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Economie

La récolte de bois a légèrement augmenté en 2020

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Les entreprises suisses ont récolté plus de bois en 2020 (archives). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

La récolte de bois a atteint 4,8 millions de mètres cubes en 2020, soit 4% de plus que l'année précédente. La récolte "exceptionnelle" de 2018 n'est toutefois de loin pas atteinte.

A cause de la prolifération du bostryche, de la sécheresse estivale et des tempêtes hivernales, 5,2 millions de mètres cubes de bois avaient été récoltés en 2018, rappelle l'Office fédéral de la statistique (OFS) dans un communiqué. C'était la première fois depuis 2011 que la récolte dépassait la barre des 5 millions.

Davantage de feuillus plantés

La récolte de 2020 est elle supérieure de 1% à la moyenne des années précédentes. Les tendances observées depuis 2016 se sont poursuivies. La récolte de bois de résineux a augmenté de 8% pour atteindre 3,4 millions de m3, alors que celle de bois de feuillus a diminué de 3% pour s'inscrire à 1,4 million de m3.

Le bois déchiqueté n'a cessé de gagner en importance: 1,2 million de m3 a été transformé en copeaux (+5%). La récolte de bois d’énergie pour les bûches est elle passée de 750'000 à 700'000 m3 entre 2016 et 2020. Celle de grumes (2,3 millions de m3), s’est accrue de 5% l'an passé, après avoir fortement baissé en 2019.

La sylviculture repose sur la régénération naturelle des forêts, mais aussi sur des plantations ciblées. Les feuillus ont été plus souvent plantés, avant tout sur le Plateau, (+9%) que les résineux (-8%) en 2020, en raison des changements climatiques attendus et de leur meilleure résistance contre le bostryche.

Vaud parmi les plus actifs

Les cinq cantons qui ont récolté les plus grandes quantités de bois sont Berne (864'000 m3), Zurich (549'000 m3), Argovie (416'000 m3), Vaud (366'000 m3) et les Grisons (304'000 m3). Réunissant presque la moitié des surfaces forestières en Suisse, ils ont produit plus de 50% de toute la récolte.

Côté économique, les 660 entreprises forestières suisses ont enregistré des recettes de 525 millions de francs en 2020. Leurs dépenses se sont élevées à 569 millions de francs. Il en résulte un déficit de quelque 44 millions de francs, soit 5% de plus qu’en 2019.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

La propriété cartonne, la location plafonne

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Si l'accès à la propriété nécessite toujours plus de moyens, les prix de la location semblent avoir désormais atteint un rupteur. (archive) (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Les prix de l'immobilier résidentiel ont poursuivi leur inexorable ascension l'an dernier nonobstant un certain essoufflement sur la fin de la période. Les loyers proposés ont par contre calé, au terme de deux ans de forte inflation.

"Grâce à la nette baisse des coûts de financement et aux très bonnes perspectives de poursuite de la baisse des taux d'intérêt, la demande devrait continuer à augmenter au début de la nouvelle année et l'évolution des prix ainsi s'accélérer une fois encore," anticipe Fredy Hasenmaile, chef économiste de la coopérative bancaire saint-galloise Raiffeisen.

Sur les dix dernières années, les prix des maisons individuelles comme ceux des appartements en propriété par étage se sont étoffés de moitié. S'il était toujours vivace à l'échelle nationale en 2024, le phénomène s'est atténué dans les pôles urbains que constituent la région zurichoise (+3%) et surtout l'Arc lémanique (+1%).

Sur le front des locations, l'indice Swiss Real Estate Offer compilé par le Swiss Marketplace Group (SMG) et le cabinet Cifi constate une atténuation de 0,4%, subséquente toutefois d'un renchérissement cumulé de plus de 8% sur les exercices 2022 et 2023.

