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Football: Signal Bernex résiste vaillamment avant de céder

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Le capitaine bernésien Nicola Trifiletti et ses coéquipiers se sont battus sur chaque ballon avant de s'incliner Thoune (© Stéphane Chollet).

Battu par Thoune (0-2) dimanche, Signal Bernex est éliminé lors du premier tour mais quitte la Coupe de Suisse la tête haute. 

Si la logique a été respectée sans qu'on puisse crier au scandale, l’équipe de l'Oberland bernois ayant dominé cette partie comptant pour le premier tour principal de la Coupe de Suisse en se créant les meilleures occasions de but. On se doit de souligner à quel point le Signal FC Bernex Confignon a vendu chèrement sa peau.
Se battant sur chaque ballon, les Bernésiens sont parvenus à tenir en respect leurs adversaires durant une bonne heure, voire même à les faire reculer. Leur attaquant de pointe Mickaël Mboli a même tiré sur la barre transversale d'un tir pris des 35 mètres (55e). Le score était à ce moment-là de 0-0... avant que Thoune ne marque deux fois coup sur coup en à peine plus de cinq minutes.
Le train était passé... de quoi susciter quelques regrets, mais trop, car c'est finalement la satisfaction d'avoir vécu un moment intense qui prédominait tant chez les 1096 spectateurs présents dimanche au stade municipal que chez les joueurs de leur équipe favorite.

Nicola TrifilettiCapitaine du Signal FC Bernex Confignon

 

Photo: Stéphane Chollet.

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Sport

"Remettre l'ouvrage sur le métier" (Frédéric Favre)

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Le conseiller d'Etat valaisan n'a pas caché sa déception après le choix du CIO mais reste désireux de voir la Suisse organiser les JO d'hiver 2038. (© KEYSTONE/LAURENT MERLET)

Le conseiller d'Etat valaisan Frédéric Favre faisait contre mauvaise fortune bon coeur après la préférence donnée par le CIO à la France pour l'organisation des JO d'hiver 2030. Il faut "remettre l'ouvrage sur le métier", a-t-il dit mercredi au 19:30 de la RTS.

"Quand on est compétiteur, on a envie de gagner tout de suite", a déclaré le "ministre" valaisan en charge des sports, un des promoteurs de la candidature suisse. "Malheureusement, cela n'a pas été le cas (l'instance olympique a choisi les Alpes françaises pour l'édition 2030, ndlr).

Mais c'est la première fois que le CIO s'engage à dialoguer avec un seul pays (en l'occurrence la Suisse) pour une édition des JO, celle de 2038, et ce jusqu'en 2027", a observé M. Favre.

"Aujourd'hui, la déception l'emporte. Ensuite, nous remettrons l'ouvrage sur le métier" (en prévision de 2038), a ajouté le conseiller d'Etat. Au contraire de Stockholm, le troisième candidat, une nouvelle fois recalé, la Suisse peut donc encore espérer (sachant que l'édition 2034 est promise à Salt Lake City).

Le projet suisse se voulait novateur, avec des compétitions dans tout le pays sur des sites déjà existants, organisées de façon décentralisée, pour des Jeux "à taille humaine". En creux, M. Favre a reconnu que ces qualités ont aussi été un handicap pour 2030.

"Le CIO a reconnu la valeur de notre projet mais il faut encore du temps pour l'affiner. Les délais politiques en Suisse sont tout autres qu'en France", a conclu Frédéric Favre, en référence aux scrutins populaires qui peuvent retarder ou empêcher les projets en Suisse.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Les footballeuses suisses accueillies par Viola Amherd au Palais

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la conseillère fédérale Viola Amherd (à g.) et la star de la sélection suisse Alisha Lehmann. (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

La ministre des sports Viola Amherd a reçu l'équipe de Suisse féminine de football mercredi au Palais fédéral à Berne C'était l'occasion de la féliciter pour sa qualification pour les 8es de finale de la Coupe du monde l'été dernier en Nouvelle-Zélande.

