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Techno

Bientôt des poubelles autonomes

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benoit rouchaleauLe monde de demain

Le Monde de Demain : Dans la série tout est connecté, les poubelles aussi...

Imaginez un monde où la corvée de sortir les poubelles n’existerait plus. Plus besoin de se poser la question du jour de passage des éboueurs... Grande idée pour nos petites préoccupations quotidiennes que l’on doit à la start-up nord-américaine Renzi qui est spécialisée dans la domotique : elle a développé un moteur pour poubelle connecté.

L’idée : c’est un petit moteur qui s’adapte aux poubelles, il se contrôle via une application pour smartphone et vous pouvez le paramétrer pour un jour et une heure spécifique. Une fois tout paramétré, la poubelle se rend toute seule sur le lieu de ramassage au moment que vous aurez défini et une fois vidée par les éboueurs elle retourne à sa place initiale, comme une grande.

A-t-elle une chance de voir le jour ou est-ce que ce sera un gadget sans suite ?

Le projet avance : il est soutenu techniquement et financièrement à hauteur de 250 000 dollars par un laboratoire spécialisé dans les prototypes en impression 3D et qui vient en aide aux produits innovants.

Le labo va ainsi élaborer la structure mécanique de la poubelle connectée et même réaliser les prototypes de l'appareil, ainsi que la phase de tests. Avec l’espoir d’une commercialisation d’ici fin 2020. Mais pas de prix avancé. Et forcément le tarif sera déterminant sur son succès...

 

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International

SpaceX réussit la première sortie spatiale privée de l'histoire

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Sarah Gillis filmée alors qu'elle sort de la capsule dans l'espace. (© KEYSTONE/AP)

SpaceX a réalisé jeudi la première sortie spatiale privée de l'Histoire avec sa mission Polaris Dawn. Deux membres d'équipage se sont aventurés hors de leur vaisseau dans leur combinaison blanche et grise, une image historique.

Sur une retransmission vidéo en direct de l'entreprise, le milliardaire américain Jared Isaacman, le commandant de la mission, a émergé en premier en dehors de la capsule, se tenant à une structure métallique installée sur l'avant de celle-ci pour l'occasion.

"C'est magnifique", a-t-il déclaré, alors qu'il se trouvait à environ 700 km d'altitude, soit bien plus haut que la Station spatiale internationale (ISS).

L'employée de SpaceX Sarah Gillis lui a ensuite succédé. Elle a également effectué des mouvements pour tester les toutes nouvelles combinaisons de SpaceX destinées à des sorties spatiales, l'un des principaux objectifs de la mission.

Tous deux sont restés environ une dizaine de minutes hors du vaisseau Dragon, qui a ensuite été re-pressurisé. La sortie s'est achevée environ une heure trois quarts après avoir commencé.

Deux autres passagers, le pilote Scott Poteet et l'autre employée de SpaceX Anna Menon, ont aussi été exposés au vide spatial dès l'ouverture de l'écoutille du vaisseau, celui-ci n'étant pas équipé de sas.

Deux ans d'entraînement

Les combinaisons sont reliées par des cordons à la capsule pour fournir les membres d'équipage en oxygène.

La mission Polaris Dawn de l'entreprise d'Elon Musk a été lancée sous l'impulsion du milliardaire Jared Isaacman, 41 ans, et avec sa participation financière, d'un montant non révélé. Elle marque une nouvelle étape dans l'exploration commerciale de l'espace.

Les quatre membres de l'équipage ont suivi plus de deux ans d'entraînement pour se préparer.

Depuis la première sortie dite "extravéhiculaire" en 1965, toutes avaient jusqu'ici été réalisées par des astronautes professionnels.

Autour de l'ISS, ces sorties durent toutefois de longues heures, et les astronautes effectuent des tâches très techniques.

Risque

Malgré tout, compte tenu de l'altitude et des circonstances, "le risque" de la sortie de SpaceX "n'est pas de zéro, c'est certain", avait commenté avant son début Sean O'Keefe, ancien patron de la Nasa. "Et il est sans aucun doute plus élevé que tout ce qui a été accompli par le secteur commercial jusqu'ici", avait-il souligné auprès de l'AFP.

Les combinaisons des quatre aventuriers sont dérivées de celles déjà utilisées par SpaceX à l'intérieur de ses vaisseaux et ont été modifiées pour pouvoir résister à des températures extrêmes ou améliorer leur mobilité.

Elles sont aussi équipées d'une caméra, et des informations sur la pression, la température et l'humidité de la combinaison sont directement affichées dans le casque.

SpaceX souhaite pouvoir en produire "des millions", afin de permettre à l'humanité de devenir une espèce multiplanétaire, son but affiché.

