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Suisse

Temenos étend son partenariat avec IBM dans le cloud

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Temenos s'est félicité d'une nouvelle étape franchie dans son partenariat avec le géant informatique IBM, qui utilisera pour sa plateforme de services financiers décentralisés une plateforme du groupe genevois. (archives) (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Le développeur de logiciels bancaires Temenos s'est félicité mercredi d'une nouvelle étape franchie dans son partenariat avec le géant informatique IBM, qui utilisera pour sa plateforme de services financiers décentralisés (cloud) une plateforme du groupe genevois.

"Avec Temenos Payments Hub, les banques peuvent rapidement mettre en oeuvre des services de paiements instantanés tels que FedNow, pour procéder ensuite à la modernisation progressive de leurs capacités de paiements", a souligné Ross Mallace, vice-président en charge des segments SaaS & Partner Ecosystem, cité dans n communiqué, signalant les "formidables opportunités de croissance" dans ce segment.

En répondant aux exigences de la multinationale new-yorkaise, Temenos devient la première solution de paiement sur IBM Cloud for Financial Services, ce qui la rend également "plus accessible au grand nombre d'institutions financières qui travaillent déjà avec IBM".

La plateforme développée par le groupe genevois couvre le cycle de vie complet des paiements, de la réception des ordres à la compensation et au règlement. Elle est aussi modulable à tous les types et formats de paiement, "aidant ainsi les banques à gagner en efficacité et à réduire leurs coûts", selon le communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Sport

Accidents de ski: 600 millions de francs de coûts matériels par an

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Lors de la dernière saison d’hiver, environ 14'000 personnes ont dû être prises en charge par les services de secours après un accident sur les pistes suisses (image d'illustration). (© KEYSTONE/Ti-Press/ALESSANDRO CRINARI)

Environ 63'000 personnes se blessent chaque hiver en pratiquant le ski ou le snowboard en Suisse. Ces accidents occasionnent en moyenne des coûts matériels à hauteur de 600 millions de francs par année, avertit mardi le Bureau de prévention des accidents (bpa).

Le nombre de blessés varie d’une année à l’autre, notamment en fonction des conditions d’enneigement et de la météo. Mais il baisse globalement depuis 2014, en raison du recul de la pratique du ski et du snowboard.

Lors de la dernière saison d’hiver, environ 14'000 personnes ont dû être prises en charge par les services de secours après un accident. Les skieurs ont le plus souvent été victimes de blessures au genou, les snowboardeurs au poignet.

Ces blessures pourraient être nettement réduites si des mesures adéquates étaient prises, souligne le bpa: l'organisme de prévention préconise, pour le ski, un réglage adéquat des fixations, contrôlé chaque année dans un magasin spécialisé, et, pour le snowboard, des protège-poignets conformes à la norme suisse.

Le bpa appelle aussi à respecter les règles de la Fédération internationale de ski (FIS) et de la Commission suisse pour la prévention des accidents sur les descentes pour sports de neige (SKUS) sur les pistes. Cela signifie notamment anticiper et skier "de manière défensive" à une vitesse adaptée, porter un casque et porter en plus une protection dorsale dans les snowparks.

Le ski occupe la troisième place des sports présentant le plus haut risque de blessures graves, et le snowboard se classe quatrième, avertit le bpa. Environ 6% des blessures sont considérées comme graves.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Sorties

Record de nuitées dans l'hôtellerie pour la saison estivale

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L'OFS note toutefois que les touristes asiatiques, et en particulier les Chinois, manquent encore à l'appel. (Archives) (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

L'hôtellerie suisse a enregistré 23,9 millions de nuitées de mai à octobre, soit le plus haut niveau jamais observé, selon l'OFS. Les touristes étrangers ont soutenu la demande, même si le nombre de Chinois en visite est encore largement inférieur à l'avant-pandémie.

Le nombre de nuitées hôtelières a augmenté de 6,3%, soit 1,4 million de plus sur un an, selon les résultats provisoires de l'Office fédéral de la statistique (OFS) publiés mardi. Tous les mois de la saison d'été ont affiché une croissance, s'échelonnant entre 2,4% en août et 13,6% en mai. Avant la pandémie, la saison touristique d'été avait totalisé 22,6 millions de nuitées en 2019.

