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Politique

Alice Genoud est seule candidate pour la présidence des Verts

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La députée écologiste Alice Genoud siège au Grand Conseil vaudois depuis décembre 2019. (© Les Verts Vaud)

La députée lausannoise écologiste au Grand Conseil Alice Genoud est seule candidate à la succession d'Alberto Mocchi pour la présidence des Verts vaudois. Son élection aura lieu le 10 juin prochain lors de l'assemblée générale du parti à Lausanne, ont indiqué les Verts mercredi dans un communiqué.

Alice Genoud remplacera ainsi M. Mocchi, en poste depuis six ans et qui avait annoncé en mars dernier vouloir laisser la place à la relève et de préférence féminine. Elle est actuellement aussi membre de la direction du parti cantonal.

Mme Genoud est membre des Verts vaudois depuis quinze ans. Elle a présidé les Jeunes Verts Vaud de 2011 à 2015. Elle a été conseillère communale à Lausanne de 2016 à 2019 où elle a coprésidé le groupe pendant deux ans.

Elle est entrée comme "vienne-ensuite" au Grand Conseil en décembre 2019 où elle est vice-cheffe de groupe. Mme Genoud travaille actuellement comme cheffe de projet pour des démarches participatives dans un bureau lausannois et comme assistante parlementaire de Sophie Michaud Gigon, conseillère nationale (Verts/VD).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Les conservateurs au pouvoir subissent un revers électoral massif

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Dans la capitale britannique, le travailliste Sadiq Khan a été réélu largement pour un historique troisième mandat. (archives) (© KEYSTONE/AP/Alastair Grant)

Le revers électoral massif du parti conservateur britannique au pouvoir s'est accentué samedi, les derniers résultats des élections locales confirmant la large victoire des travaillistes, notamment à Londres où Sadiq Khan a remporté un troisième mandat.

Dans la capitale britannique, Sadiq Khan a été réélu largement avec 43,8% des votes pour un historique troisième mandat, face à la conservatrice Susan Hall (32,7%).

Il s'est dit "honoré" et "fier" et a affirmé espérer que cette année "sera une année de grand changement" avec "un futur gouvernement travailliste".

Déjà vendredi, les premiers résultats montraient que les Tories au pouvoir depuis 14 ans allaient connaître leur pire défaite en 40 ans pour un scrutin local, au cours duquel les électeurs étaient appelés à voter pour une législative partielle - gagnée par le Labour - et pour renouveler une partie des milliers d'élus locaux en Angleterre et au Pays de Galles, ainsi que onze maires.

Les gains substantiels de l'opposition travailliste renforcent ses espoirs de voir arriver son chef Keir Starmer à Downing Street après les élections législatives prévues plus tard cette année.

"Aujourd'hui nous célébrons le début d'une page qui se tourne, l'une des dernières étape avant les élections législatives", s'est félicité samedi Keir Starmer à Mansfield dans les East Midlands où il célébrait l'élection de la maire travailliste Clare Ward.

"Tournons la page du déclin et lançons le renouveau national avec le Labour", a-t-il ajouté, promettant notamment de rebâtir le système de santé à la dérive, après avoir appelé la veille le Premier ministre Rishi Sunak à convoquer des élections législatives.

Cependant, Rishi Sunak, qui fait face à des divisions dans ses rangs, a encore défendu samedi sa politique, notamment son projet d'expulser des migrants vers le Rwanda ou encore ses baisses d'impôts.

"Le Labour n'a pas gagné dans des endroits où ils ont admis devoir l'emporter" pour obtenir une majorité à l'issue des prochaines législatives. "Seuls les conservateurs ont un plan" pour le pays, a-t-il assuré dans une tribune publiée dans le journal conservateur The Telegraph.

Au total, le Labour a gagné plus de 180 sièges et va diriger huit conseils locaux supplémentaires, tandis que les conservateurs ont perdu plus de 470 sièges et lâché la main sur au moins dix conseils locaux.

La montée en puissance de Reform UK, parti nationaliste et populiste, fondé par le champion du Brexit Nigel Farage a aussi de quoi inquiéter les conservateurs, qui pourraient leur céder des voix lors des législatives.

