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Des dizaines de corps à Gaza, "progrès" dans les discussions

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Au moins 60 corps ont été découverts dans la ville de Gaza après des frappes israéliennes menées dans la nuit, d'après la Défense civile palestinienne. (© KEYSTONE/EPA/MOHAMMED SABER)

Une soixantaine de corps ont été découverts vendredi dans deux quartiers de la ville de Gaza, selon la Défense civile du territoire palestinien. Ce après que le président américain Joe Biden a fait état de "progrès" dans les discussions en vue d'une trêve.

Au dixième mois de guerre dans la bande de Gaza entre Israël et le Hamas, déclenchée par l'attaque du mouvement islamiste palestinien sur le sol israélien le 7 octobre, les combats se poursuivent, en particulier dans Gaza-ville (nord).

Des médias du Hamas ont fait état de "plus de 70 frappes aériennes", et de 32 personnes tuées dans la nuit, dont une majorité d'enfants et de femmes, sur l'ensemble du territoire assiégé. Dans le sud-ouest de la ville de Gaza, "environ 60" corps ont été découverts vendredi dans les quartiers de Tal al-Hawa et d'al-Sinaa, d'après la Défense civile.

Le Hamas a dénoncé les "horreurs découvertes" dans le quartier de Tal al-Hawa, les qualifiant de "crimes de guerre, génocide, nettoyage ethnique". Des témoins ont vu des soldats se retirer de certains quartiers de Gaza-ville. Contactée par l'AFP, l'armée israélienne n'a pas commenté dans l'immédiat.

Après des mois d'appels internationaux pour un cessez-le-feu, les efforts diplomatiques sous l'égide du Qatar, de l'Egypte et des Etats-Unis, s'intensifient. "Il y a encore des lacunes à combler. Nous faisons des progrès. La tendance est positive", a déclaré vendredi Joe Biden.

"Apocalyptique"

La guerre a éclaté le 7 octobre après l'attaque sans précédent menée par le Hamas dans le sud d'Israël, qui a entraîné la mort de 1.195 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP établi à partir de données officielles israéliennes. Sur 251 personnes alors enlevées, 116 sont toujours retenues à Gaza dont 42 sont mortes, selon l'armée.

En riposte, Israël a juré de détruire le Hamas, qui a pris le pouvoir dans la bande de Gaza en 2007, et lancé une offensive qui a fait jusqu'à présent 38.345 morts, en majorité des civils, d'après des données du ministère de la Santé du gouvernement de Gaza, dirigé par le Hamas.

Après les incursions israéliennes dans plusieurs quartiers, le paysage de la ville de Gaza est "apocalyptique", a dénoncé vendredi Louise Wateridge, porte-parole de l'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa), après une visite sur le terrain. L'armée israélienne a de nouveau accusé vendredi l'agence onusienne de "se taire alors que le Hamas utilise ses infrastructures" dans la ville.

L'Unrwa a été chassée de son quartier général à Gaza-ville et n'a "pas eu de présence officielle sur place depuis octobre", a affirmé Mme Wateridge à l'AFP, indiquant ne pas en savoir davantage. L'armée avait appelé mercredi tous les résidents de la ville à évacuer, soit quelque 300'000 à 350'000 personnes, selon l'ONU.

Vendredi, elle a indiqué avoir tué deux commandants du Hamas à Choujaïya, un quartier est de Gaza-ville où une soixantaine de corps avaient été découverts la veille après une opération de deux semaines au cours duquel elle a affirmé avoir tué plus de 150 "terroristes".

Le Comité international de la Croix-rouge a indiqué avoir reçu "des centaines d'appels ces derniers jours de personnes appelant désespérément à l'aide" à Gaza-ville, où la crise humanitaire est considérable.

L'armée israélienne a aussi dit poursuivre ses opérations à Rafah (sud), où elle a "éliminé de nombreux terroristes en combats rapprochés et par des frappes aériennes". Son aviation a visé des sites de lancement de projectiles à Beit Hanoun (nord) après des tirs vers le sud d'Israël.

"Libération immédiate des otages"

Sur le plan diplomatique, Hossam Badran, un membre du bureau politique du Hamas, a indiqué vendredi que son mouvement avait proposé un "gouvernement non-partisan et doté de compétences nationales" pour diriger la bande de Gaza et la Cisjordanie occupée après la guerre.

Jeudi, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a rencontré le directeur des services de renseignement, David Barnea, de retour de Doha, pour faire le point sur l'avancement des pourparlers en vue d'un cessez-le-feu et la libération d'otages.

Selon un communiqué officiel, une délégation menée par le chef du Shin Bet (sécurité intérieure), Ronen Bar, devait se rendre jeudi soir au Caire poursuivre des discussions. Le Hamas avait annoncé dimanche accepter de négocier sur la libération des otages en l'absence d'un cessez-le-feu permanent avec Israël, qu'il exigeait jusque là.

