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Culture

Genève met en consultation la nouvelle loi sur la culture cantonale

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Porteous sur le Rhône à Aïre

A Genève, le Canton met en consultation la nouvelle Loi pour la promotion de la culture et la création artistique dès ce mardi. L'avant-projet de loi et les lignes directrices fixent 4 missions principales et 13 axes majeurs. Parmi ces missions un meilleur soutien aux artistes et une culture respectueuse de l’environnent.

Le Canton de Genève met en consultation la nouvelle Loi pour la promotion de la culture et la création artistique dès ce mardi. L’avant-projet de loi et les lignes directrices fixent 4 missions principales et 13 axes majeurs. Parmi ces missions un meilleur soutien aux artistes et une culture respectueuse de l’environnent. Le Canton de Genève entre de plain-pied dans la création avec cette loi. Son intention: passer de 35 millions de francs dédiés à la culture actuellement à 93 millions dans 10 ans. Le détail de la nouvelle politique culturelle avec Thierry Apothéloz, Conseiller d’Etat chargé de la culture.

Thierry ApothélozConseiller d'Etat chargé de la cutlure

L’avant-projet de loi et les lignes directrices reprennent l’esprit de l’initiative 167 «Pour une politique culturelle cohérente à Genève » qui a été acceptée par 83% des Genevois en mai 2019. Le Canton va mettre en place un conseil consultatif de la culture composé des Collectivités publiques, des artistes, des communes et des mécènes. Pour répondre aux exigences de consultation de la loi.

Thierry ApothélozConseiller d'Etat chargé de la cutlure

Soutien aux artistes

Le Canton souhaite soutenir davantage la création et surtout les artistes, dont la crise du Covid a révélé le caractère précaire de leur situation. Thierry Apothéloz.

Thierry ApothélozConseiller d'Etat chargé de la cutlure

Contrairement à la France, les artistes en Suisse n’ont pas un statut particulier. Le Conseiller d’Etat veut améliorer les conditions de travail et leur statut sociale.

Thierry ApothélozConseiller d'Etat chargé de la cutlure

L’avant-projet de loi sur la culture et les lignes directrices sont une refonte des trois autres lois dans un seul document. Ils fixent la répartition des tâches entre canton et communes.

Cofinancement cantonal et communal

Les lignes directrices posent également les principes de cofinancement et de concertation. Les compétences en matière culturelle sont conjointes entre le Canton et les Communes. Certaines sont exclusives au Canton comme la formation et les écoles artistiques. Le Canton est prioritaire par rapport à certaines institutions.

Concernant le cofinancement des institutions culturelles, un comité de pilotage politique va être créé en juin. Il va réunir deux Conseillers d’Etat, l’Association des communes genevoise et la Ville de Genève. Il va définir les critères pour la création et quelle institution sera cofinancée ou non.

Le Grand théâtre, la Comédie ou la bibliothèque de Genève seront cofinancés. Mais ne faudrait-il pas répartir mieux l’argent entre les grosses institutions comme le Grand théâtre ou l’OSR et les autres projets artistiques? La réponse de Thierry Apothéoz.

Thierry ApothélozConseiller d'Etat chargé de la cutlure

La consultation publique auprès de la population, des communes et des acteurs culturels dure jusqu’au 22 mai. La loi passera ensuite devant le Grand Conseil pour approbation.

Notez que durant la période Covid, le Canton a versé 50 millions de francs pour soutenir et accompagner les projets artistiques, grâce aux aides fédérales. Il a répondu ainsi à plus de 2000 demandes.

 

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Culture

Climage célèbre ses 40 ans avec une rétrospective à la Cinémathèque

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Les cinéastes romands Stéphane Goël (droite), et Fernand Melgar (gauche), entourent la productrice Élise Shubs au Festival du film de Locarno en 2011 pour "Vol spécial", désigné meilleur film suisse de l'année par les critiques de cinéma. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Les films de Climage sont à (re) découvrir à la Cinémathèque suisse à Lausanne jusqu'à la fin de l'année. Le cinéaste Stéphane Goël évoque une aventure humaine et artistique toujours vivante, malgré l’absence de Fernand Melgar, figure marquante du documentaire suisse.

