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Politique

L’Actualité politique avec Nathalie Fontanet

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Nathalie Fontanet, députée et candidate au Conseil d'Etat, était l'invité politique de Guillaume Renevey ce 4 septembre.

Retour des notes de comportement à l'école, secret médical en prison, campagne électorale pour les cantonales de 2018 autant de sujets qui ont été développés ce 4 septembre dans l'entretien accordé par la PLR Nathalie Fontanet à Guillaume Renevey.

L'intégralité du sujets est à trouver ci-dessous:

Nathalie FontanetDéputée au Grand Conseil et candidate au Conseil d'Etat genevois

L'Actualité politique c'est tous les jours à 7h40 sur Radio LAC.

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International

Taïwan a détecté 26 avions chinois autour de l'île

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Taïwan a détecté 26 avions et cinq navires chinois autour de l'île au cours des dernières 24 heures. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le ministère taïwanais de la Défense a annoncé vendredi avoir détecté 26 avions et cinq navires chinois autour de l'île au cours des dernières 24 heures.

Ces sorties ont eu lieu quelques semaines avant l'investiture, le 20 mai, du nouveau président de Taïwan, Lai Ching-te, que la Chine considère comme étant un dangereux séparatiste.

Dix-sept appareils ont "franchi la ligne médiane (du détroit de Taïwan) et pénétré dans (...) la zone d'identification de la défense aérienne de Taïwan", précise un communiqué du ministère.

La ligne médiane coupe en deux le détroit de Taïwan, une étroite voie maritime de 180 kilomètres séparant l'île autonome de la Chine continentale.

Pékin, qui ne reconnaît pas cette ligne, revendique Taïwan comme faisant partie de son territoire et n'a jamais renoncé à recourir à la force pour en reprendre le contrôle.

Sous la présidence de Tsai Ing-wen, élue en 2016, les relations entre Pékin et Taipei se sont tendues, car elle et son gouvernement rejettent les revendications de la Chine sur l'île.

Le nouveau président élu, Lai Ching-te, issu comme Tsai Ing-wen du Parti démocrate progressiste (DPP), a remporté les élections présidentielles de janvier en dépit des mises en garde de Pékin selon lesquelles il entraînerait "la guerre et le déclin" de l'île.

Ces vols interviennent au lendemain de la convocation par Manille d'un haut représentant chinois pour protester suite à un accrochage qui a endommagé deux navires philippins lors d'une patrouille en mer de Chine méridionale.

Selon le ministère philippin des Affaires étrangères, les garde-côtes chinois ont tiré au canon à eau le 30 avril sur deux de ses navires, et bloqué l'accès à un récif disputé en mer de Chine méridionale. Pékin a de son côté confirmé avoir "repoussé" les bateaux philippins.

La Chine revendique la souveraineté sur la quasi-totalité de la mer de Chine méridionale - un important carrefour de routes maritimes commerciales -, au grand dam de plusieurs pays riverains.

Ce différend intervient au moment où les Etats-Unis et les Philippines organisent des exercices militaires conjoints, notamment à proximité des zones disputées en mer de Chine méridionale et dans le détroit de Taïwan.

Ils prévoient notamment une simulation de reprise d'une île par la force dans la province de Palawan, proche des îles Spratleys que se disputent Pékin et Manille.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Politique

Berne: Pierre Alain Schnegg veut abolir le statut de protection S

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Le directeur de l'asile bernois Pierre Alain Schnegg demande la suppression ou la limitation du statut de protection S. Celui-ci ne profiterait plus en premier lieu aux Ukrainiens, mais serait utilisé abusivement par les Roms. (Photo d'archives) (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le conseiller d'Etat bernois Pierre Alain Schnegg demande la suppression ou la limitation du statut de protection S. Celui-ci ne profiterait plus en premier lieu aux Ukrainiens, mais serait utilisé abusivement par les Roms.

"La majorité des demandes de statut S sont désormais déposées par des Roms. C'est ce que j'entends aussi de la part de collègues d'autres cantons", a déclaré le conseiller d'Etat UDC bernois dans une interview publiée vendredi par Tamedia. Il ne peut toutefois pas donner de chiffres concrets. Tous les demandeurs présentent des papiers ukrainiens. "Mais nous doutons de cette identité dans de nombreux cas". Beaucoup ne parlent ni ukrainien ni russe.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

La gratuité pour les jeunes est enterrée à Genève

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Le Grand Conseil n'a pas réussi à se mettre d'accord jeudi soir sur le souhait du gouvernement d'offrir l'abonnement des Transports publics genevois (TPG) aux jeunes. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le Grand Conseil n'a pas réussi à se mettre d'accord sur le souhait du gouvernement d'offrir l'abonnement des Transports publics genevois (TPG) aux jeunes. Par 50 non et 47 oui, le projet de loi a été refusé jeudi soir.

Lors de l'annonce de l'excédent record affiché par les comptes 2023 de l'Etat, le gouvernement avait proposé un abonnement des TPG gratuit pour les jeunes. Dans la foulée, le Parlement allait voter cette mesure sur le siège. Or l'adoption d'un amendement du Centre visant à accorder également la gratuité aux seniors dès 65 ans a bloqué le vote.