Les auteurs du rapport constatent en outre un resserrement du vaste éventail des prix proposés par régions, du fait d'un tassement dans les zones les plus chères comme Zurich (-3,1%) ou l'Arc lémanique (-0,8%) et d'une inflation dans les zones plus abordables.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

La BCE à la recherche du juste taux

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Après avoir ramené l'inflation à proximité de ses objectifs, le garant européen de la stabilité des prix peaufine la manoeuvre pour procéder à un atterrissage en douceur. (archive) (© KEYSTONE/DPA/FRANK RUMPENHORST)

L'économiste en chef de la Banque centrale européenne (BCE) a déclaré lundi qu'il importe d'adopter un "juste milieu" dans l'évolution des taux d'intérêt, afin de maîtriser l'inflation tout en préservant la croissance économique.

Depuis juin dernier, la BCE a réduit ses taux de 100 points de base, ramenant son principal taux directeur à 3,0% après une série de hausses sans précédent destinées à maîtriser l'envolée des prix, accentuée par la guerre en Ukraine.

Les marchés anticipent plus dans les mois à venir, mais il faut "s'assurer de trouver le juste milieu dans l'évolution des taux d'intérêt", affirme l'économiste en chef Philip Lane dans une interview au quotidien autrichien Der Standard publiée sur le site de la BCE.

L'inflation en zone euro a nettement diminué, passant d'un pic à 10% fin 2022 à 2,4% en décembre 2024, grâce notamment à une baisse des prix de l'énergie.

Cependant, pour atteindre durablement l'objectif de 2%, une nouvelle baisse de l'inflation des services, actuellement à 4%, sera nécessaire.

"Si les taux d'intérêt baissent trop rapidement, il sera difficile de maîtriser l'inflation dans les services", prévient M.Lane.

Mais les gardiens de l'euro ne souhaitent pas non plus maintenir les taux "trop élevés trop longtemps", au risque de faire chuter l'inflation globale bien en dessous de l'objectif, ce qui serait "également indésirable", prévient-il.

Il importe donc de trouver "une voie médiane" sur l'évolution du loyer de l'argent qui ne soit "ni trop agressive ni trop prudente", a-t-il ajouté.

Une autre priorité est de veiller à ce que l'économie, encore pénalisée par les taux élevés, ne croisse pas "trop lentement", car cela risquerait de stabiliser l'inflation "en dessous de l'objectif", selon M.Lane.

La BCE prévoit une croissance de 1,1% en zone euro cette année et de 1,4% en 2026.

Or, de tels taux de croissance faibles "représentent un défi majeur" et il serait "préférable que l'Europe croisse plus rapidement", selon l'économiste en chef.

Cependant, la BCE exclut pour l'instant le risque de récession dans la région, un scénario qui justifierait "une accélération spectaculaire de l'assouplissement monétaire", conclut-il.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Economie

Emploi: le chômage progresse en 2024, l'assurance résiste

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A 2,4%, le taux de chômage en 2024 demeure inférieur au seuil considéré conjoncturellement neutre de 2,8% (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La péjoration observée l'an dernier sur le front de l'emploi en Suisse est demeurée largement supportable pour l'assurance chômage, qui devrait boucler l'exercice sur un nouvel excédent de plus de 1,5 milliard de francs.

Le taux de chômage s'est toutefois enrobé à 2,4% en moyenne annuelle, atteignant même 2,8% en décembre. L'exercice 2023 avait représenté avec un taux moyen de 2,0% un plus bas sur plus de deux décennies.

Le taux de chômage en 2024 demeure inférieur au seuil considéré conjoncturellement neutre de 2,8%, observe le Secrétariat d'Etat à l'économie (Seco) dans son compte-rendu périodique vendredi.

2,8% en décembre

C'est toutefois très exactement ce niveau qui a été atteint sur le seul mois de décembre, suite à une augmentation d'une vingtaine de points de base en glissement séquentiel. Le nombre de chômeurs a ainsi enflé de près de 8% pour représenter 130'293 personnes, s'éloignant encore du creux à 104'518 personnes recensé en juin. Le taux de chômage des jeunes a progressé d'une dizaine de points de base à 2,7% et celui des seniors d'une vingtaine de points à 2,6%.

Les Offices régionaux de placement (ORP) ont enregistré un bond de 5,1% du nombre de demandeurs d'emploi, qui représentaient ainsi 209'024 personnes. Le taux de demandeurs d'emploi a ainsi progressé de 0,2 point de pourcentage à 4,5%.

