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International

La première semaine de débats s'achève au procès Trump

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L'ancien président américain Donald Trump est apparu vendredi avec des traits tirés et le visage grave. (© KEYSTONE/AP/Jeenah Moon)

Le procès pénal de Donald Trump a conclu vendredi à New York une première semaine de débats. Ceux-ci étaient consacrés au rôle d'un tabloïd à scandales dans sa conquête de la Maison Blanche en 2016, un prélude au coeur de l'affaire.

Dans cette affaire, l'une des quatre où il est inculpé, Donald Trump est poursuivi pour 34 chefs de falsification de documents comptables, pour dissimuler un paiement ayant permis d'étouffer un potentiel scandale sexuel dans la dernière ligne droite de la campagne présidentielle de 2016.

L'argent, 130'000 dollars, avait été versé à l'ancienne star de films X Stormy Daniels, pour acheter son silence sur une relation sexuelle qu'elle affirmait avoir eue avec lui en 2006, alors qu'il était déjà marié à son épouse Melania. Une relation que le candidat des républicains à la présidentielle de novembre dément.

Vendredi, le 45e président des Etats-Unis, traits tirés et visage grave, a de nouveau vu les 12 jurés et six suppléants qui décideront de son sort judiciaire marcher devant lui jusqu'à leurs bancs, sans lui adresser un regard.

Juste avant d'entrer dans le prétoire, il a souhaité devant les caméras un joyeux anniversaire à son épouse et encore brocardé un procès "horrible et inconstitutionnel" qui l'oblige à passer ses journées dans une salle d'audience "gelée" plutôt que de faire campagne. Puis, en quittant l'audience, il a relevé le challenge d'un débat télévisé avec son adversaire Joe Biden, "quand il veut".

Scandales

Entre les deux, celui qui risque une condamnation au pénal avant l'élection a assisté pendant des heures, souvent attentif, parfois affaissé dans son fauteuil l'air assoupi, à l'interrogatoire fleuve du premier témoin de l'accusation, l'ancien patron de tabloïds David Pecker. Car pour l'instant, les débats se sont surtout penchés sur des paiements antérieurs à celui de Stormy Daniels.

Depuis lundi, David Pecker, qui possédait le titre "The National Enquirer", a détaillé comment, après une rencontre à la Trump Tower en août 2015 à New York avec son "ami Donald" et son avocat de l'époque Michael Cohen, il s'était mis à leur service lors de la campagne présidentielle de 2016 pour chasser les scandales en achetant l'exclusivité des droits sur des histoires racoleuses.

Une opération menée à deux reprises: 30'000 dollars pour étouffer les allégations - fausses - d'un portier de la Trump Tower sur l'existence d'un enfant caché de Donald Trump, puis 150'000 dollars pour acquérir l'histoire de Karen McDougal, mannequin du magazine Playboy, qui disait avoir eu une aventure avec le milliardaire.

"On a acheté cette histoire pour qu'elle ne soit pas publiée ailleurs. On ne voulait pas qu'elle gêne M. Trump ou qu'elle affecte sa campagne", a expliqué David Pecker. Cet homme fluet de 72 ans, front dégarni et cheveux blancs coiffés en arrière, a raconté comment Donald Trump s'était inquiété plusieurs fois du silence de Karen McDougal. "Comment va notre fille?", lui aurait-il demandé en le recevant à la Trump Tower après sa victoire.

Outrage

Durant le contre-interrogatoire de la défense vendredi, David Pecker a dû préciser que lors d'une conversation sur Karen McDougal, Donald Trump lui avait dit "je n'achète pas les histoires", ajoutant "vois avec Michael (Cohen)". L'un des avocats de Donald Trump, Emil Bove, s'est aussi employé à démontrer que ces opérations appelées "catch and kill" aux Etats-Unis étaient banales, faisant égrainer à David Pecker les noms d'Arnold Schwarzenegger ou de Tiger Woods.

Mais ce témoignage a permis à l'accusation de planter le décor de l'affaire. Vendredi, deux autres témoins se sont succédé à la barre, une ancienne assistante directe de Donald Trump à la Trump Organization, Rhona Graff, et un banquier, Gary Farro, qui gérait les affaires de l'avocat Michael Cohen.

