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Trop de nitrates dans les eaux souterraines

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L'eau potable, qui est pompée dans les eaux souterraines, contient souvent trop de nitrates et de pesticides, venant de l'agriculture (archives). (©Keystone/GAETAN BALLY)

Le dernier rapport sur la qualité des eaux souterraines en Suisse montre que 15% des stations de mesure présentent des niveaux de nitrates trop hauts. Principale responsable de cette pollution, selon l'Office fédéral de l'environnement: l'agriculture.

"La situation n'est pas grave, mais préoccupante", a dit Karine Siegwart, sous-directrice de l’Office fédéral de l'environnement (OFEV) lors d'une conférence de presse jeudi à Berne. En 2014, des concentrations supérieures à 25 mg/l ont été relevées dans près de 15% des stations, 25 mg/l étant la valeur limite fixée dans l'ordonnance sur la protection des eaux (OEaux).

Dans les zones de grandes cultures, cette valeur a été dépassée à 40% des stations. Une concentration supérieure à 40 mg/l, la valeur-limite fixée dans la législation sur les denrées alimentaires pour l'eau potable, a même été détectée dans 2% des stations.

Les zones les plus touchées sont situées dans les grandes exploitations agricoles du Plateau. Ce document se base sur des données récoltées entre 2007 et 2014 par les 600 stations de mesure du Réseau national d'observation des eaux souterraines (NAQUA).

Les concentrations de nitrates sont un indicateur important des répercussions de l'agriculture sur les eaux souterraines. Les principales sources de cette pollution sont les engrais de ferme et les engrais minéraux.

Pesticides en ligne de mire

Les pesticides constituent également un problème. Des résidus de produits phytosanitaires ont été détectés dans les eaux souterraines par plus de la moitié des stations de mesure, indique l'OFEV.

En 2014, les substances actives de ces produits ont dépassé la valeur-limite de 0,1 microgramme par litre (μg/l) à 2 % des stations. On trouve encore dans les eaux souterraines des résidus d'atrazine, un herbicide pourtant interdit en Suisse depuis plus de dix ans.

Des concentrations élevées de substances issues de leur dégradation, appelées métabolites, ont aussi été largement décelées, surtout sur le Plateau. Dans quelque 20 % des stations de mesure, les concentrations étaient supérieures à 0,1 μg/l, la valeur-limite fixée pour certains métabolites.

Nouveau polluant

L'OFEV vient encore de découvrir un nouveau polluant dans les eaux suisses. Depuis 2017, divers métabolites du chlorothalonil, un fongicide, ont été découverts dans les eaux souterraines, notamment du Plateau, a souligné M. Kozel. Or la limite de 1 μg/l pour l'eau potable fixée en juin dernier par l'Office fédéral de la sécurité alimentaire et des affaires vétérinaires est dépassée dans quelques cas.

Des concentrations dépassant la valeur-limite fixée dans l'OEaux sont aussi relevées pour les hydrocarbures halogénés volatils (HHV), une substance que l'on trouve dans les bombes aérosol ou les installations de réfrigération. En 2014, c'était le cas à 4 % des stations de mesure. Cette pollution provient de sites contaminés tels que des anciennes usines ou des décharges. Des micropolluants provenant des eaux usées sont également présents.

Assez d'eau, mais difficile à exploiter

18 milliards de m3 : c'est le volume d'eaux souterraines que la Suisse pourrait, en théorie, exploiter chaque année durablement, c'est-à-dire sans provoquer d'abaissement persistant du niveau de ces eaux ni d'autres atteintes à l'environnement. Cela correspond à plus de dix fois les besoins actuels.

Mais dans de nombreux endroits, l'agriculture, l'industrie et les villes occupent toute la place. "C'est presque impossible de trouver un endroit où l'on pourrait creuser sur le Plateau, en raison de la densité de l'occupation du territoire", ont relevé a Roland Kozel, chef de la division hydrologie et Stephan Müller, chef de la division des eaux à l'OFEV.

L'USP se veut rassurante

L'Union suisse des paysans (USP), dont le secteur d'activité est particulièrement montré du doigt par l'OFEV, se veut rassurant. L'étude montre que la présence de résidus de produits phytosanitaires n’a pas dépassé les exigences quantitatives dans 98% des stations de mesure.

