Rejoignez-nous

Actualité

Vive le Référendum d'initiative citoyenne !

Publié

,

le

« Vous avez dit, M. le Président, avoir senti le malaise démocratique dans le pays. Et c’est vrai, il existe, mais que proposez-vous pour le résoudre, rien. Nous sommes las de devoir quémander les miettes d’une démocratie que vous et vos élus voulez bien nous donner. Nous venons donc avec une exigence concrète afin de sortir de cette crise démocratique : présenter au peuple français un texte visant à modifier la constitution dans le but d’introduire le référendum d’initiative citoyenne en toute matière. »

Cette harangue, immédiatement accueillie par les acclamations samedi dernier place de l’Opéra à Paris, est celle de Maxime Nicolle, alias Fly Rider, l’un des « relais » des Gilets jaunes – il répudie le qualificatif de « porte-parole » car selon lui tous les Gilets jaunes sont des portes paroles du mouvement.

Les cris d’orfraies ne se sont pas fait attendre, à commencer par ceux de l’ineffable Frédéric Haziza qui s’est empressé de commettre un tweet où il traite Fly Rider de « crapule complotiste » et demande en toute simplicité « À quand la fin de ce cirque ? »…  

Stanislas Guerini, délégué général de la République en marche, lançait quant à lui : « Je ne veux pas que demain on puisse se réveiller avec la peine de mort ou la castration chimique dans notre pays parce qu'on aura eu un Référendum d’initiative citoyenne ».

« L’expression populaire ne doit pas être trahie par des minorités », clame à son tour le désormais célèbre Richard Ferrand, Président de l’Assemblée nationale, qui n’a manifestement pas compris que lors d’un référendum, c’est bien la volonté majoritaire qui s’exprime…

« Honte à vous, ignare ! » lui a fort virilement lancé notre Guillaume Tell-Barazzone, dont l’apostrophe vaut certainement l’absolution de tous les errements passés !

Richard Ferrand avait en effet prétendu que les initiatives populaires en Suisse étaient « le fait de quelques cliques affairistes et de quelques lobbyistes »…

Selon Alain Duhamel, il faudrait « consulter les grands textes de Condorcet, Rousseau ou Benjamin Constant. Avec un système représentatif, il y a un risque de tyrannie de la majorité sur la minorité. Avec un système de démocratie directe en revanche, le risque est celui d’une tyrannie de la minorité sur la majorité. »

Alain Duhamel, qui sévit sur le PAF, le paysage audiovisuel français, depuis bientôt un demi-siècle, ne cite pas les auteurs qu’il invoque, et pour cause : Condorcet et Rousseau seraient plutôt des fanatiques de la démocratie directe.

Dans son traité du Contrat social, dont on peut penser par ailleurs ce que l’on veut, Rousseau écrivait : « la souveraineté, n’étant que l’exercice de la volonté générale, ne peut jamais s’aliéner, et le souverain, qui n’est jamais qu’un être collectif, ne peut être représenté que par lui-même » !

Ah elles sont brillantes, les élites françaises ! Elles comprennent tout, bien sûr : le référendum, c’est la tyrannie de la minorité !

Et ce sont ces gueux de Gilets jaunes qui n’y comprennent rien, d’ailleurs le chef du groupe « En marche » de l’Assemblée nationale nous l’a bien dit : « le gouvernement et la majorité ont probablement été trop intelligents sur la question du pouvoir d'achat pour être compris des Français »...

On comprend qu’après cela les gueux se mettent à chanter « Ah, ça ira, les Macronistes à la lanterne ! ».

Mais il faut revenir sur la petite crise de Frédéric HAZIZA traitant Fly Rider de « crapule complotiste » : le téléjournal de France 3 diffusait le soir même du rassemblement des Gilets jaunes sur la place de l’Opéra une photographie de l’AFP qui a été tout benoîtement retouchée : sur une pancarte de manifestants portant l’inscription « Macron dégage ! », le mot « dégage » a été purement et simplement effacé…

Oui cette affaire a fait beaucoup de bruit sur les réseaux sociaux et l'AFP a bien confirmé que sa photo avait été retouchée…

Selon la direction de France 3, il n’y a eu « aucune volonté de masquer cette pancarte dans téléjournal. C’est une erreur humaine. Nous en avons identifié l’origine. Cela ne se renouvellera pas. »

Vous comprenez, c’est par erreur que France Télévision retouche des images au téléjournal… Comme c’était par inadvertance que les Soviétiques corrigeaient des photographies qui ne correspondaient pas ou plus à la propagande officielle…

A n’en pas douter, les Gilets jaunes ont raison : nos grands démocrates européens ont un besoin urgent du Référendum d’initiative citoyenne !

