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Suisse

Le monde de demain: coup de jeune pour les appareils photos argentiques

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Une innovation suisse pour transformer vos vieux appareils photos argentiques, en appareils numériques. C’est le monde de demain…

Benoît RouchaleauLe monde de demain

A l’ère du smartphone, que l’on dégaine à tout va pour prendre des photos, les vieux appareils argentiques ont l’air tout droit sorti du paléolithique ou tout du moins d’être réservés aux plus passionnés des photographes, sauf qu’une startup Tessinoise a trouvé un moyen de les remettre au goût du jour. Elle a développé un adaptateur qui peut être monté sur 99% des appareils photo analogiques et ainsi transformer votre boitier 35 mm des années 50 à 90, en appareil photo hybride, opérationnel aussi bien avec des films, qu’en mode numérique. Le projet s’appelle “I’m Back”, comme pour permettre à vos vieux Nikon, Canon, Pentax, Olympus, Minolta, Leica et j’en passe de bénéficier d’un lifting. Et c’est peu de dire que l’idée séduit. La jeune pousse de Lugano tablait sur un financement participatif de 10 000 francs à l’origine, sa campagne de collecte a déjà permis de récolter plus de 472 000 francs.

Comment fait-on du neuf avec du vieux? 

L’accessoire que l’on connecte au dos de l’appareil dispose d’un capteur à puce qui permet d’enregistrer des photos aussi bien aux formats JPEG que RAW, mais comme si elles avaient été prises directement depuis l'appareil analogique. Mieux même, le logiciel intégré permet également de prendre des clichés en mode manuel pour vous laisser entièrement la main sur la vitesse d'obturation et l'ouverture du diaphragme. L'adaptateur comprend aussi un écran tactile de 2’’ et un microphone, histoire de le faire basculer complètement dans la modernité. À ce jour, près de 2000 pièces ont déjà été vendues. Et les premières livraisons sont prévues pour décembre prochain.

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  1. Notification automatique: Le monde de demain: une startup tessinoise rend “numériques” vos appareils photos argentiques | Republic of Innovation

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Suisse

Le soleil a brillé par son absence en mai

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Le mois de mai a été particulièrement pluvieux sur la partie centrale et orientale des versants nord des Alpes, ainsi que dans certaines parties des Grisons, comme ici à Weesen, sur les bords du lac de Walenstadt (archives). (© KEYSTONE/GIAN EHRENZELLER)

Après un mois d'avril frais et sec, le mois de mai s'est montré sombre et souvent pluvieux en Suisse. Pourtant, en dépit des apparences, les sommes de précipitations se sont inscrites dans la norme de ces trente dernières années, voire en-dessous.

Dans le sud-ouest de la Suisse, entre le lac de Neuchâtel et le Léman, les quantités de pluie ont souvent été inférieures de 50% par rapport à la norme. C'est ce qu'a indiqué mardi le service météorologique national Météosuisse dans son bulletin mensuel.

Des valeurs excédentaires ont été enregistrées surtout sur la partie centrale et orientale des versants nord des Alpes, ainsi que dans certaines parties des Grisons. Des précipitations inhabituellement fortes ont été enregistrées localement. Le 5 mai, 113 mm sont tombés en l'espace d'une journée sur le Napf. Il s'agit de la deuxième somme journalière la plus élevée depuis le début des mesures en 1978.

Dans l'ensemble, l'ensoleillement a été faible sur toute la Suisse du 8 au 20 mai, a poursuivi Météosuisse. La fin du mois a en revanche été marquée par une ambiance printanière, voire carrément estivale. Dès le 21 mai, l'ensoleillement a été plus généreux et les températures maximales journalières se sont élevées de 24 à 26 degrés, jusqu'à 27 degrés au Sud et près de 29 degrés en Valais.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Le National soutient le développement du réseau routier

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Le National est d'accord de débloquer des crédits pour développer le réseau routier suisse (archives). (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Le développement du réseau routier suisse doit aller de l'avant. Le National est entré en matière mardi sur les montants demandés par le Conseil fédéral pour les projets d'extension de l'étape d'aménagement 2023 et pour l'entretien des routes de 2024 à 2027.

