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Culture

La dernière oeuvre d'art&tram inaugurée à Bernex

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Avec le pont "Beautiful Bridge" du duo d'artistes Lang/Baumann à Bernex (GE) s'achève le projet d'art public art&tram qui se déploie le long de la ligne 14. (© © Serge Fruehauf)

La dernière oeuvre du projet d'art public art&tram, qui se déploie le long de la ligne 14, a été inaugurée jeudi soir au nouveau parc des Molliers à Bernex. Le "Beautiful Bridge" du duo d'artistes Lang/Baumann prend la forme élégante d’un pont asymétrique et cintré qui s’élève au-dessus d'un champ.

Pont qui enjambe un terrain peu accidenté, Beautiful Bridge n’en offre pas moins de nombreux usages possibles. Il est à la fois un belvédère qui offre un nouveau point de vue sur le paysage, une scène et des gradins pour des spectacles ou des performances, ou encore un espace de détente où se reposer, pique-niquer ou se retrouver, relève le Département de la cohésion sociale.

À la simplicité du design répond celle des matériaux: béton brut et rampes métalliques. La forme du pont, doublée d’un chemin en ruban de Möbius à ses pieds, en fait un objet changeant selon l’angle de vue. Un élément architectural que la population peut s’approprier et qui participe de l’identité et de la vie de quartier.

Lang/Baumann ou L/B collabore depuis 1990. Dès les débuts de leur travail commun, le duo d'artistes s'est attaché à des pratiques mêlant intimement l’art à l’expérience du quotidien.

Renommée internationale

Pour mémoire, le projet piloté par le canton de Genève a été initié en 2009 par quatre communes traversées par la ligne du tram 14, Lancy, Onex, Confignon et Bernex, auxquelles la Ville de Genève s’est associée. Sa réalisation consiste en une série de six interventions artistiques permanentes le long de la ligne du 14.

Les oeuvres ont été réalisées par des artistes suisses de renommée internationale: installation lumineuse de John M. Armleder dans le passage sous voies de la gare de Cornavin en 2018, tram rose de Pipilotti Rist en 2016, statue colossale d'Ugo Rondinone et mâts de lampadaires détournés de Serge Hattan en 2014, et dessins géométriques peints sur le sol par Silvie Defraoui en 2013.

Cette commande publique de grande envergure, d'un montant maximal de 3,5 millions de francs, doit faire le lien entre le centre et la périphérie et valoriser les transports publics et la mobilité douce

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

La main, le gant et du bois gravé au Musée Jenisch Vevey

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La main est notamment à l'honneur dans deux des trois nouvelles expositions au Musée Jenisch Vevey (archives). (© Keystone/NOEMI CINELLI)

Le Musée Jenisch Vevey a présenté mardi ses trois nouvelles expositions à voir dès vendredi et jusqu'à fin août. Il met à l'honneur la main mais aussi le gant ainsi qu'une "promenade dans les bois gravés".

Intitulée "La main (et) le gant", la première exposition décline ce motif du 16e siècle jusqu'à la création contemporaine, "symbole de pouvoir, de dévotion comme de séduction, outil d'exploration tactile indispensable au travailleur comme à l'artiste", résument les responsables dans leur dossier de presse.

A travers un choix d'½uvres issues des collections du musée enrichi de prêts extérieurs, cette exposition thématique propose "un éclairage inédit sur les fonctions narratives de la main, tantôt à nu, tantôt gantée". Les dessins, estampes, sculptures, peintures et vidéos rassemblés témoignent "de la puissance créatrice et métaphorique des jeux de mains et de leurs accessoires de choix, les gants". A découvrir jusqu'au 18 août prochain.

Les mains chez Kokoschka

"Kokoschka à portée de main" est la deuxième exposition à voir, jusqu'au 25 août. "Les mains occupent une place centrale et symbolique dans l'art de l'artiste autrichien Oskar Kokoschka (1886 Pöchlarn - 1980 Montreux)", rappelle le musée. Elles sont souvent représentées "de manière exagérée, puissante et dramatique, mettant en évidence leur importance dans la communication humaine et la traduction émotionnelle".

Elles sont plus qu'un simple élément anatomique, elles sont des moyens d'expression, des symboles de relation humaine et des représentations de la créativité artistique. Elles valent aussi pour leur dimension narrative, en particulier pour évoquer le pouvoir ou la religion, note le musée.

Promenade dans les bois

La troisième exposition à l'affiche, "Pierre Aubert. Maître des bois", visible aussi jusqu'au 25 août, invite à une promenade dans les bois gravés de Pierre Aubert, réalisés pendant près de 60 ans de carrière. Dans plus de 1200 planches, le graveur a "habilement exploité le potentiel expressif du noir et blanc de la taille d'épargne (technique de gravure) en une danse infinie d'ombre et de lumière".