La cheffe du Département fédéral de la défense, de la protection de la population et des sports (DDPS) a notamment eu l'occasion de serrer la main d'Alisha Lehmann, la très populaire joueuse de milieu de terrain de la sélection helvétique qui porte les couleurs d'Aston Villa.

A la Coupe du monde organisée en Australie et en Nouvelle-Zélande, la Suisse avait franchi la phase de groupes de manière assez convaincante avant d'échouer en 8es de finale (1-5) contre l'Espagne, future championne du monde, à l'Eden Park d'Auckland.

Pour rappel, l'Euro féminin 2025 se déroulera en Suisse.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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JO 2030: la Suisse recalée par le CIO

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Le Parlement du sport suisse avait plébiscité le projet des JO pour 2030, mais le CIO a recalé la Suisse (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

La Suisse n'a pas convaincu le CIO pour les JO d'hiver 2030 et 2034. Mais le pays est selon l'instance dirigeante un partenaire privilégié pour 2038.

Déception. C'est le sentiment qui prédomine à l'annonce du CIO de ne pas entamer la phase de dialogue avec la candidature suisse pour les deux prochaines éditions des JO d'hiver.

Cette décision négative du CIO intervient cinq jours après celle unanime du Parlement du sport suisse de faire avancer les projets olympiques pour 2030. L'instance basée à Lausanne n'a pas été convaincue par l'idée de Jeux décentralisés, avec des sites de compétition existants et répartis sur tout le territoire. Candidate comme la Suisse, la Suède a subi le même sort.

Troisième pays en lice, la France a raflé la mise en étant la seule à recevoir le feu vert du CIO pour entrer dans cette fameuse phase de dialogue. Ainsi, six ans seulement après les JO de Paris en 2024, la France va obtenir les Jeux d'hiver. Après la décision du CIO prise à Paris, l'acceptation en juillet prochain ne semble plus être qu'une formalité.

La Suisse n'a pas non plus été retenue pour 2034, envisagée comme une alternative. La candidature américaine de Salt Lake City est la seule à avoir été retenue par le CIO.

Espoir pour 2038

Si elle a échoué à cet examen, la Suisse n'a cependant pas tout perdu. La commission exécutive du CIO a décidé d’inclure le projet olympique "Switzerland 203x" dans un "dialogue privilégié" en vue des JO d'hiver 2038. Le CIO est convaincu par le projet helvétique, tout en estimant qu’il existe encore un potentiel d’optimisation, notamment dans les domaines de la planification des sites sportifs et du financement.

Comme le précise Swiss Olympic dans son communiqué, le statut du "dialogue privilégié" signifie que la Suisse a jusqu’à fin 2027 pour approfondir les thèmes abordés et entrer de manière exclusive dans le "dialogue ciblé" pour les JO 2038, pour autant que les deux parties se sentent prêtes.

Selon Swiss Olympic, "la décision prise aujourd’hui par le CIO constitue un pas supplémentaire vers l’organisation de Jeux Olympiques et Paralympiques dans toute la Suisse, même si le projet était initialement axé sur les années 2030 ou 2034".

L'organisation faîtière et les fédérations suisses de sports d’hiver se disent confiantes malgré tout. "Nous avions en vue les JO 2030 ou 2034, mais dans le sport, il faut savoir être flexible, confie Jürg Stahl, président de Swiss Olympic. Nous avons maintenant la chance de développer notre projet ensemble et sommes convaincus que nos conditions-cadres, notre grande expérience et notre fiabilité font de nous – aussi pour 2038 – un excellent partenaire pour le CIO, afin de poursuivre avec efficacité et succès le processus en cours vers des Jeux de la prochaine génération."

"Une claque pour la Suisse"

Reste que pour la Suisse, il s'agit d'un nouveau chapitre de candidatures olympiques ratées. Après avoir accueilli deux fois les Jeux d'hiver en 1928 et 1948 (les deux fois à St-Moritz), la Suisse a tenté à plusieurs reprises de présenter sa candidature au cours des dernières décennies, mais plusieurs d'entre elles ont échoué dans les urnes. Ce n'est pas le cas cette fois. Selon une étude de faisabilité, deux tiers de la population suisse sont favorables au projet actuel.

