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Un nouveau report du Brexit en discussion

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"Notre position reste que nous ne devrions pas faire de report, que nous devrions quitter l'UE le 31 octobre. C'est ce que je dirai à l'UE", a ajouté Boris Johnson, qui n'a jamais varié dans sa promesse de mettre en oeuvre le Brexit à la fin du mois, (©KEYSTONE/EPA UK PARLIAMENT/JESSICA TAYLOR / UK PARLIAMENT HANDOUT)

Les députés britanniques ont soutenu sur le principe l'accord de divorce décroché par Boris Johnson, mais ils ont refusé mardi l'examen accéléré du texte voulu par le Premier ministre. Les chances d'une sortie de l'UE avec un accord le 31 octobre sont compromises.

Boris Johnson a immédiatement annoncé qu'il suspendait l'examen de l'accord conclu avec Bruxelles par le Parlement jusqu'à ce que l'Union européenne prenne une décision sur un report de la date du divorce. "En attendant leur décision, nous allons suspendre cette législation", a-t-il déclaré devant les députés.

"Notre position reste que nous ne devrions pas faire de report, que nous devrions quitter l'UE le 31 octobre. C'est ce que je dirai à l'UE", a ajouté Boris Johnson, qui n'a jamais varié dans sa promesse de mettre en oeuvre le Brexit à la fin du mois, comme prévu.

Nouveau report recommandé

A neuf jours de la date de sortie, le dirigeant conservateur a aussi déclaré qu'il accélérait les préparatifs pour une sortie sans accord de l'UE.

Le président du Conseil européen Donald Tusk a recommandé mardi soir aux dirigeants de l'UE d'accepter un nouveau report de la date de sortie du Royaume-Uni. Une réunion des ambassadeurs des pays membres auprès de l'UE a été planifiée mercredi en fin de matinée pour discuter de cette recommandation, a indiqué l'un des représentants.

Mais il n'est pas question de décider mercredi, a-t-il averti. Il s'agira de vérifier si l'ensemble des pays membres partagent la même analyse de la situation et de voir si un nouveau report est nécessaire, a-t-il indiqué.

Première victoire

Le Parlement britannique a approuvé mardi par 329 voix contre 299 la loi d'application pour l'accord conclu par Boris Johnson et les dirigeants de l'UE, et ouvert ainsi la voie à une étude du texte dans les détails.

Mais les députés ont ensuite refusé par 322 voix contre 308 le calendrier proposé par le gouvernement britannique prévoyant une approbation de la loi d'application de l'accord d'ici à jeudi soir. Ce délai a été jugé trop court par une majorité de députés pour examiner minutieusement un texte de 110 pages.

"Il est bienvenu, heureux même, que pour la première fois dans cette longue saga cette Chambre ait pris ses responsabilités, se soit rassemblée et ait adopté un accord", s'est réjoui le Premier ministre britannique. Il a toutefois exprimé sa "déception" que les députés se soient prononcés pour un report plutôt que pour le calendrier proposé.

Le Premier ministre irlandais Leo Varadkar a salué la "majorité claire" qui s'est prononcée en faveur de la loi d'application et a dit attendre les prochaines décisions qui seront prises à Londres et à Bruxelles, notamment sur la nécessité d'un nouveau report. Le départ du Royaume-Uni a déjà été différé à deux reprises du 29 mars au 12 avril puis au 31 octobre.

"La bonne nouvelle est que Boris Johnson a trouvé une majorité et elle n'est pas courte. Il a réussi son pari. Mais le Parlement a bloqué le calendrier. Nous ne sommes pas dans une situation de crise, mais face à un problème de calendrier devenu trop serré", a expliqué un responsable européen.

Durée de prolongation en discussion

Boris Johnson attend maintenant la réponse de Bruxelles après avoir été contraint par la loi à demander un délai à l'UE. Il a en effet dû demander samedi une prolongation de trois mois, jusqu'au 31 janvier 2020, en vertu d'une loi adoptée en septembre et Donald Tusk a préconisé de répondre favorablement à cette requête. Mais l'UE peut proposer une durée différente.

La durée de la prolongation doit être décidée par les Européens en concertation avec Boris Johnson, a soutenu le responsable européen. "L'UE est disposée à accepter une prolongation, mais elle décidera ce qui est nécessaire, et sa durée exacte devra faire l'objet d'échanges politiques", a-t-il commenté. "Un report de trois mois n'est pas acceptable. Il doit être limité", a-t-il estimé.

