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6 minutes avec Joé Fivaz, vice-président des JLR Genève

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La Lex Netflix est en passe d'aboutir. Elle prévoit, entre autre, l'obligation, pour les plateformes de vidéo, d'investir 4% dans le cinéma suisse.  "Ces 4% sont une question de principe. C'est un impôt extraordinaire pour ces sociétés, qui ne se justifie pas réellement" a précisé, sur Radio Lac, le vice-président des JLR Genève, Joé Fivaz. "Aujourd'hui, le cinéma suisse peine certes à convaincre, mais la tendance s'inverse (...) le catalogue Netlix en films et séries suisses s'étoffe, on a même des succès internationaux et on n'a pas besoin d'une loi pour le promouvoir. C'est aux cinéastes suisses de savoir convaincre le public!".
Quant à l'exception culturelle, ce n'est pas un argument pour Joé Fivaz: "ce n'est pas le rôle des entreprises privées de financer la culture. On a déjà l'Etat qui le fait à hauteur de 100 millions, par année. Ces coûts supplémentaires pour les plateformes seront répercutés sur l'abonné suisse!".
Joé Fivaz, le vice-président des JLR Genève, était invité de Béatrice Rul, à 7h35, dans Radio Lac Matin. 
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