M. Netanyahu a lui toujours affirmé vouloir poursuivre la guerre jusqu'à la destruction du Hamas, classé organisation terroriste par Israël, les Etats-Unis et l'Union européenne, et la libération de tous les otages. "Je suis attaché au plan de libération de nos otages, mais le Hamas continue d'adhérer à des exigences qui contredisent le plan et mettent en danger la sécurité d'Israël", a-t-il déclaré vendredi.

Il a réaffirmé que son pays voulait conserver le contrôle d'une zone de la bande de Gaza frontalière de l'Egypte, conquise début mai, dont le Hamas exige de son côté l'évacuation par l'armée israélienne. De son côté, Amnesty International a appelé "le Hamas et les autres groupes armés" à "libérer immédiatement et sans conditions tous les otages civils".

Sur un autre front, à la frontière israélo-libanaise, théâtre d'affrontements récurrents entre l'armée israélienne et le mouvement islamiste Hezbollah, allié du Hamas, un projectile est tombé sur un terrain vague en Israël, d'après l'armée.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Israël bombarde la banlieue sud de Beyrouth, après 4 mois de trêve

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Tsahal a bombardé le quartier densément peuplé de Hadath, au sud Liban. (© KEYSTONE/EPA/WAEL HAMZEH)

Israël a bombardé vendredi la banlieue sud de Beyrouth, un bastion du Hezbollah, pour la première fois après quatre mois de trêve. Tsahal ripostait à des tirs de roquettes qui ont visé son territoire.

L'armée israélienne, qui a aussi bombardé le sud du Liban, avait appelé à évacuer une partie des habitants de la banlieue sud, cible de bombardements intenses pendant les deux mois de guerre ouverte qui l'ont opposée au mouvement libanais soutenu par l'Iran, avant un fragile cessez-le-feu entré en vigueur le 27 novembre.

La frappe a visé le quartier densément peuplé de Hadath, dégageant un immense champignon de fumée noire.

Dans les ruines fumantes des immeubles soufflés, où les pompiers tentaient d'éteindre les flammes, les secouristes fouillaient les décombres et évacuaient des blessés, selon des images de l'AFP.

Un énorme embouteillage s'est formé aux portes de la banlieue sud, dont beaucoup d'habitants cherchaient à fuir.

"Nous avons très peur que la guerre revienne", a affirmé un chauffeur de taxi de 55 ans, prénommé Mohammad, qui fuyait avec sa famille, comme il l'avait déjà fait pendant la guerre de l'automne.

Le porte-parole arabophone de l'armée israélienne, Avichay Adraee, avait appelé peu avant les habitants de Hadath à évacuer une zone située autour "d'installations du Hezbollah", en désignant un bâtiment en rouge sur une carte.

L'armée israélienne avait annoncé vendredi matin bombarder des cibles du Hezbollah dans le sud du Liban, frontalier d'Israël, en riposte au tir de deux "projectiles" dont l'un a été intercepté et l'autre est tombé sur le sol libanais.

Le Hezbollah a nié être à l'origine de ces tirs.

"Tourbillon de violence"

Le président libanais, Joseph Aoun, a annoncé l'ouverture d'une enquête. "Tout indique (...) que le Hezbollah n'est pas responsable" des tirs, a-t-il affirmé.

L'armée libanaise a annoncé avoir découvert dans le sud du pays les rampes de lancement de roquettes utilisées pour viser Israël.

Ces rampes étaient installées "dans la zone de Qaaqaiyat al-Jisr", à la limite nord du fleuve Litani, la zone d'où le Hezbollah est censé se retirer en vertu de l'accord de cessez-le-feu, à une trentaine de kilomètres de la frontière israélienne.

Le mouvement islamiste libanais, sorti très affaibli de la guerre, a annulé un rassemblement prévu vendredi dans la banlieue sud.

C'est la deuxième fois depuis le début du cessez-le-feu que des roquettes sont tirées depuis le Liban vers Israël, la précédente remontant au 22 mars.

Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a aussitôt menacé: "S'il n'y a pas de calme à Kiryat Shmona et dans les localités de Galilée", dans le nord d'Israël, "il n'y aura pas de calme à Beyrouth", a-t-il dit.

Le ministre a prévenu plus tard que la banlieue sud serait frappée "à chaque tentative" d'attaque contre le nord d'Israël.

Joseph Aoun, en visite à Paris, a condamné "toute tentative détestable de ramener le Liban dans un tourbillon de violence" après les frappes israéliennes.

Celles-ci ont fait trois morts et 18 blessés à Kfar Tebnit, un village du sud du Liban, selon l'agence de presse libanaise Ani.

