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Environnement

L'Epiphanie, une période faste pour l'artisan boulanger

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Michel et ses deux collègues Alex et Antoine ne chôment pas durant la période entourant l'Epiphanie. Ils confectionnent près de 200 galettes des Rois par jour. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

L'Epiphanie représente pour la boulangerie-pâtisserie artisanale Pierre & Jean, à Genève, un des temps forts de l'année. Au sous-sol, dans l'atelier du magasin, tout le monde s'active à confectionner les fameuses galettes des Rois que l'on déguste à l'occasion de cette fête arrivant juste après les fêtes.

"Nous fabriquons en moyenne entre 150 et 200 galettes par jour", précise Jean-Claude Donche. En 2022, le pâtissier s'est associé à Pierre-Alain Bourdenet pour reprendre la boulangerie qui se situe dans le quartier des Bains. "Au début, nous n'étions que les deux". Depuis, la petite entreprise a fait son bout de chemin.

Le duo d'artisans s'est constitué un nom bien au-delà des frontières cantonales. Pierre & Jean a été sacré à deux reprises meilleure boulangerie-pâtisserie de Suisse, un titre qui est décerné sur deux ans lors d'un concours organisé à Bulle (FR) et que le commerce genevois a remporté en 2014-2015 et 2017-2018.

Le succès n'était pourtant pas garanti au départ de l'aventure. L'univers de la boulangerie est très concurrentiel, avec la présence de grands acteurs industriels qui grâce à leur taille et leur réseau parfois international peuvent réduire leurs coûts de production au minimum.

Fève en or

S'il est difficile pour un artisan boulanger-pâtissier de se battre au niveau des prix avec les grosses écuries, surtout en période d'inflation, comme aujourd'hui, il peut se démarquer avec la qualité de ses produits et l'innovation, souligne M. Donche. Cette année, pour l'Epiphanie, Pierre & Jean collabore avec un bijoutier local.

Dans l'une des galettes des Rois confectionnées par la boulangerie-pâtisserie, une fève en or d'une valeur de 500 francs a été dissimulée, explique l'artisan. La personne qui aura la chance de tomber dessus gagnera un pendentif avec un diamant d'un prix de 2000 francs.

Au fil des années, la boulangerie-pâtisserie de la rue des Bains a vu son équipe s'étoffer. Le petit commerce forme aussi des jeunes. Le métier apporte de belles satisfactions, mais il est contraignant et physique. Pour se lever à deux heures du matin et travailler constamment debout, il faut de la passion, conclut M. Donche.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Environnement

Loup: la Suisse à nouveau réprimandée par la Convention de Berne

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Les défenseurs du loup jugent notamment "totalement incompréhensible" la suppression des fonds destinés à l'élevage et à la promotion des chiens de protections des troupeaux (Photo prétexte). (© KEYSTONE/GIAN EHRENZELLER)

La Suisse n'a toujours pas remis son rapport sur l'état actuel et les effets de la "régulation proactive" des loups. Le bureau de la Convention de Berne rappelle que, malgré le changement du statut de protection, les règles de la convention restent valables.

Ainsi, selon ces règles, les populations de loups doivent être maintenues à un niveau conforme aux exigences écologiques, écrit le bureau de la Convention de Berne qui attend toujours le rapport de la Suisse. Dans un procès-verbal publié lundi, il invite une fois de plus la Confédération à remplir son obligation de rapport, soulignent mardi deux organisations suisses, CHWOLF et Avenir Loup Lynx Jura (ALLJ).

Celles-ci ont déposé plainte auprès de la Convention de Berne. Elles regrettent le "manque de coopération de l'Office fédéral de l'environnement (OFEV).

Selon la convention qui a son bureau à Strasbourg, les effectifs de loups doivent être "protégés des menaces" afin de rétablir une taille de population satisfaisante. Il est rappelé à l'OFEV que la Convention de Berne interdit notamment la chasse de nuit et l'utilisation de dispositifs de visée nocturne, pourtant autorisées par la nouvelle ordonnance sur la chasse. Selon Eric Jaquet, de l'ALLJ, "le tir des loups en Suisse ne se fait que de nuit".

Dispositions légales pas respectées

L'abattage de l'ensemble de la meute de loups dans la réserve de biosphère de l'UNESCO, dont le Parc national suisse aux Grisons fait partie, est également dénoncé.

Non seulement cela contrevient aux dispositions légales du parc national, mais cela a également "détruit un projet de recherche de 20 ans dans le parc national", regrette le bureau de la convention.