International

Manifestations massives pour défendre l'université publique

Publié

le

Entre 100'000 et 150'000 personnes ont protesté à Buenos Aires, selon une source policière. (© KEYSTONE/AP/Rodrigo Abd)

Des centaines de milliers d'Argentins, étudiants au premier rang, ont manifesté mardi contre la politique d'austérité du gouvernement de Javier Milei et "en défense de l'université publique gratuite". Ces marches ont été dénoncées comme "politiques" par l'exécutif.

Dans la capitale, la mobilisation, probablement la plus importante depuis le début de la présidence Milei en décembre, a rassemblé "entre 100'000 et 150'000" personnes, selon une source policière, et un demi-million, selon l'Université de Buenos Aires (UBA). Un syndicat enseignant a fait état d'un million de manifestants à l'échelle du pays.

A Buenos Aires, étudiants, parents, enseignants, agents d'université, mais aussi des syndicats et membres de partis d'opposition, ont paralysé tout l'après-midi le centre de Buenos Aires, aux abords du Parlement, jusqu'à la Place de Mai, siège de la présidence à 2 km, noire de monde en fin de journée, a constaté l'AFP.

D'autres rassemblements en province ont mobilisé la soixantaine d'universités publiques du pays, auxquelles s'étaient jointes des instituts privés. A Cordoba (centre), siège de la plus ancienne université du pays fondée au début du XVIIe siècle, le cortège a rassemblé des dizaines de milliers de personnes.

Objectif "déficit zéro"

A Buenos Aires, dans une ambiance festive, des étudiants brandissaient symboliquement un livre à bout de bras, dénonçant "une attaque brutale" contre l'université, comme déplorait à l'AFP Pablo Vicenti, étudiant en médecine de 22 ans: "Ils veulent lui couper les vivres en prétendant qu'il n'y a pas d'argent. Il y en a, oui, mais ils choisissent de ne pas le dépenser dans l'éducation publique".

Les universités publiques, qui accueillent plus de 2,2 millions d'étudiants, se disent "en urgence budgétaire" depuis que le gouvernement a décidé de maintenir, pour l'année universitaire 2024 (qui a débuté en mars) le budget 2023, malgré une inflation de 288% sur douze mois. Et ce dans le cadre d'une austérité budgétaire tous azimuts, pour viser un "déficit zéro" en fin d'année, objectif du gouvernement Milei, et dompter l'inflation.

"Endoctrinement" ou excellence?

Pour plusieurs établissements, c'est une menace de paralysie, et certaines sections de la prestigieuse UBA ont récemment mis en place des économies d'urgence: parties communes non éclairées, usage restreint des ascenseurs, heures de bibliothèque réduites, etc.

La Faculté des sciences exactes de l'UBA, qui forma notamment le Nobel de Médecine/Physiologie 1984 Cesar Milstein, a ainsi en place un décompte en ligne jusqu'au jour où son budget 2024 sera épuisé. Mardi à l'heure de la manifestation, il lui restait 37 jours, 9 heures et 15 minutes.

La grande centrale syndicale CGT s'est jointe à la protestation, ainsi que des organisations de gauche radicale, des politiciens d'opposition, prêtant le flanc à l'accusation de "manifestation politique" de l'exécutif. Milei a rajouté de l'huile sur le feu, accusant certaines universités publiques d'être des lieux d'"endoctrinement" de gauche.

Le sous-secrétaire d'Etat aux Universités, Alejandro Alvarez, a mis en garde les manifestants et leurs soutiens. "Qu'ils fassent ce qu'ils veulent, mais tant que Javier Milei sera président, l'argent public qui va aux Universités sera AUDITE (...) nous instaurons une inspection et un audit qui n'existaient pas", a-t-il indiqué sur X.

"Phare éducatif en Amérique"

Le porte-parole présidentiel Manuel Adorni a souligné lundi que l'éducation publique argentine a été par le passé "un phare éducatif en Amérique" mais que "depuis des décennies l'université a de graves problèmes (...) et des taux d'achèvement d'études qui plongent". "On ne peut pas remettre en question 200 ans d'histoire. Même avec un budget très faible, l'UBA figure parmi les trois meilleures universités d'Amérique latine", protestait le doyen de la Faculté de médecine de l'UBA, Luis Brusco.

M. Adorni a aussi rappelé un accord il y a quelques jours pour augmenter les frais de fonctionnement des universités en deux fois, +70% en mars, puis +70% en mai. Loin de l'inflation, mais désormais une "discussion réglée", selon lui. "N'espérez pas une issue du côté de la dépense publique", a mis en garde lundi soir Milei, en claironnant un excédent budgétaire au 1er trimestre 2024, sans précédent depuis 2008, grâce à l'austérité. "Notre plan fonctionne", s'est-il vanté.