Son homologue français, Emmanuel Macron, a dénoncé des frappes "inacceptables", "en violation du cessez-le-feu", et annoncé qu'il allait s'entretenir avec le président américain, Donald Trump, et le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu.

Ecoles fermées

Après les menaces israéliennes, les écoles ont fermé dans plusieurs localités du sud du Liban, comme à Tyr, visée par une frappe le 22 mars, où des familles paniquées ont ramené leurs enfants à la maison.

"J'ai décidé d'emmener mes enfants à l'école malgré la situation, mais la direction m'a dit qu'ils avaient fermé après les menaces israéliennes", a témoigné Ali Qassem, un père de quatre enfants.

Le Hezbollah, allié du Hamas, avait ouvert un front contre Israël au début de la guerre dans la bande de Gaza le 7 octobre 2023.

Ces hostilités, qui ont dégénéré en guerre ouverte en septembre 2024, ont fait plus de 4000 morts au Liban et contraint plus d'un million de personnes à fuir.

Du côté israélien, le bilan se monte à 78 morts, parmi lesquels 48 soldats en plus des 56 soldats tombés lors d'une offensive au sol déclenchée au Liban à la fin du mois de septembre, selon des données officielles.

Quelque 60'000 habitants du nord d'Israël ont été déplacés, dont la moitié n'est pas encore rentrée chez elle, selon les autorités.

Depuis le retrait incomplet des soldats israéliens du sud du Liban le 15 février, Israël continue de mener des frappes en territoire libanais.

Israël a par ailleurs rompu le 18 mars deux mois de trêve à Gaza, afin de contraindre le Hamas à libérer ses derniers otages. Selon le ministère de la Santé du mouvement islamiste, 896 personnes ont été tuées dans le territoire palestinien depuis cette date.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Berne recule d'un rang mais reste sur le podium

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Berne n'affiche désormais plus que la 3e meilleure affluence d'Europe (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Longtemps meilleure affluence d'Europe, Berne n'affiche désormais plus que la 3e meilleure moyenne. La faute à Cologne et au SKA St-Pétersbourg.

Après avoir occupé la première place pendant 22 ans, les Ours ont été évincés l'année dernière par les Allemands. Et cette année ils perdent encore un rang malgré une augmentation de plus de 300 spectateurs en moyenne pour atteindre 15'821 personnes par match.

Le SKA St-Pétersbourg occupe désormais la deuxième place. Le club russe de KHL a profité de sa nouvelle arène qui, depuis 2023, est la plus grande arène de hockey sur glace en Europe avec 21'500 places. Juste devant les Kölner Haie bombent le torse avec une moyenne record de plus de 17'800 fans par match.

Les clubs du top 10 sont restés les mêmes que la saison précédente, seul l'ordre a légèrement changé. Outre Berne, les Zurich Lions conservent leur place parmi les dix meilleurs en se classant 9es. Les Romands apparaissent eux dans le top 15 avec Fribourg au 14e rang (9194) et Lausanne au 15e (9116).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Les cas d'exécutions sommaires explosent en Haïti, selon l'ONU

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Le Haut commssaire de l'ONU aux droits de l'homme Volker Türk demande à la communauté internationale d'accélérer le déploiement en Haïti de la Mission de soutien sur la sécurité face aux groupes armés dans le pays (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Les décès dans les opérations des forces de sécurité haïtiennes contre les gangs et les exécutions sommaires par la police augmentent, selon l'ONU. Plus de 700 enlèvements ont aussi été observés dans ce pays.

Ces deux dernières années, "la situation s'est détériorée de manière considérable" pour les droits humains en Haïti, a affirmé vendredi le Haut commissaire aux droits de l'homme Volker Türk devant le Conseil des droits de l'homme à Genève. Il a insisté sur "la souffrance insupportable" subie par la population haïtienne.

Un avis partagé par l'expert indépendant de l'ONU sur Haïti. Les hélicoptères constituent les seules possibilités sécurisées d'entrer dans la capitale Port-au-Prince, selon lui.

L'ONU avait déjà affirmé que les violences avaient fait plus de 5600 victimes l'année dernière. Dans le rapport du Haut-Commissariat sur la période de juillet à fin février dernier, abordé au Conseil, elle parle de près de 4300 tués et plus de 1350 blessés sur ces huit mois. Rien qu'en décembre, des gangs ont fait près de 210 tués en cinq jours.

Presque toutes les victimes sont liées à des armes à feu, dont entre 250'000 et 500'000 circulent illégalement dans le pays malgré un embargo. Autre problème, les gangs recourent de plus en plus aux violences sexuelles.

Policiers surchargés

Les forces de sécurité haïtiennes sont également mises en cause. Durant la période du rapport, plus de 2000 personnes ont été tuées dans des opérations contre les gangs, en augmentation de 60% par rapport à la première partie de l'année dernière. Près d'un tiers ont été atteintes alors qu'elles n'étaient pas associées aux violences.