Projet de recherche sur le Jura stoppé

Ce dernier regrette aussi qu'un autre projet de recherche sur la coexistence ait été stoppé par l'élimination de l'ensemble d'une meute de loups.

"Ce projet de recherche concernait le massif du Jura", dit Susanne Clauss, vice-présidente de l'ALLJ, citée dans le communiqué. "Il aurait été important d'obtenir ici des résultats probants, car la coexistence entre les animaux de rente et les grands prédateurs sur les immenses pâturages jurassiens pose des exigences très particulières".

Protection des troupeaux affaiblie

En dernier lieu, le bureau s'est dit préoccupé par la réduction considérable des moyens alloués en Suisse aux mesures de protection des troupeaux "qui ont fait leurs preuves".

Il demande aux autorités fédérales de soutenir le transfert de la responsabilité de ces mesures de la Confédération aux cantons, de mettre à disposition des moyens suffisants pour encourager la coexistence avec les loups et de promouvoir l'utilisation de méthodes non létales.

"La suppression des fonds destinés à l'élevage et à la promotion des chiens de protection des troupeaux, en particulier, est totalement incompréhensible", souligne Christina Steiner, présidente de CHWOLF.

Contacté par l'agence Keystone-ATS, l'OFEV n'avait pas réagi mardi en fin de journée.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Intempéries: trois morts dans le sud-est de la France

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La France n'est pas épargnée par les intempéries: trois personnes sont mortes dans la commune du Lavandou et à Vidauban dans le Var (sud-est du pays). (photo prétexte) (© KEYSTONE/SAMUEL GOLAY)

Deux personnes décédées ont été retrouvées dans la commune du Lavandou et une troisième à Vidauban lors d'un épisode orageux marqué par des pluies intenses, ont indiqué mardi la gendarmerie du Var et la Préfecture du département du sud-est de la France.

Au Lavandou, sur le littoral varois, les deux personnes décédées sont deux octogénaires, "deux personnes nées en 1939 qui ont été surprises par une montée des eaux très rapide", a précisé le procureur de la République de Toulon, Samuel Finielz. A Vidauban la victime serait aussi une octogénaire, selon une source à la municipalité.

"Deux cents sapeurs-pompiers sont mobilisés et une cinquantaine d'interventions ont été effectuées dont certaines pour des sauvetages et des mises en sécurité de personnes", a expliqué la préfecture dans un communiqué, ajoutant que la vigilance orange "orages et pluie-inondation" sur le département était prolongée jusqu'à 14h00.

Orages de grêle et fortes pluies

Lundi en fin de journée, des orages de grêle et de fortes pluies s'étaient sur le sud-ouest du pays, occasionnant des inondations, des dégâts, notamment sur la ligne ferroviaire Bordeaux-Toulouse, sur laquelle aucun train ne pourra circuler pendant plusieurs jours.

Près de Tonneins, dans le Lot-et-Garonne, la voie ferrée a été endommagée, les pluies diluviennes ont fait s'effondrer du ballast sous les rails, interrompant la liaison TGV Toulouse-Bordeaux-Paris.

Un TGV a dû s'arrêter en pleine voie dans la nuit de lundi à mardi, et ses 507 passagers ont été évacués par bus vers une salle municipale.

"On a frôlé la catastrophe, les voies étaient à nu et le TGV en suspension au-dessus du vide", a témoigné auprès de l'AFP le maire de la commune, Dante Rinaudo, décrivant des "avalanches d'eau" qui ont inondé des caves et des maisons.

Un train reliant Toulouse à Paris est lui resté bloqué toute la nuit à Agen en raison de ce même incident, selon un journaliste de l'AFP qui était à bord. Ses passagers ont été acheminés en bus à Toulouse mardi matin pour prendre d'autres trains vers Paris.

Selon une porte-parole de la SNCF, la circulation ferroviaire restera coupée pendant "au moins plusieurs jours" entre Agen et Marmande, impactant ainsi le trafic des TGV entre Bordeaux et Toulouse.

Mardi matin, la vigilance orange était levée dans la région, seul le Var, dans le Sud-Est, restant placé par Météo France à ce niveau d'alerte.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Environnement

Gros-de-Vaud: le projet de développement régional agricole avance

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La région du Gros-de-Vaud est historiquement considérée comme le grenier du canton, voire de la Suisse (photo d'illustration). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le Conseil d'Etat vaudois va prochainement soumettre au Grand Conseil une demande de crédit de 6,2 millions pour financer la part cantonale du projet de développement régional agricole (PDRA) du Gros-de-Vaud. Initié en 2019, cet outil, issu de la Politique agricole, a pour objectif de créer de la valeur ajoutée autour de la filière céréales de la région, considérée comme le grenier du canton.

