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Des coiffeurs où vous voulez, quand vous voulez

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Photo Cut'n'Brush

La coiffure fait elle aussi sa révolution technologique

Un jeune entrepreneur vaudois a lancé Cut’n’Brush, une application de coiffure à domicile. A domicile mais pas seulement, tout est possible ou presque…

Et son idée, d’abord lancée à Lausanne, se développe désormais à Genève ou Neuchâtel.

Présentation du concept avec Benoît Rouchaleau. 

 

Pas le temps d’aller au salon de coiffure, qu’importe! C’est le salon de coiffure qui vient à vous. Ou vous voulez… Avec l’application Cut’n’Brush, vous pouvez fixez votre RDV à la maison bien sûr mais aussi au travail, à l’hôtel ou même en extérieur dans un joli cadre. D’ailleurs depuis le lancement de l’appli en novembre 2018, son créateur Vincent Callara a déjà expérimenté quelques lieux originaux. 

Vincent CallaraCréateur de Cut'n'Brush

Vous téléchargez l’application, vous renseignez votre lieu et la prestation souhaitée et apparaissent alors les coiffeurs disponibles dans votre périmètre. Son concept, il l’a d’abord testé tout seul, après une dizaine d'années d’expérience en salon traditionnel… 

Vincent CallaraCréateur de Cut'n'Brush

Aujourd’hui, l’appli compte près de 2000 clients et déjà une dizaine de coiffeurs indépendants affiliés à son application. 

Vincent CallaraCréateur de Cut'n'Brush

Et comme dans un salon, pas besoin de soucier du nettoyage, tout est compris. 7 jours sur 7, entre 7H et 21H. S’agissant du prix, c’est assez standard. A chaque coiffeur de fixer ses tarifs. 

Vincent CallaraCréateur de Cut'n'Brush

En ligne de mire prochainement le développement de l’application à Fribourg et pourquoi pas ensuite toute la Suisse Romande. La vie d’un coiffeur en somme, des coupes et des extensions. 

2 Commentaires

2 Comments

  1. Eman

    19 mars 2021 à 11 h 24 min

    Trop cool l'idée !

  2. Notification automatique: Des coiffeurs où vous voulez, quand vous voulez - CUT'N'NBRUSH

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Suisse

Vaud poursuit son marathon à la recherche de familles d'accueil

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Le processus pour trouver des familles d'accueil est long, reconnaît Manon Schick, directrice à la Direction générale de l'enfance et de la jeunesse (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Après l'appel lancé en décembre par le canton de Vaud, près de 200 personnes ont assisté à des séances d'information sur la recherche de familles d'accueil. Dix-neuf familles se sont portées candidates, parmi lesquelles 5 se trouvent actuellement en phase d'évaluation. Au total, le canton cherche à recruter 50 nouvelles familles d'ici la fin 2024.

"Le processus est long", reconnaît Manon Schick, directrice à la Direction générale de l'enfance et de la jeunesse (DGEJ). "Le chiffre de 50 nouvelles familles est ambitieux, cette campagne représente un véritable marathon, mais nous gardons le cap", indique-t-elle à Keystone-ATS.

Contacts dans le réseau des familles d'accueil actuelles, séances d'information, campagnes sur les réseaux sociaux et dans les médias, le canton met tout en oeuvre pour atteindre ses objectifs. "Au début de l'année, 15 enfants attendaient une famille d'accueil. Si on parvient à en trouver autant afin qu'ils puissent sortir des foyers d'urgence, ce serait déjà très bien. Chaque nouvelle famille d'accueil compte", poursuit Manon Schick.

88% des familles acceptées

En 2023, 15 familles candidates ont été retenues par la DGEJ, tandis qu'une famille a renoncé et une a été refusée. "Cela veut dire que 88% des familles qui ont déposé un dossier ont été acceptées", note Manon Schick.

Ce haut pourcentage traduit l'important travail d'information fait en amont. En effet, accueillir un enfant ne s'improvise pas. En plus d'offrir un foyer familial équilibré, trois critères fondamentaux doivent être remplis : avoir plus de 25 ans, bénéficier d'une chambre de libre et disposer de temps pour s'occuper de l'enfant. Une fois ces conditions réunies, la notion de "famille d'accueil" est large et peut s'appliquer tant à des familles qu'à des couples ou des célibataires.

