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Nemo, l'artiste suisse qui défie les codes à l'Eurovision (VIDEO)

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KEYSTONE/Peter Schneider

Les fans de musique de toute l'Europe s'apprêtent à se donner rendez-vous pour l'Eurovision. Chez les parieurs, un nom porteur d'un message universel se détache. Il s'agit de Nemo, l'artiste suisse non-binaire qui, avec son titre "The Code", s'apprête à représenter la Suisse. J'ai eu le privilège de m'entretenir avec Nemo, ainsi qu'avec Jean-Marc Richard, figure emblématique du concours, afin de discuter de cette chanson, de son impact et des enjeux de ce concours pas comme les autres.

 

« Non, on ne se lasse pas, parce que c'est chaque année différent », commence Jean-Marc Richard, vétéran de 33 Eurovisions. « Et surtout, ce qui est intéressant, c'est que chaque année, la chanson suisse amène quelque chose de nouveau. »

Nemo, originaire de Bienne et résidant en Allemagne, nous offre avec "The Code" une œuvre éclectique et dynamique, mêlant divers styles musicaux. « C'était une de ces situations où je sens qu'il y a deux types de musique à faire, et on ne peut pas vraiment décider dans quel état on va tomber », explique Nemo. « Il y a ce moment quand vous écrivez et que vous pensez à chaque phrase, et puis il y a ce stade où tout se passe en vous, et vous ne pensez même pas à ce que vous créez à ce moment-là, vous le faites, et vous vous demandez après comment c'est venu. »

L'artiste décrit le processus créatif spontané derrière "The Code", né lors d'un camp de la Société Suisse des Auteurs. « C'était ma première fois au camp de la SUISA, et j'ai pensé que j'étais invité là-bas comme auteur... et puis j'ai compris « Ah, ok, donc nous écrivons pour moi? C'est parti ! » Et c'était tellement une bonne expérience que le lendemain, je me suis dit immédiatement « Ok, je vais chanter pour moi tellement c'est amusant! » Et c'est là que the code est arrivé... »

L'Eurovision, au-delà d'être un événement musical, est souvent perçu à travers le prisme de la géopolitique. Jean-Marc Richard souligne l'importance des dynamiques politiques, mais aussi la capacité du concours à transcender ces considérations. « Je pense que c'est une des particularités de l'Eurovision, mais ce qui est intéressant cette année, c'est qu'il y a une telle diversité dans les chansons que finalement, au-delà de cette problématique de géopolitique, je crois qu'on arrivera à se mettre ensemble pour faire un vrai concours avec quelque chose qui nous rapproche les uns des autres. »

Nemo, aborde le concours avec une perspective personnelle, axée sur l'authenticité, sans laisser la politique s'immiscer. « L'unique chose que je peux faire, c'est écrire quelque chose qui est vrai pour moi-même et auquel je me sens profondément connecté. »

 

L'artiste non-binaire parle également de son voyage personnel vers la découverte de soi. « C'était un long processus pour moi... Et c'est un voyage en cours et un beau voyage pour moi parce que cet espace vient avec beaucoup de liberté et beaucoup de joie, beaucoup de sentiment de vraiment confortable dans mon corps pour la première fois. »

Quant à la performance à venir à l'Eurovision, Nemo reste discret sur les détails, mais promet une scénographie à la hauteur de la diversité de sa chanson. « Nous travaillons sur un design différent en ce moment, avec deux designers magnifiques de la Suède qui travaillent sur le costume de scène. Et ça va être... Je l'aime déjà, mais je ne peux pas vraiment dire beaucoup sur ça encore. »

Avec "The Code", Nemo incarne non seulement la diversité musicale, mais aussi un message de tolérance et d'acceptation de soi qui résonne puissamment dans le cœur de l'Eurovision. Un message qui, à n'en pas douter, trouvera un écho auprès des spectateurs du monde entier.

Avec IA

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International

Apparement YMCA n'a jamais été un hymne gay

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Le président élu Donald Trump, au centre, danse alors que les Village People interprètent "Y.M.C.A" lors d'un rassemblement avant la 60e inauguration présidentielle, le dimanche 19 janvier 2025, à Washington. (Photo AP/Matt Rourke)

Depuis de sa sortie en 1978, le tube disco "Y.M.C.A." est devenu indissociable de la communauté gay. Aujourd'hui c'est le président américain Donald Trump qui l'a récupéré avec l'aval des Village People, reniant ses origines.

