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Santé

Le bilan de l'épidémie du Coronavirus dépasse les 2000 morts

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Un bus évacuant les passagers du Diamond Princess. [Keystone/AP Photo/Eugene Hoshiko]

Le bilan de l'épidémie à coronavirus a dépassé mercredi les 2000 morts. L'OMS a toutefois mis en garde contre toute mesure disproportionnée, citant une étude montrant que plus de 80% des patients souffraient d'une forme bénigne de la maladie.

Le nombre de contaminations en Chine continentale a atteint mercredi 74'185, soit 1749 de plus que la veille, la plus faible hausse en un mois. Ailleurs dans le monde, environ 900 personnes contaminées ont été recensées dans une trentaine de pays.

Évacuation du Diamond Princess

Dans le même temps, les passagers du paquebot Diamond Princess ont commencé à quitter le navire mercredi après 14 jours de quarantaine au Japon, a constaté une journaliste de l'AFP. Plus de 540 cas de contamination ont été constatés sur le navire.

Quelque 500 passagers ne présentant pas de symptômes, dont les tests se sont révélés négatifs et qui n'ont pas eu de contact avec des personnes porteuses du virus, devaient débarquer pendant la journée de mercredi, selon le ministère japonais de la Santé.

>> Lire aussi: Il ne faut pas suspendre les croisières selon l'OMS

ats/sey

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Mobilité

Nestlé s'équipe d'une flotte de voitures électriques en Suisse

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Nestlé a choisi l'hippodrome d'Avenches pour échanger sa flotte de voitures de fonction, désormais 100% électrique. (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Nestlé a échangé jeudi l'entier de sa flotte de voitures de fonction en Suisse, désormais 100% électrique. Au total, ce sont 171 véhicules qui ont été remis aux collaborateurs réunis sur l'hippodrome de l'Institut équestre national d'Avenches (VD).

"Il s'agit de l'une des plus grandes livraisons de voitures de fonction entièrement électriques réalisées à ce jour en Suisse", affirme jeudi Nestlé Suisse. Ces véhicules seront principalement utilisés par les forces de vente du groupe veveysan.

"Notre nouvelle flotte de voitures 100% électrique est l'une des nombreuses actions que nous mettons en oeuvre pour décarboniser toutes nos activités", relève Eugenio Simioni, directeur de Nestlé Suisse, cité dans le communiqué.

Au niveau mondial, Nestlé s’est engagé à réduire de moitié ses émissions de CO2 d’ici 2030 et à atteindre zéro émission nette en 2050.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Santé

Lonza: Moderna va réduire la production d'ARNm sur le site de Viège

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Lonza avait mis à disposition, dès le printemps 2020, des capacités à Viège et à Portsmouth, dans le New Hampshire, pour la production du vaccin Covid à ARN Messager de la biotech américaine Moderna (archives). (© KEYSTONE/OLIVIER MAIRE)

Reflet de la normalisation de la situation en matière de coronavirus, Moderna va cesser la production d'ARN messager (ARNm) pour son vaccin contre le Covid-19 sur le site de production de Lonza à Viège. Progressive, la mesure interviendra au 3e trimestre.

La mesure s'inscrit dans le plan visant à redimensionner l'empreinte de fabrication en fonction du redimensionnement du marché du vaccin contre le Covid-19, explique la société établie à Cambridge, près de Boston, dans l'Etat américain du Massachusetts. Celle-ci ajoute vouloir absorber la demande l'an prochain et l'année suivante à la faveur des capacités de son propre site de Norwood, également sis dans le Massachusetts.

En 2025, Moderna entend étoffer ses capacités dans ses nouvelles installations de fabrication d'ARNm au Royaume-Uni, au Canada et en Australie. Moderna continue de maintenir une capacité de production de substances médicamenteuses externes chez Rovi en Espagne.

Moderna fait part à Lonza de sa reconnaissance pour l'avoir "aidé à augmenter sa capacité et à répondre aux exigences de fabrication pendant une urgence de santé publique mondiale". Les activités de Lonza à Viège se sont révélées cruciales pour permettre à la biotech américaine de livrer son vaccin dans plus de 70 pays, dont la Suisse.

Production depuis 2020 à Viège

Repassé au deuxième trimestre en mode de combustion de liquidités, après avoir vu sa rentabilité exploser pendant la pandémie de coronavirus, Moderna avait fait part la semaine dernière de sa volonté d'ajuster ses capacités de production à la normalisation de la situation sanitaire. L'entreprise avait laissé entendre que la mesure était susceptible d'avoir des répercussions sur son sous-traitant rhénan Lonza.

Lonza avait mis à disposition, dès le printemps 2020, des capacités à Viège et à Portsmouth, dans le New Hampshire, pour la production du vaccin Covid à ARN Messager de la biotech américaine. Le site valaisan était en charge de la production à l'échelle mondiale, à l'exception des Etats-Unis où Moderna s'est depuis doté de capacités propres.

"Nous étions conscients qu'il nous faudrait à un moment ou un autre réduire nos capacités de production, après les avoir massivement étendues pendant la pandémie," avait indiqué en entretien avec l'agence AWP le directeur général de Moderna, le Français Stéphane Bancel. Le responsable n'avait pas souhaité préciser dans quelle mesure les divers sites seraient concernés.