Revalorisation des indemnisations

Lorsqu'une famille d'accueil est retenue, et qu'un enfant y est placé, elle bénéficie d'un accompagnement ainsi que d'une indemnité mensuelle en fonction de l'âge de l'enfant. Celle-ci devrait être revalorisée cet été, tandis que les obligations administratives, notamment relatives aux dépenses de l'enfant, devraient être allégées.

"Ces enfants ont déjà subi de nombreuses ruptures dans leur vie. En les accueillant dans un milieu familial stable, ces familles contribuent à leur bien-être et rendent un précieux service à la société. Il faut leur faciliter la vie", estime Manon Schick.

En décembre dernier, plus de 190 familles vaudoises accueillaient quelque 200 enfants. Cependant, le nombre d'enfants, notamment des bébés ainsi que des jeunes enfants, ayant besoin d'un tel encadrement est en augmentation, tandis que les familles d'accueil actuelles vieillissent. La prochaine séance d'information aura lieu le 17 juin à Lausanne. Les inscriptions sur le site intercantonal sont ouvertes aussi sur internet (devenir-famille-accueil.ch).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Israël et le Hamas inflexibles avant une reprise des pourparlers

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Les pourparlers pour une trêve à Gaza se poursuivent dimanche, alors que samedi soir, des milliers d'Israëliens, dont des proches d'otages, ont manifesté à Tel-Aviv pour réclamer à Netanyahu la conclusion d'un accord (archives). (© KEYSTONE/AP/Ariel Schalit)

Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas ont de nouveau affiché leur profond désaccord en vue d'une trêve dans la guerre à Gaza, jetant un froid sur les discussions qui doivent reprendre dimanche au Caire.

Au septième mois de la guerre déclenchée par une attaque sanglante du Hamas le 7 octobre contre Israël, la directrice du Programme alimentaire mondial (PAM), Cindy McCain, s'est alarmée de voir le nord de la bande de Gaza frappé par une "véritable famine", qui progresse vers le sud.

En représailles à l'attaque sans précédent du Hamas, l'armée israélienne a lancé une offensive d'envergure -aérienne puis terrestre- dans le territoire palestinien qu'elle a assiégé, entraînant la mort de 34'654 personnes majoritairement des civils selon le Hamas, et provoquant une catastrophe humanitaire et des destructions colossales. Et les bombardements israéliens n'ont pas cessé.

"Calculs personnels"

Après un premier round de discussions samedi au Caire en présence d'une délégation du Hamas dirigée par Khalil al-Hayya et des représentants des médiateurs -Qatar, Egypte, Etats-Unis-, Israël et le mouvement palestinien ont de nouveau affiché leurs profondes divergences en vue d'une trêve.

Samedi soir, un responsable du Hamas a répété, sous couvert de l'anonymat, que son mouvement n'accepterait "en aucun cas un accord ne prévoyant pas explicitement un arrêt de la guerre".

"Nos informations confirment que (Benjamin) Netanyahu freine en personne un accord par calculs personnels", a-t-il dit à l'AFP à propos du Premier ministre israélien accusé par le Hamas d'entraver tout accord avec ses menaces publiques sur un assaut à Rafah, ville du sud de la bande de Gaza.

"L'histoire ne vous pardonnera pas"

Avant lui, un responsable israélien a accusé le Hamas de bloquer tout accord en insistant sur son exigence d'un arrêt de la guerre, et prédit des négociations difficiles.

Il n'y a eu "aucune évolution" au premier round samedi au Caire et de nouvelles discussions sont prévues dimanche, a indiqué un responsable du Hamas, mouvement qui a pris le pouvoir à Gaza en 2007.

Israël n'est pas présent dans la capitale égyptienne. Selon un autre responsable israélien, des signes de progrès seraient visibles si le chef du Mossad David Barnea emmenait une délégation israélienne au Caire.

D'après le site américain Axios, le chef de la CIA, William Burns, se trouve au Caire.