"Tous nos problèmes se résolvent avec davantage d'éducation et d'université publique (...) L'education nous sauve et nous rend libres. Nous appelons la société argentine à la défendre", a lu une étudiante à la foule Place de Mai en fin de rassemblement.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Hockey

Connor Hughes grandit en même temps que Lausanne

Publié

le

Connor Hughes a fait un bon match et il a été aidé par Andrea Glauser (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Pour égaliser à 2-2 en finale de National League, le LHC a dû réaliser un grand match. Andrea Glauser et Connor Hughes ont été déterminants.

Pour battre Zurich 5-2, il n'y a pas de miracle, il faut sortir un match quasi parfait. Et c'est ce que le LHC a réussi mardi soir devant son public. Un public bruyant qui a porté ses Lions tout au long de la partie. Et surtout lors de ce 3 contre 5 à la fin de la période médiane. En avance de deux buts (3-1), les Vaudois sont parvenus à préserver ce score au moment de la deuxième pause.

"C'était incroyable durant cette phase, je dois à Glauser un six-pack de bières", glisse Connor Hughes avec le sourire. Le portier lausannois fait référence à l'arrêt de la 39e lorsque la cage est vide et que le Fribourgeois bloque l'envoi zurichois qui aurait permis au "Z" de revenir à 3-2. C'est un peu comme la canne de Rudolfs Balcers lors de l'acte III à Zurich, lorsque Fabian Heldner a une chance d'égaliser à 3-3 à la 51e.

"J'ai vraiment senti le public derrière nous lors de ces minutes-là, se remémore Hughes. On aurait dit un quatrième joueur sur la glace pour nous aider. Honnêtement, il ne me semble pas qu'on leur a trop donné durant cette double infériorité numérique, on les a bien laissés sur l'extérieur. Je ne sais même pas combien de tirs ils ont mis sur notre but, mais je dirais qu'il n'y en a pas eu tant que ça. On a vraiment bien tenu notre système."

Meilleur que Hrubec sur ce match

Alors que l'on imaginait Simon Hrubec prendre le dessus sur l'inexpérimenté Hughes à ce stade de la compétition, le Canado-Suisse a remporté son duel à distance sur cet acte IV. "J'essaie de jouer mon jeu, note le portier lausannois. Je sais bien que je n'ai pas tellement d'expérience, mais j'essaie de tourner cela à mon avantage. Je ne sais pas si je suis relax ou si c'est plutôt l'adrénaline qui traverse mon corps. Le fait est que ça fonctionne plutôt bien pour l'instant."

Très humble, Hughes évite bien entendu de tirer la couverture à lui et salue le travail de ses coéquipiers avec sincérité: "Je trouve qu'au fil de cette finale, nous sommes meilleurs en tant qu'équipe sur le plan défensif. Je n'ai pas aimé mes deux premiers matches d'un point de vue personnel, c'est mieux allé par la suite, mais je suis sûr que je peux augmenter le niveau."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

International

Tesla essuie une chute de 55% du bénéfice net au premier trimestre

Publié

le

Tesla a annoncé mardi un plongeon de son résultat net au premier trimestre (archives). (© KEYSTONE/dpa/Patrick Pleul)

Tesla a subi une forte baisse de son résultat net au premier trimestre (-55% sur un an), qui a été marqué par de "nombreux défis" dans le monde tandis que les ventes de véhicules électriques ont continué d'être "sous pression". C'est ce qu'a annoncé le groupe mardi.

Sur les trois premiers mois de l'année, le spécialiste des véhicules électriques a réalisé un chiffre d'affaires de 21,30 milliards de dollars, soit un repli de 9% sur un an, et son bénéfice net a fondu à 1,30 milliard de dollars.

Rapporté par action et hors éléments exceptionnels - donnée préférée des marchés -, le bénéfice net ressort à 45 cents. Le consensus des analystes avait anticipé 49 cents. "Nous avons subi de nombreux défis au premier trimestre", a relevé Tesla dans son communiqué, citant les problèmes du transport maritime en mer Rouge - à cause d'attaques des Houthis - ou encore le sabotage ayant mis à l'arrêt son usine en Allemagne.

Le groupe a également insisté sur le fait que les ventes mondiales de véhicules électriques continuaient "d'être sous pression tandis que de nombreux constructeurs donnent priorité aux hybrides plutôt qu'aux électriques". Tesla dit avoir investi 2,8 milliards de dollars au premier trimestre dans son infrastructure d'intelligence artificielle, ses capacités de production, son réseau de Superchargers et ses nouvelles infrastructures de production.

Nouveaux modèles

"L'avenir n'est pas simplement électrique, il est aussi autonome", a-t-il relevé. Pour expliquer sa contreperformance trimestrielle, Tesla a expliqué se trouver "entre deux grandes vagues" de développement.

