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Emma et Gabriel : prénoms préférés des bébés genevois

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Emma et Gabriel sont les prénoms qui ont été le plus souvent donnés aux bébés genevois

Emma pour les filles et Liam pour les garçons ont été les prénoms les plus souvent donnés en Suisse romande aux nouveaux-nés l'an dernier. Ils sont aussi en tête à l'échelon national, a indiqué lundi l'Office fédéral de la statistique (OFS). A Genève, Emma arrive également en tête des prénoms donnés aux petites filles mais Gabriel l'emporte chez les garçons.

Emma occupe donc à nouveau le premier rang, tout comme en 2017, 2014, 2012 et 2011. Le prénom masculin Liam prend la tête du palmarès de 2018 alors qu'il était en deuxième position durant les trois précédentes années, toujours derrière Noah.

Derrière Emma (504), Mia (445) et Sofia (342) complètent le podium 2018. Ce résultat se base sur les prénoms choisis pour les 42'838 filles nées cette année-là. Suivent encore Lea, Elena, Emilia, Mila, Anna, Laura et Lena.

Chez les garçons (45'013), Noah (443) talonne Liam (446) alors que Leon (344) occupe la troisième marche du podium. De la 4e à la 10e place suivent Luca, Elias, Gabriel, Matteo, Louis, Ben et David.

Différents d'une région à l'autre

Les prénoms occupant le haut du classement en 2018 diffèrent d'une région linguistique à l'autre, rappelle l'OFS. En Suisse alémanique, la première place revient à Noah pour les garçons et à Mia pour les filles. En Suisse italienne, Leonardo et Sofia arrivent en tête, alors que la préférence est donnée à Alessio et Chiara dans la région linguistique romanche.

Comme dans l'ensemble de la Suisse, Liam et Emma sont également très appréciés dans les cantons de Vaud et du Valais, où ils se hissent au premier rang. Selon les cantons, le choix du prénom des nouveau-nés varie. Si Ben et Mia arrivent en tête dans les cantons de Berne et Lucerne, à Zurich ce sont Noah et Emma et à Saint-Gall Leon et Lea par exemple.

Daniel et Maria

Dans la population résidante permanente en Suisse, Daniel et Maria étaient les prénoms les plus fréquents en 2018. Suivent Peter, Thomas, Hans et Christian chez les hommes et Anna, Ursula, Sandra et Ruth chez les femmes.

Les préférences évoluent passablement au fil du temps. Pour les personnes nées en 1958, les prénoms Peter, chez les hommes, et Maria, chez les femmes, figurent en première place alors que, pour celles nées en 1978, Daniel et Sandra sont en tête de liste. Dans la génération 1998, ce sont Luca et Laura qui sont sur le podium.

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Quels sont les risques Méconnus du Glutamate et de l'Aspartame?

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Le glutamate et l'Aspartame sont deux additifs alimentaires largement utilisés dans l'industrie alimentaire pour améliorer la saveur des aliments et des boissons. Malgré leur popularité,ils sont préoccupants quant à leurs effets sur la santé. 

Le glutamate est un acide aminé non essentiel qui se trouve naturellement dans de nombreux aliments, notamment les tomates, le fromage, les champignons et les viandes. Cependant, il est souvent utilisé sous forme d'additif alimentaire, notamment sous le nom de glutamate monosodique (MSG), pour rehausser la saveur umami des plats. Certains individus peuvent présenter une sensibilité au MSG, ce qui peut entraîner des symptômes désagréables tels que maux de tête, nausées, engourdissements et palpitations cardiaques. Cette sensibilité, connue sous le nom de syndrome du restaurant chinois, reste controversée. Cependant, des études animales suggèrent que des niveaux élevés de glutamate peuvent endommager les cellules nerveuses dans le cerveau. Des chercheurs ont émis l'hypothèse que la consommation excessive de glutamate pourrait être liée à des problèmes de santé tels que l'obésité et les maladies cardiovasculaires.Cela reste à confirmer par des études supplémentaires.