Né et décédé aux Mollards-des-Aubert (1910 - 1987) dans la maison familiale située au c½ur des forêts et pâturages de la Vallée de Joux, Pierre Aubert s'est surtout consacré aux représentations de paysages qui constituent son domaine d'expression favori. Il a notamment gravé les alentours et le bourg de Romainmôtier où il a vécu de nombreuses années, mais aussi Paris et la Provence.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Swisscom décroche les droits télé du foot suisse jusqu'en 2030

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La couverture des matches sera assurée en allemand, en français et en italien. (archive) (© KEYSTONE/Samuel Golay)

Swisscom obtient les droits de retransmission du football suisse pour cinq autres années à partir de 2025. Aucun détail financier n'a été divulgué.

La Swiss Football League (SFL) vient de conclure une nouvelle convention avec blue Sport et la SRG SSR. "La Super League et la Challenge League continueront d'être diffusées en intégralité sur blue Sport après l'été 2025", selon le communiqué paru mardi.

La couverture sera assurée en allemand, en français et en italien, avec les productions des studios de Volketswil, dans le canton de Zurich, et de Granges-Paccot, dans le canton de Fribourg, ainsi qu'en direct des stades.

Un match de Super League par journée sera diffusé sur les chaînes de la SRG SSR. De plus, la chaîne de télévision gratuite blue Zoom retransmettra chaque fois le match phare de la Challenge League. La totalité des matches n'est toutefois visible qu'avec l'abonnement blue Sport.

"La prolongation de cette bonne collaboration souligne nos investissements de ces dernières années dans la qualité, l'innovation et la production", se félicite Dirk Wierzbitzki, responsable du secteur Clients privés et membre de la Direction du groupe chez Swisscom, cité dans le document.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Cinéma & Séries TV

Tout ce qui brille… en noir !

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On en plaisante pas avec le code de conduite sur le tapis rouge. (image d'illustration) (AP Photo/Daniel Cole)

Vick Capt est notre envoyée spéciale dans le sud de la France pour la 77ème édition du Festival de Cannes et nous partage les coulisses du plus prestigieux des festivals sur Radio Lac!  

C’est le grand jour, je me prépare à briller avec élégance sur les marches du Festival de Cannes !

En faisant ma valise, je me suis plongée dans le code de conduite impeccable de la 77e édition du Festival de Cannes, qui débute aujourd'hui, mardi 14 mai.

Le dress code est on ne peut plus strict pour fouler le tapis rouge.

Que vous soyez une célébrité ou non, l'élégance est de rigueur : smoking pour les messieurs et tenue de soirée pour les dames.

Une robe de cocktail, un tailleur sombre, un haut chic avec un pantalon noir, une "petite robe noire", un costume noir ou bleu nuit avec un nœud papillon feront l’affaire.

Les chaussures doivent être élégantes, talons ou pas (exit les baskets).

On se souvient aussi que Julia Roberts avait foulé le tapis rouge pieds nus, de Jennifer Lawrence qui chaussait des tongs ou encore de Kristen Stewart qui s’est déchaussée devant les photographes.

Je bourre ma valise de chaussures à talons. Question accessoires, bijoux, et maquillage, ai-je oublié quelque chose ?

Oh, bien sûr, mon smartphone pour immortaliser l'instant... Ah non, depuis 2018, les téléphones sont persona non grata sur le tapis rouge et récemment même dans les salles de projection.

"Selfies interdits", précise le règlement, même pour les stars. Thierry Frémaux, délégué général du Festival de Cannes, déplore que cela entraîne des désordres intempestifs et des ralentissements.

Je me souviens encore de l'année dernière, où Jerry Bruckheimer, le producteur de Top Gun: Maverick, avait capturé la scène aux côtés de Tom Cruise...

Aujourd'hui, nous voilà prévenus : six agents veillent au grain et des sanctions sont à prévoir. Donc, pas moyen d'immortaliser le moment... En route pour l'aventure, avec une touche de noir et d'éclat !

Vick Capt

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Culture

Début du procès de l'ex-patron du fonds Archegos

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Le fondateur d'Archegos Capital Management, Bill Hwang (archives). (© KEYSTONE/AP/Stefan Jeremiah)

Les débats se sont ouverts lundi au procès de l'ancien patron du fonds d'investissement américain Archegos Capital Management, Bill Hwang. Ce dernier est accusé de manipulation de cours et de fraude, qui ont coûté des milliards de dollars à plusieurs banques.

