Genève Volley retrouve son public samedi contre Toggenbourg à l’occasion de la deuxième journée de championnat de LNA féminine avec des ambitions renouvelées avec des ambitions renouvelées et l'envie de remettre en question la hiérarchie du volleyball suisse.
Condamnées à disputer les play-outs, matches de barrage contre la relégation la saison dernière, les volleyeuses de Châtelaine entendent bien participer aux play-offs. C'est leur objectif avoué, mais elles ont une idée derrière la tête: jouer les trouble-fêtes et bousculer la hiérarchie.
Pour y parvenir, on a changé de président, d’entraîneur et on mise sur aussi sur une approche plus professionnelle. Tout cela, sous l’impulsion d’un Lyonnais – le nouveau président Patrick Tran – et d’une Lausannoise Aïda Shouk – coach des volleyeuses de Châtelaine depuis les play-outs la saison dernière. L’équipe a été remaniée en profondeur ces derniers mois. Pourtant, la mayonnaise semble déjà prendre. Le détail des changements avec l’ancienne joueuse de l’Equipe de Suisse.
Côté recrutement, dix joueuses sont parties et autant sont arrivées. Moins d’étrangères aussi : trois au lieu de six, les Américaines Lauren Page, Lindsey Calvin, Liesl Engelbrecht et autre Anna Chruch ont quitté. Mais la nouvelle coach Aïda Shouk peut s’appuyer sur des Suissesses expérimentées.
Notamment Léonor Guyot qui est l'ex-passeuse numéro deux du Neuchâtel UC et Tryphosa Osepghale. Des joueuses que Fabia Gnädinger, ancienne assistante-coach devenue directrice technique et - en tant que membre du comité - trésorière, connaît bien.
Fabia Gnädinger
Directrice technique de Genève Volley
Fabia GnädingerDirectrice technique de Genève Volley
Fabia GnädingerDirectrice technique de Genève Volley
Convaincue par l’ex-international suisse, l’ancienne joueuse de Cheseaux et de Cossonay est déterminée à tout entreprendre pour que Genève Volley quitte les profondeurs du classement.
Trifosa Oseghale donc joue un rôle capital au centre de la ligne d’attaque pour finir les actions offensives ou bloquer les attaques adverses.
Le fait de jouer à ce poste la pousse-t-elle à se lancer plus de défis : mais pourquoi ?
Si elles ne bénéficient pas de contrats professionnels, la plupart des pensionnaires de l’Ecole Dunant s’entraînent comme s’elles l’étaient. Un changement à cent quatre-vingt degrés voulu pour Patrick Tran, le nouveau président du club.
Joana Heidrich et Anouk Vergé-Dépré disputeront les huitièmes de finale du tournoi olympique de Tokyo.
Les championnes d'Europe 2020 sont assurées de terminer à l'une des deux premières places du groupe A grâce à leur succès obtenu en deux manches face aux Néerlandaises Katja Stam et Raisa Schoon (22-20, 21-18).
Heidrich/Vergé-Dépré affichent deux succès en deux parties, tout comme les Canadiennes Sarah Pavan/Meliassa Humana-Paredes qu'elles affronteront jeudi pour leur dernier match de poule. Un succès face aux championnes du monde 2019 leur permettrait de remporter ce groupe et de bénéficier d'un tableau plus favorable.
Joana Heidrich et Anouk Vergé-Dépré sont revenues de loin face à Katja Stam/Raisa Schoon. La Zurichoise et la Bernoise ont ainsi dû effacer cinq balles de set de manière consécutive dans la première manche! Menées 15-20, elles ont empoché sept points d'affilée, le dernier sur un contre de Joana Heidrich.
Heidrich/Vergé-Dépré, qui avaient eu besoin de trois sets pour vaincre Julia Sude/Karla Borger lors de la 1re journée, ont cette fois-ci pu s'imposer en deux sets. Elles ont à nouveau parfaitement géré le "money time" dans la deuxième manche, remportant cinq des six derniers points après s'être retrouvées menées 16-17.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Le libero argentin Facundo Santucci (en noir) est venu en renfort pour permettre à Dejan Radic et Chênois de tirer le maximum de leur potentiel lors de la phase finale du championnat.
Un sacré défi attend Chênois en demi-finales des play-offs de LNA face à Schönenwerd: une double confrontation au lieu d'une série au meilleur des cinq matches. Une formule qui ne laisse aucune place à l'erreur...
Les demi-finales des play-offs de Ligue Nationale A se poursuivent toujours. Car si Amriswil s’est qualifié aux dépens du Lausanne Université Club (3-0 dans la série), la seconde demi-finale opposant Chênois à Schönenwerd n’a pas encore livré son verdict. Et pour cause. Le coronavirus est passé. Un de ses membres ayant été infecté, la formation soleuroise s’est retrouvée en quarantaine.
Schönenwerd cloîtré
Cloîtrés chez eux, les joueurs de Schönenwerd n’ont pu reprendre l’entraînement que mercredi. Alors que les volleyeurs de Chêne poursuivaient leur préparation sans interruption. Reste à savoir si c’est un avantage.