Quelque 4 milliards de francs sont demandés pour cinq projets alémaniques. Le tronçon Wankdorf-Schönbühl (BE) doit être élargi à huit voies, contre six actuellement. Le tronçon de Schönbühl-Kirchberg (BE) doit lui passer de quatre à six voies. Les tunnels du Rosenberg (SG), du Rhin (BS/BL) et de Fäsenstaub (SH) doivent quant à eux être dédoublés.

Ces travaux doivent être réalisés d'ici 2030. L'économie et la population ont besoin de transports qui fonctionnent, autant dans les villes que dans les agglomérations ou à la campagne, a relevé le ministre des transports Albert Rösti.

La gauche et le PVL ne l'ont pas suivi. Ces derniers voulaient renvoyer le projet au gouvernement, demandant la prise en compte des objectifs de la Confédération en matière de politique environnementale, climatique et énergétique, ou au moins d'utiliser en premier lieu de manière plus efficace les capacités existantes.

Les routes nationales nécessitent par ailleurs un entretien constant et coûteux. Quelque 8,8 milliards sont demandés à cet effet pour la période 2024-2027. Ce crédit n'était pas disputé.

Le débat se poursuit.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Aimé Pouly veut rajeunir son image

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Aimé Pouly exploite trente boulangeries, exclusivement en Suisse romande. L'enseigne genevoise n'envisage pas de franchir la Sarine pour le moment (archives). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Le groupe de boulangeries Aimé Pouly a donné mardi le coup d'envoi de son opération de rajeunissement avec l'inauguration de son enseigne historique du quartier des Eaux-Vives à Genève. L'entreprise qui fait partie de la holding Swiss Food Group entend se concentrer sur l'activité de son réseau déjà en place et la Suisse romande.

"Notre priorité est de développer l'activité de nos boulangeries avec espace de restauration déjà existantes grâce aux travaux de rénovation", a expliqué à AWP Nicolas Boucault, directeur général de Swiss Food Group et d'Aimé Pouly, principale société de la holding.

Pour le seul site des Eaux-Vives, ouvert à la fin des années 1970 et dirigé alors par Madame Aimé Pouly, épouse du fondateur, le groupe vise une hausse du chiffre d'affaires de 20%.

"Il s'agit d'un ballon d'essai, nous procédons à des travaux plus légers dans notre boulangerie de Champel et nous comparerons les résultats en termes de fréquentation", a indiqué M. Boucault, qui reconnaît que l'enseigne souffrait d'une image quelque peu vétuste.

Aimé Pouly exploite trente boulangeries, exclusivement en Suisse romande. "Nous n'envisageons pas de franchir la Sarine pour le moment, car d'une part les habitudes culturelles y sont différentes, mais nous ferions également concurrence aux artisans qui distribuent notre produit Pain Paillasse", a expliqué le directeur général.

Prix relevés de 5%

Inflation oblige, le groupe a dû relever ses prix de 5%. "Tous les coûts ont augmenté, la farine, le beurre, l'électricité et les salaires", a énuméré M. Boucault, qui souligne cependant que les marges sont restées identiques. Quant au chiffre d'affaires, c'est un secret bien gardé. "En proportions, nous réalisons 95% du chiffre d'affaires du groupe et 90% de celui d'Aimé Pouly en Suisse", a-t-il précisé.

Pain Paillasse constitue un autre pilier de l'activité de Swiss Food Group, avec une centaine de points de vente en Suisse romande et environ 400 pour la Suisse alémanique et le Tessin. "Le principe est toujours le même, nous fournissons à l'artisan boulanger le mélange de farine et la méthode de fabrication", rappelle M. Boucault.

En Suisse, le mélange de farines est fourni par Groupe Minoteries, partenaire historique d'Aimé Pouly et historiquement investisseur de l'entreprise. Celui-ci s'est retiré financièrement mais reste un partenaire important, souligne le directeur général.

Le produit Pain Paillasse, emblématique du groupe, est désormais distribué dans 24 pays, dont plusieurs hors d'Europe: Etats-Unis, Egypte, Chili, Liban et Ouzbékistan. "Les Etats-Unis représentent environ 5% du chiffre d'affaires de Pain Paillasse, nous distribuons principalement dans la grande distribution haut de gamme", a expliqué M. Boucault, qui souligne que le potentiel y est considérable.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse

Le trafic revient à son niveau d'avant le Covid: record de bouchons

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L'arc lémanique figure parmi les points noirs du réseau routier (archives). (© KEYSTONE/DOMINIC FAVRE)

Le volume du trafic routier s'est amplifié l'an dernier pour revenir à son niveau d'avant la pandémie de Covid-19. Le nombre d'heures d'embouteillages atteint quant à lui des records.