Double dose de bras en l'air: au meeting géant dimanche, puis lors d'un gala lundi en marge de l'investiture du nouveau président des Etats-Unis, la célèbre chanson disco est associée à la victoire du candidat républicain.

Les images de sa chorégraphie sur cette musique pendant sa campagne sont devenues virales sur les réseaux sociaux. Dimanche soir, le futur 47e président des Etats-Unis a de nouveau esquissé quelques pas de danse sur scène, entouré du groupe de disco américain star des années 1970.

La chanson, composée par le leader Victor Willis ainsi que Jacques Morali et le producteur Henri Belolo, tous deux Français, incarnait pourtant à l'origine un hymne de la communauté homosexuelle masculine, avec des codes gays - jusqu'aux costumes stéréotypés - et un refrain évocateur dont personne n'était dupe: "C'est amusant de séjourner au Y.M.C.A./Ils ont tout pour que les jeunes hommes s'amusent/Tu peux passer du temps avec tous les garçons".

Démenti

Loin des positions conservatrices du futur locataire de la Maison-Blanche, qui inquiète la communauté LGBT+.

"Y.M.C.A." (pour "Young Men's Christian Association", une association de jeunesse chrétienne) n'est pas un hymne gay, a réitéré depuis son parolier Victor Willis: il a annoncé en décembre qu'il comptait poursuivre tous ceux qui prêteraient cette signification à la chanson.

"Laissons une chance au président Trump, indépendamment de ce que vous avez pu penser de lui dans le passé. Voyons ce qu'il va faire à l'avenir et, s'il prend des mesures pour restreindre les droits des LGBTQ, les Village People seront les premiers à s'exprimer", a-t-il écrit vendredi sur Facebook.

Le tube avait déjà été utilisé lors des meetings républicains en 2020, ce que son co-auteur - traditionnellement déguisé en policier - n'avait pas apprécié. Après son revirement et sa réponse favorable à l'invitation de Donald Trump de participer à son investiture, les critiques ont plu.

"Pas un groupe politique"

"Village People se produira aussi bien pour les démocrates que pour les républicains. Nous ne sommes pas un groupe politique. Nous ne l'avons jamais été et nous ne le serons jamais, même si certains d'entre vous essaient de nous faire passer pour tels", a rétorqué Willis dimanche sur Facebook.

En attendant, "Y.M.C.A." a bénéficié de ce coup de projecteur: plus de quarante ans après sa sortie, il a atteint le haut des classements, devenant à nouveau un succès commercial.

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Cinéma & Séries TV

[Interview] Le film « Jouer avec le feu » nous plonge dans les extrêmes

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© 2024 Felicita - Curiosa Films - France 3 Cinema

Un regard intense, des silences lourds de sens et une tension omniprésente: « Jouer avec le feu », le dernier film mettant en scène Vincent Lindon en père de famille dons les fils sont Benjamin Voisin et Stéfan Crépon, détonne par son approche émotionnelle et sa profondeur quand les liens fraternels s’entrelacent dans un récit extrémiste. Les jeunes acteurs étaient mes invités où rires et plaisanteries ont permis de détendre l’atmosphère tout en abordant des thèmes graves.

« Ce film n’est pas manichéen », souligne Benjamin Voisin. « Il ne dicte pas ce qui est bien ou mal, mais invite le spectateur à réfléchir sur les évolutions de notre société et les fractures qu’elles engendrent. » L’histoire s’attarde sur deux frères, incarnés par Voisin et Crépon, confrontés à la radicalisation de l’un d’eux dans un contexte où la violence et les tensions identitaires prennent le pas sur l’amour familial.

Réflexion sur les choix individuels

Dans le film, les réalisatrices choisissent de ne pas justifier les actes des personnages par des éléments biographiques. « L’absence de la mère, le père ouvrier qui fait de son mieux… rien de tout cela n’explique ou n’excuse ce qui arrive à mon personnage », affirme Voisin. « Cela montre que la radicalisation est avant tout une question de perception du monde. »

Stéfan Crépon, qui joue le frère « réussi », décrit avec émotion les défis de son rôle. « Mon personnage tente de maintenir l’équilibre dans cette famille déchirée, mais il est lui-même envahi par l’absence de sa mère et le poids de deux personnalités fortes autour de lui. » Une position complexe, renforcée par l’écriture ciselée du scénario adapté d’un roman acclamé.

