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Politique

Victoire d’étape pour le personnel de l’EMS Notre-dame

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Le personnel de l’EMS Notre-dame gagne une manche…la direction suspend l’externalisation :

A Genève, le projet d’externalisation de l'EMS Notre-Dame, est suspendu. Ainsi en a décidé la chambre des relations collectives de travail ce matin (ma). En grève en octobre et en novembre, les employés craignaient que le projet de sous-traitance du personnel hôtelier ne les soumette à la Convention collective de travail du secteur hôtellerie-restauration plutôt qu’à celle des EMS. Avec à la clé, un salaire moindre…les explications de Giulia Willig, secrétaire syndicale à UNIA.

Giulia WilligSecrétaire syndicale à UNIA

Le personnel hôtelier est aussi important pour les résidents que ne l’est le personnel soignant, selon Giulia Willig :

Giulia WilligSecrétaire syndicale à UNIA

Depuis lundi, des négociations ont lieu au sein du groupe de travail sur la sous-traitance, convoqué par Conseiller d’Etat en charge de la santé Mauro Poggia. Il regroupe l’ensemble des partenaires, les faîtières patronales et les syndicats. Giulia Willig:

Giulia WilligSecrétaire syndicale à UNIA

Notez que vendredi, le syndicat va déposer une pétition de soutien au personnel de l’EMS de Plantamour et de Notre-dame au Grand Conseil à 17h.

 

 

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Politique

Vers une loi fédérale pour mettre en oeuvre l'initiative anti-burqa

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La loi sur la dissimulation du visage dans l'espace public prévoit une amende de 1000 francs aux contrevenants (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Il devrait être interdit de se dissimuler le visage en public en Suisse. Le Conseil des Etats a adopté lundi par 36 voix contre 8 le projet de loi du gouvernement mettant en ½uvre au niveau fédéral l'initiative anti-burqa. Le National doit encore se prononcer.

Le Conseil des Etats était entré déjà en matière en mars dernier sur le projet. Il avait finalement opté pour une loi fédérale plutôt que de laisser aux cantons le soin de régler les exceptions et amendes dans leurs lois sur la police. Lundi, les sénateurs ont planché sur le détail de la loi qu'ils ont acceptée sans changement.

Le projet du gouvernement interdit de se dissimuler le visage en public. Yeux, nez et bouche doivent être visibles, dans tous les espaces publics ou privés accessibles au public. Les contrevenants seront passibles d'une amende d'ordre de maximum 1000 francs.

Des exceptions sont prévues pour les avions, les locaux consulaires ou de culte. Ainsi que lors de manifestations, sous conditions et si les autorités le permettent. Il en va ici de la liberté d'opinion et de la liberté de manifestation.

La gauche aurait voulu autoriser la dissimulation du visage lorsque "d'autres intérêts légitimes" le justifient. Cette réglementation est en vigueur dans le canton de Berne sans que cela pose problème, a relevé Hans Stöckli (PS/BE). Selon lui, on augmente la sécurité juridique. Mais cette formulation est jugée trop ouverte et difficilement praticable pour la police. La proposition a passé à la trappe par 29 voix contre 12.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

VIDEO - La Suisse pas très active pour le climat ? Genève s'active pourtant

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La Suisse est en retard sur l'UE en matière de réduction des émissions de CO2, estime Reto Knutti (archives). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

L'absence de centrales à charbon en Suisse ne fait pas du pays un modèle pour la baisse des émissions de CO2, indique le climatologue Reto Knutti. Des actions sont pourtant prises du côté de Genève, nous expliquent Benjamin Smadja et Elsa Duperray.

Elle se trouve même derrière l'Union européenne (UE), ajoute-t-il dans un entretien diffusé dimanche par la SonntagsZeitung. "Au cours des 30 dernières années, nous avons réduit le CO2 d'environ 20%. Pour arriver à zéro en à peine 30 ans, il faut aller quatre fois plus vite".

"Regardez la Chine ou les Etats-Unis. Les deux ont reconnu depuis longtemps que le tournant énergétique est un gain économique", relève le scientifique, soulignant que la Chine deviendra probablement neutre en CO2 plus rapidement que la Suisse.

Selon le professeur de physique climatique à l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ), il ne faut pas parler uniquement des coûts en matière de protection du climat, mais aussi des avantages. "C'est comme si un patient en phase terminale refusait un médicament parce qu'il pourrait avoir des effets secondaires".