Moderna avait précisé que les vaccins Covid-19 devraient encore rapporter sur l'année en cours entre 6 et 8 milliards de dollars en fonction du taux de vaccination au pays de l'oncle Sam, contre plus de 18 milliards en 2022 et plus de 17 milliards en 2021. A plus longue échéance, de nouvelles franchises en oncologie et dans les maladies rares doivent générer selon les projections de la direction des recettes annuelles de 10 à 15 milliards, auxquels s'ajouteraient les 8 à 15 milliards déjà attendus dans le domaine respiratoire pour l'année 2027.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Santé

Novartis rend à Beigene les droits sur le tislélizumab

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Novartis avait pour mémoire réglé un versement initial de 650 millions de dollars à Beigene début 2021 pour les droits de commercialisation du tislélizumab (archives). (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

Novartis met un terme à une seconde collaboration avec le laboratoire chinois Beigene. Le géant pharmaceutique bâlois renonce aux droits de commercialisation mondiaux sur l'anticancéreux tislélizumab.

Novartis avait pour mémoire réglé un versement initial de 650 millions de dollars début 2021 (583 millions de francs à l'époque) pour ces droits . "Depuis la conclusion de cet accord (...), le segment des inhibiteurs de PD-1 a considérablement changé. C'est pourquoi nous avons réévalué notre stratégie et décidé d'y mettre fin", indique mardi le géant pharmaceutique dans une prise de position mardi

Beigene souligne dans un communiqué distinct n'être pas tenu de reverser de quelconques droits de licence à Novartis. Les deux protagonistes assurent dans leurs publications respectives avoir établi un plan de transition destiné à poursuivre les procédures réglementaires de mise sur le marché du produit.

Les régulateurs des deux côtés de l'Atlantique examinent en effet des dossiers d'homologation pour le tislélizumab en traitement de suite après une chimiothérapie contre le cancer à cellules squameuses de l'oesophage à un stade avancé ou métastatique.

L'Agence européenne des médicaments (EMA) évalue aussi le traitement en ligne subordonnée ou en complément à une chimiothérapie contre le cancer du poumon non à petites cellules à un stade avancé ou métastatique. Le produit est homologué dans diverses indications en Chine.

La multinationale rhénane avait déjà déclaré caduque fin-juillet un autre accord de licence conclu fin 2021 en oncologie aussi et avec Beigene toujours, sur l'ociperlimab. Cet accord avait donné lieu au versement par Novartis d'une contribution initiale de 300 millions de dollars (277 millions de francs alors).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

Deux tiers des Suisses ne vont pas changer de caisse

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Beaucoup de Suisses ne sont pas motivés à changer de caisse maladie, malgré la hausse des primes (photo symbolique). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Malgré des primes toujours plus élevées, seul un tiers des Suisses envisage de changer d'assurance maladie. Et moins d'un cinquième ont déjà fait le pas pour faire des économies, selon un sondage en ligne du comparateur Hellosafe publié mardi.

Un changement de caisse peut pourtant permettre de faire d'importantes économies, écrit Hellosafe sur son site internet. Et il faut s'attendre à une nouvelle forte augmentation pour l'année prochaine.

Malgré cela, 62,6% des interrogés disent ne pas envisager un changement. Ils expliquent soit ne pas être motivés à le faire (37%), soit être satisfaits de leur caisse actuelle (25,6%).

En 2023, les assurés ont déboursé en moyenne 377 francs pour leurs primes chaque mois. De plus, ils ont payé 1304 francs à titre de franchise.

Le sondage a été réalisé sur le site internet Hellosafe entre le 31 juillet et le 11 septembre 2023. Au total, 729 Suissesses et Suisses y ont participé.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Environnement

Les protéines animales à nouveau au menu des porcs et volailles

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Les farines animales avaient été interdites au début du siècle à la suite de la maladie dite de la vache folle. Elles sont à nouveau autorisées dans l'UE depuis deux ans (Photo d'illustration). (© KEYSTONE/AP/FRANCK PREVEL)

Plus de 20 ans après la maladie dite de la vache folle et l'interdiction des farines animales, certaines protéines animales doivent à nouveau pouvoir être utilisées, à des conditions strictes. Le DFI a mis lundi en consultation les révisions législatives nécessaires.

Les modifications proposées par le Département fédéral de l'intérieur (DFI) prévoient notamment la possibilité de donner des protéines transformées de volailles à des porcs et inversement. Cela permet de faire un meilleur usage des sous-produits d’abattage de haute qualité qui ne sont pas utilisés dans l'alimentation humaine: les protéines transformées conviennent en effet bien à l’alimentation des animaux de rente omnivores, indique le DFI lundi.

La modification législative nécessaire a déjà été demandée par plusieurs interventions parlementaires. Elle s’inscrit dans la volonté de promouvoir une agriculture et une économie agroalimentaire durables et permet de maintenir l’équivalence avec le droit européen.

Se fondant sur les connaissances scientifiques les plus récentes, l’UE autorise en effet à nouveau l’utilisation de certaines protéines animales dans l’alimentation des bêtes, depuis septembre 2021. En Suisse, le DFI veut modifier une ordonnance et en édicter une nouvelle, respectivement celle sur les sous-produits animaux et celle concernant la valorisation des sous-produits animaux comme aliments pour animaux ou comme engrais.

Les insectes aussi

Selon ces textes, mis en consultation jusqu'au 15 décembre prochain, les aliments destinés aux volailles, d’une part, et aux porcs, d’autre part, pourront désormais contenir des protéines transformées respectivement de porcs et de volailles, à des conditions bien définies. L’utilisation de protéines transformées d’insectes dans l’alimentation des porcs et des volailles sera également possible.

Afin de garantir la sécurité des denrées alimentaires animales et d’éviter toute contamination, les établissements concernés du secteur alimentaire, de la transformation, de la fabrication d’aliments pour animaux et d’entreposage seront soumis à des règles strictes en matière d’hygiène, précise le DFI.

Au tournant du siècle, les farines animales avaient été interdites après qu'il eut été établi qu'elles étaient en cause dans l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), aussi appelée maladie de la vache folle, qui avait alors décimé le cheptel et réduit la confiance des consommateurs dans certains morceaux de viande et abats.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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