La première a indiqué que les contacts de Karen McDougal et de Stormy Daniels étaient enregistrés dans un carnet d'adresses électroniques qu'elle gérait à la Trump Organization. Elle s'est aussi souvenue, sans donner de date précise, avoir vu Stormy Daniels à la Trump Tower, mais selon elle pour une place dans l'émission de télé-réalité qui avait décuplé la célébrité de Donald Trump, "The Apprentice".

De son côté, Donald Trump voit déjà planer la menace d'une condamnation pour outrage au tribunal, à la demande des procureurs, pour ses attaques, via internet et les réseaux sociaux, contre témoins et jurés. Le juge Juan Merchan doit encore statuer sur ce point. Les débats reprendront mardi.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

L'architecte de la campagne de Trump possible cheffe de cabinet

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Donald Trump fait monter Susie Wiles sur le podium le 6 novembre à West Palm Beach en Floride. (© KEYSTONE/AP/Alex Brandon)

Le président élu Donald Trump a annoncé jeudi qu'il ferait de Susie Wiles, architecte de sa campagne, sa cheffe de cabinet à la Maison Blanche. La sexagénaire serait la première femme à occuper ce prestigieux poste, un "honneur" selon lui "bien mérité".

"Susie Wiles vient de m'aider à remporter l'une des plus grandes victoires politiques de l'histoire américaine", a salué le républicain dans un communiqué.

Elle "continuera à travailler sans relâche pour rendre à l'Amérique sa grandeur", a assuré Donald Trump, en référence au célèbre slogan de ses campagnes.

Le poste de directeur de cabinet, ou "chief of staff" en anglais est peut-être le plus stratégique de l'exécutif américain. Il s'apparente en France à celui de secrétaire général de l'Elysée.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Liam Payne avant sa mort : cocaïne, alcool et antidépresseurs

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Des fans s'étaient rassemblés pour rendre hommage au chanteur Liam Payne, ancien membre du groupe pop britannique One Direction, à Berlin, au moment de l'annonce de sa mort fin octobre. (© KEYSTONE/AP/Ebrahim Noroozi)

Le parquet argentin a révélé jeudi que l'ex-membre du boys band One Direction Liam Payne avait consommé de l'alcool, de la cocaïne et des antidépresseurs avant sa mort le 16 octobre. Trois personnes ont été inculpées pour notamment lui avoir fourni des stupéfiants.

"Les résultats des études toxicologiques - déjà communiqués à sa famille - ont révélé que, dans les moments précédant sa mort et pendant au moins ses dernières 72 heures, Liam Payne présentait dans son organisme une polyconsommation d'alcool, de cocaïne et d'antidépresseurs", indique le parquet dans un communiqué.

Liam Payne est mort à 31 ans de "multiples traumatismes" et d'une "hémorragie interne et externe" après une chute du balcon de sa chambre d'hôtel à Buenos Aires où il résidait depuis quelques jours.

Son père Goeff Payne a rapatrié son corps en Angleterre mercredi.

Le parquet a également confirmé les premiers résultats de l'autopsie suggérant que les blessures sur le corps de la victime étaient compatibles avec celles d'une chute et qu'une automutilation ou "l'intervention physique de tiers" étaient exclues.

L'autopsie avait révélé que sur les mains de Payne "aucune blessure de type 'défensif' n'a été trouvée, que toutes les blessures étaient vitales et produites simultanément les unes avec les autres".

Autrement dit, de par ces blessures et la position du corps sur le sol, l'autopsie estimait que "Payne n'a pas adopté de posture réflexe pour se protéger (dans la chute) et qu'il est peut-être tombé dans un état de semi-inconscience ou d'inconscience totale".

Une thèse validée jeudi par le parquet : "Payne n'était pas pleinement conscient ou traversait un état de diminution notable ou d'abolition de la conscience au moment de la chute".

Trois mises en examen

L'enquête ouverte sur les causes de la mort, avec l'examen de téléphones portables, d'ordinateurs et de vidéos provenant de caméras de sécurité, de perquisitions dans la chambre d'hôtel et de "nombreuses déclarations de témoins afin de reconstituer les dernières heures de la victime et le déroulement des événements", ont conduit à la mise en examen de trois personnes pour vente de stupéfiants et abandon de personne vulnérable, a annoncé le parquet.