Pour éviter trop de retards dans le calendrier, la série a été réduite à deux matches. En cas d’égalité sur ces deux rencontres, un set décisif départagera les prétendants à la finale. Une formule couperet qui met la pression sur les joueurs mais les volleyeurs de Chêne y ont déjà été confrontés.
Pour relever ce défi, les volleyeurs de Chêne bénéficient toutefois de l’apport d’un nouveau joueur : Facundo Santucci. nous dit ce qu’il pense de cette formule.
Ayant raté la qualification pour les play-offs, les volleyeuses de Châtelaine oscillent entre déception et volonté de continuer à construire une équipe pour la saison prochaine.
Classée à la neuvième et avant-dernière place au terme de la saison régulière de Ligue Nationale A féminine, Genève Volley ne jouera pas les play-offs. Après un bon mois de décembre, les Genevoises ont perdu chacune des cinq rencontres jouées depuis le début de l’année, elles ratent ainsi l’objectif avoué pour cette saison à savoir une place parmi les 8 premières.
Très déçue, leur coach Aïda Shouk nous dit ce qui a manqué à son équipe pour réussir de meilleures performances.
Covid, fermeture des salles de force sans oublier les nombreuses blessures, rien n’a joué en leur faveur. Un poste-clé a été particulièrement touché celui de libero. En l’absence de la titulaire du poste c’est la toute jeune Alyssa Aveni qui a dû tenir la baraque.
Projetons-nous à présent sur la suite à savoir la saison prochaine. Arrivant en fin de contrat, Aïda Shouk ne sait pas encore si elle sera encore à la tête de l’équipe à la reprise l’automne prochain. Elle nous parle cependant du plus gros chantier qui attend les volleyeuses de Châtelaine.
Place à présent aux play-outs ou plutôt aux rencontres de classement. Les joueuses d’Aïda Shouk affronteront la formation de Val de Travers détentrice de la lanterne rouge dans une série au meilleur des trois matches. Une série sans enjeu puisque l’équipe occupant la dernière place de LNA ne sera pas reléguée à l’issue de cette saison. Quoi qu'il en soit, Genève Volley a remporté de justesse la première de ces rencontres face aux joueuses des montagnes neuchâteloises (3-2).
Deux fois victorieuses face à Val de Travers (3-0, 3-1), les joueuses d'Aïda Shouk ont remporté leurs premières victoires de la saison en décembre.
Genève Volley a terminé l’année de la meilleure manière. Sa victoire sur Val de Travers (3-1) lors de la dernière confrontation de l'année entre les deux équipes qui ferment la marche au classement laisse entrouverte une possible qualification pour les play-offs de Ligue Nationale A féminine,
Actuellement neuvièmes, les volleyeuses de Châtelaine conservent donc l’espoir d’accrocher une huitième place afin de participer aux séries finales.
Pourtant leur début de championnat a été particulièrement difficile, avec sept défaites en autant de rencontres. Tout cela, sans obtenir le moindre point. Mais le déclic est arrivé mi-novembre.
Les volleyeuses de Châtelaine ont encore cinq matches pour gagner une place et atteindre leur objectif minimal de début de saison. N’ayant plus aucune confrontation directe face aux équipes qui sont voisines avec elles au classement, elles devront nécessaires obtenir des points face à des équipes classées entre les cinquième et septième places.
Que faudra-t-il faire pour y parvenir? rééditer leur performance de samedi ou devront-elles élever le niveau de leur jeu?
L'invincibilité de Chênois a pris fin samedi lors du choc au sommet face à Amriswil (0-3). Professionnels à 100%, les Thurgoviens ont été plus sereins lors des moments-clés de ce match.
Déçus, frustrés, énervés, les Chênois sont longtemps restés enfermés dans leur vestiaire après la nette défaite subie face à Amriswil. Trois sets à zéro dans les gencives, ça fait mal. Mais le revers est moins net que ne l'indique le score des sets gagnés. Les deux premiers ont en effet été très disputés avant que les joueurs de Ratko Pavlicevic ne finisse par céder (23-25, puis 22-25). Seul le troisième a été perdu très nettement (13-25). En fin de compte, c'est l'aspect mental qui a été déterminant.
Jovan Djokić : "Cette défaite fait mal"
Après le match, les deux-ex, tous deux ailiers, ont livré leurs impressions. D'abord, Jovan Djokic, joueur d'Amriswil jusqu'à la saison dernière, formé à Chêne, de retour à Sous-Moulin depuis cet été. Puis, Quentin Zeller, ex-leader de Chênois, formé à Servette/Star Onex, qui a fait le chemin inverse, quittant les banlieusards genevois à l'intersaison pour les bords du lac de Constance. La déception du premier nommé était d'autant plus grande que son équipe a perdu le deux premiers sets de justesse.
Des erreurs évitables ont donc précipité la chute des Chênois. Mais comment expliquer que ces défaillances soient survenues à des moments-clés de la partie. La réponse de Jovan Djokic ne tarde pas : ce match s’est joué dans la tête.
L’attaquant genevois de la formation thurgovienne a estimé que les qualités intrinsèques de son équipe ont contribué à faire pencher la balance en faveur des visiteurs.