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Politique

Deal de rue: le Grand Conseil vaudois diverge

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Le Grand Conseil vaudois a débattu mardi de la problématique du deal de rue. Elus de droite comme de gauche s'accordent pour dire qu'il faut agir, mais ils divergent sur les pistes à suivre. La réflexion se poursuivra en commission.

Durant environ une heure et demie, le législatif a bataillé sur ce sujet qui fait polémique depuis le coup de gueule du cinéaste Fernand Melgar. Tous les élus ont reconnu que le problème n'est pas récent, qu'il dépasse les frontières cantonales et qu'il n'existe pas de "potion magique".

Au final, les députés ont adopté une résolution du PLR Marc-Olivier Buffat qui demande un renforcement de la chaîne pénale et davantage de places de détention. Mais ils ne se sont pas tous rangés derrière ce texte, avalisé par 73 voix contre 56, la gauche refusant de le voter.

Pas seulement la répression

Pour Vassilis Venizelos (Verts), cette résolution est "incomplète" et "enfonce des portes ouvertes". Trop axée sur la répression, elle ne parle pas des autres piliers de la politique de drogue: la prévention, la thérapie et la réduction des risques.

Pour Jean-Michel Dolivo (Ensemble à Gauche), une approche répressive rend le trafic davantage souterrain. Son impact est "nul", a-t-il ajouté. Plusieurs voix à gauche ont plaidé pour un encadrement et un contrôle de ce marché, réclamant notamment une légalisation de la vente et de la consommation de cannabis.

Assumer le bilan à Lausanne

"Une légalisation noierait le problème. C'est un échec au Portugal", a répliqué Marc-Olivier Buffat. Le député a accusé la gauche de tenir depuis longtemps le même discours. Et il a lancé: "C'est votre bilan à Lausanne. Il faut l'assumer".

La conseillère d'Etat Béatrice Métraux a assuré que le Conseil d'Etat "entend les préoccupations" du Grand Conseil. "Mais cette problématique n'est pas que sécuritaire. Il s'agit aussi de politiques sociale, scolaire et migratoire", a-t-elle ajouté.

Actuellement, dans le canton, plus d'un détenu sur deux (54%) est derrière les barreaux pour des délits en lien avec les stupéfiants. Réserver cinq cellules aux dealers de rue, comme à Neuchâtel avec l'opération "Narko", ne permettrait pas d'endiguer le phénomène, a-t-elle dit. Mais elle a rappelé qu'un crédit d'étude de 12 millions vient d'être transmis au Grand Conseil pour créer 216 places de détention en 2025 aux Grands-Marais, près d'Orbe.

Une délégation du Conseil d'Etat va se réunir à la rentrée pour étudier "toutes les pistes possibles" pour lutter contre le deal. Des assises de la chaîne pénale sont agendées en décembre. Et l'Ecole des sciences criminelles va analyser les chiffres vaudois.

En commission

La réflexion se poursuivra aussi au Grand Conseil vaudois. Mardi, une motion d'Axel Marion (PDC) et une initiative de Gregory Devaud (PLR) ont été renvoyées en commission.

La motion demande au Conseil d'Etat d'identifier toutes les mesures utiles à renforcer la lutte contre le trafic de stupéfiants. L'initiative demande que le deal dans l'espace public soit considéré comme une circonstance aggravante et sanctionné par une peine privative de liberté.

Source ATS - ©KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT

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Genève

Nicolas Walder est le nouveau conseiller d'Etat. Découvrez le vote de votre commune

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Alfonso Gomez, Delphine Klopfenstein Broggini et Nicolas Walder lors des résultats du 1er tour (KEYSTONE/Martial Trezzini)

A Genève, les Vert-e-s conservent leur siège au Conseil d'Etat après la démission d'Antonio Hodgers à mi-mandat. Le conseiller national Nicolas Walder est élu avec 5604 voix de plus que l'UDC Lionel Dugerdil dimanche, au second tour de l'élection complémentaire. Radio Lac vous propose de savoir comment a voté votre commune.