Aspartame: Un édulcorant controversé

L'Aspartame est un édulcorant artificiel utilisé dans de nombreux produits sans sucre, tels que les boissons gazeuses, les chewing-gums et les desserts. Il est approuvé par la plupart des organismes de réglementation alimentaire dans le monde, y compris la FDA(USA) et l'EFSA (Autorité européenne de sécurité des aliments), qui le considèrent comme sûr lorsqu'il est consommé dans les limites établies.Malgré cela l'Aspartame continue de susciter des inquiétudes en raison de certaines études associant sa consommation à un risque accru de cancer, de maladies neurodégénératives et de troubles métaboliques tels que le diabète. De plus, certaines personnes peuvent présenter une sensibilité à l'Aspartame, présentant des symptômes tels que maux de tête, vertiges, troubles de la vision et réactions allergiques. Bien que ces réactions soient rares, il est important pour les individus sensibles d'éviter l'Aspartame et de rechercher des alternatives sûres.Si vous avez envie de boissons ou aliments sucrés,mieux vaut faire l’impasse sur l'Aspartame et consommer du vrai sucre dans la limite du raisonnable.

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Nemo, l'artiste suisse qui défie les codes à l'Eurovision (VIDEO)

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KEYSTONE/Peter Schneider

Les fans de musique de toute l'Europe s'apprêtent à se donner rendez-vous pour l'Eurovision. Chez les parieurs, un nom porteur d'un message universel se détache. Il s'agit de Nemo, l'artiste suisse non-binaire qui, avec son titre "The Code", s'apprête à représenter la Suisse. J'ai eu le privilège de m'entretenir avec Nemo, ainsi qu'avec Jean-Marc Richard, figure emblématique du concours, afin de discuter de cette chanson, de son impact et des enjeux de ce concours pas comme les autres.

 

« Non, on ne se lasse pas, parce que c'est chaque année différent », commence Jean-Marc Richard, vétéran de 33 Eurovisions. « Et surtout, ce qui est intéressant, c'est que chaque année, la chanson suisse amène quelque chose de nouveau. »

Nemo, originaire de Bienne et résidant en Allemagne, nous offre avec "The Code" une œuvre éclectique et dynamique, mêlant divers styles musicaux. « C'était une de ces situations où je sens qu'il y a deux types de musique à faire, et on ne peut pas vraiment décider dans quel état on va tomber », explique Nemo. « Il y a ce moment quand vous écrivez et que vous pensez à chaque phrase, et puis il y a ce stade où tout se passe en vous, et vous ne pensez même pas à ce que vous créez à ce moment-là, vous le faites, et vous vous demandez après comment c'est venu. »

L'artiste décrit le processus créatif spontané derrière "The Code", né lors d'un camp de la Société Suisse des Auteurs. « C'était ma première fois au camp de la SUISA, et j'ai pensé que j'étais invité là-bas comme auteur... et puis j'ai compris « Ah, ok, donc nous écrivons pour moi? C'est parti ! » Et c'était tellement une bonne expérience que le lendemain, je me suis dit immédiatement « Ok, je vais chanter pour moi tellement c'est amusant! » Et c'est là que the code est arrivé... »

L'Eurovision, au-delà d'être un événement musical, est souvent perçu à travers le prisme de la géopolitique. Jean-Marc Richard souligne l'importance des dynamiques politiques, mais aussi la capacité du concours à transcender ces considérations. « Je pense que c'est une des particularités de l'Eurovision, mais ce qui est intéressant cette année, c'est qu'il y a une telle diversité dans les chansons que finalement, au-delà de cette problématique de géopolitique, je crois qu'on arrivera à se mettre ensemble pour faire un vrai concours avec quelque chose qui nous rapproche les uns des autres. »

Nemo, aborde le concours avec une perspective personnelle, axée sur l'authenticité, sans laisser la politique s'immiscer. « L'unique chose que je peux faire, c'est écrire quelque chose qui est vrai pour moi-même et auquel je me sens profondément connecté. »

