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Techno

Demain, les nouvelles seront moins anxiogènes

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Le monde de demain : la BBC expérimente un journal des bonnes nouvelles...

Il y a déjà eu beaucoup d’initiatives dans le monde des médias pour positiver l’information, la rendre moins anxiogène, la BBC, le radiodiffuseur britannique, teste un outil expérimental qui pourrait permettre aux lecteurs de filtrer les nouvelles négatives sur leur site Web.

Il suffirait ainsi de lister une série de « mots clés » jugés sensibles ou inquiétants, comme « meurtre » ou « crime » et tout ce qui est en rapport dans les titres, les textes ou les images seraient alors brouillés sur la page d’accueil du site de la BBC. Et bien évidemment, il serait également possible de les réactiver à tout moment.

Notez que l’option de supprimer les articles purement et simplement n’a pas été retenue, l’idée étant de laisser le choix et le contrôle aux utilisateurs. Autre essai : ajouter un « filtre d’humeur » qui aiderait les lecteurs à trier les articles qui ne correspondent pas à leur humeur du jour.

Quel est le but de l’opération ?

C’est une manière de répondre à la fuite du lectorat : il apparaît qu’en Grande Bretagne, un tiers de l'audience se détourne de l'information et notamment quantité de jeunes parce que cela affecte leur santé mentale.

Les ingénieurs de la BBC expérimentent donc cette solution qui n’est pas encore disponible au public. Reste à vérifier sa réelle pertinence et à entrainer l’algorithme pour différencier un mot clé d’un nom de famille, d’un synonyme ou d’une similitude linguistique.

Mais rien ne dit toutefois que les 2 prototypes vont se concrétiser au-delà du test, sachant que du côté de la BBC on estime toutefois que cela ajoute à la compréhension de la relation entre les news et la perception qu'ont les gens des histoires.

 

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Politique

Le Conseil des Etats soutient l'e-ID suisse

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Le Parlement soutient l'introduction d'une identité électronique en Suisse dès 2026 (illustation). (© KEYSTONE/GIAN EHRENZELLER)

Les Suisses devraient avoir accès à une identité électronique (e-ID) dès 2026. Après le National, le Conseil des Etats a soutenu mardi à la quasi-unanimité le projet du gouvernement. La sécurité des données devra être garantie.

La nouvelle identité électronique, émise par la Confédération, permettra de prouver son identité. Quiconque dispose d'une carte d'identité ou d'un passeport suisse, ou encore d'un titre de séjour pour étranger, pourra demander l'obtention d'une e-ID, en ligne ou auprès du service des passeports.

La sécurité des données doit être garantie, a dit pour la commission Matthias Michel (PLR/ZG). Contrairement au précédent projet qui a échoué devant le peuple en 2021, la nouvelle e-ID sera entièrement en mains publiques et elle permettra aux titulaires de garder un contrôle maximal sur leurs données.

Protection des données

La Chambre des cantons a apporté quelques modifications au projet. Elle souhaite notamment que l'e-ID soit conservée exclusivement dans une application de la Confédération spécialement conçue à cet effet (portefeuille électronique ou wallet).

Les fournisseurs privés de telles applications doivent en principe aussi être admis pour la conservation et la présentation de l'e-ID à l'avenir, mais uniquement dans la mesure où ils respectent des prescriptions strictes édictées par le Conseil fédéral.

Dès 2026

Le Conseil fédéral estime que l'e-ID pourrait être disponible à partir de 2026. "Elle sera facultative, gratuite et facile à utiliser pour tout un chacun", a assuré le ministre de la justice Beat Jans.

Il sera possible de s'en servir sur Internet pour demander un extrait du casier judiciaire ou un permis de conduire. Mais aussi dans le monde physique via une application sur smartphone, entre autres pour prouver son âge lors d'un achat. Un canton ou une commune pourront aussi l'utiliser pour délivrer un permis de chasse, ou une attestation de résidence, par exemple.