Sans préciser les noms des personnes impliquées, le parquet a précisé que celle qui accompagnait quotidiennement Liam Payne durant son séjour à Buenos Aires était inculpée pour "abandon de personne suivi de mort", un délit puni de 5 à 15 ans de prison, et de fourniture de stupéfiants.

Un employé de l'hôtel "doit répondre d'avoir fourni à deux reprises de la cocaïne à Liam Payne pendant son séjour", et une troisième personne est "inculpée pour avoir fourni à deux reprises des stupéfiants à deux moments différents le 14 octobre".

Dans une vidéo de 2023 publiée sur son compte YouTube, Liam Payne avait avoué avoir été admis dans un centre de désintoxication pour son alcoolisme : "Je suis en quelque sorte devenu quelqu'un que je ne reconnaissais plus vraiment. Et je suis sûr que vous ne le reconnaissez pas non plus", disait-il alors.

Le décès du chanteur a suscité une vague d'hommages à travers le monde.

One Direction, qui fut l'un des boys band les plus lucratifs au monde, avec sa pop lisse et légère, avait sorti en 2016 son cinquième et dernier album studio, "Made in the A.M". L'annonce la même année d'une pause dans la carrière du groupe, jamais officialisée en séparation, avait bouleversé des millions de fans.

Les membres du boys band ont ensuite entamé des carrières solo avec plus ou moins de réussite. Liam Payne avait sorti son premier album, "LP1", en 2019. L'an dernier il avait annoncé travailler sur un deuxième album et venait de sortir un nouveau single en mars 2024. Il était père d'un enfant aujourd'hui âgé de 7 ans.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

La Fed abaisse ses taux d'un quart de point, à 4,50-4,75%

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La décision a été prise à l'unanimité des 12 membres votants du Comité de politique monétaire de la Fed (archives). (© KEYSTONE/FR159526 AP/JOSE LUIS MAGANA)

La banque centrale américaine, la Fed, a abaissé jeudi son principal taux directeur d'un quart de point de pourcentage, le plaçant dans la fourchette de 4,50-4,75%. Une décision prise à l'unanimité, au lendemain de la réélection de Donald Trump à la Maison Blanche.

"Les conditions du marché du travail se détendent", tandis que "l'inflation a fait des progrès dans son retour à l'objectif de 2% (...) mais reste élevée", a commenté le Comité de politique monétaire de la Fed, le FOMC, dans un communiqué publié à l'issue d'une réunion débutée mercredi matin.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Poutine se dit "prêt à reprendre le contact" avec Trump

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Vladimir Poutine a félicité Donald Trump pour son élection à la présidence des Etats-Unis. (© KEYSTONE/EPA/MAXIM SHIPENKOV)

Le président russe Vladimir Poutine s'est dit jeudi "prêt à reprendre le contact" avec Donald Trump après la victoire du républicain à la présidentielle américaine, pour laquelle il l'a félicité.

"Si quelqu'un veut reprendre contact, cela ne me dérange pas. Je suis prêt", a déclaré M. Poutine lors d'un forum, à propos de M. Trump. "Je voudrais profiter de cette occasion pour le féliciter pour son élection à la présidence des Etats-Unis".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Zelensky rejette l'idée d'un cessez-le-feu avec la Russie

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Le président ukrainien a appelé Américains et Européens à être "forts" et à "valoriser" leurs relations. (© KEYSTONE/EPA/PETER KLAUNZER)

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a rejeté jeudi l'idée de discuter d'un cessez-le-feu avec la Russie ou de lui faire la moindre "concession". Cela après que Moscou a intimé aux Occidentaux de négocier sous peine de "destruction de la population ukrainienne".

Le président russe Vladimir Poutine et Donald Trump, qui vient de l'emporter à la présidentielle américaine, se sont dit séparément prêts à discuter l'un avec l'autre.

M. Poutine a affirmé être "prêt à reprendre le contact" avec Donald Trump. "Je pense que nous allons nous parler", a dit le milliardaire américain, qui avait assuré lors de la campagne pouvoir mettre fin à la guerre en Ukraine "en 24 heures".