Fernand Melgar a refusé que ses films soient projetés. "Il ne veut plus qu'ils soient montrés dans ce contexte", a dit le réalisateur et producteur Stéphane Goël. "Je suis profondément attristé, car pour moi, les films les plus importants produits par Climage sont ceux de Melgar, comme 'La Forteresse' ou 'Vol spécial'. Ce sont des ½uvres majeures."

Cette absence témoigne d'une rupture. "C'est une réécriture de notre histoire", estime le cinéaste. Fernand Melgar avait quitté la maison de production lausannoise Climage en 2018, avant la polémique liée à la diffusion d'images de dealers à Lausanne sur les réseaux sociaux. "Depuis, il s'est complètement coupé du milieu du cinéma."

Fondée dans les années 1980 par une poignée de vidéastes romands, Climage a longtemps fonctionné comme un collectif horizontal, où les moyens et les succès étaient partagés. "Le succès d'un film bénéficiait à tout le monde", rappelle Stéphane Goël. "On achetait ensemble les caméras, les ordinateurs, le local."

"Les Dames" en 2018

Mais le temps a fait évoluer la structure. "Il y a eu un moment où il fallait devenir adulte", explique le cinéaste. Le départ de Fernand Melgar a marqué un tournant. "J'ai ressenti le besoin d'ouvrir Climage, de ne plus être un entre-soi de mecs vieillissants. Le premier film que nous avons produit à l'extérieur, c'est 'Les Dames' de Stéphanie Chuat et Véronique Reymond en 2018."

Cette ouverture a entraîné une transformation progressive vers une véritable société de production. Climage accueille désormais de jeunes réalisateurs et réalisatrices, issus de divers horizons. "On a produit "Ardente.x.s" de Patrick Muroni, "Impériale" de Coline Confort, "Maman danse" de Megan Brügger. C'est important de transmettre notre savoir-faire et de ne pas garder la reconnaissance pour soi."

De nouveaux territoires

Aujourd'hui, la maison lausannoise s'aventure dans de nouveaux territoires, comme la réalité virtuelle (VR). "On a toujours été curieux des nouvelles formes. Dans les années 80, on expérimentait déjà avec la vidéo. Maintenant, on s'intéresse à la VR, qui permet de nouvelles expériences immersives, comme avec 'Rave'."

Pour Stéphane Goël, cette évolution s'inscrit dans la continuité de l'esprit Climage. "Le monde de la production change vite, personne ne sait ce que sera le cinéma demain. Peut-être qu'on produira des youtubeurs ou des tiktokers. L'important, c'est de raconter des histoires, quel que soit le support."

Goût intact pour le réel

Stéphane Goël revendique pourtant une vraie passion pour le réel. "Le documentaire a su préserver quelque chose que le journalisme perd: le temps et les moyens d'aller en profondeur." Pour le cinéaste, cet espace de liberté est essentiel dans un monde où "le journalisme est attaqué de toutes parts".

A 60 ans, Stéphane Goël se dit "moins préoccupé par l'ego du réalisateur" et plus attentif à la transmission. "J'ai envie de faire bénéficier les plus jeunes de mes compétences, de mes contacts, de mon réseau."

Sa plus grande fierté reste "d'avoir créé comme une famille autour de Climage, un lieu où j'aime venir chaque jour, un espace ouvert où l'on peut parler, échanger, accueillir des projets".

Quant à l'avenir, le cinéaste reste lucide. "Si la SSR disparaît et que tout "se Netflixise", on ne sera pas les mieux armés pour survivre. Mais tant qu'il y aura un public pour le documentaire, on aura encore quelque chose à dire."

Climage compte trois producteurs permanents: Pascaline Sordet, Stéphane Goël et Daniel Wyss. L'équipe collabore régulièrement avec une poignée de réalisateurs et scénaristes, dont Céline Pernet.

Le 14 et le 29 novembre, la Cinémathèque suisse célèbrera quarante ans de création avec deux soirées de projection exceptionnelle.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Pierre: Monnard "Betty Bossi, une influenceuse avant l'heure"

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L'actrice Sarah Spale est une actrice fétiche du réalisateur Pierre Monnard. Après avoir incarné une toxicomane dans "Les enfants du Platzspitz", un des plus grands succès du cinéma suisse, elle revient sur les écrans dans la peau de Betty Bossi. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Qui n'a pas cuisiné un plat en suivant les recettes de Betty Bossi ? Le réalisateur suisse Pierre Monnard revient avec "Salut Betty", un film qui suit cette ménagère imaginaire, tout en révélant Emmi Creola, la femme qui l’a inventée.