Toutes les démarches auprès de la Confédération qui pourront se faire virtuellement pourront continuer à se faire physiquement. En même temps, toutes les autorités suisses seront tenues d'accepter l'e-ID comme document d'identité valable si elles acceptent le principe d'une preuve électronique de l'identité. Enfin, ces systèmes répondront aux normes internationales, de sorte que l'e-ID puisse être utilisée aussi à l'étranger.

Les coûts de mise en oeuvre jusqu'en 2028 se montent à 182 millions de francs. Les frais d'exploitation à partir de 2029 sont estimés à environ 25 millions de francs par an.

Demande à Fedpol

Concrètement, toute personne souhaitant se munir d'une e-ID devra télécharger une application, qui fonctionne comme un portefeuille. Il devra ensuite demander une e-ID auprès de Fedpol.

Pour ce faire, il devra scanner sa carte d'identité, son passeport ou son titre de séjour. Une vérification filmée en temps réel est ensuite prévue. Fedpol émettra ensuite l'e-ID, ce qui devrait prendre quelques minutes. Les données sont les mêmes que celles sur une carte d'identité et qui sont déjà en main de Fedpol, à quoi s'ajoute le numéro AVS.

Le sénateur Pirmin Schwander (UDC/SZ) a plaidé pour que les démarches en vue d'obtenir une e-ID ne puissent se faire que physiquement, à un guichet. "Le niveau de protection pour garantir une sécurité optimale du partage des données personnelles en ligne n'est pas suffisant à l'heure actuelle", a-t-il martelé. Il n'a pas été suivi.

Le National avait aussi apporté quelques modifications au projet du Conseil fédéral. Le dossier lui retourne.

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Culture

La numérisation aggrave les incertitudes pour les acteurs culturels

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Instagram ou TikTok offrirent une nouvelle tribune aux artistes, mais les obligent à alimenter les médias sociaux en contenu. (© KEYSTONE/DPA/CHRISTOPH DERNBACH)

Avec la numérisation, la situation des créateurs culturels pourrait encore se dégrader. Le droit d'auteur, la protection de la personnalité et les assurances sociales ne sont pas suffisamment adaptés aux changements en Suisse, selon TA-Swiss.

Les artistes doivent s'affirmer dans un environnement de plus en plus international. Presque aucun art ou sa diffusion ne peut aujourd'hui se passer de moyens numériques, a souligné la Fondation d'évaluation des choix technologiques (TA-Swiss) dans un rapport de plus de 500 pages publié mardi.

La numérisation crée de nouvelles possibilités d'expression et de nouvelles façons de rendre les ½uvres accessibles à un public mondial. Les avantages des technologies numériques ne seraient toutefois accessibles qu'au prix d'un investissement supplémentaire en temps et en argent, souvent supporté par les créateurs culturels eux-mêmes, selon TA-Swiss.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

La Chine trouve des traces d'eau dans des échantillons de Lune

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Il y aurait de l'eau sur la Lune, affirme une mission chinoise (Photo d'illustration). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Des échantillons du sol lunaire, ramenés lors de la mission spatiale chinoise Chang'e-5 en 2020, contiennent des traces d'eau, ont indiqué des chercheurs dans une étude publiée dans une revue scientifique.

Cette annonce reflète l'intérêt scientifique de l'ambitieux programme spatial de la Chine, qui vise notamment à envoyer une mission habitée sur la Lune d'ici 2030.

L'examen des échantillons "a révélé la présence de traces d'eau", écrit ce groupe de scientifiques d'universités chinoises dans l'étude publiée lundi par la revue anglophone Nature Astronomy.

Chang'e-5 était la première mission spatiale depuis plusieurs décennies à ramener avec succès sur Terre des échantillons lunaires.

Un détecteur infrarouge de l'agence spatiale américaine (Nasa) avait déjà confirmé en 2020 l'existence d'eau sur la Lune. Des scientifiques ont également trouvé des traces d'eau dans des analyses récentes d'échantillons datant des années 1960 et 1970.

Mais les échantillons de Chang'e-5 proviennent d'une "latitude bien plus élevée", fournissant ainsi de nouveaux indices sur la forme que prend l'eau à la surface de la Lune, écrivent les scientifiques chinois.