Interrogé dans l'émission "Forum" sur la RTS mercredi soir, l'ex-conseiller fédéral en charge des sports et fin connaisseur du monde olympique Adolf Ogi n'a pas masqué sa déception: "C'est une claque pour la Suisse." Le Bernois s'est dit "très, très déçu", par cette décision "incompréhensible". "Cette décision est vraiment très difficile à comprendre étant donné que le CIO aimerait avoir un nouveau leader, réaliser une nouvelle idée en ce qui concerne les jeux", a ajouté l'ex-conseiller fédéral. Selon lui, la Suisse avait toutes les infrastructures prêtes, à l'exception de l'anneau de vitesse.

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Football

Servette défie l'AS Rome dans un stade plein

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Nettement battus au match aller, Gaël Ondoua - aux prises ici avec Andrea Belotti, en rouge et jaune, - et les Servettiens rêvent d'un exploit face à l'AS Rome jeudi soir à la Praille (© KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi/archives).

Dernier match de la phase de groupe pour Servette face à l'AS Rome; les joueurs de René Weiler n'ont rien à perdre face à leurs prestigieux adversaires qu'ils défieront dans un stade plein, plus de 28'000 spectateurs, jeudi soir (21h) à la Praille.

C'est qu'on appelle une fin en apothéose. Les Servettiens joueront leur match à domicile de la phase de groupe de l'Europa League face à l'AS Rome dans un Stade de la Praille absolument plein: selon nos informations, 28'550 spectateurs prendront place dans l'arène lancéenne. Les vice-champions de Suisse abordent cette échéance les meilleures dispositions en ayant engrangé vingt-et-un points lors de leurs sept derniers duels en championnat et neuf matches sans défaite toutes compétitions confondues. René Weiler et ses joueurs veulent en premier lieu effacer le souvenir du match aller au Stade Olympique (0-4) où le Servette FC est apparu bien trop vulnérable défensivement. Reste à savoir ce que le technicien zurichois a retenu de cette première confrontation directe faux "giallorossi" et le technicien zurichois aimerait que la série de matches sans défaite du Servette FC qui dure depuis le net revers de Rome du 5 octobre (0-4) se prolonge tant face aux Romanistes que contre les Young Boys dimanche.

René WeilerEntraîneur du Servette FC

 

Rene Weiler, coach du Servette FC, espère son équipe préservera son invincibilité face à des adversaires aussi redoutables que l'AS Rome jeudi et les Young Boys dimanche (© KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi/archives).

 

Les joueurs de René Weiler onc appris de leurs erreurs du match aller et le soutien du nombreux public leur sera précieux pour tenter de réaliser un exploit.

Gaël OndouaDemi défensif du Servette FC

 

Un duo Lukaku-Dybala

Les défenseurs servettiens devront, selon toute vraisemblance, faire face au Belge Romelu Lukaku et à l'Argentin Paolo Dybala ; un duo de choc qui a réussi une véritable démonstration dimanche lors du succès sur l’Udinese (3-1). Tout indique que Jose Mourinho alignera pratiquement son équipe-type pour gagner le plus largement possible afin de combler les trois buts d’écart qui séparent les Romanistes des vice-champions tchèque. C’est, en effet, la différence de buts qui départagera les deux leaders de ce groupe G (qui sont à égalité parfaite selon le premier critère à savoir les confrontations directes; chacun des deux adversaires ayant gagné à domicile 2-0), synonyme d’accès direct aux huitièmes de finale sans passer par un tour contre le troisième d’un groupe de la Ligue des Champions.

 

Qualification en vue

Pour sa part, le Servette FC sera mathématiquement qualifié pour la phase à élimination directe de la Conference League dès jeudi soir à condition d'obtenir un résultat aussi bon que Sheriff Tiraspol qui reçoit le Slavia Prague au même moment en Transnistrie.