"Je me demande toujours quelle histoire suisse pourrait toucher tout le monde: les Alémaniques, les Romands, les Tessinois... et Betty Bossi s’est imposée comme une évidence", a expliqué Pierre Monnard à Keystone-ATS. "On ne connaissait ni son origine, ni qui l’avait inventée. En enquêtant, on a découvert une rédactrice publicitaire zurichoise Emmi Creola, dont la vie était incroyablement moderne."

Sarah Spale, actrice fétiche du réalisateur

Pour incarner le rôle principal, il met en scène Sarah Spale, actrice fétiche du réalisateur, qu’il retrouve pour la quatrième fois, - comme dans "Les enfants du Platzspitz", l’un des plus grands succès récents du cinéma suisse avec plus de 330'000 entrées. "Elle est, selon moi, l’une des meilleures actrices de sa génération."

Le film navigue entre biopic libre et romance intime. "L’histoire d’amour entre Emmi et son mari, Ernst, incarné par Martin Vischer, est le c½ur du récit", confie Pierre Monnard. "Leur volonté de rester ensemble, de s’épanouir mutuellement, de concilier vie familiale et ambitions personnelles... C’est incroyablement contemporain."

Le réalisateur assume une certaine liberté narrative, tout en s'appuyant sur des archives, lettres et témoignages. "On a condensé la chronologie, mais tout est inspiré de faits réels. J’espère que si Emmi Creola voyait le film, elle s’y reconnaîtrait."

Pas seulement un biopic

Pour Pierre Monnard, "Salut Betty" n’est pas seulement un biopic. C’est le portrait d’une époque en pleine mutation: celle des années 1950, entre révolution technologique, bouleversements sociaux et prémices de l’émancipation féminine.

"Les années 50, c’est une mini-révolution domestique. La radio, la télé, les appareils électroménagers s’installent dans les foyers. Et Betty Bossi incarne parfaitement cette transformation", explique le réalisateur.

Le film aborde aussi bien l’immigration italienne en Suisse, qui a contribué à transformer les habitudes culinaires. "On oublie qu’avant les années 50, on ne mangeait pas de pizza ici. Betty Bossi a été l’une des premières à ouvrir ses livres à ces influences."

Le toast Hawaï arrive dans les foyers suisses, promesse d’exotisme bon marché. "Une simple rondelle d’ananas, une cerise rouge, suffisait pour avoir l’impression de voyager !", s’amuse le Fribourgeois.

Jongler entre carrière, famille, couple

Destiné à tous les publics, le film vise aussi les jeunes générations. "Ce que vivait cette femme en 1950 - jongler entre carrière, famille, couple - ce sont encore nos débats d’aujourd’hui. Ce film résonne avec ma propre vie", confie Pierre Monnard.

Présenté en avant-première suisse au GIFF à Genève, "Salut Betty" bénéficie d’une sortie nationale simultanée, chose rare pour un film helvétique, - le 20 novembre en Suisse alémanique et au Tessin et le 26 novembre en Suisse romande, avec une avant-première le 25 novembre au Capitole à Lausanne.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Dix ans des attentats du 13-Novembre: début des commémorations

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La première cérémonie a rendu hommage à Manuel Dias, première victime du 13-Novembre, tué quand trois kamikazes se sont fait exploser devant les portes du stade de France à Saint-Denis. (© KEYSTONE/EPA/LUDOVIC MARIN / POOL)

Un hommage a été rendu jeudi matin devant les portes du stade de France à la première des 130 personnes tuées lors des attentats du 13-Novembre, dix ans après une nuit d'horreur qui a meurtri Paris et sa banlieue.

"Nous n'oublierons jamais; on nous dit de tourner la page dix ans après, mais l'absence est immense", a dit dans un discours émouvant Sophie Dias, fille de Manuel Dias, première victime du 13 novembre 2015 quand trois kamikazes se sont fait exploser devant les portes du stade où se jouait un match amical France-Allemagne.

Des gerbes de fleurs ont été déposées sous la plaque commémorative en mémoire des blessés et de M. Dias, "qui aimait la vie" selon sa fille, après un discours du maire de Saint-Denis, Mathieu Hanotin, et avant une minute de silence. Emmanuel Macron a assisté à cette cérémonie.