Nicolas Walder remporte 45'249 suffrages, contre 39'645 pour Lionel Dugerdil. Le Vert devançait déjà l'UDC de 5542 voix lors du premier tour, le 28 septembre. Dimanche, l'outsider Philippe Oberson, de la liste Le Peuple d'abord, a recueilli 5503 voix. Le taux de participation s'est élevé à 32,29%.

"Il y a eu une mobilisation pour que l'écologie reste au Conseil d'Etat", a déclaré M. Walder, tout en soulignant que "c'était un défi de garder ce siège dans un canton qui élit à droite". "Ce deuxième tour était très tendu. Je suis honoré de la confiance que m'accordent les Genevois", a commenté celui qui se situe dans l'aile la plus à gauche des Vert-e-s.

 

Agé de 59 ans, Nicolas Walder était soutenu par le PS dès le premier tour. Il a bénéficié de l'appui de la gauche radicale au second tour mais aussi, selon lui, de membres du Centre allié aux Vert'libéraux, des partis qui n'avaient pas donné de consigne de vote. Vice-président des Vert-e-s Suisse, il permet à son parti de conserver le siège qu'il occupe depuis 1997 au Conseil d'Etat genevois.

Voix urbaines

M. Walder entrera en fonction le 1er novembre, près de deux ans et demi après le début de la législature. "Je suis très heureux de pouvoir construire pour les Genevois", a-t-il souligné. Il retrouvera au Conseil d'Etat son ex-collègue de l'exécutif de la Ville de Carouge, la PLR Anne Hiltpold, et devrait reprendre le Département du territoire d'Antonio Hodgers, qui s'en va après douze ans.

Cosmopolite au style policé, ce défenseur de l'égalité et de la multiculturalité a fait le plein de voix en Ville de Genève et à Carouge, où il a été conseiller administratif de 2011 à 2020. Dans l'immédiat, il va démissionner du Conseil national où il siège depuis 2019. Rudi Berli, un agriculteur d'origine zurichoise, lui succèdera.

"C'est indispensable d'avoir encore un siège écologiste au Conseil d'Etat. Une élection partielle est toujours risquée", a indiqué le président du PS Thomas Wenger. "Mais il ne faut pas faire preuve de triomphalisme. Le résultat de l'UDC est très inquiétant, aussi dans les villes", a-t-il souligné, dénonçant "les slogans simplistes" du parti.

Alliance en question

Soutenu par le PLR dès le premier tour, Lionel Dugerdil a bénéficié de l'appui du MCG et de plusieurs faîtières de l'économie au second tour. Ce vigneron-encaveur de 44 ans, député depuis 2023, considère son score "de bon augure pour la suite", appelant la droite à s'allier pour les élections fédérales de 2027 et cantonales de 2028. Il est arrivé en tête dans son fief de Satigny et dans plusieurs communes de la rive gauche.

Le président du PRL Pierre Nicollier s'est dit fier du résultat de M. Dugerdil, "un UDC agrarien" et "le bon candidat pour poursuivre une alliance". Et de relever que si l'Alliance genevoise n'est plus d'actualité au vu de la défection du Centre, le programme de législature défini en 2023 reste.

"Avec l'Alliance genevoise, l'UDC aurait gagné", a déploré le président du MCG François Baertschi, dénonçant "l'ambiguïté de certaines personnes au Centre". "Il faudra travailler à reconstituer une alliance la plus large possible pour les élections de 2028, c'est la condition du succès", estime-t-il.

Pour le président du Centre Philippe Rochetin, le candidat UDC "n'a pas réussi à séduire l'électorat du Centre", qui a fait la bascule dans cette élection et qui ne s'est pas laissé tromper par le nom de sa liste au second tour", à savoir l'Alliance droite et centre-droit. Selon lui, l'Entente avec le PLR "avait son sens. Nos anciens cousins ont essayé quelque chose, mais ce n'est pas la bonne formule."