Face cachée

Les échantillons suggèrent que "des molécules d'eau peuvent persister dans les zones ensoleillées de la Lune sous forme de sels hydratés", soulignent-ils.

Le mois dernier, une autre sonde chinoise, Chang'e-6, avait rapporté sur Terre les premiers échantillons jamais ramenés de la face cachée de la Lune.

La Chine a considérablement développé ses programmes spatiaux depuis une trentaine d'années, injectant des milliards d'euros dans ce secteur afin de rattraper les leaders américain, russe et européen.

Le géant asiatique avait posé en 2019 un engin spatial (la sonde Chang'e-4) sur la face cachée de la Lune, une première mondiale.

En 2021, la Chine a fait atterrir un petit robot sur Mars.

Le pays espère lancer sa première mission habitée vers la Lune d'ici 2030. Il prévoit également de construire une base lunaire.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Santé

La succession numérique peut laisser les héritiers perplexes

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De nos jours, les services numériques peuvent déjà aider à organiser sa propre succession et à gérer les démarches administratives liées à un décès (archives). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

En cas de décès d'un proche, il reste désormais son héritage numérique. Sans instructions précises, les héritiers se retrouvent souvent désemparés face à ce patrimoine virtuel intime. La Fondation pour l'évaluation des choix technologiques TA-SWISS a fait le point.

De plus en plus de services s’appuient sur les technologies numériques pour promettre un accompagnement et un soutien aux personnes en fin de vie ou au-delà. TA-SWISS a analysé les offres existantes et conclut que, selon leur déploiement, ces services exerceront une grande influence sur la planification individuelle, le deuil et le souvenir des personnes décédées.

Selon l'étude "La mort à l’ère numérique", présentée mardi devant la presse à Berne, il est nécessaire d’édicter des normes techniques, juridiques et éthiques strictes. Il s'agit également de sensibiliser la population, les prestataires de services et le personnel spécialisé des pompes funèbres. Avant de pouvoir recourir à des testaments numériques, des ajustements juridiques seront encore nécessaires.

Mort à l’ère numérique

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Techno

Infomaniak partage les bonnes pratiques contre les cyberattaques

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A l'heure où toutes nos données, y compris les plus sensibles sont en ligne, la notion de sécurité en ligne est de plus en plus prégnante. Un plug-in non mis à jour ou une erreur de code ne sont que quelques-uns des exemples qui laissent la porte de votre site, et de votre base de données, ouverte aux pirates. Il est donc impératif de maintenir votre site sécurisé non seulement pour protéger vos utilisateurs, mais aussi pour préserver la confiance et la fidélité de vos clients. Ensemble, découvrons quelques notions ainsi que des moyens simples et accessibles dans un monde numérique où les menaces sont omniprésentes mais souvent invisibles, grâce à l’expertise de Thomas Jacobsen, porte-parole d’Infomaniak.

Maintenir votre site à jour

Dans le monde numérique actuel, la sécurité des sites web est une préoccupation majeure pour les développeurs, les entreprises et les utilisateurs. Pour créer son site en ligne, de nombreux outils WYSIWYG (What You See Is What You Get, où l'on voit instantanément le résultat) ont vu le jour. Simples et ludiques, ils ne demandent aucune connaissance particulière. Cependant, il ne faut pas oublier que votre site doit suivre les avancées technologiques, tant en matière de design que de fonctionnalités sous le capot. Infomaniak utilise une solution appelée « Patchman Security Scanner », que Thomas Jacobsen décrit comme un "gardien numérique", un outil de sécurité automatisé qui détecte et corrige les vulnérabilités connues sans intervention manuelle.

Ce logiciel fonctionne en scannant les CMS populaires tels que WordPress, Joomla et Drupal, identifiant les failles de sécurité telles que les logiciels malveillants, les scripts de porte dérobée et les vulnérabilités de plugins ou de thèmes obsolètes. Lorsqu'une menace est détectée, Infomaniak applique automatiquement des correctifs sans perturber le fonctionnement du site, ce qui permet aux propriétaires de sites de se concentrer sur leur activité principale tout en maintenant un haut niveau de sécurité.