La demande étrangère a augmenté de 17,2% (+1,8 million) générant 12,4 millions de nuitées. Le niveau des nuitées reste toutefois inférieur de 3% à 2019. De leur côté, les Suisses ont quelque peu boudé les destinations helvétiques, avec un recul de 3,4% à 11,5 millions de nuitées. C'est bien mieux qu'avant la pandémie (9,8 millions).

La clientèle asiatique a connu la plus forte augmentation absolue, grimpant de presque 50%, avec 2,7 millions de nuitées. Ce sont les hôtes de Chine (+269'000 ou +360,6%), de Corée du Sud (+149'000 ou +128,0%) et d'Inde (+138'000 ou +48,5%) qui ont affiché les plus fortes hausses. En revanche, le nombre de visiteurs des Pays du Golfe a reculé de 5%.

L'OFS note toutefois que "la demande asiatique reste encore inférieure à la saison d'été 2019 (-27,7%)", en particulier de la part des touristes chinois (-63,7%).

A l'inverse, la demande du continent américain a affiché un record, en gain d'un quart avec 2,6 millions de nuitées. Les Etats-Unis enregistrent la plus forte hausse absolue du continent (+412'000 nuitées), dépassant pour la première fois depuis 1985 le seuil symbolique des 2 millions de nuitées.

Quant à l'Europe, la demande a modestement progressé (+4,5%) atteignant 6,6 millions de nuitées. Le Royaume-Uni a servi de locomotive, avec 193'000 nuitées supplémentaires, suivi par la France (+27'000) et l'Espagne (+19'000). En revanche, les Allemands ont préféré d'autres destinations (-1,6%). La demande du continent européen est quand même supérieure de 2% à celle de 2019.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

Postfinance se donne du temps pour recruter son nouveau patron

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En attendant de trouver un nouveau CEO, Kurt Fuchs va temporairement diriger Postfinance. (Archives) (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

Le directeur financier de Postfinance, Kurt Fuchs, va temporairement succéder au directeur général sortant Hansruedi Köng qui lâchera les rênes de l'établissement financier fin février prochain.

L'entreprise espère pouvoir présenter au premier trimestre 2024 son futur patron.

Le bras financier de La Poste a expliqué mardi avoir "besoin de plus de temps que prévu initialement" pour trouver un nouveau dirigeant. "Nous cherchons la personne la mieux adaptée pour occuper ce poste et prenons le temps nécessaire à cet effet", a expliqué le président Marcel Bührer, cité dans un communiqué.

Postfinance avait annoncé début mars le départ de M. Köng, qui aura passé 21 ans au sein de la société, dont 12 ans en tant que directeur général. "Après deux décennies passées dans l'entreprise, il est temps pour moi de laisser place à la nouveauté", avait alors assuré le patron.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Environnement

Pêcher l’ADN plutôt que les poissons pour mesurer la biodiversité

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La méthode utilisant l'ADN laissé par les poissons dans les cours d'eau permet désormais de déterminer avec plus de précision les espèces présentes (archives). (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Identifier les espèces de poissons présentes dans une rivière à partir de l’ADN qu’ils y laissent: cette méthode a été testée avec succès sur 89 sites en Suisse. Elle s'est avérée plus fiable qu'une campagne de pêche électrique, selon une étude.

En se déplaçant, les poissons laissent derrière eux des fragments d’ADN, par exemple via leur peau ou leurs excréments. Ces traces, qui forment ce que l’on appelle l’ADN environnemental, permettent de déterminer avec précision les espèces présentes sans avoir besoin de les pêcher, a indiqué mardi le Fonds national suisse (FNS) dans un communiqué.

Professeur d’écologie aquatique à l’Université de Zurich et responsable d’un laboratoire à l’Institut de recherche sur l'eau Eawag, Florian Altermatt, responsable de l’étude, explique: "Par le passé, les inventaires de biodiversité dans les rivières étaient réalisés de manière ponctuelle, tous les cinq ans environ, ce qui est insuffisant pour un suivi correct".

De plus, ils se basaient uniquement sur l’identification morphologique des spécimens, généralement effectuée par pêche électrique. Néfaste pour les animaux, cette dernière n’est autorisée en Suisse que pour la recherche scientifique.