 

Vainqueur de Sheriff Tiraspol (2-1) trois semaines plus tôt, Servette peut assurer sa qualification pour la phase élimination directe de la Conference League jeudi soir à la Praille (© KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi/archives)

 

Jeudi soir, le onze grenat se présentera privé de Joël Mall, qui ne rejouera pas avant janvier, de Bradley Mazikou, de David Douline et d’Enzo Crivelli. Avec ces absences et la proximité du choc contre les Young Boys, René Weiler peut réserver des surprises dans ses choix pour le onze de départ.

 

 

 

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Sport

L'hiver au chaud pour les Young Boys

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Lewin Blum tout à sa joie après le 2-0. (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

Les Young Boys passeront l’hiver au chaud ! Victorieux 2-0 de l’Etoile Rouge Belgrade au Wankdorf, ils poursuivront leur parcours européen l’an prochain.

Ce succès leur assure, en effet, un repêchage en seizième de finale de l’Europa League. Les Bernois termineront à la troisième place de leur poule derrière les intouchables Manchester City et Leipzig. Ce rang colle pleinement aux ambitions d’un club qui a, pour l’instant, gagné plus de... 24 millions de francs dans cette campagne européenne.

Une équipe qui n'aura rien lâché

Acquis avant la demi-heure, ce succès récompense une équipe qui n’aura rien lâché durant 90 minutes et qui aura su exploiter pleinement ses temps forts. Portée par son formidable public, elle a, comme lors du barrage face au Maccabi Haifa, su être à la hauteur de l’événement. A l’heure où l’équipe nationale traverse bien des turbulences, la bravoure des Bernois redonne la foi à ceux qui veulent croire que le football suisse peut encore briller sur la scène internationale.

Deux buts sur leurs deux premières occasions et un gardien qui a réussi l’arrêt qu’il fallait réussir : le scénario de la première période ne fut pas loin d’être idéal pour les Young Boys. La formation de Raphaël Wicky a, ainsi, su pleinement exploiter les errances presque étonnantes à ce niveau de la compétition de la défense adverse sur les corners pour prendre le large.

A la 8e, Loris Benito, au second poteau, provoquait la déviation malheureuse dans ses propres filets de Kosta Nedeljkovic. A la 29e, Mohamed Camara récupérait un ballon dans la surface pour servir en retrait Lewin Blum dont la frappe abusait Omri Glaser. La responsabilité du gardien israélien est engagée sur ce 2-0 qui ouvrait une voie royale aux Young Boys.

La réponse de Racioppi

Après une frayeur sur son premier dégagement compensée heureusement par un arrêt de grande classe, Anthony Racioppi devait livrer parfaitement la marchandise. A la 23e, il gagnait son duel avec Osman Bukari qui s’était présenté seul devant lui. Cet arrêt entre les deux réussites bernoises s’apparentait bien au tournant de ce match.

A la reprise, Etoile Rouge n’avait pas d’autre alternative que de tenter le tout pour le tout. Au fil des minutes, l’emprise des Serbe était de plus en plus pesante avec ce tir sur le poteau d’Inbeom Hwang (57e). A la 63e, Racioppi devait une fois de plus opposer son veto, cette fois sur une tentative de Jean-Philippe Krasso. Cible de la presse de boulevard depuis trois jours après sa double erreur sur l’ouverture du score du FC Zurich, celui qui est désormais préféré à David von Ballmoos a su répondre présent lorsque les circonstances l’ont exigé.

La troisième parade décisive de la soirée du portier bernois a sonné le glas pour l'Etoile Rouge. On fut, ensuite, bien plus proche du 3-0 que du 2-1 avec les deux chances en or de Jean-Pierre Nsame (72e) et d'Ulisses Garcia (77e). Deux ultimes actions qui rappellent combien les Young Boys peuvent être également redoutables dans le jeu de rupture.

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Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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