En pleine pandémie de Covid-19, ce financier américain d'origine sud-coréenne avait accumulé, en quelques mois, des positions massives, et dissimulées pour l'essentiel, dans quelques sociétés. A son pic, en mars 2021, Archegos était exposé à hauteur de 160 milliards de dollars par le biais de produits dérivés, qui lui permettaient d'influer, par exemple, sur plus de 50% des actions en circulation du groupe de médias ViacomCBS, devenu depuis Paramount Global.

Grâce à ces produits dérivés, des "swaps", et à des emprunts, la société de Bill Hwang avait démultiplié sa force de frappe, mais aussi les risques encourus. Son objectif était de faire grimper le cours des quelques sociétés dans lesquelles Archegos avait investi, au point de quasiment quadrupler la valorisation de ViacomCBS en un peu plus de quatre mois.

Parmi les cibles de Bill Hwang, personnage affable et pince-sans-rire à la chevelure toujours plaquée en arrière, figuraient également Discovery, devenu depuis Warner Bros Discovery, et les sociétés chinoises Baidu et Tencent. Dans le même temps, le quinquagénaire et trois de ses cadres ont masqué, selon l'accusation, la taille de leurs positions aux établissements qui leur vendaient ces "swaps" ou lui prêtaient de l'argent.

A l'audience à New-York, son avocat, Barry Berke, a nié le fait que son client ait trompé des banques, selon des médias. Il a prédit qu'il présenterait suffisamment d'éléments pour disculper le financier. Considéré juridiquement comme un "family office", une structure familiale qui ne gère que ses propres fonds et pas ceux de clients, Archegos était exempté de certaines obligations d'information publique et de contrôle des régulateurs.

Credit Suisse touché

Archegos n'était qu'un "château de cartes", a affirmé, lundi, la substitut du procureur, Alexandra Rothman, dans son propos liminaire, selon plusieurs médias américains. Le fragile édifice s'est effondré lorsque ViacomCBS a annoncé, le 21 mars 2021, une augmentation de capital, qui a déclenché un mouvement brutal de ventes des titres à Wall Street.

Cette inflexion a provoqué un effet domino, qui a fait fondre à vitesse accélérée la trésorerie d'Archegos et plonger le cours des titres que détenait le fonds d'investissement. Au lieu de chercher à limiter les dégâts, les dirigeants du fonds ont injecté leurs derniers dollars pour tenter de faire remonter les prix des actions, en vain.

Environ 100 milliards de dollars de capitalisation boursière se sont ainsi envolés, lésant les autres actionnaires de ces entreprises et les établissements qui avaient fait affaire avec Archegos, principalement des banques. La plus touchée a été Credit Suisse, qui a perdu quelque 5,5 milliards de dollars. Au total, l'ardoise se monte à environ 10 milliards pour les banques prises dans ce tourbillon.

Durant la même période, Credit Suisse a dû faire face à une autre défaillance, celle de la société de financement Greensill Capital, dans laquelle ses clients avaient investi environ dix milliards de dollars. Ces deux événements ont encore un peu plus fragilisé Credit Suisse, qui a frôlé la faillite en mars 2023 avant d'être repris par son concurrent suisse UBS, lui-même affecté par le scandale Archegos, de même que, notamment, le japonais Nomura et l'américain Morgan Stanley.

Interpellé en avril 2022, l'ancien patron d'Archegos, de son vrai nom Sung Kook Hwang, fait face à onze chefs d'accusation, principalement liés à de la fraude et de la manipulation de marché. Il est passible de 220 années de prison. Désormais âgé de 60 ans, Bill Hwang est jugé devant un tribunal fédéral de Manhattan aux côtés de l'ancien directeur financier d'Archegos, Patrick Halligan.

Deux anciens cadres d'Archegos, Scott Becker et William Tomita, ont plaidé coupable et devraient témoigner lors du procès, prévu pour durer jusqu'à huit semaines. Selon plusieurs médias américains, les avocats de Bill Hwang entendent charger les banques, affirmant qu'elles ont traité avec Archegos en connaissance de cause.

En 2012, Bill Hwang avait déjà été mis en cause par la justice américaine, et son fonds d'investissement Tiger Asia avait dû plaider coupable de délit d'initié. Le financier avait échappé à une inculpation aux Etats-Unis mais accepté de verser 44 millions de dollars au régulateur américain des marchés, la SEC. Il avait, par ailleurs, été condamné par un tribunal de Hong Kong à une interdiction de vendre ou acheter des actions durant quatre ans.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Culture

Festival de Cannes: J-1 avant la mise à feu

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La 77e édition du Festival de Cannes démarre mardi. (© KEYSTONE/AP/Daniel Cole)

Des stars, des monuments du 7e art, la flamme olympique et un contexte explosif: à J-1, Cannes se prépare à accueillir le plus grand festival de cinéma, sur lequel planent des rumeurs en lien avec #MeToo.