La France est prête à accepter un court report "technique" de "quelques jours" du Brexit pour que la procédure parlementaire puisse s'achever à Londres, a annoncé mardi soir la secrétaire d'Etat française aux Affaires européennes Amélie de Montchalin.

"En fin de semaine, nous verrons si une extension purement technique de quelques jours se justifie", a-t-elle précisé devant le Sénat français.

Sortie en douceur

Initialement prévu le 29 mars dernier, le Brexit a déjà été repoussé à deux reprises faute d'un accord soutenu par une majorité de députés. Le sujet a aussi coûté son poste à l'ancienne Première ministre Theresa May, après le rejet à trois reprises par les députés de l'accord qu'elle avait négocié avec l'UE.

L'accord de retrait conclu la semaine dernière entre Londres et l'UE règle les conditions du divorce après 46 ans de vie commune, permettant une sortie en douceur assortie d'une période de transition courant au moins jusqu'à fin 2020. Outre l'approbation du Parlement britannique, il doit aussi être adopté par le Parlement européen.

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International

Les Etats-Unis ont frappé plus de 1000 cibles au Yémen en un mois

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Washington affirme avoir tué des centaines de rebelles houthis lors de ses raids aériens sur le Yémen (archives). (© KEYSTONE/AP/Osamah Abdulrahman)

L'armée américaine a frappé depuis la mi-mars plus de 1000 cibles au Yémen, où Washington mène une campagne aérienne contre les rebelles houthis, a annoncé mardi le ministère de la défense. L'armée britannique participe également aux raids.

Les Houthis, qui contrôlent de larges pans du Yémen, ont pris pour cible la navigation maritime en mer Rouge depuis la fin 2023, par solidarité avec les Palestiniens de la bande de Gaza dévastée par la guerre entre le Hamas et Israël. Ils revendiquent également régulièrement des tirs de missiles directement sur Israël.

Depuis le 15 mars, "les frappes du CENTCOM [le commandement militaire américain pour le Moyen-Orient, ndlr] ont touché plus de 1000 cibles, tuant des combattants et des dirigeants houthis [...] et dégradant leurs capacités", a affirmé dans un communiqué Sean Parnell, un porte-parole du Pentagone.

Mercredi matin, l'armée britannique a annoncé, pour la première fois depuis le lancement de cette campagne américaine à la mi-mars, y avoir participé en ciblant "une cible militaire houthie" dans la nuit au sud de la capitale Sanaa.

Prison bombardée

Selon le ministère britannique de la défense, l'opération, menée par des avions de combat britanniques Typhoon, visait "un ensemble de bâtiments, utilisés par les Houthis pour fabriquer des drones du type de ceux utilisés pour attaquer les navires dans la mer Rouge et le golfe d'Aden".

Le Royaume-Uni avait déjà participé aux frappes menées contre les Houthis à partir de début 2024 par les Etats-Unis, proche allié d'Israël.

Dimanche, le CENTCOM avait évoqué plus de 800 cibles atteintes depuis mi-mars et dénombré des centaines de morts parmi les rebelles.

Quelques heures après cette annonce, les Houthis avaient accusé l'armée américaine d'avoir bombardé une prison de Saadah, leur fief dans le nord du Yémen, faisant 68 morts et 47 blessés parmi des migrants africains qui y étaient détenus.

Sollicité par l'AFP, le CENTCOM avait indiqué "être au courant des allégations de pertes civiles liées aux frappes américaines au Yémen et prendre ces allégations très au sérieux". "Une évaluation des dégâts ainsi qu'une enquête sur ces affirmations sont actuellement en cours", avait-il ajouté.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Le Pakistan a des preuves crédibles d'une frappe indienne imminente

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L'Inde attribue la responsabilité de l'attentat meurtrier commis il y a une semaine au Cachemire au Pakistan voisin (archives). (© KEYSTONE/AP/PRABHJOT GILL)

Le gouvernement pakistanais a dit mercredi disposer de "renseignements crédibles" selon lesquels l'Inde prévoit une frappe militaire imminente après l'attentat au Cachemire. Le premier ministre indien Narendra Modi attribue la responsabilité de l'attaque au Pakistan.

"L'Inde a l'intention de lancer une frappe militaire dans les prochaines 24 à 36 heures, en utilisant l'incident de Pahalgam comme prétexte", a déclaré le ministre pakistanais de l'Information, Attaullah Tarar, dans un communiqué.

"Toute agression entraînera une riposte décisive. L'Inde sera pleinement responsable de toute conséquence grave dans la région", a-t-il ajouté.

