformateur, est le cadre idéal pour accueillir une réflexion sur le pouvoir et la symbolique de l'image.

Un voyage entre art et histoire

De Vanessa Beecroft à Antonio Saura, les artistes exposés revisitent des thèmes religieux et philosophiques, souvent en lien avec l'absence ou la disparition de l'image. Saura, par exemple, réinterprète la crucifixion du Christ dans une œuvre reflétant de la souffrance humaine et de son engagement contre la dictature espagnole.

Pour les amateurs d’art comme pour les curieux, "L'image revenante" promet une expérience unique, entre introspection et émerveillement. « Nous espérons que les visiteurs ressortiront avec une nouvelle vision du monde, enrichie par la diversité et la richesse des œuvres présentées », conclut Samuel Gross.

L’exposition est visible au Musée Rath jusqu’au 13 septembre 2025. Une occasion unique de découvrir des chefs-d'œuvre rarement montrés et de plonger dans un dialogue fascinant entre passé et présent.

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Expositions et spectacles

La Revue m'accueille dans ses coulisses, voici ce qu'on y fait!

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2023 Revue genevoise
La Revue de Genève 2023 - Photos retouchées

Jusqu'à la fin de l'année au Casino Théâtre de Genève, La Revue revient sur l'année écoulée chaque soir pour un public avide d’humour, de musique et de surprises. Mais ce spectacle culte, qui mêle satire et performance artistique, repose sur un ballet minutieux, invisible pour les spectateurs. Rencontre avec trois piliers de cette édition: Gloria, comédienne qui vit sa première Revue; Charlotte Lépine, la cheffe d’orchestre des costumes; et Virginia, qui mène la danse.

Gloria: une première Revue pleine de promesses

 

Pour Gloria, pétillante comédienne, fouler la scène de La Revue est l’aboutissement d’un rêve. « Cela faisait des années que je regardais ce spectacle avec frustration, en me disant que je voulais y être », confie-t-elle. Mais rejoindre cette aventure n’a pas été un chemin simple. « J’avais tenté ma chance aux auditions il y a quelques années, mais à l’époque, ce n’était pas encore ouvert aux plus jeunes. Cette année, grâce à un ami et beaucoup de persuasion, j’ai enfin pu passer les auditions. »

Aujourd’hui, Gloria joue plusieurs rôles dans le spectacle, notamment celui de Cécile, une serveuse maladroite et hilarante qu’elle affectionne particulièrement. « Elle est très corporelle, ses répliques sont presque inexistantes, mais tout passe par ses expressions et ses gestes. C’est un personnage qui me fait rire et qui me ressemble beaucoup dans sa spontanéité. »

Mais derrière cette légèreté sur scène, il y a une discipline rigoureuse. Gloria a mis en place une routine millimétrée pour tenir le rythme effréné des représentations : « Je me lève à 10h, je vais nager, je fais une sieste, je lis un peu, puis je me rends au théâtre. Sans cette structure, je m’épuise très vite. » Une méthode qui lui permet de garder le cap malgré le fait d'avoir parfois deux spectacles par jour et des ajustements de dernière minute. « La Revue, c’est comme un marathon artistique. Ça forge une endurance incroyable. »

Si cette expérience lui semble intense, Gloria y voit surtout une opportunité de progresser. « Après trois mois à jouer tous les soirs, je sais que tout autre projet me paraîtra plus facile. C’est un métier qui demande de l’adaptabilité et de la résilience. La Revue, c’est un peu une école de vie. »

Charlotte Lépine: la magie des costumes, entre haute couture et performance

 

Dans les coulisses, là où s’agite une armée de costumières et d’habilleurs, Charlotte Lépine veille au moindre détail. Responsable des costumes, elle supervise une collection impressionnante de 150 pièces, conçues pour la plupart sur mesure à Genève. « On a travaillé avec les meilleures costumières de la région pour créer des costumes uniques, parfois proches de la haute couture. »

Charlotte m'invite dans les loges des danseurs, où s’entassent des créations spectaculaires: des robes à paillettes étincelantes, des tenues d’insectes fantaisistes pour le tableau final, ou encore des costumes de capitaine pour les scènes comiques. Chaque pièce raconte une histoire et reflète l’identité visuelle du spectacle. « Notre rôle, c’est de servir la mise en scène. Il peut y avoir mille façons d’interpréter une mouche ou un escargot. Ici, on a choisi une approche sexy et sophistiquée pour les danseuses. »

Mais ce travail artistique repose aussi sur une logistique implacable. Les fameux "quick changes" – ces changements de costumes éclairs entre deux scènes – sont orchestrés comme des arrêts au stand de Formule 1. « On est prêts avec chaque costume à portée de main. Dès qu’un comédien arrive, on change tout, des pieds à la tête, en quelques secondes. »

Charlotte, qui vit sa première expérience en tant que responsable, mesure l’ampleur de la tâche. « C’est un projet colossal, mais tellement gratifiant. On travaille main dans la main avec les comédiens, les danseurs, la lumière et le son pour créer un tout harmonieux. Quand je vois les applaudissements chaque soir, je sais que tout ce travail en vaut la peine. »

Virginia: la meneuse au service du spectacle

 

Au centre de La Revue, Virginia brille dans son rôle de meneuse. Cette artiste polyvalente, formée en comédie musicale à Londres, est à l’aise dans les trois disciplines majeures : chant, danse et théâtre. « Mon rôle est de mener les grands tableaux musicaux, d’ouvrir et de clôturer chaque acte avec panache. C’est un rôle à 360 degrés, mais c’est exactement ce pour quoi je me suis formée. »

Malgré l’intensité de la tâche, Virginia trouve une véritable satisfaction dans cette polyvalence. « Ce que j’aime, c’est que chaque soir est une nouvelle aventure. Avec La Revue, rien n’est figé. L’actualité influence constamment le spectacle, on ajoute ou modifie des scènes, parfois jusqu’à quelques heures avant le lever de rideau. Ça nous garde tous en alerte et rend chaque représentation unique. »

La meneuse salue également l’esprit de camaraderie qui règne dans la troupe. « Tout le monde met du sien pour apprendre, évoluer et sortir de sa zone de confort. Cette bienveillance et cette entraide rendent l’expérience encore plus riche. »

Virginia décrit La Revue comme une "bulle hors du temps" : « Quand le public entre dans la salle, il oublie le froid, la grisaille, les soucis du quotidien. C’est exactement ce qui me motive dans ce métier : offrir deux heures d’évasion pure. »

Un ballet parfaitement orchestré

Si La Revue brille sur scène, c’est grâce à une collaboration méticuleuse entre artistes, techniciens et artisans. Charlotte résume l’essence de ce travail collectif : « Chaque détail, du costume à l’éclairage, est pensé pour servir l’histoire. Nous sommes tous des pièces d’un puzzle qui prend vie chaque soir. »

Gloria, Charlotte et Virginia font partie de l’âme de La Revue. Trois parcours différents, trois rôles essentiels, mais une passion commune pour cet art exigeant. Alors que les applaudissements retentissent chaque soir au Casino Théâtre, c’est tout un monde qui s’active en coulisses pour offrir au public un moment de magie inoubliable.

Ne manquez pas La Revue, jusqu’au 31 décembre, et plongez dans cet univers où chaque détail compte, où chaque performance est une célébration de la créativité et du travail d’équipe.

 

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