 

L'artiste non-binaire parle également de son voyage personnel vers la découverte de soi. « C'était un long processus pour moi... Et c'est un voyage en cours et un beau voyage pour moi parce que cet espace vient avec beaucoup de liberté et beaucoup de joie, beaucoup de sentiment de vraiment confortable dans mon corps pour la première fois. »

Quant à la performance à venir à l'Eurovision, Nemo reste discret sur les détails, mais promet une scénographie à la hauteur de la diversité de sa chanson. « Nous travaillons sur un design différent en ce moment, avec deux designers magnifiques de la Suède qui travaillent sur le costume de scène. Et ça va être... Je l'aime déjà, mais je ne peux pas vraiment dire beaucoup sur ça encore. »

Avec "The Code", Nemo incarne non seulement la diversité musicale, mais aussi un message de tolérance et d'acceptation de soi qui résonne puissamment dans le cœur de l'Eurovision. Un message qui, à n'en pas douter, trouvera un écho auprès des spectateurs du monde entier.

Avec IA

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"Tu t'en sors?" ou comment s'amuser en toute sécurité la nuit

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La Prévention suisse de la criminalité (PSC) organise jusqu'au 28 juin une campagne de prévention nationale pour que la fête se déroule en toute sécurité (photo d'illustration). (© KEYSTONE/DOMINIC FAVRE)

Comment faire la fête le soir et rentrer chez soi en toute sécurité. C'est le thème de la campagne nationale de prévention lancée lundi à l'attention des jeunes amateurs de sorties nocturnes. Cette sensibilisation se décline en trois conseils: "think, stay, help".

 

Les fêtes de la nuit sont souvent un "must" pour les jeunes. Mais souvent, elles sont le théâtre d'insultes, de harcèlement, de menaces et de violences physiques pouvant aller jusqu’à de graves infractions comme des viols ou des coups de couteau, souligne dans un communiqué la Prévention suisse de la criminalité (PSC).

La campagne "Tu t’en sors?" vise à ce qu'aucun soir de fête ne vire au cauchemar. Menée en collaboration avec les corps de police cantonaux et municipaux, elle s'adresse à tous ceux qui aiment sortir, soit aux auteurs potentiels, victimes, tiers et témoins.

La campagne donne trois conseils, formulés en anglais: "You better think" (Réfléchis bien), "Stay together" (Restez ensemble) et "Help if you can" (apporte ton aide si tu peux). Concrètement, il s'agit de garder dans la mesure du possible le contrôle sur soi-même, éviter d'être complètement ivre, garder un oeil sur les boissons des uns et des autres, organiser les retours ou aider une personne harcelée ou en détresse. Face à un risque d'escalade, il ne faut pas hésiter à appeler la police au 117.

Sur sa page d'accueil, la PSC rappelle que l'unique responsable d'un acte de violence est celui qui le commet. La victime n'est pas coupable. La campagne nationale sera visible sur des affiches et des dessous de verre. Les actions auront lieu dans des lieux bien fréquentés, jusqu’au 28 juin.

Avec Keystone-ATS

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Entre TikTok et crise médiatique, les jeunes face à l'information

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Image pretexte (© KEYSTONE/Martial Trezzini)

En cette Journée de la liberté de la presse, Viviane, Canadienne de 20 ans en stage chez Radio Lac, nous offre un aperçu de la manière dont sa génération consomme l'information.

"Les jeunes, on s'intéresse encore beaucoup à l'actualité, mais pas nécessairement les mêmes sujets que les autres générations," confie Viviane, soulignant que les thèmes de l'écologie et des questions sociales résonnent particulièrement auprès de sa génération. "C'est sûr que nous, tout ce qui est écologie et même les sujets un petit peu plus sociaux, ça vient vraiment nous toucher."