L'offre des médiateurs présentée fin avril au Hamas prévoit une trêve associée à une libération de prisonniers palestiniens contre celle d'otages enlevés pendant l'attaque du 7 octobre.

Conditions rejetées

Vendredi, le Hamas avait indiqué aller au Caire dans un "esprit ouvert", mais insisté sur ses exigences: "un arrêt total de l'agression" israélienne et "le retrait" des forces israéliennes de Gaza.

Israël a toujours rejeté ces conditions du Hamas, qu'il considère comme une organisation terroriste de même que les Etats-Unis et l'Union européenne, et qu'il a juré d'anéantir après l'attaque du 7 octobre.

Ce jour-là, des commandos du Hamas infiltrés depuis Gaza dans le sud d'Israël ont lancé une attaque qui a entraîné la mort de plus de 1170 personnes, essentiellement des civils, selon un bilan de l'AFP établi à partir de données officielles israéliennes.

Durant l'attaque, plus de 250 personnes ont été enlevées et 128 restent captives à Gaza, dont 35 sont mortes, selon l'armée.

Samedi soir, des milliers de personnes, dont des proches d'otages, ont manifesté à Tel-Aviv pour réclamer au gouvernement Netanyahu la conclusion d'un accord de trêve permettant le retour des otages.

Dans un communiqué, le Forum des familles d'otages a appelé M. Netanyahu "à faire fi des pressions politiques" et à accepter un accord qui permettrait une libération des otages. "M. Netanyahu, l'histoire ne vous pardonnera pas si vous ratez cette occasion."

"La famine est là"

Alors que les efforts en vue d'une trêve se multiplient, Benjamin Netanyahu ne cesse de déclarer son intention de mener une offensive terrestre sur Rafah, ville qui constitue selon lui le dernier grand bastion du Hamas dans le territoire palestinien.

Les Etats-Unis, principal allié d'Israël, ont maintes fois manifesté leur opposition à un assaut sur cette ville où s'entassent 1,2 million de Palestiniens, la plupart déplacés par la guerre.

"Les dommages qu'elle causerait seraient au-delà de ce qui est acceptable", a averti le secrétaire d'Etat Antony Blinken, alors que le mouvement étudiant contre l'offensive israélienne se poursuit dans le monde.

Rafah, située à la frontière fermée de l'Egypte, est le principal point de passage terrestre de l'aide humanitaire. Une offensive serait un "coup dur" pour les opérations humanitaires, a prévenu l'ONU.

L'aide internationale, strictement contrôlée par Israël et arrivant via Rafah, reste très insuffisante pour répondre aux besoins des quelque 2,4 millions de Gazaouis.

"Quand vous avez des conflits de ce type, avec tant d'émotion, où tant de choses se passent, la famine arrive", a indiqué la directrice du PAM Cindy McCain, selon un extrait d'un entretien diffusé vendredi par la chaîne NBC.

A Gaza, "la famine est là, une véritable famine dans le nord, et qui se déplace vers le sud", a-t-elle dit, en réclamant un cessez-le-feu et un "accès sans entrave" à Gaza pour fournir de l'aide.

Samedi soir, l'armée israélienne a annoncé qu'un chef de brigade à Rafah du Jihad islamique identifié comme Ayman Zaarab et présenté comme l'un des commandants de l'attaque du 7 octobre, ainsi que deux autres membres du groupe, avaient été tués dans le sud du territoire palestinien.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Course contre la montre pour secourir les victimes au Brésil

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Des personnes attendent sur le toit de leur maison d'être secourues par un hélicoptère de l'armée brésilienne à Porto Alegre au Brésil samedi. (© KEYSTONE/EPA/Isaac Fontana)

Une course contre la montre est engagée dimanche dans le sud du Brésil pour faire face aux inondations monstres qui ont dévasté l'État du Rio Grande do Sul, provoquant la mort d'une soixantaine de personnes et chassant de leur domicile 70'000 autres.