C'est pourquoi les spécialistes se tournent depuis une dizaine d'années vers l'ADN environnemental. Collecté et analysé grâce à des outils génétiques, il permet d’identifier les espèces auxquelles leurs propriétaires appartiennent. "Ces fragments indiquent la présence de telle ou telle espèce dans le milieu ou à proximité, par exemple en amont du site de prélèvement", illustre le chercheur.

Près de 90 sites étudiés en Suisse

Pour la première fois, Florian Altermatt et son équipe ont testé la méthode à grande échelle, dans 89 sites à travers toute la Suisse, de petites et de grandes rivières, ainsi que des ruisseaux. A chaque fois, les scientifiques y ont recueilli deux litres d’eau et en ont extrait l’ADN environnemental.

En comparant leurs trouvailles avec une importante base de données de séquences ADN de poissons, ils ont pu identifier les espèces auxquelles appartenaient les traces décelées dans l’eau. En comparant ensuite la liste des espèces identifiées avec la liste de toutes les espèces susceptibles de se trouver sur le site - elle-même établie à partir de relevés historiques sur trente ans -, ils ont pu estimer si la méthode était précise.

Au final, la technique s’est avérée concordante avec les données historiques et a permis de détecter une plus grande diversité d’espèces qu’une campagne de pêche électrique, notamment pour ce qui est des espèces vivant en amont du lieu de prélèvement. Ces travaux, soutenus par l’Office fédéral de l’environnement, ont été publiés dans le Canadian Journal of Fisheries and Aquatic Sciences.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

La démocratie suisse est en crise, selon Dick Marty

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Le Conseil fédéral hésite de moins en moins à recourir à des droits d'exception, selon l'ancien procureur tessinois Dick Marty (archives). (© KEYSTONE/LUKAS LEHMANN)

La démocratie en Suisse traverse sa crise la plus importante depuis le siècle dernier, selon l'ancien procureur tessinois Dick Marty. "On assiste à un déplacement du pouvoir vers l'exécutif, au détriment du législatif et du judiciaire", dit-il mardi dans la presse.

"La démocratie, ce n'est pas que la séparation des pouvoirs, c'est aussi un équilibre délicat entre eux", déclare l'ancien enquêteur spécial du Conseil de l'Europe dans Le Courrier et La Liberté. "Un peu partout, le système démocratique se dérègle en faveur du gouvernement, qui invoque de plus en plus le secret d'Etat et cache des informations au parlement et aux citoyens", dit-il.

Le Tessinois donne en exemple les contrats à hauteur de milliards de francs pour des vaccins conclus durant la pandémie. "Aucune information sur le sujet n'a été rendue publique, souligne-t-il. Or, un des principes cardinaux de la démocratie est justement la transparence".

Dick Marty estime en outre que le Conseil fédéral hésite de moins en moins à recourir à des droits d'exception. "Je trouve cela assez inquiétant, affirme-t-il. On assiste à un déplacement du pouvoir vers l'exécutif, au détriment du législatif, et de plus en plus, du judiciaire".

Fédéralisme à revoir

Le fédéralisme devrait à ses yeux être revu afin d'éviter un déplacement du pouvoir des cantons vers le gouvernement central. "Il y a trop de petits cantons, qui ne sont pas en mesure d'assumer des situations de crise", explique l'ancien procureur, qui s'attend à des crises toujours plus fréquentes. Des cantons plus grands avec davantage de moyens et de pouvoirs sont nécessaires, selon lui.

Dick Marty, qui a été mis sous protection policière en 2020, réitère en outre ses critiques vis-à-vis des autorités suisses. Elles ont protégé la cible que je constituais, mais n'ont même pas fait le minimum syndical pour poursuivre les malfrats, dit-il.

Le Tessinois, réputé pour ses enquêtes internationales, y compris sur le trafic d'organes au Kosovo, avait révélé en 2022 être menacé de mort par des "milieux des services de renseignements serbes". En avril, il a adressé de graves reproches au Département fédéral des affaires étrangères et au Ministère public de la confédération, disant ne pas comprendre pourquoi les autorités n'ont pas immédiatement poursuivi les criminels.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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