"Un jour, quelqu'un pourrait en porter une version sur Mars", c'est donc "un grand honneur" de les tester, avait dit en août Jared Isaacman, patron de l'entreprise financière Shift4, lors d'une conférence de presse.

Exploration commerciale

La mission a décollé mardi de Floride pour environ cinq jours. Dès le premier jour, la capsule s'est aventurée jusqu'à 1400 km d'altitude, soit plus loin que tout équipage depuis les missions lunaires Apollo, il y a plus d'un demi-siècle.

Au-delà de leur sortie dans l'espace, l'équipage doit également tester une communication laser par satellites entre le vaisseau spatial et la vaste constellation de satellites Starlink de SpaceX, fournissant internet depuis l'espace.

Ils doivent également réaliser quelque 36 expériences scientifiques.

Polaris Dawn inaugure le programme Polaris, annoncé il y a deux ans et demi par Jared Isaacman, qui défend l'utilité des investissements privés pour accélérer la conquête du cosmos.

Le programme doit comporter trois missions au total. Après une deuxième similaire à celle en cours, la troisième doit elle être le premier vol avec équipage de la méga-fusée Starship de SpaceX, actuellement en développement et destinée à des voyages vers la Lune et Mars.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Politique

Le Conseil des Etats soutient l'e-ID suisse

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Le Parlement soutient l'introduction d'une identité électronique en Suisse dès 2026 (illustation). (© KEYSTONE/GIAN EHRENZELLER)

Les Suisses devraient avoir accès à une identité électronique (e-ID) dès 2026. Après le National, le Conseil des Etats a soutenu mardi à la quasi-unanimité le projet du gouvernement. La sécurité des données devra être garantie.

La nouvelle identité électronique, émise par la Confédération, permettra de prouver son identité. Quiconque dispose d'une carte d'identité ou d'un passeport suisse, ou encore d'un titre de séjour pour étranger, pourra demander l'obtention d'une e-ID, en ligne ou auprès du service des passeports.

La sécurité des données doit être garantie, a dit pour la commission Matthias Michel (PLR/ZG). Contrairement au précédent projet qui a échoué devant le peuple en 2021, la nouvelle e-ID sera entièrement en mains publiques et elle permettra aux titulaires de garder un contrôle maximal sur leurs données.

Protection des données

La Chambre des cantons a apporté quelques modifications au projet. Elle souhaite notamment que l'e-ID soit conservée exclusivement dans une application de la Confédération spécialement conçue à cet effet (portefeuille électronique ou wallet).

Les fournisseurs privés de telles applications doivent en principe aussi être admis pour la conservation et la présentation de l'e-ID à l'avenir, mais uniquement dans la mesure où ils respectent des prescriptions strictes édictées par le Conseil fédéral.

Dès 2026

Le Conseil fédéral estime que l'e-ID pourrait être disponible à partir de 2026. "Elle sera facultative, gratuite et facile à utiliser pour tout un chacun", a assuré le ministre de la justice Beat Jans.

Il sera possible de s'en servir sur Internet pour demander un extrait du casier judiciaire ou un permis de conduire. Mais aussi dans le monde physique via une application sur smartphone, entre autres pour prouver son âge lors d'un achat. Un canton ou une commune pourront aussi l'utiliser pour délivrer un permis de chasse, ou une attestation de résidence, par exemple.

Toutes les démarches auprès de la Confédération qui pourront se faire virtuellement pourront continuer à se faire physiquement. En même temps, toutes les autorités suisses seront tenues d'accepter l'e-ID comme document d'identité valable si elles acceptent le principe d'une preuve électronique de l'identité. Enfin, ces systèmes répondront aux normes internationales, de sorte que l'e-ID puisse être utilisée aussi à l'étranger.

Les coûts de mise en oeuvre jusqu'en 2028 se montent à 182 millions de francs. Les frais d'exploitation à partir de 2029 sont estimés à environ 25 millions de francs par an.

Demande à Fedpol

Concrètement, toute personne souhaitant se munir d'une e-ID devra télécharger une application, qui fonctionne comme un portefeuille. Il devra ensuite demander une e-ID auprès de Fedpol.

Pour ce faire, il devra scanner sa carte d'identité, son passeport ou son titre de séjour. Une vérification filmée en temps réel est ensuite prévue. Fedpol émettra ensuite l'e-ID, ce qui devrait prendre quelques minutes. Les données sont les mêmes que celles sur une carte d'identité et qui sont déjà en main de Fedpol, à quoi s'ajoute le numéro AVS.

Le sénateur Pirmin Schwander (UDC/SZ) a plaidé pour que les démarches en vue d'obtenir une e-ID ne puissent se faire que physiquement, à un guichet. "Le niveau de protection pour garantir une sécurité optimale du partage des données personnelles en ligne n'est pas suffisant à l'heure actuelle", a-t-il martelé. Il n'a pas été suivi.