Avec Keystone-ATS

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Genève

Pas la peine de voter sur l'ouverture des magasins à Genève

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Illustration

Non, nous ne voteront pas le 30 novembre sur la modification de la loi sur les heures d'ouverture des magasins (LHOM), attaquée par voie référendaire. A la suite d'une décision du Tribunal fédéral (TF), le Conseil d'Etat annule le scrutin.

Dans un arrêt du 4 septembre, rendu public le 8 octobre, le TF considère que la loi genevoise n'est pas conforme au droit supérieur, a rappelé mercredi devant les médias la conseillère d'Etat Delphine Bachmann, en charge du Département de l'économie et de l'emploi. Comme les "prémisses sont fausses", les enjeux de la votation sont "illisibles".

Pour le TF, l'article qui fait dépendre l'ouverture des commerces trois dimanches par an à l'existence d'une convention collective de travail (CCT) étendue ne doit pas figurer dans la LHOM. Les juges de Mon Repos estiment que cette disposition particulière constitue une mesure de protection des travailleurs et n'a rien à faire dans une loi qui vise avant tout la tranquillité publique. Genève va devoir clarifier la situation.

Nouveaux travaux

"Il sera nécessaire d'avoir de nouveaux travaux législatifs en vue de débats sereins et éclairés sur l'ouverture des magasins le dimanche", a déclaré la magistrate. "On ne peut pas faire voter le peuple sur des variantes d'interprétation, mais sur des choses claires", a-t-elle ajouté.

Le scrutin du 30 novembre portait sur une modification de la LHOM, votée par la majorité de droite du Grand Conseil. Le projet, attaqué par les syndicats et la gauche, aurait permis d'ouvrir les magasins le 31 décembre, un jour férié à Genève assimilé à un dimanche, et deux dimanches par an sans la condition d'une CCT étendue. En cas de "non", les dispositions existantes auraient toutefois dû être revues.

Pas de dépouillement

Le matériel de vote est déjà imprimé et prêt à être distribué. La Chancellerie va donc informer la population par courrier séparé de ne pas se prononcer sur cet objet, qui ne sera pas dépouillé, a indiqué la chancelière d'Etat Michèle Righetti-El Zayadi. "C'est une situation plutôt unique que nous vivons aujourd'hui", a reconnu Mme Bachmann.

Plusieurs votations ont déjà eu lieu à Genève sur les ouvertures dominicales. D'un point de vue légal, le scrutin du 30 novembre n'est pas annulé, mais repoussé d'un an au maximum, à compter du constat de l'aboutissement du référendum, selon la chancelière d'Etat. La décision du Conseil d'Etat de mercredi peut faire l'objet d'un recours dans un délai de six jours.

Avec Keystone-ATS

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International

France: Mission de dernière chance pour Lecornu, démissionnaire

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Sébastien Lecornu a remis sa démission lundi matin, mais l'après-midi Emmanuel Macron lui a confié une nouvelle mission (archives). (© KEYSTONE/EPA/ALAIN JOCARD / POOL)

Le président français Emmanuel Macron a donné lundi à Sébastien Lecornu, premier ministre qui venait de démissionner, 48 heures pour des négociations de la dernière chance, laissant planer la menace de dissolution en cas d'échec.

M. Macron a confié au "premier ministre démissionnaire en charge des affaires courantes la responsabilité de mener, d'ici mercredi soir, d'ultimes négociations afin de définir une plateforme d'action et de stabilité pour le pays", a annoncé l'Elysée.

"Je dirai au chef de l'Etat mercredi soir si cela est possible ou non, pour qu'il puisse en tirer toutes les conclusions qui s'imposent", a répondu sur X M. Lecornu.

Ce dernier débutera ses nouvelles tractations dès mardi matin en recevant les dirigeants de la fragile coalition entre le camp présidentiel et le parti de droite Les Républicains (LR) dont les signes d'implosion l'ont poussé à démissionner lundi matin.