Tout n'est pas rose non plus pour le Labour, qui a notamment perdu des électeurs du fait de sa position jugée par certains de ses électeurs trop pro-israélienne dans le conflit entre Israël et le Hamas à Gaza.

Peu d'enthousiasme

Il a plus bénéficié "d'une volonté (des électeurs) de battre les conservateurs" que d'un "enthousiasme" à son égard, alors que la participation est restée faible (moins de 30% dans la plupart des scrutins locaux), a estimé John Curtice, professeur de sciences politiques.

Toutefois, "rien dans ces résultats ne vient troubler l'impression créée depuis longtemps selon laquelle les travaillistes sont en bonne voie pour remporter les prochaines élections législatives", selon lui.

Outre Londres, les travaillistes ont à ce stade remporté dix des onze scrutins municipaux qui se tenaient dans plusieurs grandes villes du pays, comme Manchester, Liverpool, Leeds ou Sheffield (South Yorkshire), mais aussi dans l'agglomération de York et North Yorkshire, là même où se trouve la circonscription du Premier ministre.

Alors que le dépouillement est toujours en cours dans le très disputé West Midlands (Birmingham), les conservateurs doivent se contenter pour l'instant d'une seule victoire, avec la réélection du maire conservateur de Tees Valley (est), Ben Houchen, annoncée vendredi.

Rishi Sunak avait couru le féliciter, y voyant un signe que les conservateurs peuvent encore renverser la vapeur avant les législatives.

Cette victoire est la preuve que "les conservateurs tiennent leur promesse", avait-il déclaré, vantant notamment la réussite de plusieurs projets économiques, et se disant convaincu que les électeurs "resterons fidèles aussi" aux conservateurs lors des législatives.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Politique

Torches au stade: le chef de la SFL veut des peines plus sévères

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Les supporters du Servette avaient allumé de nombreuses torches lors de la demi-finale de la Coupe à Winterthour (archives) (© KEYSTONE)

Le patron de la Swiss Football League (SFL) veut des sanctions plus sévères à l'encontre des fauteurs de troubles dans les stades. Ceux qui lancent des engins pyrotechniques sur des personnes devraient s'attendre à une peine de prison ferme, selon lui.

"Nous voulons des peines plus sévères pour ceux qui ne peuvent manifestement pas être éduqués. C'est là que nous devons intervenir", déclare Claudius Schäfer samedi dans une interview au Blick. "Il s'agit d'une mise en danger de la vie d'autrui."

M. Schäfer réaffirme sa critique du modèle dit "en cascade" que les cantons veulent introduire contre la volonté des clubs et de la ligue. Fermer des secteurs n'a aucun effet sur la violence des supporters et ne fait que provoquer des mouvements de fuite et la solidarité des supporters modérés avec les casseurs, critique-t-il.

Il est essentiel de poursuivre les délinquants individuellement, a ajouté samedi le patron de la SFL sur les ondes de la radio alémanique SRF. Il doute que des contrôles plus stricts empêchent les supporters d'introduire des engins pyrotechniques dans les stades. Ces derniers font partie de la culture "ultra" dans toute l'Europe - même là où les billets personnalisés ont été introduits. De plus, la plupart des débordements se produisent à l'extérieur des stades.

Jets dans les gradins

Le débat sur les jets de torches est la conséquence des débordements survenus lors du match de Coupe entre Winterthour et Servette dimanche dernier. Des supporters du club genevois s'étaient déchaînés avant, pendant et après le match.

Des dizaines de fans servettiens ont envahi le terrain après la rencontre: certains ont lancé des objets pyrotechniques dans les gradins. Une personne a été touchée avec une torche mais personne n'a été blessé. Ces torches sont en principe destinées à attirer l'attention en cas de détresse en mer et peuvent brûler à des températures très élevées.

Les deux clubs s'affrontent à nouveau samedi en Super League, cette fois à Genève. En raison des émeutes du week-end dernier, les autorités ont décidé mardi que la tribune nord du Stade de Genève resterait fermée pendant le match.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Bref échange entre le pape et Viola Amherd au Vatican

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Viola Amherd, la présidente de la Confédération, a été reçue par le pape François samedi matin au Vatican. (© Confédération /Réseau social X)

Le Pape François a reçu Viola Amherd, la présidente de la Confédération helvétique samedi matin au Vatican. Leur rencontre en tête-à-tête a duré près de vingt-cinq minutes.