Et plus de 210 exécutions sommaires au moins ont été identifiées par le Haut-Commissariat, contre une trentaine sur l'année 2023. M. Türk demande à la communauté internationale d'accélérer le déploiement de la Mission multidimensionnelle de soutien à la sécurité, dépassée, comme la police haïtienne, en raison d'un manque de ressources.

Plus d'un million de Haïtiens sont déplacés. Et plus de cinq millions sont confrontés à une importante insécurité alimentaire. Plus de 6000 d'entre eux, déplacés, font face à une famine, dit le Haut-Commissariat.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Perpétuité pour avoir coupé un retraité en 27 morceaux

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L'accusé a utilisé une scie à métaux pour couper en morceaux sa victime, un retraité de 67 ans, en mars 2024, après l'avoir tué à coups de marteau, selon la police (image d'illustration). (© KEYSTONE/EPA/WILL OLIVER)

Un homme de 42 ans a été condamné vendredi en Angleterre à la réclusion à perpétuité pour avoir tué, démembré et scié en 27 morceaux son colocataire et ami.

L'accusé était obsédé par l'horreur macabre, selon la police. Il avait utilisé une scie à métaux pour couper en morceaux sa victime, un retraité de 67 ans, dans la nuit du 27 au 28 mars 2024, après l'avoir tué à coups de marteau. Il s'était débarrassé des parties du corps en prenant le bus à plusieurs reprises.

Il avait d'abord prétendu que son colocataire, présenté comme un ami, voulait s'enfuir à l'étranger, pour expliquer sa disparition. Un jury avait reconnu le quadragénaire, un Polonais père de deux enfants, coupable de meurtre vendredi dernier devant un tribunal de Manchester (nord).

Selon le juge John Cavanagh qui a annoncé vendredi sa peine de réclusion à perpétuité, avec une peine incompressible de 34 ans, l'homme avait prémédité son meurtre pour voler l'agent de son colocataire afin de rembourser des dettes croissantes.

"Vous avez agi avec un sang froid presque incroyable, et avez montré un total mépris et manque de respect envers les restes de votre ami", a ajouté le juge. Seul un tiers du corps du retraité a été retrouvé, dont son torse par un passant dans une réserve naturelle quelques jours après le meurtre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Le Groenland se dote d'un large gouvernement de coalition

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Le nouveau premier ministre du Groenland, Jens-Frederik Nielsen, a appelé à "mettre de côté nos désaccords et nos différends" (archives). (© KEYSTONE/AP/Evgeniy Maloletka)

Le Groenland, territoire autonome danois convoité par Donald Trump, s'est doté d'un large gouvernement de coalition, sans les ultra-nationalistes. Il entend ainsi "faire face à la forte pression extérieure", a annoncé vendredi son nouveau Premier ministre.

"75% de la population est unie à travers cette coalition", a déclaré Jens-Frederik Nielsen lors de la présentation de son équipe, qui compte en ses rangs, l'ancien Premier ministre Mute Egede au portefeuille des Finances.

"Il est très important que nous mettions de côté nos désaccords et nos différends (...) car c'est seulement ainsi que nous pourrons faire face à la forte pression à laquelle nous sommes exposés de l'extérieur", a-t-il ajouté.

Visite de JD Vance

Accompagné d'une délégation comprenant notamment le ministre de l'Energie Chris Wright, le vice-président américain JD Vance est attendu ce vendredi sur la base aérienne de Pituffik que possèdent les Etats-Unis sur la côte nord-ouest du Groenland, à 1500 km au nord de la capitale Nuuk.

"Nous avons besoin de stabilité et d'unité à un moment où des acteurs extérieurs tentent d'influencer le développement de notre nation", est-il écrit dans le programme de la coalition, d'après les médias locaux.

"Prudence" sur l'indépendance

"En ce qui concerne l'indépendance, il est important que nous fassions preuve de prudence", est-il précisé. Chantre d'une indépendance rapide, le parti Naleraq, arrivé deuxième du scrutin, avait annoncé lundi qu'il ne serait pas du gouvernement.

"La lecture immédiate (du gouvernement) est bien sûr que les discussions sur un processus très rapide vers l'indépendance sont mises de côté, car ce n'est pas le moment", a réagi Carina Ren, directrice du programme Arctique à l'Université d'Aalborg (Danemark).

Selon elle, l'objectif du gouvernement est "la construction de l'Etat providence, il (lui) faut penser au développement, réfléchir à la manière de construire une économie solide".

Le centre droit était sorti vainqueur des élections législatives du 11 mars, talonné par les nationalistes indépendantistes de Naleraq.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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