Thomas insiste sur l'importance de cette automatisation: "Patchman Security Scanner est essentiel pour maintenir la sécurité sans nécessiter une surveillance constante par l'utilisateur. Cela offre une tranquillité d'esprit inestimable, sachant que les menaces les plus courantes sont gérées efficacement." Cependant, il avertit que cette solution n'est pas une solution miracle. Les utilisateurs doivent rester informés et appliquer les meilleures pratiques de sécurité, telles que la mise à jour régulière des systèmes et l'utilisation de mots de passe forts. S'assurer que les technologies utilisées sont à jour, voir toujours en service n'est pas négligeable non plus.

Il est important de reconnaître que la sécurité est un processus en plusieurs étapes. La technologie complète les efforts de sécurisation des utilisateurs, qui commencent par un bon mot de passe et des outils à jour, mais ne remplace pas la nécessité d'une stratégie de sécurité globale.

Par ailleurs, la migration vers le cloud a transformé la façon dont les particuliers et les entreprises gèrent leurs données et services. Cependant, cette transition apporte de nouveaux défis de sécurité. Pour Thomas Jacobsen: "Le cloud est puissant, mais il introduit des risques spécifiques tels que les accès non autorisés et les fuites de données."

À n’en pas douter, ce journaliste de TV5 Monde n’avait pas reçu de formation adéquate car, en 2015, il avait laissé traîner des mots de passe sur une feuille durant une interview! (Capture d'écran)

Activer la confidentialité et la sécurité des données

Pour garantir la protection de ses données personnelles, il est impératif d'adopter des mots de passe forts et uniques pour chaque service en ligne. L'utilisation d'un gestionnaire de mots de passe, tel que l'outil ouvert BitWarden recommandé par Thomas, facilite cette tâche en sécurisant et en centralisant l'accès à vos comptes.

Les mots de passe faibles sont le talon d'Achille de la sécurité en ligne. L'adoption de l'authentification à deux facteurs (2FA) ajoute une couche supplémentaire de protection en demandant aux utilisateurs de fournir deux types de preuves d'identité avant d'accéder à leur compte. Cela rend les attaques par force brute ou les vols d'identifiants nettement plus difficiles.

Il est également sage de privilégier des prestataires qui placent la vie privée et la sécurité au cœur de leurs préoccupations. Contrairement aux géants du Web, souvent plus vulnérables en raison de leur complexité et de leurs interdépendances qui peuvent accroître les risques de failles de sécurité, des solutions telles que kSuite Infomaniak offrent une alternative sécurisée, moins exposée aux attaques de hackers de par leur moindre visibilité et leur utilisation spécialisée par les entreprises. En somme, une stratégie de sécurité en ligne efficace repose sur la combinaison de mots de passe robustes, de l'authentification à deux facteurs, et du choix judicieux de prestataires dédiés à la protection de vos données.

Savoir où sont vos données et qui peut y accéder

Saviez-vous que si vos informations sont sur un serveur localisé ou traitées par un logiciel américain, le gouvernement des États-Unis peut y avoir accès? C’est entre autres pour cela que la souveraineté numérique et le choix des technologies qui favorisent l'indépendance et la sécurité sont des préoccupations croissantes. "Opter pour des solutions stockées et développées en Suisse et des fournisseurs qui respectent la vie privée est une condition essentielle pour garantir le contrôle et la souveraineté de ses données", rappelle Jacobsen.

En outre, la responsabilité légale et la conformité avec des réglementations telles que le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) ou la Loi sur la Protection des Données (LPD) en Suisse sont des aspects auxquels les entreprises ne peuvent échapper.

Les coûts associés à la réparation des dommages, à la récupération des données, à la gestion de la réputation et à la perte de clientèle se chiffrent parfois en millions, sans compter que le non-respect des normes de protection des données peut entraîner des amendes. Il convient d'appréhender la sécurité de vos données et de votre site aussi bien sous forme préventive qu'en tant qu'investissement stratégique pour la santé financière à long terme d'une entreprise.

Pour cela, il existe des solutions de création de site, de gestion de documents et d’échange de fichiers clés en main, dont nous parlerons à la fin du mois.

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