Sur X, Viola Amherd déclare qu'elle a parlé "de la guerre civile au Soudan, de notre engagement commun en faveur du droit international humanitaire et contre la peine de mort", lors de son audience avec le pape samedi.

Au cours de la réunion qui a suivi avec le secrétaire d'État du Saint-Siège, le cardinal Pietro Parolin, la présidente de la Confédération a présenté la conférence pour la paix en Ukraine au Bürgenstock (NW) les 15 et 16 juin prochain. La situation actuelle dans ce pays, au Moyen-Orient et au Soudan ainsi que le 75e anniversaire des Conventions de Genève ont également été évoqués.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / Adnkronos / ansa

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International

Le Hamas en Egypte pour discuter de l'offre de trêve à Gaza

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Une délégation du Hamas est en Egypte pour poursuivre les discussions sur une trêve dans la bande de Gaza, où l'aide arrive au compte-gouttes. (© KEYSTONE/AP/Hatem Ali)

Une délégation du mouvement islamiste palestinien Hamas se trouve samedi en Egypte pour discuter d'une proposition d'accord de trêve dans la bande de Gaza avec Israël, qui menace de lancer une opération terrestre à Rafah malgré les mises en garde internationales.

Sur le terrain, des frappes israéliennes meurtrières ont été menées à travers le territoire palestinien notamment sur cette ville surpeuplée du sud, selon des sources hospitalières et des témoins.

Après quasiment sept mois d'une guerre dévastatrice, l'offre de trêve sur la table comprend une pause de 40 jours de l'offensive israélienne à Gaza et la libération de prisonniers palestiniens contre celle d'otages enlevés lors de l'attaque sans précédent du Hamas le 7 octobre dans le sud d'Israël, qui a déclenché la guerre.

La délégation du mouvement islamiste, menée par Khalil al-Hayya, numéro deux de la branche politique à Gaza, est arrivée en Egypte, a déclaré un responsable du Hamas, ajoutant qu'un premier round de négociations devait débuter en début d'après-midi avec "la présence des délégations du Qatar, de l'Egypte et des Etats-Unis", les pays médiateurs.

Plus tôt, le site Axios, avait fait état de la présence au Caire du chef de la CIA, William Burns.

Citant une "source de haut rang", Al-Qahera News, un média égyptien proche des renseignements, a indiqué que les médiateurs égyptiens étaient "parvenus à une formule consensuelle sur la plupart des points de désaccord".

Le responsable du Hamas a affirmé que plusieurs points devaient encore être réglés.

Au pouvoir dans la bande de Gaza depuis 2007, le mouvement palestinien avait indiqué vendredi aller au Caire "dans un esprit positif" pour poursuivre les discussions sur l'offre de trêve avec Israël et "parvenir à un accord".

"Vaincre notre ennemi"

Les pays médiateurs attendent depuis près d'une semaine la réponse du Hamas à cette nouvelle offre de trêve.

Vendredi, le Hamas s'est dit "déterminé" à obtenir "un arrêt total de l'agression" israélienne, "le retrait" des forces israéliennes de Gaza et "un arrangement sérieux pour l'échange" d'otages israéliens contre des prisonniers palestiniens.

Israël refuse de son côté un cessez-le-feu définitif, insistant pour mener une offensive terrestre sur Rafah qui constitue selon lui le dernier grand bastion du mouvement islamiste où s'entassent plus d'un million de Palestiniens, en majorité des déplacés par la guerre.

"Nous ferons ce qui est nécessaire pour gagner et vaincre notre ennemi, y compris à Rafah", a répété cette semaine le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu en réaffirmant son intention de lancer cette offensive "avec ou sans accord" de trêve.

Pour Hossam Badran, membre du bureau politique du Hamas, les déclarations de M. Netanyahu sur un assaut à Rafah "visent clairement à faire échouer toute possibilité d'accord" de trêve.

"Au-delà de l'acceptable"

Les Etats-Unis, grand allié d'Israël, ont manifesté à plusieurs reprises leur opposition à cette attaque.

Selon M. Blinken, Israël n'a présenté aucun plan pour protéger les civils de Rafah et de ce fait, les Etats-Unis ne peuvent soutenir une telle opération "car les dommages qu'elle causerait seraient au-delà de ce qui est acceptable".

