La biologiste suisse Anita Studer va raconter à Genève sa lutte qui a permis de replanter deux millions et demi d'arbres en 30 ans dans une forêt tropicale du nord-est du Brésil. Elle donnera ce jeudi une conférence à l'Université de Genève avec le conservateur des jardins botaniques de Genève Louis Nusbaumer.
Mme Studer a lancé dans les années 80 l'association Nordesta, qu'elle préside toujours, pour protéger une partie de la forêt tropicale de cette région brésilienne. Elle aura obtenu pour ce site un statut de réserve biologique fédérale après plusieurs années de discussions avec le gouvernement.
Soutenue par la population, elle a aussi mené des initiatives économiques dans cette zone. Une collaboration a été établie avec plusieurs universités, notamment celle de Genève mais aussi des institutions brésiliennes.
C’est le concept de Bingo. Ce service de recyclage à domicile a été créé par trois Romands.
Le principe: vous avez un sac, dans lequel vous mettez jusqu’à 10 types de déchets différents. Vous choisissez un abonnement pour que le sac soit récupéré, de une fois à quatre par mois.
Un gain de temps pour les entreprises et les particuliers. Les explications de Romain Rosselet, le co-fondateur de BinGo:
La neige qui a tellement manqué pendant les vacances est enfin arrivée.
Surtout en début de semaine, notamment dans les Alpes. La couche de neige fraîche atteint localement 70 cm à un mètre sur la rive droite du Rhône ainsi que dans l'ouest du Bas-Valais. Les autres massifs ont également profité du retour de la neige.
Et qui dit chute de neige en abondance, dit risque élevé d’avalanches.
Le point de la situation avec Pierre Huguenin, responsable de l’antenne valaisanne de l’Institut fédéral pour l’étude de la neige et des avalanches:
Pierre Huguenin
Responsable de l’antenne valaisanne de l’Institut fédéral pour l’étude de la neige et des avalanches
Pierre HugueninResponsable de l’antenne valaisanne de l’Institut fédéral pour l’étude de la neige et des avalanches
Pierre HugueninResponsable de l’antenne valaisanne de l’Institut fédéral pour l’étude de la neige et des avalanches
Et puis nouveauté cette année, l’Institut fédéral pour l’étude de la neige et des avalanches a voulu rendre plus précis le bulletin d'avalanche. Pour rappel, l’échelle est en 5 degrés de danger et il y a désormais des niveaux intermédiaires, représentés par les signes -, = et +.
Les explications de Pierre Huguenin:
Pierre Huguenin
Responsable de l’antenne valaisanne de l’Institut fédéral pour l’étude de la neige et des avalanches
Pierre HugueninResponsable de l’antenne valaisanne de l’Institut fédéral pour l’étude de la neige et des avalanches
Pierre HugueninResponsable de l’antenne valaisanne de l’Institut fédéral pour l’étude de la neige et des avalanches
La COP 27 s’est achevée, dimanche matin avec deux points importants: l’objectif de maintenir le réchauffement climatique en dessous de 1,5 degrés d’ici 2050 mais aussi la création d’un fonds spécifique pour les pertes et dommages des pays les plus pauvres, directement impactés par ce réchauffement climatique. Echec ou réussite, cette COP 27?
"C'est un résultat qu'il faut nuancer" a expliqué, sur Radio Lac, Quentin Knight, membre de la délégation suisse à la COP27, représentant de la jeunesse. "Il y a une progression avec ces objectifs. C'est l'important".
Reste qu'aucun engagement de baisse des émissions de gaz à effet de serre n'a été pris:
"En début de COP, il y avait cette peur que ces objectifs là ne soient pas maintenus. Pour beaucoup de personnes, cela peut faire effet d'annonce, mais il était très important de rappeler ces objectifs. Pour les pays du Sud, la question du fonds spécifique pour les pertes et dommages, c'est quelque chose de très positif".
Quentin Knight a participé à la COP 27, en tant que membre de la délégation suisse:
"De l'intérieur, une COP 27 est très complexe. Ça prend quelques jours pour s'adapter, beaucoup de gens à rencontrer... J'étais Youth Delegate for climate. C'est un mandat qui a été créé dans le cadre d'un partenariat entre l'Office fédéral de l'environnement et le Conseil suisse des activités de jeunesse pour avoir un représentant de la jeunesse dans la délégation. Il était très important que la jeunesse soit incluse dans la prise de décision car nous sommes les décideurs de demain et on est une génération qui va vivre avec les conséquences du réchauffement climatique".
Quentin Knight, membre de la délégation suisse à la COP27, représentant de la jeunesse était invité de Béatrice Rul, à 7h35, dans Radio Lac Matin.