De plus, la période étudiée, de 2007 à 2016, se situe avant l'introduction du plan d'action national produits phytosanitaires à la fin de l'été 2017. Preuve, selon l'USP, que le système fonctionne, le chlorothalonil va voir son autorisation retirée cet automne: un pessimisme unilatéral, vis-à-vis du secteur agricole, n’a donc pas lieu d’être, selon elle.

Les Vert'libéraux (PVL) interpellent le PLR, mais également le Conseil fédéral et les représentants des agriculteurs pour un changement de cap. Ils rappellent que lors de la session de juin dernier, le Conseil national a rejeté l'initiative sur l'eau potable ainsi qu'un contre-projet, avec l'aide du PLR.

Alarmisme à gauche

De son côté, le PS est alarmiste. "Les eaux souterraines constituent la principale ressource en eau potable de la Suisse. C'est un acte de négligence que de la mettre en danger", déclare Ada Marra, conseillère nationale (VD) et vice-présidente du PS Suisse.

Pour Greenpeace, "il est grand temps de diminuer le nombre d'animaux d'élevage et de baisser l'utilisation de pesticides et d'engrais". Quant au WWF, il en appelle à un changement de cap radical dans l'agriculture.

 

Source: ATS

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International

Un tribunal américain annule le redécoupage électoral du Texas

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Le redécoupage électoral adopté en août aurait dû favoriser les républicains (archives). (© KEYSTONE/AP/ERIC GAY)

Un tribunal fédéral américain a suspendu mardi la nouvelle carte électorale du Texas qui devrait permettre aux républicains de remporter cinq sièges de plus à la Chambre des représentants lors des élections de mi-mandat dans un an.

Saisi par des électeurs qui considéraient ce redécoupage électoral adopté en août comme "discriminatoire" envers les minorités, le tribunal a suspendu la loi et ordonné aux autorités d'utiliser pour le scrutin de mi-mandat en novembre 2026 la même carte que pour les élections de 2022 et 2024. Les républicains devraient faire appel de cette décision.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Suisse Romande

Réforme de la loi sur l'énergie: risque sérieux d'un référendum

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La grande réforme de la loi vaudoise sur l'énergie, portée par le conseiller d'Etat Vassilis Venizelos, pourrait bien faire l'objet d'un référendum à la suite des débats irréconciliables au Grand Conseil, entre la gauche et la droite (archives). (© Keystone/CYRIL ZINGARO)

Le Grand Conseil vaudois a entamé mardi le deuxième débat sur l'importante réforme de la loi sur l'énergie, sans pouvoir le terminer. Les discussions ont à nouveau été longues, disputées et âpres. Un important compromis de la gauche a été refusé par la droite sur l'assainissement des petits bâtiments. Dépitée, la gauche radicale songe à lancer un référendum.

Il avait fallu cinq séances pour arriver à bout de la première lecture de cette révision de la loi sur l'énergie (LVLEne) proposée par le Conseil d'Etat, ses 80 articles et les plus de 90 amendements proposés, eux, par la Commission de l'environnement et de l'énergie. Le deuxième débat a duré toute l'après-midi pour n'arriver qu'au fameux article 32 sur les bâtiments énergivores, déjà très longuement discuté en premier débat.

Pour mémoire, le projet gouvernemental avait décidé de différencier petits et grands propriétaires en matière de délais accordés pour assainir ces "passoires énergétiques". La commission a, elle, aménagé les délais des bâtiments concernés, soit classés F et G selon le Certificat énergétique cantonal des bâtiments (CECB).

Concrètement, la commission proposait d'abolir les délais d'assainissement pour les bâtiments de moins de 750 m2 (petits propriétaires) afin d'obtenir la note D. Pour les bâtiments de plus de 750 m2 (grands propriétaires), le délai a été rallongé de cinq ans (à 2040) pour ceux appartenant à la classe F. Il reste à 2035 pour la classe G.

"Détricotage de la loi"

En commission, ces différents assouplissements de délais avaient été compensés par un nouveau principe, consistant à établir comme élément déclencheur le moment d'un changement de propriétaire. Lorsque l'ensemble d'un bâtiment change de propriétaire, une prise en compte des travaux à effectuer permet de planifier un assainissement. La commission proposait de fixer un délai de cinq ans à tout nouveau propriétaire pour effectuer les travaux de mise en conformité.

En premier débat, une proposition du PLR visant à supprimer complètement cette compensation avait été acceptée à trois voix près. Au grand dam de la gauche, qui avait parlé de "détricotage de la loi" et des équilibres trouvés en commission.

Mardi, c'est le député écologiste Alberto Mocchi qui est revenu avec une proposition de compromis, histoire de "ne pas vider la loi de sa substance". Il a suggéré un nouvel amendement pour les bâtiments de moins de 750 m2 , introduisant la notion de "vente" d'un bâtiment (plutôt que "transfert") et rallongeant le délai de cinq à dix ans pour l'assainissement.

L'idée était d'éviter de faire croire qu'il n'y a "pas besoin" d'assainissement énergétique pour les petits bâtiments et petits propriétaires. Cette "main tendue, ce pont et ce pas important", selon la gauche, envers les préoccupations de la droite a été refusé à une voix près (73 non contre 72 oui). La version édulcorée, moins contraignante, du premier débat a ainsi été maintenue.

"Obstruction climatique"

"Le projet de loi arrive à son terme. Il a été complètement démantelé et démembré", a lancé, dépité, le socialiste Laurent Balsiger. Tout aussi écoeurée, l'élue de la gauche radicale (EP) Mathilde Marendaz a clairement brandi la menace d'un référendum, lancé par sa formation. Pour d'autres raisons, l'UDC avait, lors de l'entrée en matière, sous-entendu une telle possibilité aussi.

L'électricité était dans l'air dès le début de ce deuxième débat. Mme Marendaz avait auparavant déjà vertement critiqué le PLR et l'UDC. "Ils n'ont eu de cesse de proposer de nouveaux amendements qui ont saturé le débat et vidé le projet de loi de sa substance (...) C'est de l'obstruction climatique", a-t-elle lancé. "Nous devons être à la hauteur de l'Histoire, défendre la science et le bien commun, et ne pas céder aux lobbies", a-t-elle clamé.

Plus d'air pour les communes

Grâce à la droite et certains Vert'libéraux, le plénum a aussi confirmé son refus de modifications plus contraignantes pour les communes, leur laissant ainsi une plus grande marge de manoeuvre dans deux volets: l'application de la politique énergétique par l'élaboration d'un plan énergétique/climatique et l'obligation de réaliser une planification énergétique dans leurs plans directeurs.

Un autre amendement proposé par la commission a été une nouvelle fois refusé, s'agissant cette fois-ci des chauffages à distance. L'Etat et les communes encouragent ces installations alimentées au moins à 70% par des énergies renouvelables ou issues de la récupération de chaleur respectant les règles de priorisation des ressources. C'est la mention "avec pour objectif 90% en 2040" qui a encore échoué une fois.

Pour rappel, cette réforme vise à développer le recours aux énergies renouvelables locales, à diminuer la consommation énergétique, à remplacer les installations de chauffage à énergie fossile tout en renforçant l'accompagnement des différents acteurs impliqués. But: tendre décisivement vers la neutralité carbone en 2050, objectif du Plan climat vaudois, ainsi que vers plus de souveraineté énergétique pour le canton, qui importe 84% de son énergie.

Le deuxième débat pourrait se terminer mardi prochain. Mais un troisième sera de toute manière nécessaire, lui, pas avant janvier 2026.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Des syndicats accusent les HUG de violer la loi sur le travail

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Les Hôpitaux universitaires genevois (HUG) sont accusés par deux syndicats de violer neuf dispositions de la loi sur le travail (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Deux syndicats accusent les Hôpitaux universitaires genevois (HUG) de continuer à violer la loi sur le travail, dix ans après une demande de mise en conformité. Ils ont listé mardi soir neuf dispositions légales qui ne sont pas honorées selon eux.

Le Syndicat interprofessionnel des travailleurs et travailleurs (SIT) et le Syndicat des services publics (SSP) rappellent que l'Office cantonal d'inspection des relations du travail (OCIRT) avait pointé des violations il y a dix ans dans un audit.

Les deux syndicats ciblent désormais des planifications hebdomadaires qui dépassent les 50 heures et une annualisation des semaines de travail du lundi au dimanche. Ils dénoncent aussi des entorses sur le temps d'habillage, les pauses, le travail de nuit, les temps de repos ou encore des garanties de ne pas travailler 12 dimanches par an au moins.

