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Un essai de vente de cannabis à Genève

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3 Commentaires

3 Comments

  1. Jimmy Esseiva

    30 septembre 2023 à 11 h 59 min

    Non mais c'est sérieux ? Elle fume la Rurh Dreifuss..... ça c'est pas une question. Où est la logique et le bon sens dans cette "activité". La Drogue c'est pas bon pour la santé. C'est simple, il n'y a pas à discuter. C'est mauvais et ce qu'ils font, n'est pas une solution. C'est un business qui rapporte du pognon. La question c'est : À qui et sur le dos de qui ?

  2. Patrice Bösiger

    7 octobre 2023 à 17 h 20 min

    La prévention d’abord
    Les effets néfastes du THC sur la santé tant psychique que physique sont largement connus des spécialistes et scientifiquement prouvés depuis des années. Dès lors, une distribution contrôlée est-elle vraiment nécessaire et les arguments avancés sont-ils réellement pertinents ?
    En Suisse, nous avons la Loi fédérale sur les stupéfiants qui dresse les grandes lignes de la politique à mener par la Confédération et les cantons. Ce sont les quatre piliers : a) prévention, b) thérapie et réinsertion, c) réduction des risques et aide à la survie, et d) répression. Cette loi suit une logique évidente.
    La définition du mot prévention est : voir venir un danger et prendre les mesures nécessaires pour l’éviter. Les piliers b), c) et d) ne sont nécessaires que pour ceux à qui on a fait croire que la consommation de drogues était une solution ou alors un amusement sans conséquences; et pour ceux qui en font une activité criminelle afin de s’enrichir ou de détruire une société.
    Les parents, les enseignants, les éducateurs, la grande majorité des médecins et même des spécialistes des problèmes de la drogue affirment qu’il n’y a pas assez de prévention. Pourquoi n’y a-t-il pas de véritable prévention dans les écoles, à part quelques exceptions ? Ce serait pourtant simple d’introduire ce sujet dans des cours de biologie, par exemple. Cela ne surchargerait pas les programmes et ne demanderait pas de budget supplémentaire.
    Notre association Dites Non à la Drogue a donné récemment des conférences dans des écoles aux élèves de 12 à 18 ans. Les retours de ces élèves montrent qu’ils apprécient les informations claires et factuelles que nous exposons, leur permettant de comprendre le sujet. A partir de là, le choix est entre leurs mains. A la fin des conférences, la plupart disent ne pas vouloir prendre de drogues ou vouloir arrêter d’en consommer. D'où moins de risque d'accident de la route, de problèmes de santé physique et mentale, de drames familiaux et sociaux.
    Pourquoi chercher des solutions complexes plutôt que d'appliquer la loi ?

  3. Bertrand Nicod

    12 octobre 2023 à 3 h 47 min

    Droguer les jeunes pour régler leurs problèmes de drogue…quel drôle de concept. Lors d’une conférence qu’elle donnait à Lausanne, j’ai entendu de mes propres oreilles cette même Ruth Dreifuss vouloir distribuer gratuitement des drogues de synthèse dans les parcs à Genève pour accoutumer les jeunes à des drogues spécifiques. Son but était de substituer les drogues de la rue par des drogues d’Etat… je me le demande à voix haute et forte: à qui profite le crime et pour qui travaille cette dame?

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