Les ORP ont parallèlement pris connaissance de 30'422 postes vacants - pour près de moitié soumis à obligation d'annonce - soit 7,6% de moins qu'en novembre. Hors effet des variations saisonnières, les experts du Seco calculent néanmoins une progression de 2,0% du nombre de places à pourvoir.

Selon les dernières données disponibles, le nombre de personnes ayant épuisé leur droit aux indemnités s'est envolé d'un tiers sur un mois en octobre, à 614 personnes.

Vers un nouvel excédent pour l'assurance chômage

Les projections du Seco pour l'assurance chômage font état pour 2024 de recettes de 8,86 milliards de francs, contre 9,14 milliards un an plus tôt, ainsi que de dépenses de 7,31 milliards (6,38 milliards). L'excédent doit ainsi s'établir à 1,55 milliard, après un gain de 2,76 milliards en 2023.

L'augmentation de la dépense repose notamment sur un gros milliard de plus pour les indemnités chômage, à 5,48 milliards. Les dédommagements en cas de réduction de l'horaire de travail ont de leur côté explosé de moins de 200 millions à près de 600 millions.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

Le coût exceptionnel des catastrophes naturelles en 2024

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Les inondations à Valence, en Espagne, ont causé des pertes de 11 milliards de dollars, dont 4,2 milliards assurés (archives). (© KEYSTONE/EPA EFE/MANUEL BRUQUE)

Les catastrophes naturelles, aggravées par le dérèglement climatique, ont entraîné des pertes économiques exceptionnellement élevées l'an dernier, selon le réassureur Munich Re, pour qui il faut agir afin de "renforcer la capacité de résistance" des pays vulnérables.

L'évaluation du groupe allemand est très proche de celle présentée en décembre par Swiss Re, l'autre leader mondial de la réassurance.

Pour les réassureurs, 2024 se classe au 3e rang des années les plus coûteuses depuis 1980, estime Munich Re jeudi, avec des dommages assurés s'élevant à 140 milliards de dollars, quand Swiss Re avait évoqué 135 milliards.

Les pertes économiques totales se sont établies à 320 milliards de dollars, contre 268 milliards en 2023, calcule le groupe bavarois, soit une hausse de 19%, là où Swiss Re avait annoncé un montant de 310 milliards de dollars.

"La machine météorologique de notre planète passe à la vitesse supérieure", déclare dans l'étude Tobias Grimm, climatologue en chef du groupe. L'année 2024 est attendue comme la plus chaude à l'échelle mondiale.

"La communauté mondiale doit enfin agir et trouver des moyens de renforcer la capacité de résistance des pays particulièrement menacés", observe-t-il, alors que "les habitants des pays qui n'ont pas de protection d'assurance ou de soutien public pour les aider à se relever" paient un tribut particulièrement élevé.

Les montants des pertes dépassent largement les moyennes ajustées à l'inflation des 10 et 30 dernières années.

Les deux années les plus coûteuses pour le secteur de l'assurance furent 2005, marquée par l'ouragan Katrina à La Nouvelle-Orléans, et 2017, avec trois ouragans majeurs, Harvey, Irma et Maria.

Menace "presque partout"

L'année 2024 a été marquée par une "combinaison de grandes catastrophes rares, telles que des tremblements de terre et des ouragans, et d'événements plus fréquents, comme la grêle, les inondations localisées et les incendies de forêt", a expliqué à l'AFP Tobias Grimm.

"Ces phénomènes ont particulièrement augmenté en intensité et en fréquence au fil des ans", ajoute-t-il.

Les cyclones tropicaux à eux seuls ont contribué à des pertes totales de 135 milliards de dollars et à des pertes assurées de 52 milliards de dollars.

La majorité de ces pertes provenait de puissants ouragans aux États-Unis et notamment des ouragans Hélène et Milton qui ont frappé la Floride fin septembre et début octobre, causant à eux deux 41 milliards de dollars de pertes assurées.

En Europe, les inondations à Valence, en Espagne, ont causé des pertes de 11 milliards de dollars, dont 4,2 milliards assurés.

"Une étude d'attribution des inondations en Espagne a montré que le changement climatique a doublé la probabilité de subir de telles précipitations", selon M. Grimm.