Ces perspectives alimentaient un bond de 8,59% de l'action dans les échanges électroniques après la fermeture de la Bourse de New York. La seconde devrait s'appuyer sur des avancées en matière d'autonomie et sur la sortie de nouveaux modèles - y compris "meilleur marché" - plus tôt que ce qu'il escomptait. Il anticipait auparavant un lancement de production au second semestre 2025.

Cybertruck

En conséquence, il s'attend à une croissance des volumes en 2024 "notablement plus basse" qu'en 2023. Le constructeur avait déçu les marchés début avril en annonçant avoir livré moins de véhicules qu'un an plus tôt et, surtout, bien moins que prévu par les analystes. La production avait également déçu, avec un repli de 8,5% sur un an.

Il a fourni mardi, pour la première fois, des données concernant le dernier-né de sa gamme: le pick-up futuriste Cybertruck dont les premiers exemplaires ont été livrés début décembre, soit quatre ans après sa présentation. D'après le communiqué, plus d'un millier ont été produits en une seule semaine en avril.

La semaine dernière, le groupe a dû en rappeler près de 3.900 pour un problème de pédale d'accélérateur bloquée. C'était alors le seul indice sur le nombre en circulation. L'objectif d'Elon Musk, patron de Tesla, est d'atteindre un rythme de production annuel d'"un quart de million", "courant 2025". Le carnet de commandes dépassait le million en novembre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Hockey

Play-off: Lausanne égalise contre les Zurich Lions

Publié

le

Les Lausannois se congratulent après le 4-1 (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Lausanne a remporté l'acte IV de la finale des play-off de National League mardi à domicile. Les Vaudois se sont imposés 5-2 face à Zurich pour égaliser à 2-2 dans la série.

Lausanne n'abdique pas! Sur leur territoire, les Lions de Malley ont encore une fois pris le meilleur sur leur adversaire. Une victoire méritée pour une équipe qui possède une impressionnante confiance en elle.

Dans les matches, il y a souvent des événements plus importants que d'autres. Ce quatrième acte fut plutôt riche en buts, mais si Lausanne en est à 2-2 ce soir, c'est aussi parce que le club vaudois a su gérer à merveille la fin de la période médiane. Forcés à jouer en double infériorité numérique pendant 97 secondes pour une pénalité sévère contre Bozon et une canne dans la figure de Juho Lammikko de la part de Cody Almond, les hommes de Geoff Ward ont su faire le dos rond.

Poussés par leur public, les Lausannois ont tenu le choc et ça les a galvanisés pour la suite. Parce qu'il y a notamment eu ce sauvetage d'Andrea Glauser alors que la cage était vide à la 39e. Juste avant ces minutes en désavantage numérique, les Vaudois avaient eu la chance de leur côté puisqu'à la 35e Sven Andrighetto a frappé le poteau.

Simon Hrubec humain après tout

Un autre facteur a pesé lourd dans cette rencontre. Ce que l'on pensait ne jamais arriver s'est produit. Excellent jusqu'à présent dans ces play-off, Simon Hrubec est redevenu humain. Le gardien des Zurich Lions a encaissé deux buts évitables. Et ce sont deux réussites qui ont eu un véritable impact sur la partie.

A la 25e, le portier tchèque a laissé filer le puck sur un lancer excentré de Robin Kovacs et Lausanne a pu prendre deux longueurs d'avance. Mais c'est surtout sur le 3-1 de Tim Bozon à la 34e que le Tchèque s'est troué. Et ce goal est intervenu 128 secondes après la réduction du score des Zurichois, soit juste quand ces derniers pouvaient profiter d'un évident momentum pour faire douter les Lions de Malley.

Les Lausannois ont classé l'affaire en power-play à la 51e grâce à Jiri Sekac. Et ce n'est pas la réussite tardive de Denis Hollenstein à la 58e qui est venue remettre en cause l'issue de la partie. Surtout que le LHC a pu inscrire le 5-2 dans la cage vide par Cody Almond.

Les deux équipes vont donc se retrouver jeudi à 20h à Zurich pour un acte V et les Lions de Malley ont l'assurance de disputer une dernière partie devant leur public samedi soir pour une sixième manche forcément décisive, d'un côté comme de l'autre.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Suisse

Personne ne devine la bonne combinaison de l’Euro Millions

Publié

le

Personne n'a trouvé la combinaison gagnante à l'Euro Millions mardi soir (image symbolique). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Personne n'a trouvé la combinaison gagnante à l'Euro Millions mardi soir. Pour gagner, il fallait jouer les numéros 6, 9, 11, 32 et 49 et les étoiles 2 et 10.

Lors du prochain tirage vendredi, 148 millions de francs seront en jeu, indique la Loterie Romande. Cette loterie transnationale est proposée dans douze pays européens, dont la Suisse et le Liechtenstein.

https://jeux.loro.ch/games/euromillions

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture