Malgré un nombre d'accidents en hausse, la route a moins tué l'an dernier dans le canton de Vaud. Vingt-quatre personnes y ont perdu la vie, cinq de moins qu'en 2020.
Parmi ces décès figurent treize automobilistes, cinq motocyclistes, deux cyclistes et quatre piétons. La majorité des accidents mortels (14 sur 24) ont eu lieu sur des routes principales, indique jeudi la police cantonale vaudoise.
Si les décès sont en baisse, le nombre d'accidents s'est affiché à la hausse. La police en a recensé 4395 l'an dernier, une augmentation de 11,1% sur un an. Tant les accidents avec blessés graves (326 en tout, +13%) que légers (1327, +7%) sont en progression.
Les accidents avec dommages matériels (2718, +14%) ont également grimpé. Ceux-ci restent néanmoins inférieurs à la moyenne des dix dernières années, malgré l'augmentation du nombre de véhicules en circulation, précise la police.
Comme l'an dernier, l'inattention et la distraction au volant, en particulier à cause des smartphones, constituent les principales causes des accidents. C'est le cas notamment pour les accidents mortels (7 cas sur 24). L'influence de l'alcool (3 cas) et une vitesse inadaptée (3) sont aussi à l'origine de plusieurs décès sur les routes vaudoises.
Des campagnes de prévention, mais aussi des contrôles spécifiques seront organisés en 2022, prévient la police cantonale.
Plus d'accidents aussi à Lausanne
Pour la seule ville de Lausanne, le nombre d'accidents est reparti à la hausse après une année 2020 "historiquement basse". Au total, 1168 constats d'accidents ont été rédigés dans la capitale vaudoise. Cela représente une augmentation de 18,5% sur un an, tout en restant inférieur aux chiffres de 2019.
Deux accidents mortels ont eu lieu sur le territoire lausannois, comme l'an dernier. Les blessés graves sont en légère en diminution avec 62 cas, un de moins qu'en 2020.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
N’oubliez pas votre cabas si vous allez faire des courses ce week-end. L'opération Samedi du partage a commencé ce vendredi matin, les Genevois répondent présents.
Le Samedi du partage se tient vendredi et samedi. Les habitants du canton de Genève, du Grand Lausanne, du Nord vaudois, du Chablais vaudois sont appelés à se mobiliser afin de venir en aide aux personnes en difficulté. Car malheureusement, la situation ne cesse de se détériorer. La hausse des prix de l'alimentation mais aussi de l'électricité ou encore des primes d'assurance maladie n’arrange rien.
Reportage vendredi matin à la Migros du centre Balexert à Genève:
Reportage
Reportage
Reportage
En juin dernier, le Samedi du partage a permis de récolter 217 tonnes dans les cantons de Genève et Vaud.
Le Montreux Jazz Festival (MJF) se réinvente pour son édition 2024 hors les murs. Du 5 au 20 juillet, une scène "exceptionnelle" sera construite sur le lac en contrebas de la place du Marché. La manifestation fera aussi son retour au Casino et s'étendra sur les quais.
"C'est un changement majeur et un défi de taille que de devoir réinventer le festival en raison des travaux au Centre des congrès (2m2c)", a déclaré Mathieu Jaton devant la presse à Montreux. Parmi les postulats de base, cette 58e édition ne pouvait se dérouler ailleurs qu'à Montreux, a souligné le directeur du festival. "Comment aller ailleurs avec un terrain de jeu pareil, le lac, les montagnes et nombre de lieux historiques? C'est notre ADN, c'est ce qui fait que les artistes reviennent", a-t-il dit.
"Pour nous, il était également ultra important de maintenir les dates et la capacité d'accueil", a-t-il affirmé, rappelant que le MJF génère 80 millions de retombées économiques à la région et qu'il est fréquenté par 250'000 festivaliers.
Le MJF, qui a dû relocaliser les 15'000 m2 d'espaces qu'il utilise habituellement au 2m2c, va proposer un voyage complet dans la ville. Celui-ci commencera au Casino. "Nous allons renouer avec ce lieu chargé d'histoire que nous avons quitté il y a tout juste trente ans", a rappelé Mathieu Jaton. Il avait accueilli nombre de concerts mythiques dès 1967.
D'une capacité de 1300 personnes, la salle reflètera la liberté de programmation chère au créateur du festival Claude Nobs. S'y déploieront les musiques actuelles sous toutes leurs formes.
Lac fondamental
Parmi les autres évidences, le patron du festival a cité "le besoin d'une scène principale exceptionnelle qui puisse faire rêver artistes, agents et public", comme le fait habituellement l'auditorium Stravinski. Ainsi que de "rester impérativement au bord du lac, notre élément fondamental", a-t-il ajouté.
Une immense scène va ainsi voir le jour sur le Léman, au bas de la place du Marché. Basée sur l'expérience vécue en 2021 durant la pandémie de Covid-19, elle sera, cette fois-ci, d'une envergure beaucoup plus grande avec 36 mètres de large. Le site, doté d'une pente naturelle à côté du Marché couvert, pourra accueillir 5000 personnes, avec 600 places assises sur des gradins abrités.
Clins d'oeil historiques
En plus de ces deux scènes payantes, le Festival en comptera sept gratuites. La Super Bock Stage investira le Parc suisse, proche du débarcadère, qui sera aussi l'espace d'accueil officiel. Le prochain arrêt sera l'Eurotel, "né en 1967 comme le MJF". Ce lieu "très sixties" accueillera le Lisztomania, scène des tendances émergentes dans son ancienne piscine intérieure dotée de 450 places.