Mardi, au cours d'une réunion à huis clos, M. Modi "a dit aux forces armées qu'elles avaient la liberté de décider des cibles, du moment et du mode de la riposte indienne à l'attaque", a déclaré sous couvert d'anonymat à l'AFP une source gouvernementale.

S'exprimant devant les chefs d'état-major, il a "réaffirmé la détermination nationale à porter un coup déterminant au terrorisme et exprimé sa complète confiance dans les capacités des forces armées indiennes" à le faire, a poursuivi cette source.

Le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio a exhorté New Delhi et Islamabad à ne pas aggraver la situation, a déclaré sa porte-parole. "Nous tendons la main aux deux parties et leur demandons, bien sûr, de ne pas aggraver la situation", a-t-elle ajouté.

Attaques "inacceptables"

Un attentat contre des touristes a fait 26 morts il y a une semaine dans la ville touristique de Pahalgam, dans la partie du Cachemire administrée par l'Inde. Avant même toute revendication, New Delhi a rendu Islamabad responsable de cette attaque, la plus meurtrière ayant visé des civils dans cette région en majorité musulmane depuis plus de vingt ans. Le Pakistan a aussitôt démenti toute implication et a réclamé une "enquête neutre".

Ces deux puissances nucléaires sont depuis sur le pied de guerre. Leurs gouvernements ont multiplié les sanctions diplomatiques réciproques et leurs ressortissants ont été priés de quitter le territoire du voisin au plus tard ce mardi.

Depuis plusieurs nuits, des tirs sont échangés entre soldats pakistanais et indiens le long de la "ligne de contrôle" (LoC), la frontière qui sépare le Cachemire entre leurs deux pays. Ces escarmouches n'ont pas fait de victimes, selon l'armée indienne.

Signe des tensions extrêmes dans la région, le Pakistan a de son côté annoncé mardi y avoir "abattu" un drone de surveillance indien, sans préciser la date de cet incident, sur lequel l'Inde a gardé le silence.

Les experts craignent depuis plusieurs jours une riposte militaire de New Delhi, tandis que les opinions publiques des deux camps sont chauffées à blanc. En 2019 déjà, après une attaque meurtrière contre ses soldats, l'Inde avait effectué un raid aérien sur le sol du Pakistan, qui avait riposté.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Ukraine: un mort et des dizaines de blessés dans des frappes russes

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La ville de Kharkiv est régulièrement bombardée par l'armée russe (archives). (© KEYSTONE/EPA/SERGEY KOZLOV)

Au moins une personne est morte et 39 autres ont été blessées dans des bombardements russes sur les villes ukrainiennes de Dnipro (centre-est) et Kharkiv (nord-est), selon les autorités locales. Des frappes ukrainiennes ont également touché la Russie.

"Une attaque massive de drones sur Dnipro [...] Pour l'instant, nous avons connaissance d'une personne décédée", a déclaré dans la nuit de mardi à mercredi sur la messagerie Telegram le gouverneur de la région de Dnipropetrovsk. Le maire de la ville a lui aussi fait état d'un mort lors d'une "attaque massive", sans plus de détails permettant d'affirmer qu'il s'agit de la même victime.

Longtemps préservée par rapport à l'est, la région de Dnipropetrovsk est dernièrement sous le feu des troupes russes, qui tentent d'y pénétrer pour la première fois après trois ans de combats. Des évacuations ont été annoncées dans la zone mardi.

A Kharkiv, le maire a rapporté un chiffre de "39 blessés", ayant évoqué auparavant "16 frappes" sur cette ville proche de la frontière.

Frappes de drones en Russie

Côté russe, le gouverneur par intérim de la région de Koursk (ouest) a dénoncé, également sur Telegram, des "frappes de drones en banlieue de Rylsk", faisant état de trois blessés dont deux hospitalisés.

Le président américain Donald Trump exhorte Kiev et Moscou à conclure un cessez-le-feu et un accord de paix, trois ans après le début de l'offensive russe ayant déjà fait des dizaines de milliers de morts civils et militaires.

Son homologue russe Vladimir Poutine a annoncé lundi une trêve sur le front en Ukraine durant trois jours du 8 au 10 mai, à l'occasion des célébrations de la victoire contre l'Allemagne nazie. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a fustigé une "tentative de manipulation".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Ranch au Mexique: centre d'entraînement mais pas d'"extermination"

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Un petit vase avec de très petits fragments d'os a été retrouvé dans le ranch Izaguirre, à Teuchitlan (archives). (© KEYSTONE/EPA EFE/FRANCISCO GUASCO)

Le ranch découvert au Mexique au début mars était bien un centre d'entraînement de trafiquants de drogue, mais pas un centre d'exécution des recrues forcées, a indiqué mardi le parquet général.