Source : ats

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Economie

Les diplômés étrangers pourront séjourner plus facilement en Suisse

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Le Conseil fédéral propose de ne pas soumettre aux contingents les titulaires étrangers d'un bachelor, d'un master ou d'un doctorat obtenu dans un domaine souffrant d'une pénurie avérée de personnel qualifié (image d'illustration). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Les diplômés de pays tiers pourront plus facilement rester en Suisse. Contre l'avis de sa commission, le Conseil des Etats est entré en matière lundi, par 24 voix contre 20, sur un projet du gouvernement visant à lutter contre la pénurie de main-d'oeuvre qualifiée.

Le Conseil fédéral propose de ne pas soumettre aux contingents les titulaires étrangers d'un bachelor, d'un master ou d'un doctorat obtenu en Suisse dans un domaine souffrant d'une pénurie de personnel qualifié. Cette pénurie est aiguë, a relevé Lisa Mazzone (Vert-e-s/GE), rappelant que les milieux économiques soutiennent le projet.

Pour la commission, Andrea Caroni (PLR/AR) a jugé le projet anti-constitutionnel car il créerait une catégorie de ressortissants d'Etats tiers non soumis à des contingents. Sans succès.

Le National a déjà dit oui en mars. Il est même allé plus loin, élargissant l'admission facilitée à tous les titulaires d'un diplôme suisse de degré tertiaire, y compris les brevets et diplômes fédéraux, et aux post-doctorants. Les sénateurs examineront ultérieurement le projet en détail.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Le président ukrainien s'adressera au Parlement le 15 juin

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Le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'adressera par vidéo au Parlement le 15 juin à 14h (archives). (© KEYSTONE/EPA/DUMITRU DORU)

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'adressera par vidéo au Parlement suisse le jeudi 15 juin à 14h00 en marge de la session. Le rendez-vous a été annoncé lundi par les présidents des deux Chambres en ouverture des débats.

L'adresse du président ukrainien se déroulera sur écran, dans la salle du Conseil national, a indiqué son président Martin Candinas. La date a été confirmée avec l'Ukraine. Les Bureaux du Conseil national et du Conseil des Etats avaient donné leur feu vert en réponse à une demande de l'ambassade d'Ukraine en Suisse.

Sitôt cette annonce connue, le chef du groupe parlementaire Thomas Aeschi (ZG) avait critiqué cette décision. Il considère cette apparition comme une manière d'influencer le débat au Parlement concernant les livraisons d'armes et de munitions. Dans les titres de Tamedia, il a indiqué que la majorité de son groupe ne serait pas présente.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

L'ancien président de Credit Suisse assume ses choix

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Walter Kielholz rejette les critiques de mauvaise gestion de Credit Suisse (archives). (© KEYSTONE/THOMAS DELLEY)

L'ex-président du Credit Suisse Walter Kielholz rejette les reproches de l'UDC, qui dénonce une mauvaise gestion de la banque et un copinage avec le PLR, ayant amené à la banqueroute. Il reconnaît toutefois que le versement des bonus aurait dû être réglé différemment.

Interrogé lundi dans les journaux alémaniques du groupe de presse Tamedi, M. Kielholz dit ne pas avoir trouvé de membres du PLR à un poste décisif de la banque. Il conteste également les critiques concernant la politique du personnel. Aujourd'hui encore, il soutient l'embauche de l'ancien président Urs Rohner.

Quant aux 70 millions de francs de bonus versés à l'ex-directeur de Credit Suisse Brady Dougan, il aurait fallu mettre en place un frein, ajoute M. Kielholz. Mais "un plafonnement de principe des bonus n'est pas praticable en Suisse. Les gens vont là où ils gagnent plus".

Pour trouver des fautes dans la débâcle de Credit Suisse, il se tourne vers la Banque nationale suisse (BNS) et l'autorité de surveillance des marchés financiers, la FINMA, qui auraient dû intervenir l'automne dernier déjà pour garantir les liquidités à Credit Suisse. Les clients ont ensuite retiré massivement leur fonds, rappelle-t-il, pointant un risque qui ne peut pas être éliminé.

Walter Kielholz a été président de Credit Suisse de 2003 à 2009. Il a siégé au conseil d'administration de la banque de 1999 à 2014.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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