Après une forte diminution en 2020, en raison de la pandémie de coronavirus, le trafic s'était nettement accru l'année suivante et la tendance s'est poursuivie en 2022, a indiqué mardi l'Office fédéral des routes (Ofrou). Le volume de trafic sur les routes nationales s'est ainsi inscrit en hausse de 6,7% l'an passé par rapport à 2021.

Au total, 29,3 millions de véhicules-kilomètres ont été parcourus, des valeurs retrouvant donc quasiment le niveau d'avant la pandémie, a précisé l'Ofrou.

Près de 40'000 heures de bouchons

Cette augmentation du trafic s'est accompagnée d'une hausse des embouteillages. Au total, la circulation a été ralentie pendant 39'863 heures, un chiffre de 22,7% plus élevé que l'année précédente et jamais atteint à ce jour, a souligné l'Ofrou.

C'est principalement autour des grandes villes que se sont concentrés ces engorgements, soit les agglomérations de Zurich, de Bâle, de Genève et de Berne. Plus de la moitié des heures d'embouteillage ont ainsi été recensées dans les régions de Zurich/Argovie, de Bâle, de Berne/Soleure, de Lucerne et du Tessin, ainsi que dans la région lémanique, a précisé l'Ofrou.

Plus de 85% de ces heures de bouchons sont dues à une surcharge du trafic. Ce pourcentage élevé montre que le réseau des routes nationales est tellement surchargé en de nombreux endroits qu'il suffit de légères perturbations de la fluidité du trafic pour que des embouteillages de longue durée se forment.

Cette situation entraîne un report du trafic sur le réseau routier cantonal et communal jugé "extrêmement problématique".

Améliorations examinées au Parlement

Les mesures de gestion du trafic existantes, notamment les installations d'harmonisation de la vitesse et les réaffectations temporaires de la bande d'arrêt d'urgence, s'avèrent insuffisantes. D'où l'importance de mettre en place ponctuellement des projets d'aménagement visant à éliminer les points noirs.

Les projets d'extension nécessaires sont mentionnés et hiérarchisés dans le programme de développement stratégique (Prodes) des routes nationales, a indiqué l'Ofrou. Actuellement en cours d'examen au Parlement, le Prodes ambitionne, d'ici à 2030, d'améliorer tant la fluidité du trafic que la compatibilité des autoroutes, essentiellement dans les agglomérations urbaines. Et de garantir la résilience du réseau.

Et de rappeler l'importance des routes nationales, qui ne représentent que 3% de la longueur totale du réseau routier, mais ont absorbé 41% du trafic routier l'an passé. En outre, plus de 70% du transport de marchandises s'est effectué sur ces voies.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

CEP: 14 membres et 5 millions pour enquêter sur Credit Suisse

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La CEP sur Credit Suisse comptera 14 membres et disposera d'un budget de 5 millions de francs (archives). (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA BELLA)

La commission d'enquête parlementaire (CEP) sur le rachat de Credit Suisse par UBS prend forme. Elle devrait compter 14 membres du Parlement. Elle aura un budget de cinq millions de francs. Le National devrait donner son feu vert la semaine prochaine.

La CEP est chargée d'enquêter sur la gestion au cours des dernières années par le Conseil fédéral, l'administration fédérale et d’autres organes ou personnes auxquels sont confiées des tâches de la Confédération, en rapport avec la fusion d'urgence de Credit Suisse avec UBS. Elle comptera 14 membres, annonce mardi un communiqué du bureau du Conseil national.

La commission se composera de sept membres du Conseil national et de sept membres du Conseil des États, propose le bureau. Elle fera rapport aux deux conseils sur les résultats de ses travaux et sur les responsabilités et les lacunes constatées sur le plan institutionnel. Elle devra aussi faire des propositions quant aux mesures à prendre.

Le mandat confié à la CEP est assorti d'un crédit d'engagement de 5 millions de francs. L'arrêté fédéral correspondant sera débattu au Conseil national le mercredi 7 juin, après que le Conseil fédéral aura donné son avis. Il sera ensuite soumis au Conseil des États, également au cours de la deuxième semaine de la session d'été, afin de permettre une éventuelle élimination des divergences durant la troisième semaine de session.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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