La flamme gravira les célèbres marches le 21 mai, portée par l'athlète paralympique français Arnaud Assoumani, ont annoncé lundi les organisateurs. Ce soir-là sera projeté le documentaire "Olympiques! La France des Jeux", de Mickaël Gamrasni.

En attendant, sur la Croisette, les commerçants s'activent face à l'arrivée des 35'000 festivaliers attendus de mardi jusqu'au 25 mai.

"On voit vraiment la différence entre il y a une semaine et maintenant", constate Eva Zemame, 20 ans, vendeuse de glaces.

"Ce que je vois, c'est une effervescence sur les plages, tous les restaurateurs qui se préparent à accueillir les VIP et, dans les boutiques, les femmes qui regardent les robes de soirée", affirme Christine Capao, 60 ans, rencontrée dimanche par l'AFP.

En coulisses, l'ambiance est tout autre avec des rumeurs d'accusations en lien avec #MeToo qui circulent depuis des semaines sur les réseaux sociaux. Elles pourraient perturber la 77e édition du Festival, sept ans après l'affaire Harvey Weinstein, qui a lancé le mouvement de libération de la parole.

Une liste de personnalités du cinéma potentiellement accusées a circulé, mais aucune enquête journalistique n'a été publiée confirmant ou infirmant ces rumeurs.

"Cas par cas"

"Si le cas d'une personne mise en cause se présentait, nous veillerions à prendre la bonne décision au cas par cas", tentait de déminer récemment Iris Knobloch, présidente du Festival.

Et les organisateurs ont rappelé dimanche leur engagement depuis 2018 dans la lutte contre les violences sexuelles, "qui ont trop longtemps eu cours" dans le 7e art, via une cellule d'assistance dédiée.

Le sujet sera abordé de front avec la venue dès mercredi de Judith Godrèche, devenue fer de lance de #MeToo en France.

La comédienne, qui a accusé de viols deux figures du cinéma d'auteur, Benoît Jacquot et Jacques Doillon, présentera un court-métrage. "Moi aussi" est réalisé avec un millier de victimes de violences sexuelles ayant répondu à son appel sur les réseaux sociaux.

Avant cela, l'actrice s'est jointe lundi à un rassemblement de 100 à 200 personnes devant le Centre national du cinéma (CNC) à Paris pour réclamer le départ de son président Dominique Boutonnat, qui doit être jugé en juin pour agression sexuelle.

À l'affiche du "Deuxième acte" du réalisateur Quentin Dupieux, en ouverture du Festival, l'acteur Vincent Lindon a répété sur France Inter que "les hommes doivent accompagner les femmes" dans le mouvement #MeToo au cinéma, tout en appelant à instaurer plus de "calme" et de "nuance" face aux rumeurs.

Sur le plan social aussi, l'édition 2024 pourrait être agitée. Un collectif rassemblant des attachées de presse, projectionnistes, chargés de billetterie et autres travailleurs du cinéma appelle à une grève. Ils demandent à bénéficier du statut d'intermittents du spectacle et ont reçu le soutien d'acteurs comme Louis Garrel et Swann Arlaud. Le Festival s'est dit prêt au dialogue.

Dispositif inédit

Autant de secousses qui feraient presque oublier la compétition, mélange de jeunes talents, comme la Française Agathe Riedinger avec son premier film "Diamant brut" sur la télé-réalité, et de monuments du 7e art, à l'instar de Francis Ford Coppola qui brigue une troisième Palme d'or avec "Megalopolis", 45 ans après celle obtenue pour "Apocalypse Now".

Le palmarès, qui sera dévoilé le 25 mai, est plus qu'attendu après le succès mondial de la Palme 2023, "Anatomie d'une chute" de Justine Triet, récompensée ensuite aux Oscar.

Le jury chargé de départager les 22 films en compétition est présidé par l'Américaine Greta Gerwig, auréolée du succès planétaire de "Barbie". Elle est épaulée par les comédiens Omar Sy, Eva Green, Lily Gladstone ou le cinéaste Kore-Eda.

Hollywood sera également célébré par les Palmes d'or d'honneur remises à Meryl Streep et George Lucas, ainsi que, hors compétition, le retour de la saga "Mad Max" (avec le film "Furiosa") et la venue de Kevin Costner (avec le premier opus de sa saga sur l'Ouest américain).

Côté nouveauté, Cannes lance une compétition de films immersifs, incluant la réalité virtuelle.

À l'approche des JO de Paris (26 juillet-11 août), dont il fait figure de répétition, le Festival bénéficie d'un dispositif inédit avec 17 caméras de vidéoprotection utilisant l'intelligence artificielle. Objectif: repérer les comportements suspects, détecter l'éventuelle présence d'armes ou les mouvements de foule, selon la mairie.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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