Jean-François Thuillard, président de l'Association du PDRA Gros-de-Vaud et actuel président du Grand Conseil s'est réjoui lundi à Montilier, sur le pâturage de Sugnens, de la présentation de ce projet de décret au Parlement. "Après six années de travail, cette étape valide le travail considérable effectué par les porteurs de projet", a-t-il déclaré.

Initié en 2019, le PDRA Gros-de-Vaud regroupe sept projets partiels et une mesure collective qui prévoit la mise en place d'un réseau d'acteurs. En 2023, une étape importante avait été franchie grâce aux préavis positifs de l’Office fédéral de l’agriculture (OFAG) et de la Direction générale de l’agriculture, de la viticulture et des affaires vétérinaires (DGAV), a poursuivi M. Thuillard.

Et de rappeler les objectifs de l'outil: valoriser le patrimoine céréalier, fédérer les acteurs de la filière et améliorer les conditions de travail et les revenus des agriculteurs et de la région, grâce à la création de valeur ajoutée.

Carte touristique

Parmi les éléments phares du PDRA, M. Thuillard a cité la création d'un nouveau lieu, l'Espace du blé au pain à Echallens. Il jouera un "rôle prépondérant" avec trois pôles: muséal, boulangerie, ainsi que produits locaux. "Ce sera la carte de visite touristique de toute une région", a décrit le président du Grand Conseil.

Le passage devant le Parlement, qui aura probablement lieu cet automne, constitue la dernière étape avant de pouvoir poser la première pierre des différents projets, a souligné M.Thuillard. Il sera suivi de la signature d'une convention tripartite qui réunira les représentants de la Confédération, du Canton de Vaud et de l’association PDRA Gros-de-Vaud. Les projets auront ensuite 6 ans pour être réalisés.

Côté novateur

Vincent Schmitt, collaborateur de l'OFAG en charge du suivi des PDRA en Suisse romande, s'est réjoui du futur financement du cinquième projet de développement régional du canton qui "concerne plusieurs centaines d'exploitations. Ce projet sera le 51e au niveau national", a-t-il relevé.

Le responsable a rappelé que cet instrument est né des discussions de la Politique agricole 2004-2007. "Il poursuit un objectif simple: rassembler, car l'union fait la force". Séduite par le "côté novateur du projet", la Confédération devrait y participer à hauteur de 6,2 millions de francs également.

Le point d'orgue du PDRA Gros-de-Vaud est, selon le responsable, la rénovation complète du centre collecteur d'Echallens. Celle-ci permettra le traitement rapide et le stockage d'environ 20'000 tonnes de graines par an, aussi bien des céréales, que des oléagineux et des légumineuses.

30 millions investis

L'ensemble des projets totalise un investissement global chiffré à près de 30 millions de francs. Le soutien financier cantonal demandé, associé à celui de la Confédération, permettra ainsi de valoriser le patrimoine régional à travers l’agriculture céréalière, l’art et l’artisanat, tout en renforçant la mise en valeur des produits locaux et le développement de l’agritourisme.

Outre la buvette à Sugnens, l’Espace du Blé au Pain et le Centre Collecteur à Echallens, les projets partiels proposent plusieurs mesures de diversification et d'amélioration touchant le Moulin d’Echallens, le Verger du Talent à Oulens-sous-Echallens, la Ferme Martin à Assens et le Pâturage de Denezy.

"Des projets collectifs innovants et durables, que rêver de mieux", a commenté Valérie Dittli, conseillère d'Etat en charge de l'agriculture, venue soutenir les porteurs du projet. "J'espère que ce PDRA aura autant de retombées positives que les cinq autres du canton", a-t-elle conclu.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Environnement

Droits de douane agricoles: "une recette à succès" pour Fenaco

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Les droits de douane agricoles sont une recette à succès de longue date qui ne doit pas être facilement sacrifiée, pour le patron de Fenaco (archives). (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

Le patron de la coopérative de distribution agricole Fenaco, Martin Keller, met garde lundi contre des concessions aux Etats-Unis sur les droits de douane agricoles. C'est "une recette à succès de longue date qui ne doit pas être facilement sacrifiée", dit-il.

Les crises récentes, comme la pandémie de Covid-19 et l'irruption de la guerre en Ukraine, ont montré que le système a fait ses preuves, ajoute M. Keller dans un entretien diffusé lundi par les journaux alémaniques du groupe Tamedia. En comparaison avec d'autres pays, la Suisse n'a pas connu de grandes hausses de prix pour les denrées alimentaires et les magasins vides, affirme-t-il.