"On ne peut pas se contenter de dire '(un cessez-le-feu maintenant) et ensuite nous verrons'. Ce n'est pas viable. Et le pire, c'est que c'est irresponsable", a déclaré M. Zelensky lors d'une conférence de presse en marge d'un sommet de la Communauté politique européenne à Budapest, évoquant une "rhétorique très dangereuse".

Le président ukrainien avait assuré plus tôt jeudi que faire des "concessions à Poutine" était "inacceptable pour l'Ukraine et suicidaire pour toute l'Europe", reprenant en partie un discours prononcé un peu plus tôt.

Les appels en vue de négociations entre la Russie et l'Ukraine se font plus insistants après plus de deux ans et demi d'une guerre dévastatrice, y compris chez certains alliés de Kiev.

Le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, le dirigeant européen le mieux disposé envers M. Poutine, a répété jeudi son appel à une trêve sur le champ de bataille, pour "donner aux parties belligérantes l'espace et le temps nécessaires pour communiquer et commencer à négocier la paix".

"Pertes" nord-coréennes

M. Zelensky a assuré pour la première fois que les soldats nord-coréens accusés par Kiev et les Occidentaux d'être déployés en Russie pour y épauler les forces de Moscou ont "pris part aux hostilités" et ont subi des "pertes".

Selon lui, 11'000 militaires nord-coréens sont déployés dans la région russe de Koursk, dont les forces ukrainiennes occupent une petite partie depuis une offensive surprise lancée début août.

La Corée du Nord "livre désormais la guerre en Europe", a-t-il déploré.

L'élection de Donald Trump à la présidence américaine a jeté un froid à Kiev, qui craint un désengagement de son principal fournisseur d'armes et de financements dans les mois à venir.

"J'ai parlé au président Trump (...), ça a été une conversation productive mais, bien sûr, nous ne pouvons pas dire quelles actions spécifiques il va entreprendre", a relevé le chef de l'Etat ukrainien.

Il a ainsi appelé Américains et Européens à être "forts" et à "valoriser" leurs relations. "Je crois que le président Trump veut vraiment (parvenir à) une solution rapide. Mais cela ne veut pas dire qu'elle se produira", a-t-il dit.

M. Zelensky a aussi indiqué s'être entretenu à Budapest avec le président français Emmanuel Macron, les deux hommes ayant évoqué l'aide militaire à l'Ukraine et la formation de soldats ukrainiens en France.

"Destruction de la population"

Sur le terrain, une série de frappes russes a fait quatre morts et 40 blessés dans la ville de Zaporijjia, dans le sud de l'Ukraine. Des bombes planantes ont touché un hôpital et des bâtiments d'habitation, selon les autorités locales.

Ces frappes ont eu lieu quelques heures après que le chef du Conseil de sécurité russe, Sergueï Choïgou, a pressé les alliés occidentaux de Kiev d'entamer des négociations avec Moscou s'ils veulent mettre fin aux attaques contre les Ukrainiens.

"La situation sur le théâtre des hostilités n'est pas en faveur du régime de Kiev, l'Occident a le choix : poursuivre son financement (de l'Ukraine) et la destruction de la population ukrainienne ou admettre les réalités existantes et commencer à négocier", a-t-il dit au cours d'une réunion.

Avec le retour à la Maison Blanche de Donald Trump, la balle est dans le camp américain, a par ailleurs estimé jeudi le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov.

"On verra s'il y a des propositions" de la nouvelle administration américaine, a-t-il déclaré.

Série d'attaques

Avec la volonté apparente de casser le moral de la population, la Russie bombarde quasi-quotidiennement l'Ukraine.

Jeudi, une frappe sur le village de Mykolaïvka a provoqué la mort de deux personnes et fait cinq blessés, selon le gouverneur de la région orientale de Donetsk, Vadym Filachkine.

La capitale Kiev a elle été visée par des raids de drones sur la quasi-totalité de la première semaine de novembre, a affirmé l'administration militaire.

La Russie réclame notamment que l'Ukraine lui cède cinq régions du pays et qu'elle renonce à son ambition de rejoindre l'Otan. Des conditions inacceptables pour M. Zelensky, qui insiste sur le retrait pur et simple des troupes russes de la totalité des territoires occupés.

M. Poutine a une nouvelle fois assuré jeudi que Moscou était prêt à négocier avec Kiev sur la base des "réalités actuelles" sur le terrain.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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