Le National avait aussi apporté quelques modifications au projet du Conseil fédéral. Le dossier lui retourne.

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Culture

La numérisation aggrave les incertitudes pour les acteurs culturels

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Instagram ou TikTok offrirent une nouvelle tribune aux artistes, mais les obligent à alimenter les médias sociaux en contenu. (© KEYSTONE/DPA/CHRISTOPH DERNBACH)

Avec la numérisation, la situation des créateurs culturels pourrait encore se dégrader. Le droit d'auteur, la protection de la personnalité et les assurances sociales ne sont pas suffisamment adaptés aux changements en Suisse, selon TA-Swiss.

Les artistes doivent s'affirmer dans un environnement de plus en plus international. Presque aucun art ou sa diffusion ne peut aujourd'hui se passer de moyens numériques, a souligné la Fondation d'évaluation des choix technologiques (TA-Swiss) dans un rapport de plus de 500 pages publié mardi.

La numérisation crée de nouvelles possibilités d'expression et de nouvelles façons de rendre les ½uvres accessibles à un public mondial. Les avantages des technologies numériques ne seraient toutefois accessibles qu'au prix d'un investissement supplémentaire en temps et en argent, souvent supporté par les créateurs culturels eux-mêmes, selon TA-Swiss.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

La Chine trouve des traces d'eau dans des échantillons de Lune

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Il y aurait de l'eau sur la Lune, affirme une mission chinoise (Photo d'illustration). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Des échantillons du sol lunaire, ramenés lors de la mission spatiale chinoise Chang'e-5 en 2020, contiennent des traces d'eau, ont indiqué des chercheurs dans une étude publiée dans une revue scientifique.

Cette annonce reflète l'intérêt scientifique de l'ambitieux programme spatial de la Chine, qui vise notamment à envoyer une mission habitée sur la Lune d'ici 2030.

L'examen des échantillons "a révélé la présence de traces d'eau", écrit ce groupe de scientifiques d'universités chinoises dans l'étude publiée lundi par la revue anglophone Nature Astronomy.

Chang'e-5 était la première mission spatiale depuis plusieurs décennies à ramener avec succès sur Terre des échantillons lunaires.

Un détecteur infrarouge de l'agence spatiale américaine (Nasa) avait déjà confirmé en 2020 l'existence d'eau sur la Lune. Des scientifiques ont également trouvé des traces d'eau dans des analyses récentes d'échantillons datant des années 1960 et 1970.

Mais les échantillons de Chang'e-5 proviennent d'une "latitude bien plus élevée", fournissant ainsi de nouveaux indices sur la forme que prend l'eau à la surface de la Lune, écrivent les scientifiques chinois.

Face cachée

Les échantillons suggèrent que "des molécules d'eau peuvent persister dans les zones ensoleillées de la Lune sous forme de sels hydratés", soulignent-ils.

Le mois dernier, une autre sonde chinoise, Chang'e-6, avait rapporté sur Terre les premiers échantillons jamais ramenés de la face cachée de la Lune.

La Chine a considérablement développé ses programmes spatiaux depuis une trentaine d'années, injectant des milliards d'euros dans ce secteur afin de rattraper les leaders américain, russe et européen.

Le géant asiatique avait posé en 2019 un engin spatial (la sonde Chang'e-4) sur la face cachée de la Lune, une première mondiale.

En 2021, la Chine a fait atterrir un petit robot sur Mars.

Le pays espère lancer sa première mission habitée vers la Lune d'ici 2030. Il prévoit également de construire une base lunaire.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Santé

La succession numérique peut laisser les héritiers perplexes

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De nos jours, les services numériques peuvent déjà aider à organiser sa propre succession et à gérer les démarches administratives liées à un décès (archives). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

En cas de décès d'un proche, il reste désormais son héritage numérique. Sans instructions précises, les héritiers se retrouvent souvent désemparés face à ce patrimoine virtuel intime. La Fondation pour l'évaluation des choix technologiques TA-SWISS a fait le point.

De plus en plus de services s’appuient sur les technologies numériques pour promettre un accompagnement et un soutien aux personnes en fin de vie ou au-delà. TA-SWISS a analysé les offres existantes et conclut que, selon leur déploiement, ces services exerceront une grande influence sur la planification individuelle, le deuil et le souvenir des personnes décédées.

Selon l'étude "La mort à l’ère numérique", présentée mardi devant la presse à Berne, il est nécessaire d’édicter des normes techniques, juridiques et éthiques strictes. Il s'agit également de sensibiliser la population, les prestataires de services et le personnel spécialisé des pompes funèbres. Avant de pouvoir recourir à des testaments numériques, des ajustements juridiques seront encore nécessaires.

Mort à l’ère numérique

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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