Les cérémonies se poursuivront ensuite devant les terrasses parisiennes ciblées par les terroristes, puis au Bataclan à 14h30.

Le vendredi 13 novembre 2015, la France a été frappée par les attaques djihadistes les plus meurtrières de son histoire, coordonnées par le groupe État islamique (EI) qui a ciblé un match de football, un concert de hard-rock et des bars et restaurants.

L'hommage national aux 132 morts - deux rescapés du Bataclan se sont suicidés depuis - à leurs familles et aux rescapés de ces attentats qui ont profondément marqué le pays se conclura par l'inauguration à 18h00 d'un jardin mémoriel au coeur de la capitale, en présence d'Emmanuel Macron qui se rendra sur chacun des lieux des attentats.

Les commémorations officielles se tiennent sous vigilance renforcée, dans un contexte de menace terroriste "toujours élevée", selon le ministre de l'Intérieur Laurent Nuñez, qui a rappelé sur BFMTV/RMC que "six attentats" avaient été déjoués depuis le début de l'année.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Vente record à Genève d'une broche de Napoléon

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La broche faisait partie des effets personnels que l'empereur avait dû abandonner dans sa fuite dans la plaine de Waterloo. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Une broche ornée de diamants ayant appartenu à Napoléon Bonaparte et récupérée par l'armée prussienne à Waterloo a été vendue mercredi au prix record de 3,79 millions d'euros à Genève, a annoncé la maison de vente Sotheby's.

Le prix de vente de ce bijou historique, l'une des pièces les plus en vue de cette semaine du luxe sur les bords du Léman, a très largement dépassé les attentes de Sotheby's, qui l'avait estimé entre 130'000 et 220'0 euros.

La broche faisait partie des effets personnels que l'empereur avait dû abandonner dans sa fuite dans la plaine de Waterloo (près de Bruxelles, dans l'actuelle Belgique) face aux soldats britanniques et prussiens à l'issue de la célèbre bataille qui scella sa chute.

Le bijou circulaire, d'environ 45 mm de diamètre, présente en son centre un grand diamant ovale de 13,04 carats, entouré de près d'une centaine de diamants anciens taillés à la mine, de formes et de tailles variées, disposés sur deux rangées concentriques.

Pour orner le bicorne

Cette pièce unique fut créée pour Napoléon vers 1810, "probablement pour orner son bicorne lors d'occasions spéciales", précise la maison de vente. Elle fut ensuite offerte parmi d'autres objets au roi de Prusse Frédéric-Guillaume III comme trophée de guerre le 21 juin 1815, trois jours seulement après la bataille de Waterloo.

Autre pièce maîtresse des ventes Sotheby's, "The Glowing Rose" ou "Rose éclatante", un diamant rose vif de 10,08 carats estimé à environ 20 millions de dollars, a finalement été retiré des ventes mercredi soir. Sollicité par l'AFP, Sotheby's n'était pas immédiatement disponible pour fournir des explications sur ce retrait.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Nathacha Appanah reçoit le Choix Goncourt Suisse

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Avec son roman "La nuit au coeur", Nathacha Appanah lie le destin de trois femmes prises dans la spirale des violences masculines. (© F. Mantovani/Gallimard)

Le Choix Goncourt de la Suisse a été attribué mercredi à Nathacha Appanah pour son roman "La nuit au c½ur". L’autrice mauricienne, déjà lauréate du Prix Femina, succède à Sandrine Colette.

Le nom de la lauréate de cette onzième édition du Choix Goncourt de la Suisse a été annoncé mercredi soir à la Résidence de France à Berne, en présence de l'écrivain français Pierre Assouline, membre de l’Académie Goncourt.

Dans "La nuit au c½ur", Nathacha Appanah met en parallèle une situation d’emprise qu’elle a subie à 17 ans et les féminicides de sa cousine Emma et de Chahinez Daoud, abattues par leur conjoint, à des époques et des endroits éloignés.

Le jury, qui réunit chaque année plus d’une centaine d’étudiants venus des trois régions linguistiques du pays, a préféré ce roman aux trois autres titres finalistes: "La collision" de Paul Gasnier, "Passagères de nuit" de Yanick Lahens et "Un frère" de David Thomas.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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