Le site abandonné a été inspecté le 5 mars dans l'Etat du Jalisco (nord-ouest) à l'initiative d'un collectif de proches de personnes disparues. Ils ont retrouvé des petits morceaux d'os calcinés et des centaines d'habits et de chaussures dans ce ranch situé à Teuchitlan, à 80 km à l'ouest de la capitale Guadalajara.

Le collectif avait affirmé que le site était un "camp d'extermination" à l'usage du trafic de drogue dans cette zone dominée par le cartel Jalisco nueva generacion (CJNG). Aucun indice ne permet de parler de "crématoriums", a déclaré mardi le procureur général Alejandro Gertz. "On a trouvé un petit vase avec de très petits fragments d'os", a-t-il ajouté.

Plus de 127'000 disparus

Les proches des personnes disparues affirment que le ranch a abrité des crématoriums sous terre pour faire disparaître les corps de recrues du cartel, assassinées après avoir été recrutées de force. "Il n'y a pas une preuve qui accrédite cette thèse", a insisté le procureur.

Le Mexique compte d'après certaines statistiques plus de 127'000 personnes disparues, "une tragédie humaine" selon un comité spécialisé de l'ONU. La plupart des disparitions ont été enregistrées après 2006, quand l'armée fédérale a lancé une opération militaire provoquant la balkanisation des cartels. L'Etat du Jalisco est le plus touché par les disparitions avec plus de 15'000 cas.

Les enquêtes continuent pour déterminer combien de personnes ont pu être emmenées de force au ranch. Les autorités municipales vont aussi faire l'objet d'une enquête pour complicité présumée avec les criminels, a indiqué le procureur.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Une première accusatrice témoigne au procès d'Harvey Weinstein

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La chute de l'ancien producteur de cinéma Harvey Weinstein a entraîné la vague #MeToo. (© KEYSTONE/EPA/DAVID DEE DELGADO / POOL)

Un jour, il demandait un massage, une autre fois, il se montrait charmant ou lourdement insistant: la première des trois victimes présumées au procès pour viol d'Harvey Weinstein à New York a longuement témoigné mardi sur sa relation avec l'ex-producteur de cinéma.

Devant les jurés de la cour criminelle de Manhattan, l'ancienne assistante de production Miriam Haley a été interrogée pendant plus de trois heures par la procureure. Mais l'audience s'est terminée avant d'aborder ce jour de juillet 2006, lors duquel elle affirme que l'accusé lui a imposé une relation sexuelle par la force, dans son appartement du quartier chic de Soho à New York.

Le témoignage va se poursuivre mercredi. Harvey Weinstein est rejugé après l'annulation retentissante en 2024, par la cour d'appel de New York, de sa condamnation à 23 ans de prison pour viol et agression sexuelle.

Miriam Haley, âgée aujourd'hui de 48 ans, a raconté avoir croisé la route du patron des studios Miramax lors d'une avant-première à Londres, puis décroché un rendez-vous avec lui en marge du festival de Cannes, au printemps 2006.

"Humiliée"

"J'étais enthousiaste d'avoir l'opportunité de le rencontrer", a-t-elle expliqué. "Je voulais voir s'il y avait du travail pour moi". Mais elle raconte avoir rapidement déchanté dans une chambre de l'hôtel Majestic, où Harvey Weinstein, alors l'un des hommes les plus puissants d'Hollywood, lui demande un massage. Elle refuse, le rendez-vous ne s'éternise pas. "Je me sentais humiliée".

Pendant que les pages de son agenda de l'époque défilent sur des écrans du tribunal, Miriam Haley explique avoir revu Harvey Weinstein, le décrivant comme "charmant" à une occasion et très insistant pour qu'elle l'accompagne en voyage à Paris, toujours avant l'épisode au coeur des accusations.

"Etiez-vous intéressée par une relation sexuelle ou sentimentale", lui a demandé plusieurs fois la procureure. "Non", a réitéré à chaque fois Miriam Haley, qui avait été engagée comme assistante de production sur une émission produite par le magnat du cinéma indépendant.

Diminué par les problèmes de santé, pâle et chauve, Harvey Weinstein, 73 ans, comparaît détenu, car il a aussi été condamné en Californie. Il écoute le témoignage le plus souvent de manière impassible, un bras posé sur le dossier de sa chaise roulante.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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