En cas de nouvel échec mercredi, le chef de l'Etat "prendra ses responsabilités", a fait savoir ensuite son entourage, semblant laisser planer l'hypothèse d'une nouvelle dissolution de l'Assemblée après celle de 2024.

Il a aussi précisé qu'en cas de succès, M. Lecornu ne serait pas automatiquement renommé premier ministre, son rôle se bornant à ce stade à dire si "des voies de compromis" sont encore possibles.

"Fin de règne"

"La fin de règne de la Macronie est interminable. Qu'ils s'en aillent tous!", a réagi Mathilde Panot, la cheffe des députés du mouvement de gauche radicale La France insoumise (LFI). La patronne des Ecologistes, Marine Tondelier, a elle ironisé sur ce "monde politique qui est en train de s'effondrer et qui s'accroche comme une moule à son rocher".

La journée avait commencé par un nouveau coup de tonnerre politique.

Troisième premier ministre désigné en un an depuis la dissolution de l'Assemblée par M. Macron en juin 2024, M. Lecornu, nommé le 9 septembre et qui devait tenir son premier Conseil des ministres lundi, s'est rendu aux premières heures au palais de l'Elysée pour remettre sa démission au président, qui l'a d'abord formellement acceptée.

"Les conditions n'étaient plus remplies" pour rester, a-t-il déclaré un peu plus tard, regrettant "les appétits partisans" ayant conduit à sa démission.

Une allusion claire au patron du parti de droite Les Républicains (LR), Bruno Retailleau, qui dimanche soir a précipité sa chute quelques heures après avoir accepté de rester au gouvernement.

Le ministre de l'Intérieur démissionnaire a assuré qu'il ne se sentait "pas du tout" responsable de la crise. La veille, il s'était montré ulcéré par le retour, aux Armées, de l'ex-ministre de l'Economie Bruno Le Maire, qui a annoncé lundi renoncer à participer au gouvernement dans l'espoir de permettre "la reprise des discussions".

Dissolution, démission ou cohabitation

Les partis politiques "continuent d'adopter une posture comme s'ils avaient tous la majorité absolue", a déploré M. Lecornu.

Il a notamment regretté que ses différentes prises de position n'aient "pas permis" d'évacuer la menace d'une censure agitée par la gauche et le parti d'extrême droite Rassemblement national (RN).

Son gouvernement a été le plus bref depuis l'instauration en France en 1958 de la Ve République. Sa chute plonge le pays dans une crise politique sans précédent, aggravant l'impasse née de la dissolution de 2024.

Le président de la République était dès lors au pied du mur, avec peu de cartes en main.

Hormis cette mission de la dernière chance, il peut dissoudre une Assemblée divisée en trois blocs comme le demande le RN; démissionner comme le voudrait LFI; ou nommer un premier ministre de gauche comme l'ont de nouveau réclamé lundi écologistes et socialistes. Voire faire appel à une personne sans étiquette à la tête d'un "gouvernement technique".

Presque simultanément à la démission de M. Lecornu, les dirigeants du RN ont appelé M. Macron à convoquer de nouvelles élections législatives anticipées. Marine Le Pen a jugé une dissolution "absolument incontournable" et même estimé qu'une démission du chef de l'Etat serait "sage".

Dans la soirée, le parti d'extrême droite et ses alliés ont fait savoir qu'ils "censureront systématiquement tout gouvernement" jusqu'à la dissolution ou la démission du président.

Le leader de LFI Jean-Luc Mélenchon a lui demandé l'examen "immédiat" d'une motion de destitution du président, à ses yeux "à l'origine du chaos".

"hors de question"

Les socialistes, qui avaient réclamé un nouveau vote parlementaire sur la très impopulaire réforme des retraites pour ne pas censurer M. Lecornu, ont demandé au président de nommer un premier ministre "issu de la gauche et des Ecologistes" et "ouvert aux compromis".

Mais un tel chef de gouvernement, ce serait sans LR car pour M. Retailleau, "il est hors de question de cautionner un premier ministre de gauche".

Face à ce nouveau rebondissement politique, la Bourse de Paris a reculé, le CAC 40 terminant en baisse de 1,36%. Et sur le marché obligataire, le taux d'intérêt à dix ans passait au-dessus de celui de l'Italie.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Genève

La semaine de la démocratie à Genève

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La Semaine de la démocratie revient du 4 au 12 octobre 2025 avec une programmation qui interroge l'avenir de nos institutions face aux transformations du XXIe siècle.

Sous le thème "Réinventer la démocratie : entre tradition et innovation", elle réunit près de quarante partenaires institutionnels, associatifs et académiques autour de 26 événements publics, en plus des 17 événements du programme réservé au public scolaire.

Un programme riche et varié, destiné à tous les publics, est proposé par les nombreuses entités publiques et privées réunies pour l'occasion autour de cette thématique.

 

À l'occasion de cette 11ème édition, écoutez Valérie Vulliez-Boget, Secrétaire générale adjointe à la Chancellerie d'Etat et Christine Lutringer, directrice exécutive du centre Albert Hirshman sur la démocratie au Graduate Institute de Genève au micro de l'équipe de Carole & Fabien : 

 

Découvrez jour après jour un programme captivant ouvert au public et dont les entrées sont libres (attention inscription préalable pour certains évènements).

 

Samedi 4 octobre 2025 de 10h à 17h "Percez les mystères du Palais de justice" : RDV pour ce "rallye" au Palais de Justice de Genève ! (sur inscription) 

Samedi 4 octobre 2025 de 13h à 15h30 "La démocratie : à vous de jouer!" : RDV pour cet atelier à Unimail à Genève (entrée libre) 

Fabien & Carole vous parlent de ces évènements qui auront lieu ce week-end dans le canton 😉 

 

Lundi 6 octobre 2025 de 12h30 à 13h30 "Le pouvoir des récits démocratiques et anti-démocratiques" : RDV pour cette conférence à Unimail à Genève (entrée libre) 

Lundi 6 octobre 2025 de 18h30 à 20h "Can democracy survive polarisation?" : RDV à la maison de la paix de Genève pour cette rencontre avec l'ancien premier ministre de la Grèce Georg Papandreou (sur inscription) 

Fabien & Carole vous parlent de ces évènements qui auront lieu lundi dans le canton 😉

 

Mardi 7 octobre 2025 de 13h30 à 17h30 "Démocratie et économie" : RDV à la maison Rousseau et Littérature à Genève (sur inscription) 

Mardi 7 octobre 2025 de 13h30 à 17h "Société de demain : comment voulons-nous vivre dans le futur?" : RDV à l'espace 3DD à Genève (sur insciption)

Ludovic vous parle de ces 2 évènements en compagnie d'Antoine Mach et Sabrina Cohen Dumani, ses invités du jour : 

 

Mardi 7 octobre 2025 de 18h à 20h "Faire voter les jeunes : une question de moyens ?" : RDV à la maison des fondations Auditorium (sur inscription) 

Mercredi 8 octobre 2025 de 18h30 à 20h15 "L'engagement pour la démocratie : hier et aujourd'hui" au théâtre les Salons à Genève (entrée libre) 

Fabien & Carole vous parlent de ces évènements qui auront lieu dans le canton 😉 

 

Jeudi 9 octobre 2025 de 18h à 20h "L'e-Collecting, nouvel outil de la démocratie suisse : défis et pratiques cantonales" : RDV à la maison internationale des associations (entrée libre) 

Jeudi 9 octobre 2025 de 18h30 à 20h "Protecting children in a world in crisis : understanding and acting" : RDV à Uni Mail pour cette table ronde en anglais (traduction possible - entrée libre) 

Vendredi 10 octobre 2025 de 12h à 14h "nouveaux quartiers, nouvelles citoyennetés. Quelle perspectives pour la démocratie locale?" : RDV au Grand café de la parfumerie aux Accacias (sur inscription) 

Fabien & Carole vous parlent de ces évènements qui auront lieu dans le canton 😉 

 

Vendredi 10 octobre 2025 de 12h30 à 14h "This House believes all will save democracy : an Oxford - Style debate" : RDV à la maison de la paix à Genève pour ce débat en anglais (sur inscription) 

Samedi 11 octobre 2025 de 11h à 17h "Synepolis" : RDV à l'Hôtel de ville de Genève (entrée libre) 

Fabien & Carole vous parlent de ces évènements qui auront lieu dans le canton 😉 

 

Samedi 11 octobre 2025 de 15h à 17h "Carouge : le conseil administratif rencontre les Aurea" : RDV à l'espace 48 de Carouge pour cette rencontre (entrée libre) 

Dimanche 12 octobre 2025 de 15h à 17h "C'est quoi la démocratie Suisse ? immersion au cœur du château de Prangins" : RDV au Château de Prangins pour cette visite interactive (entrée libre)

Fabien & Carole vous parlent de ces évènements qui auront lieu dans le canton 😉 

 

Samedi 11 octobre 2025 de 10h à 12h "Plan-les-Ouates : Visite de la mairie en famille" : RDV à la mairie de Plan-les-Ouates pour cette visite guidée (sur inscription) 

Jeudi 16 octobre 2025 de 17h30 à 19h30 "CinéCivic : Projection et discussions" : RDV au collège Voltaire (entrée libre) 

Fabien & Carole vous parlent de ces évènements qui auront lieu dans le canton 😉 

 

 

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Genève

Conseil d'Etat: Trois candidats pour le second tour

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Une personne remplit son bulletin de vote du premier tour de l'election complementaire d'un membre du Conseil d'Etat genevois du 28 septembre, ce jeudi 11 septembre 2025 a Geneve. Les citoyens genevois voteront le 28 septembre pour le premier tour de l'election complementaire au Conseil d'Etat genevois, provoquee par la demission du conseiller d'Etat Antonio Hodgers. (KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi)

Le second tour de l'élection complémentaire au Conseil d'Etat genevois, le 19 octobre, verra se confronter le Vert Nicolas Walder à l'UDC Lionel Dugerdil. Ils seront accompagnés par l'outsider Philippe Oberson, représentant Le Peuple d'abord.

Le duel entre les deux candidats les mieux placés au premier tour de dimanche, avec 5542 voix d'écart, se confirme après le dépôt des listes mardi. Le conseiller national Nicolas Walder est à nouveau le candidat de la liste Les Vert-e-s-Les Socialistes, tandis que l'agriculteur-vigneron Lionel Dugerdil, soutenu dès le premier tour par le PLR, figure désormais sur une liste intitulée Alliance droite et centre-droit.

Comme prévu, le candidat du Centre-Les Vert'libéraux Xavier Magnin, arrivé troisième dimanche, s'est retiré. Réunis chacun en assemblée lundi soir, les deux partis ont décidé de ne pas émettre de recommandation de vote pour le 19 septembre. Le MCG Maikl Gerzner, qui s'est placé en cinquième position, jette, lui aussi, l'éponge. Son parti a annoncé dimanche soutenir Lionel Dugerdil.

Quant à l'ex-maire de Genève Rémy Pagani, de l'Union populaire, arrivé quatrième, il ne se présente pas non plus au second tour. Les Vert-e-s et et PS ont appelé dimanche à une mobilisation de toutes les forces de gauche pour faire barrage au candidat de l'UDC.

Dix candidats étaient en lice au premier tour de cette élection complémentaire. Aux côtés des cinq représentants de partis, cinq candidats hors sérail s'étaient présentés pour succéder au conseiller d'Etat écologiste Antonio Hodgers, qui a démissionné à mi-mandat.

Avec Keystone-ATS

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