Mettant en garde contre le risque juridique lié à cette extension de la gratuité, le conseiller d'Etat Pierre Maudet, en charge du Département de la santé et des mobilités a refusé de demander le troisième débat. Ce troisième débat, qui a eu lieu jeudi soir, a abouti au rejet du projet de loi suite à une manoeuvre du PLR.

Aide de 50%

Plusieurs amendements étaient sur la table. Une majorité semblait se dessiner pour accepter celui du Conseil d'Etat visant à offrir les abonnements Unireso aux jeunes de 6 à 24 ans révolus, sous condition de formation ou de revenus. L'amendement du Centre visant à accorder une aide financière de 50% aux bénéficiaires de prestations AVS/AI était aussi en bonne voie et conforme d'un point de vue juridique.

Mais le premier amendement à avoir été voté a été celui du PS pour que le Parlement conserve le pouvoir de fixer les tarifs des TPG. Il a été accepté par 65 oui et 30 non. En le faisant passer, le PLR, qui voulait limiter la gratuité aux jeunes et a demandé, en vain, plusieurs renvois en commission, a obtenu le rejet final du projet de loi.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Vers un contreprojet à l'initiative sur les soins dentaires

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Le Grand Conseil genevois n'est pas convaincu par l'initiative populaire "Pour des soins dentaires accessibles à toute la population". Il a refusé ce texte jeudi soir et décidé, à la quasi-unanimité, de lui opposer un contreprojet. (illustration). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le Grand Conseil genevois n'est pas convaincu par l'initiative populaire "Pour des soins dentaires accessibles à toute la population". Par 51 non et 31 oui, il a refusé ce texte jeudi soir et décidé, à la quasi-unanimité, de lui opposer un contreprojet.

Si la majorité des députés estime que cette initiative législative pose de bonnes questions, elle n'est pas convaincue par les solutions proposées. Le chèque dentaire annuel de 300 francs, destiné aux personnes éligibles aux subsides d'assurance-maladie, est jugé insuffisant compte tenu du coût des soins dentaires.

En plus de cette aide financière, l'initiative vise à renforcer la prévention de la santé bucco-dentaire par des campagnes de dépistage. Pour coordonner l'ensemble de cette politique de santé publique, le texte prévoit la création d'un poste de médecin-dentiste cantonal. Le coût de cette initiative est estimé à près de 45 millions de francs par année.

Soutenant le principe d'un contreprojet, le conseiller d'Etat Pierre Maudet, en charge du Département de la santé et des mobilités, souhaite lancer un vaste plan sur la santé bucco-dentaire en 2025. Il n'a pas caché qu'il envisage une taxe sur le sucre.

L'accès aux soins dentaires est un sujet politique récurrent à Genève et ailleurs. Les Genevois ont ainsi refusé en 2019 une initiative constitutionnelle pour une assurance obligatoire de soins dentaires, comme les Vaudois en 2018 et les Neuchâtelois en septembre dernier.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

L'Otan condamne "les activités malveillantes" de Moscou

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L'Otan condamne les activités "malveillantes" de la Russie sur son territoire (photo d'illustration). (© KEYSTONE/EPA BELGA/BENOIT DOPPAGNE)

Les pays de l'Otan s'inquiètent "des activités malveillantes" de la Russie "menées récemment sur le territoire de l'Alliance". Ils assurent néanmoins que celles-ci ne les "dissuaderont pas de continuer à soutenir l'Ukraine".

Dans un communiqué, les Alliés dénoncent "les activités étatiques hostiles ayant touché la Tchéquie, l'Estonie, l'Allemagne, la Lettonie, la Lituanie, la Pologne et le Royaume-Uni".

"Les incidents en question s'inscrivent dans le cadre de l'intensification des activités que la Russie mène dans l'ensemble de l'espace euro-atlantique, et notamment sur le territoire de l'Alliance, en faisant appel à des intermédiaires".

"Il s'agit d'actes de sabotage, d'actes de violence, d'activités cyber, de perturbations électroniques, de campagnes de désinformation et d'autres activités hybrides", détaillent-ils. Ces "activités hybrides (...) constituent une menace" pour leur sécurité, ajoutent-ils.

Promesse de réponse

"Nous agirons individuellement et collectivement en réponse à ces agissements et nous continuerons de nous concerter étroitement", poursuivent-ils. "Nous ferons en sorte que l'Alliance et les Alliés soient préparés à assurer la dissuasion et la défense face aux activités ou attaques hybrides".

"Nous condamnons l'attitude de la Russie et nous appelons celle-ci à respecter ses obligations internationales, comme le font les Alliés. Les agissements de la Russie ne nous dissuaderont pas de continuer à soutenir l'Ukraine", concluent-ils.

Propagande prorusse

Fin mars, Prague a révélé la découverte par les services de renseignement tchèques d'un réseau orchestré par Moscou qui répandait la propagande prorusse sur l'Ukraine via le site internet Voice of Europe, et est soupçonné d'avoir corrompu des eurodéputés.

Au Royaume-Uni, les autorités ont indiqué fin avril qu'un Britannique de 20 ans avait été inculpé à Londres en vertu de la loi sur la sécurité nationale pour l'organisation présumée d'attaques contre des "entreprises liées à l'Ukraine".

Le ministre français délégué à l'Europe Jean-Noël Barrot a quant à lui indiqué récemment que la France et les autres pays européens étaient "pilonnés par la propagande de la Russie" à l'approche des élections européennes, qui auront lieu du 6 au 9 juin dans l'UE.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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