"Une opération militaire à grande échelle à Rafah pourrait conduire à un bain de sang", a prévenu lui aussi vendredi Tedros Adhanom Ghebreyesus le chef de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

Rafah, située à la frontière fermée de l'Egypte, est le principal point de passage terrestre de l'aide humanitaire pour le territoire palestinien assiégé par Israël.

Une offensive serait "un coup dur pour les opérations humanitaires dans l'ensemble de la bande de Gaza", a averti le Bureau des Affaires humanitaires de l'ONU.

L'aide internationale, strictement contrôlée par Israël, arrive au compte-gouttes dans la bande de Gaza et reste très insuffisante pour répondre aux besoins des quelque 2,4 millions de Gazaouis.

La guerre Israël-Hamas a débuté le 7 octobre par une attaque de commandos du mouvement islamiste dans le sud israélien qui a entraîné la mort de plus de 1170 personnes, essentiellement des civils, selon un bilan de l'AFP établi à partir de données officielles israéliennes.

Durant l'attaque, plus de 250 personnes ont été enlevées et 128 restent captives à Gaza, dont 35 sont mortes, selon l'armée.

Frappes meurtrières

En représailles, Israël a juré de détruire le Hamas qu'il considère comme une organisation terroriste de même que les Etats-Unis et l'Union européenne. Et son armée a lancé une offensive de grande envergure à Gaza qui a fait jusqu'à présent 34'654 morts, majoritairement des civils, selon le ministère de la Santé du Hamas.

Un correspondant de l'AFP a fait état samedi de bombardements et de combats intenses dans la ville de Gaza (nord).

Trois corps et trois personnes blessées ont été retirés des décombres d'une maison bombardée dans un quartier nord, selon la Défense civile de Gaza.

Des frappes israéliennes ont aussi eu lieu dans le centre de la bande de Gaza et à Rafah où l'hôpital Abou Youssef al-Najjar a dit avoir reçu un corps et plusieurs blessés après un bombardement sur une maison.

Selon l'armée israélienne, des avions ont frappé des "cibles terroristes" dans le secteur de Khan Younès (sud) après qu'un engin lancé vers un kibboutz dans le sud d'Israël est tombé près de la "barrière de sécurité".

A la faveur de la guerre, des groupes armés palestiniens, dont l'un se revendiquant du Hamas, ont dérobé en avril 66 millions d'euros dans les coffres de plusieurs agences bancaires de Gaza, selon le quotidien Le Monde.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Genève

Le Grand Conseil vote une baisse d'impôts pour la classe moyenne

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A Genève, la classe moyenne devrait payer moins d'impôts. La majorité de droite du Grand Conseil a accepté vendredi un projet de loi dans ce sens, mais le peuple aura le dernier mot (image d'illustration). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

A Genève, la classe moyenne devrait payer moins d'impôts. La majorité de droite du Grand Conseil a accepté vendredi un projet de loi dans ce sens. L'introduction du référendum obligatoire permettra au peuple d'avoir le dernier mot.

"Ce projet de loi est juste, équilibré et dynamique. Il renforce le pouvoir d'achat par une baisse d'impôts sur le revenu et apporte un bol d'air à la classe moyenne qui ne touche pas d'aide étatique", a relevé Sébastien Desfayes, rapporteur de majorité. Et le député du Centre de rappeler l'excédent de 1,4 milliard de francs des comptes 2023, qui montre que Genève n'a pas de problème de recettes.

Le texte de la droite a été modifié en commission des finances suite à l'acceptation d'un amendement général du Conseil d'Etat visant à augmenter la réduction d'impôts pour les revenus médians, a expliqué M. Desfayes. La baisse moyenne est de 8,7%, alors que la fourchette des diminutions va de 5,4% à 11,4%.

Les pertes fiscales sont estimées à 326 millions pour le canton et à 108 millions pour les communes. "Depuis 1999, toutes les baisses d'impôts dans le canton ont abouti à une hausse des recettes fiscales par un effet dynamique", a souligné M. Desfayes. Et même si la baisse est importante, Genève restera le canton où la fiscalité est la plus élevée de Suisse, a-t-il indiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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