"Une des raisons importantes en est la politique agricole suisse avec son système douanier finement équilibré", assure M. Keller. Le système suisse vise un approvisionnement national de 50%, relève-t-il. "Si les droits de douane agricoles devaient être abandonnés, cet objectif serait mis sous pression".

Pas de problème pour Bio Suisse

Il pointe le marché du vin. La consommation de vin suisse a baissé de 16% l'année dernière, car la viticulture n'est pas protégée par des droits de douane, mais ouverte au marché mondial, note-t-il.

Autre son de cloche du côté des produits biologiques. Interrogé dans la Neue Zürcher Zeitung, le président de Bio Suisse, Urs Brändli, dit n'avoir "absolument aucune crainte" pour le secteur dans les négociations avec Washington. Le label Bourgeon de l'association est aussi attribué aux produits étrangers, mais il n'y a pas d'exploitation avec un tel label aux États-Unis, explique-t-il.

Le ministre suisse de l'économie Guy Parmelin avait annoncé que la Suisse n'entendait pas faire de grandes concessions aux Etats-Unis dans le domaine de l'agriculture. Les Etats-Unis ont compris qu'il était très important pour la Suisse de conserver une certaine autonomie en matière de production agricole, avait déclaré le conseiller fédéral au début mai.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Environnement

Le printemps commence toujours plus tôt en montagne

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En montagne, les plantes commencent aujourd’hui à pousser en moyenne six jours plus tôt qu’il y a 25 ans, car les températures sont plus élevées après la fonte des neiges (archives). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Après la fonte des neiges, le printemps commence toujours plus tôt en montagne. Cela influence la biodiversité, l’agriculture et l’équilibre écologique, selon une étude du WSL Institut pour l’étude de la neige et des avalanches (SLF) portant sur 25 ans de données.

Les plantes démarrent leur croissance en moyenne six jours plus tôt qu’il y a 25 ans, selon ces travaux publiés dans la revue Global Change Biology. En cause: la hausse significative des températures.

"En moyenne, après la disparition du manteau neigeux, la température ambiante est plus chaude de près de deux degrés par rapport à il y a 25 ans en raison du changement climatique", indique Michael Zehnder, biologiste au SLF, cité vendredi dans un communiqué de l'institut.

Ce réchauffement rapide a accéléré le début de la croissance des plantes, réduisant ainsi le temps entre la fin de la fonte des neiges et le verdissement des prairies.

Cela n’a pas seulement des conséquences pour le monde végétal, mais aussi pour l’économie et la société. En effet, le printemps en montagne, dont profitent excursionnistes et touristes, se trouve ainsi avancé. "La montée à l'alpage pourrait également démarrer plus tôt à l’avenir", selon Michael Zehnder.

Jours chauds ou durée du jour

Le biologiste a constaté que dans les zones proches de la limite de la forêt, à environ 2000 mètres, les années de fonte des neiges précoce, la végétation avait besoin de plus de jours chauds pour commencer à pousser.

À haute altitude, on observe également des plantes alpines qui se développent en fonction de la longueur des jours et retardent leur germination, même s’il fait en fait déjà assez chaud. L’étude montre cependant que les communautés végétales à ces altitudes nécessitent le même nombre approximatif de jours chauds pour le début de croissance, indépendamment du moment de la fonte des neiges.

A l’avenir, la végétation devrait reverdir plus tôt qu’aujourd’hui, en particulier aux altitudes élevées. Cela a un impact sur la composition des communautés végétales. Les espèces qui réagissent en premier lieu aux journées chaudes pourraient évincer celles qui s’en tiennent strictement à la durée du jour.

Perdants et gagnants

Pour son travail, le scientifique a utilisé 40 stations météorologiques du Système intercantonal de mesure et d’information IMIS. Chacune d’entre elles est équipée d’un capteur à ultrasons qui mesure la hauteur de neige en hiver. En été, ce dernier recueille également des données et peut ainsi détecter les plantes qui poussent de plus en plus tôt.

Michael Zehnder a analysé les données de 1998 à 2023. Pour recenser la végétation à proximité des stations, le biologiste a dû se rendre lui-même sur place, à une altitude comprise entre 1700 et 2700 mètres. En effet, les stations IMIS ne permettent pas aux chercheurs de savoir quelles plantes poussent sous les capteurs.

Or, "c’est important pour comprendre comment différentes communautés végétales réagissent de façons diverses à une fonte des neiges encore plus précoce à l’avenir et qui sont les perdants et les gagnants", conclut le chercheur.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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