Viviane vit actuellement à Genève en colocation avec une adolescente de 16 ans qui, selon elle, "aime vraiment l'actualité internationale". De quoi prouver un intérêt générationnel pour les affaires mondiales, allant à l'encontre de l'idée reçue que les jeunes se désintéressent de l'information.

L'ère numérique a transformé la consommation de l'information. Viviane explique que pour elle et ses pairs, l'accès à l'information doit être dynamique et immédiat: "Je n'irai pas m'acheter un journal papier, c'est sûr que non." Elle ajoute, "Je ne regarde pas un téléjournal qui fait 20-30 minutes. L'information, je dois l'avoir de manière dynamique, au bout de mes doigts, je pense surtout à TikTok."

TikTok, avec sa grammaire visuelle et son format concis, est devenu un vecteur d'information clé pour les jeunes. "C'est le réseau social qui nous a donné vraiment un petit peu le déclic de devoir avoir quelque chose de court, concis, rapide, puis dans les médias aussi, il faut que ça soit ça," explique-t-elle.

Le cout de l'information

Cependant, ce modèle pose des défis financiers pour les médias traditionnels, car "ça coûte de faire de l'information, c'est pour ça qu'un bon vieux journal, on le paye et sur TikTok, on ne paye pas". Au Canada, cette problématique a mené à des débats houleux et à l'intervention du gouvernement pour que les géants numériques contribuent financièrement au soutien des médias.

En Suisse, la situation est similaire, avec des cantons qui financent des abonnements pour les jeunes afin de soutenir les médias. La question de la rémunération des contenus de presse par les plateformes numériques est cruciale, et le Canada a connu un blocus où des plateformes comme Facebook ont refusé de payer, bloquant ainsi l'accès aux médias canadiennes.

"Ça vient créer un gros problème d'information, de ressources à l'information et je sais que, oui, les jeunes, on trouve nos nouvelles sur les réseaux sociaux, mais dans les sondages qui sont sortis, ce n'est pas juste nous. Maintenant, le commun des mortels aussi va s'informer par rapport à ça," conclut Viviane.

Le portrait que dresse Viviane de sa génération est celui d'une jeunesse engagée et informée, mais qui se heurte à une crise médiatique et à la nécessité d'adapter les modèles de diffusion de l'information. La liberté de la presse, célébrée aujourd'hui, s'accompagne de défis inédits à l'ère du numérique. De quoi rappeler que la nouvelle application Radio Lac est disponible!

Avec IA

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Les restos d’Edouard:Monsieur Bouillon

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Longtemps sous la houlette du chef Philippe Chevrier,l’histoire de Monsieur Bouillon continue, mais depuis peu sans le chef et propriétaire du Domaine de Châteauvieux et du steakhouse Chez Philippe. 

C’est à Loris Vial que Philippe Chevrier à passé le flambeau pour reprendre la direction du lieu. Du côté des cuisines,c’est le chef Quentin Chasseray qui entretient la flamme des fourneaux ,tandis que Simone de Santis supervise toujours la salle de cette élégante brasserie située en plein centre du quartier des Banques.

Qu’est-ce qu’on mange?

Déjà, il y a la formule de la semaine...En entrée, une tartelette ricotta, ail des ours et asperges. Du côté du plat, vous avez le choix entre deux options : les trofie ( pâtes allongées, fines et torsadées), pesto à l’ail des ours, noisette et tofu ou des endives braisées, chiffonnade de jambon et jaune d’œuf confit. Plat un peu brouillon dans sa présentation mais loin d’être inintéressant dans ses sensations. Du côté des desserts, l’œuf à la neige de la maison est à l’honneur. Des mets à la carte vous sont proposés comme le gravlax de truite dû Valais,raifort petits pois et menthe ou épaule de veau sauce tonnato et bien d’autres à découvrir. Même si quelques réglages ne seraient pas superflus,il fait  bon de retourner chez Monsieur Bouillon.

Retrouvez les restos d’Edouard chaque Jeudi 11h20 dans l’émission il suffit de demander et recevez la newsletter d’Edouard Amoiel https://amoiel.ch/

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