L’équipe du film, menée par un Vincent Lindon au sommet de son art, semble avoir trouvé une véritable alchimie. « On est presque une vraie famille sur le plateau », confie Crépon, « Vincent fixe une barre si haute qu’on ne peut que se dépasser. » Les deux acteurs, amis de longue date, admettent que leur proximité a facilité leur travail. « Jouer des frères était naturel, on l’était presque déjà dans la vie », ajoute Voisin.

S'ouvrir dans un monde fermé

En toile de fond, le film interroge les dérives sociétales modernes, des tensions identitaires aux questions d’appartenance. Pour Voisin, « c’est fascinant de voir comment, dans un monde qui prône l’ouverture, on construit parallèlement des murs invisibles à travers des discours exclusifs. »

Sans jamais sombrer dans la gratuité ou la violence dénuée de sens, « Jouer avec le feu » mise sur les non-dits, les regards et les dilemmes moraux pour captiver son public. Une expérience que Voisin résume ainsi : « Voir ce film en salle, sans pause, c’est se condamner à suivre les personnages dans leur cheminement, jusqu’à l’inévitable. »

« Jouer avec le feu » est en salle le 22 janvier.

Avec IA

 

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International

Les miels soit-disant aphrodisiaques sont surtout dangereux

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Via pexels

Des dosettes de miel, soit disant aphrodisiaque, ont été saisies en France. Les problèmes autour de ces faux produits naturels s'accumulent.

 

Les services douaniers indiquent dans un communiqué avoir noté "une nette tendance à la hausse depuis plusieurs années" de dosettes, introduites illégalement sur le territoire, qui contiennent du "miel mélangé à des médicaments". Ces produits sont "vendus sous le manteau, pour une consommation qui se veut 'festive' mais qui est surtout dangereuse".

En 2019, 18 cas d'importation illégale ont été relevés, selon les douanes, puis 131 en 2023. L'année 2024 a marqué un "record absolu, tant en termes de constatations, qu'en termes de quantités saisies" avec 31'000 tonnes, écoulées notamment dans "des commerces de nuit", indiquent les douanes.

L'affaire la plus importante a porté sur "13 tonnes de miel érectile" saisies à Marseille en novembre. Les agents du bureau de douane de Marseille port ont saisi alors près de 860'000 sticks en provenance de Malaisie. L'analyse de plusieurs échantillons de cette marchandise déclarée comme "miel naturel" a révélé la présence du principe actif des médicaments prescrits en cas de troubles de l'érection.

"Ces miels adultérés viennent de Malaisie, de Turquie, de Tunisie ou encore de Thaïlande", décrivent les douanes. Ils sont acheminés par voie maritime, "dans des conteneurs en grande quantité, ou bien par le biais du fret express, en plus petit volume, suite à achat sur internet".

Effets indésirables

Les autorités sanitaires ont elles aussi déjà mis en garde contre ces miels qui exposent les consommateurs à des effets indésirables graves.

Vendus notamment via internet ou les réseaux sociaux, ces produits sont présentés comme "des compléments alimentaires à finalité aphrodisiaque" et certains contiennent des substances actives médicamenteuses non mentionnées sur les étiquetages, dont des principes actifs du Viagra et du Cialis, deux médicaments contre les troubles de l'érection vendus uniquement sur ordonnance.

Or ces substances sont de puissants vasodilatateurs et sont en particulier contre-indiquées chez les personnes souffrant de pathologies cardiaques, soulignent les autorités sanitaires.

En 2021 déjà, elles avaient dit avoir répertorié de nombreux signalements d'effets indésirables graves consécutifs à la consommation de ces produits, ayant engendré des convulsions, des oedèmes cérébraux, ou des insuffisances rénales aiguës majeures.

Avec Keystone-ATS

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Une photo de la semaine sous le feu de l’actualité

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Ethan Swope / AP

Chaque semaine, en compagnie du photographe Keystone-ATS Laurent Gilliéron, un cliché saisissant est mis en lumière. Cette fois, direction les États-Unis, où les incendies en Californie font rage. Une image marquante, signée par Ethan Swope, photographe de l’Associated Press, nous transporte au cœur de la tragédie. Une scène à la fois dramatique et esthétiquement puissante, sublimée par un contre-jour maîtrisé.