Le SSP et le SIT estiment qu'il manque au moins 750 postes supplémentaires. Interrogé par Keystone-ATS, le service de presse des HUG a répondu ne pas pouvoir prendre position avant mercredi matin.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse Romande

Vaud: des milliers de manifestants contre les coupes budgétaires

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Le cortège des manifestants est parti de l'esplanade de Montbenon pour se diriger vers la place du Château à Lausanne. (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Plusieurs milliers de personnes se sont réunies mardi en fin de journée à Lausanne pour protester contre les coupes budgétaires prévues par le Conseil d'Etat vaudois. Le rassemblement clôturait une journée de mobilisation dans tout le canton.

"Profs au rabais, ça sent mauvais", "Salaire de misère, parapublic en colère", ou encore "Coupes sur l'avenir, problèmes à venir", proclamaient différentes banderoles des manifestants rassemblés dès 17h30 sur l'esplanade de Montbenon, au centre-ville. Peu après 18h00, le cortège s'est mis en marche en direction de la place du Château.

"Ces coupes budgétaires sont une atteinte à la dignité de notre travail, un manque de considération profond pour toutes les heures passées à enseigner, soigner, construire et secourir", a déclaré un syndicaliste lors des prises de parole. "Avec ce Conseil d'Etat, nous atteignons des sommets, surtout avec le silence radio avec lequel sont accueillies nos demandes de négociations", a renchéri une autre syndicaliste.

L'appel des syndicats à la mobilisation a été largement entendu. Plus d'un tiers des enseignants de l'école obligatoire étaient en grève, selon le Département de l'enseignement et de la formation professionnelle. Les gymnases, l'UNIL, les hôpitaux, les structures sociales, la police, ainsi que les milieux d'accueil de la petite enfance ont également suivi le mouvement.

Le projet de budget 2026 du gouvernement vaudois, présenté en septembre dernier, prévoit un déficit de 331 millions de francs, malgré un paquet d'économies de 305 millions. Bien que tous les domaines soient touchés, ces mesures impactent particulièrement les domaines de la santé, du social et de l'éducation.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Santé

Nestlé Waters peut continuer à commercialiser l'eau Perrier

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UFC-Que Choisir dénonçait "une vaste tromperie aux consommateurs" de la part de Nestlé Waters, qui a "eu recours à des traitements de désinfection interdits pour tenter, sans aucune garantie, d'endiguer des pollutions et contaminations bactériologiques régulières des eaux brutes (archives). (© KEYSTONE/AP/THOMAS PADILLA)

Le tribunal de Nanterre a rejeté la demande de l'association UFC-Que Choisir de retirer, rappeler et interdire la vente de l'eau gazeuse Perrier. La marque de Nestlé Waters, filiale du géant veveysan, est éclaboussée par un scandale de traitements interdits.

Le tribunal a rejeté les demandes d'UFC-Que Choisir et condamné l'association "aux dépens", d'après la décision obtenue par l'agence AWP mardi soir. Elle devra verser 5000 euros à Nestlé Waters et à deux filiales, dont celle qui exploite le site de production de Perrier à Vergèze dans le Gard.

Début juin, l'UFC-Que Choisir avait lancé une procédure en référé auprès du tribunal judiciaire de Nanterre.

Dans un communiqué publié mi-novembre sur son site, l'association dénonçait "une vaste tromperie aux consommateurs" de la part de la multinationale, qui a "eu recours à des traitements de désinfection interdits pour tenter, sans aucune garantie, d'endiguer des pollutions et contaminations bactériologiques régulières des eaux brutes que l'entreprise prélevait dans ses puits avant de les mettre en bouteille.

Pourtant, Nestlé Waters a continué de les estampiller 'eaux minérales naturelles', ce qu'elles n'étaient plus après ces traitements". L'organisation souligne qu'en "moyenne, une eau minérale naturelle est vendue 100 à 300 fois plus cher que l'eau du robinet".

Elle a également déposé une plainte devant le procureur de la République de Nanterre contre Nestlé Waters et les différents acteurs impliqués dans ce scandale. "Elle est toujours en cours d'examen", d'après l'UFC-Que Choisir.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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