En raison de l'eau de mer plus chaude, davantage d'humidité s'évapore, les nuages deviennent plus lourds et déversent plus de pluie. Cela renforce ainsi le risque d'inondation.

Les inondations ne sont donc "pas seulement une menace près des rivières, mais presque partout, même dans des régions plus connues pour leur sécheresse", souligne l'expert, qui cite en exemple l'aéroport de Dubaï, sous l'eau en avril.

Le cyclone Chido, qui a ravagé Mayotte en décembre, aurait été moins puissant sans le réchauffement climatique, selon une étude préliminaire.

11'000 morts

La prévention des extrêmes climatiques fonctionne mieux, faisant que plus de vies humaines que jadis sont sauvées.

Le bilan humain des catastrophes naturelles en 2024 reste toutefois lourd, avec quelque 11'000 personnes ayant perdu la vie.

Le plus lourd bilan est lié au typhon Yagi, qui a dévasté l'Asie du Sud-Est en septembre, causant 851 morts.

"Dans les pays en développement, le manque d'infrastructure et des réglementations de construction inadéquates amplifient les pertes humaines et matérielles", note M. Grimm.

Un autre problème est le manque de couverture d'assurance. A Mayotte, seuls 6% des particuliers disposent d'une assurance habitation.

Des assurances dites "paramétriques" peuvent aider à combler le fossé en matière d'assurance.

"Des paramètres définis, comme par exemple la force du vent, permettent une indemnisation rapide après une tempête, sans qu'il soit nécessaire de prouver les dommages individuels", explique M.Grimm. Ces solutions sont déjà utilisées par des pays insulaires ou des pays africains.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Economie

La BNS compte sur un bénéfice de 80 milliards de francs en 2024

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Grâce au bénéfice dégagé en 2024, la BNS va verser un milliard de francs à la Confédération et une somme de 2 milliards aux cantons (archives). (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

La Banque nationale suisse (BNS) clôturera l'exercice 2024 avec un bénéfice de l'ordre de 80 milliards de francs. Elle pourra renouer avec les distributions à la Confédération et aux cantons, pour un montant de 3 milliards de francs.

Les experts d'UBS ont visé juste, tablant début janvier sur un résultat net annuel entre 77,5 et 82,5 milliards. Le numéro un bancaire helvétique s'attendait aussi à des versements à la Confédération et aux cantons.

Les positions en monnaies étrangères de la BNS ont généré un gain d'environ 67 milliards de francs, selon les chiffres provisoires publiés jeudi par la gardienne du franc. Le stock d'or a, quant à lui, généré une plus-value de 21,2 milliards de francs.

A l'inverse, les positions en francs ont enregistré une perte de 7,4 milliards de francs. La dotation à la provision pour réserves monétaires s'élèvera à 11,6 milliards de francs. Après prise en compte de la réserve pour distributions futures négative de 53,2 milliards, le bénéfice porté au bilan s'établira à quelque 16 milliards de francs.

UBS expliquait au début du mois que la BNS doit compenser la perte de bilan de 53 milliards de francs de 2023 et attribuer une part de son bénéfice à la provision pour réserves monétaires, mais que le montant restant de 13 à 18 milliards devait suffire.

"Il est donc possible de procéder au versement d'un dividende de 15 francs par action, ce qui correspond au maximum prévu par la loi, ainsi qu'à la distribution d'un montant total de 3 milliards de francs à la Confédération et aux cantons", a ajouté la BNS.

Un milliard de francs reviendra à la Confédération et une somme de 2 milliards sera attribuée aux cantons. A l'issue de ces versements, la réserve pour distributions futures s'établira à environ 13 milliards de francs.

En 2023, la BNS avait enregistré une perte de 3,2 milliards de francs, privant la Confédération et les cantons de toute distribution. En 2022, la BNS s'était déjà abstenue de tout versement, quand en 2021, six milliards de francs avaient été redistribués à la Confédération et aux cantons.

Le rapport détaillé sur le résultat de l'exercice 2024, comprenant les chiffres définitifs, sera publié le 3 mars. Le rapport de gestion paraîtra le 18 mars.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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