 

 

Ce qui frappe dans ce cliché, c’est sa proximité. « On sent que le photographe est à seulement 3 ou 4 mètres du pompier », souligne Gilliéron. Un détail révélateur des conditions de travail des journalistes sur place, parfois en plein cœur des flammes. « Aux États-Unis, les zones touchées par de tels incendies sont si vastes qu’il est presque impossible de les fermer entièrement à la presse », poursuit-il. Un contraste frappant avec la Suisse, où les accès sont rapidement restreints et contrôlés lors de catastrophes.

Quand le lieu amplifie l’impact médiatique

Pourquoi parle-t-on autant de ces incendies en Californie ? « Les États-Unis, et en particulier Los Angeles, regorgent de médias. Cela joue un rôle dans la visibilité », analyse Laurent Gilliéron. À cela s’ajoute le caractère visuellement saisissant des images, un facteur indéniable pour capter l’attention. « Mais il ne faut pas oublier les crises oubliées, comme en Somalie ou ailleurs, simplement parce qu’elles ne bénéficient pas d’une telle couverture », rappelle-t-il.

Alors que les flammes continuent de dévaster la région, les photos affluent toujours. « Aujourd’hui, nous recevons principalement des images des dégâts laissés par les incendies », conclut Gilliéron. Une preuve que la catastrophe, bien que toujours en cours, se transforme peu à peu en chronique des ravages humains et environnementaux.

Avec IA

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Expositions et spectacles

Sauvage comme le loup: une exposition entre nature et anthropologie

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Via Pexels

Ce week-end, la Galerie Ruines, située au cœur des Eaux-Vives à Genève, accueille l’exposition "Sauvage comme le loup" de Claire Galloni d’Istria, photographe et anthropologue. À travers une série de 20 clichés en noir et blanc, l’artiste nous invite à réfléchir sur les relations complexes entre l’homme et cet animal fascinant. Elle était mon invitée.

 

« Le loup, c’est un animal dont on ne cesse de parler. Il est porteur d’une symbolique forte, celle du sauvage, mais aussi d’un miroir pour nos propres comportements », explique Claire Galloni d’Istria. Cette exposition ne cherche pas à apporter des réponses tranchées sur la place du loup en Europe, mais plutôt à interroger nos perceptions. Entre mythes et réalités, les photos transportent les visiteurs dans des paysages alpins intemporels, où la présence du loup est à la fois suggérée et absente.

Un travail intime mais jamais solitaire

Certains clichés capturent des montagnes majestueuses, comme les glaciers d’Argentière et de Trient, mais sans trace visible de l’homme ou du loup. « C’est un contraste volontaire », souligne l’artiste. « Ces lieux, que l’on imagine sauvages, sont en réalité marqués par l’empreinte humaine : téléphériques, parkings, hélicoptères. » L’objectif est d’interroger le concept même de nature sauvage dans un monde où chaque espace semble partagé entre l’homme et l’animal.

L’exposition est également une aventure familiale. Certaines photos ont été réalisées par le fils de Claire Galloni d’Istria, offrant un regard complémentaire. « C’est ma manière de le remercier pour ces années où il m’a accompagnée sur le terrain », confie la photographe.

Un mariage fructueux

Outre son travail visuel, le métier d'anthropologue joue un role dans l'exposition. « L’image, ce n’est pas qu’un outil pour illustrer une histoire, c’est un partenaire de recherche. Elle permet de construire des récits et de nourrir la réflexion sur nos interactions avec le sauvage », explique-t-elle. Une de ses œuvres emblématiques, une photo floutée qui se défloute progressivement, illustre cette zone grise où s’effacent les frontières entre l’homme et l’animal.

L’exposition explore également le mythe du loup-garou. « Cette figure symbolise la métamorphose et les transgressions, des thèmes omniprésents dans les récits alpins », note l’artiste. Ce lien entre folklore et anthropologie enrichit l’expérience des visiteurs rappelle Claire Galloni d’Istria.

A voir ce week-end ou cet été

L’exposition « Sauvage comme le loup » est ouverte jusqu’à ce dimanche à la Galerie Ruines, Rue des Vollandes à Genève, de 14h à 20h. Une occasion unique de plonger dans un univers où nature, culture et mythologie se rencontrent.

Claire Galloni d’Istria promet de nouvelles expositions à venir, notamment en 2026 au musée de Bagne et cet été à la Biennale. Un rendez-vous à ne pas manquer pour tous les passionnés de récits alpins et de symbolisme sauvage.

© Claire Galloni d'Istria

Avec IA

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