Le voyage se terminera dans une zone déjà bien connue, celle du Montreux Palace et des quais. Le public retrouvera La Lake House et ses différentes activités au Petit Palais. Enfin, à l'extérieur, de grandes terrasses accueilleront trois scènes festives et noctambules. La longueur des quais intégrée au projet 2024 sera doublée par rapport à 2023.
Autre nouveauté, des "pop-up" concerts organisés chaque jour donneront "une texture particulière" à cette édition. Ils investiront une série de lieux patrimoniaux de la ville, tel que le studio de Freddy Mercury, a cité en exemple Mathieu Jaton.
Collaboration étroite
Pour mener à bien cette édition spéciale, le MJF a collaboré étroitement avec les autorités de la ville, la Municipalité et les acteurs locaux, qu'ils soient hôteliers, commerçants, habitants ou artisans. L'accueil chaleureux rencontré par le projet a permis d'envisager l'extension du périmètre du Festival avec sérénité et d'intégrer les infrastructures existantes sur les quais.
Ce réaménagement aura forcément un coût, a admis Mathieu Jaton. Mais "nous essayons de rester dans un cadre budgétaire similaire aux années précédentes, soit entre 28 et 30 millions".
Steve Dupasquier fait partie des 200 concurrents qui vont participer au Mondial de la fondue. Ce fromager fribourgeois d'origine, possède un magasin à Genève. Cet évènement est pour lui avant tout festif mais offre aussi une belle vitrine pour ses produits.
C’est sans doute l’un des événements les plus festifs de l’année!
La quatrième édition du Mondial de fondue se tient dès vendredi et jusqu’à dimanche à Tartegnin dans le canton de Vaud.
Plus de 200 concurrents, amateurs et professionnels, seront en lice. Ils devront préparer des fondues composées d'au moins 50% de Gruyère AOP.
Et pour la première fois, le mondial aura des accents exotiques, avec des équipes venant du Brésil et du Québec.
Plus proche de nous, plusieurs Genevois seront présents dont Steve Dupasquier. Ce fromager fribourgeois d'origine, possède un magasin à Genève, il va proposer deux fondues: une moitié-moitié classique et une aux truffes fribourgeoises.
Il nous présente son activité:
Steve Dupasquier
Fromager et participant au Mondial de la fondue
Steve DupasquierFromager et participant au Mondial de la fondue
Steve DupasquierFromager et participant au Mondial de la fondue
Quels sont ses secrets pour réussir une fondue?:
Steve Dupasquier
Fromager et participant au Mondial de la fondue
Steve DupasquierFromager et participant au Mondial de la fondue
Steve DupasquierFromager et participant au Mondial de la fondue
C’est la deuxième fois que Steve participe au Mondial de la Fondue, il sait donc déjà comment cela va se passer:
Steve Dupasquier
Fromager et participant au Mondial de la fondue
Steve DupasquierFromager et participant au Mondial de la fondue
Steve DupasquierFromager et participant au Mondial de la fondue
12 000 visiteurs sont attendus au Mondial de la Fondue et 6 000 caquelons devraient être servis.
Le retour de la Nuit de la Glisse, c’est ce dimanche à Genève avec des documentaires à voir sur écran géant.
Les fans de sports extrêmes ont forcément coché la case dans leur agenda.
Ce dimanche 19 novembre, ils ont rendez-vous pour la nuit de la glisse à l'Arena de Genève.
Avec au programme, des films à découvrir comme celui de Maxime Chabloz, champion du monde de Freeride, qui présentera “Petit Suisse”.
Et puis “Human X” du réalisateur Thierry Donard. Un documentaire qui sera projeté sur un écran de plus de 24 mètres pour une immersion totale. Thierry Donard raconte quatre histoires avec neuf athlètes. Des images époustouflantes en surf, snowboard, ski, parapente, VTT ou wingsuit.
De quoi faire sursauter les âmes les plus sensibles. Mais au-delà des images, le réalisateur veut aussi faire passer un message sur la résilience sportive face aux enjeux climatiques.
Thierry Donard:
Thierry Donard
Thierry Donard
Thierry Donard
Et pour avoir des images spectaculaires, Thierry Donard a placé la barre haut:
Les écrevisses endémiques du Léman sont en danger, elles sont menacées par des espèces invasives depuis près de 50 ans. Pour en savoir plus, un webinaire est organisé par l'ASL, l'association pour la sauvegarde du Léman.
Vous en avez forcément vu une fois: des écrevisses dans le Léman.
Sachez qu’il y a de fortes chances, qu’il s'agisse d’espèces invasives, appelées “signales” ou “américaines” venues d’outre-Atlantique. Des animaux arrivés dans les années septante et qui ont quasiment éradiqué les écrevisses endémiques, dites “à pattes blanches”. Ces dernières se sont alors réfugiées dans les petits cours d’eau.
Pour en savoir plus sur ce sujet, l'association pour la sauvegarde du Léman organise lundi 13 novembre, un webinaire avec un spécialiste: David Bippus, collaborateur scientifique à La Maison de la Rivière.
Quels dangers représentent les écrevisses “signales” ou “américaines” ?
David Bippus
Collaborateur scientifique à La Maison de la Rivière
David BippusCollaborateur scientifique à La Maison de la Rivière
David BippusCollaborateur scientifique à La Maison de la Rivière
Quelles sont les solutions pour s’en débarrasser?
David Bippus
Collaborateur scientifique à La Maison de la Rivière
David BippusCollaborateur scientifique à La Maison de la Rivière
David BippusCollaborateur scientifique à La Maison de la Rivière
Comment fait-on pour différencier les espèces?
David Bippus
Collaborateur scientifique à La Maison de la Rivière
David BippusCollaborateur scientifique à La Maison de la Rivière
David BippusCollaborateur scientifique à La Maison de la Rivière
Si vous voulez participer au webinaire, il faut simplement vous inscrire.