Depuis les rues gorgées d'eau ou vue du ciel, l'ampleur de la catastrophe est frappante: des maisons dont on aperçoit à peine le toit, des habitants qui ont tout perdu en quelques minutes et le centre de Porto Alegre, la capitale moderne de l'État où vivent 1,4 million de personnes, totalement inondée.

Selon la municipalité, le fleuve Guaiba qui traverse la ville a atteint le niveau record de 5,09 mètres, bien au-delà du pic historique de 4,76 m recensé pendant les inondations de 1941.

L'eau continue d'avancer dans la métropole et une centaine d'autres localités, avec des conséquences toujours plus dramatiques.

En plus des quelque 70'000 personnes évacuées de leur domicile, plus d'un million de foyers sont privés d'eau et l'ampleur des destructions est pour l'heure incalculable.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Le jeu "Des chiffres et des lettres" va quitter le petit écran

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Après 50 ans, le plus ancien jeu télévisé de France, "Des chiffres et des lettres", va disparaître des grilles à la rentrée. Photo : L'animateur de l'émission Patrice Laffont dans les années 80. (© AFP)

"Le compte est bon" pour le plus ancien jeu télévisé de France: "Des chiffres et des lettres" va disparaître des grilles de France Télévisions à la rentrée, après plus d'un demi-siècle de bons et loyaux services.

"Des chiffres et des lettres", rendez-vous quotidien réunissant des générations de téléspectateurs à l'heure du goûter depuis 1972, n'était déjà plus diffusé que le week-end depuis la rentrée 2022.

Mais cette programmation le samedi et le dimanche "n'a pas été couronnée de succès", a acté le directeur des antennes et des programmes de France Télévisions, Stéphane Sitbon-Gomez, dans une interview à la Tribune Dimanche.

"Après cinquante ans d'existence, c'est un rendez-vous emblématique", reconnaît-il. "C'est une décision difficile, mais nous avons fait le choix d'arrêter ce programme".

La fin d'une ère

Si arrêter des émissions fait "partie de la vie normale de toutes les chaînes", selon lui, la déprogrammation de "Des chiffres et des lettres" marque la fin d'une ère.

D'abord appelée "Le mot le plus long", l'émission devient vite culte sur Antenne 2. Après Patrice Laffont ou Laurent Cabrol, Laurent Romejko tient la barre de la plus vieille émission de PAF, après "Le jour du seigneur", depuis trente ans.

Tout y est culte: l'épreuve de calcul mental, "le compte est bon", celle de vocabulaire avec son tirage alternatif de consonnes et de voyelles, la musique du générique ("Western Patrol") apparue dès 1972.

"Des chiffres et des lettres", qui est également l'une des plus anciennes émissions d'Europe, s'est exportée dans de nombreux pays, de la Belgique à l'Australie.

Plusieurs dizaines de milliers de candidats y ont participé et des centaines de clubs existent, en dehors de la télé, avec leurs tournois ou leurs champions.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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International

Un adolescent de 16 ans "radicalisé" abattu en Australie

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Un adolescent de 16 ans "radicalisé" a blessé une personne lors d'une attaque au couteau samedi soir en Australie, dans la banlieue de Perth. La police l'a abattu (photo prétexte). (© KEYSTONE/EPA/DAN HIMBRECHTS)

Un adolescent de 16 ans "radicalisé" et atteint de troubles mentaux a été abattu samedi soir par la police dans la banlieue de Perth, dans l'ouest de l'Australie, après avoir blessé une personne lors d'une attaque au couteau, ont rapporté les autorités dimanche.

L'adolescent, armé d'un couteau, "s'est précipité" sur les forces de l'ordre et a été mortellement touché par le tir d'un agent, a indiqué le Premier ministre de l'Etat d'Australie-Occidentale Roger Cook lors d'une conférence de presse.

"Il y a des indications selon lesquelles il s'était radicalisé en ligne. Mais je tiens à rassurer la population, à ce stade il semble qu'il ait agi seul", a déclaré M. Cook.

La police a reçu un appel samedi soir de la part d'un homme avertissant qu'il allait commettre "des actes de violence" mais sans donner son nom ni sa localisation, a fait part aux journalistes le responsable de la police de l'Etat, Col Blanch.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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