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Revue de presse de ce dimanche 10 février 2019

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Pour introduire rapidement le nouveau standard 5G dans la téléphonie mobile, des milliers d'antennes supplémentaires devraient être installées en Suisse (archives). (©KEYSTONE/PPR/ALADIN KLIEBER)

Profils ADN enregistrés par les polices de Suisse, téléphonie 5G et accord-cadre avec l'UE, Brexit sont quelques-uns des sujets abordés par la presse dominicale:

Le Matin Dimanche: Un peu plus de 191'600 personnes ont leur profil ADN stocké dans une banque de données gérée par la police fédérale (fedpol) en Suisse, rapporte Le Matin Dimanche. En 2001, à la fin de sa première année d'existence, la banque de données CODIS n'abritait que 1854 profils. En 2008, ils sont passés à 104'625 et à 191'000 à la fin 2017, soit une hausse de 83%. Face à cette explosion de profils enregistrés, certaines polices cantonales sont soupçonnées d'ordonner "de façon routinière des analyses ADN qui ne respectent pas les bases légales et qui sont disproportionnées", écrit le dernier rapport du Contrôle parlementaire de l'administration. Ce dernier pointe des prélèvements "à l'excès", "même pour des délits mineurs". Son rapport est attendu au premier trimestre 2019.

NZZ am Sonntag: Une introduction rapide de la téléphonie 5G est menacée en Suisse en raison notamment de la réglementation stricte en matière de radioprotection, écrit la NZZ am Sonntag. "Nous partons du principe qu'il faudra construire environ 15'000 antennes supplémentaires sans modification de la limite de transmission", soit doubler le réseau actuel, indique dans le journal le directeur de l'association suisse des télécommunications, Christian Grasser. Les installations existantes ont atteint leur limite de performance, en raison de la forte hausse de la consommation de données mobiles. "Environ deux tiers de tous les sites en Suisse et plus de 90% des sites dans les villes et les agglomérations ne disposent pas de réserve suffisante pour utiliser la 5G de manière performante, ajoute M. Grasser. Il doute également qu'il soit possible d'installer de nouvelles antennes dans un délai raisonnable.

Cours de langue à l'étranger pour les chômeurs

SonntagsZeitung: L'ancien président de la cour de l'AELE, Carl Baudenbacher, a rédigé un avis juridique très critique sur l'accord institutionnel entre la Suisse et l'Union européenne (UE) pour la commission de l'économie et des redevances du Conseil national. Selon lui, "la Suisse se soumet au tribunal de l'autre partie, ce qui manque d'impartialité". Le tribunal arbitral, prévu par l'accord en cas de litige entre les deux parties et présenté par le Conseil fédéral comme une concession de Bruxelles, est sans valeur, ajoute-t-il. L'accord-cadre affaiblit en outre la position de la Suisse dans les négociations futures, estime M. Baudenbacher. D'un point de vue juridique, il s'agit, poursuit-il, d'un bricolage inadmissible d'une procédure développée pour des candidats à l'adhésion à l'UE, pour un pays comme le Royaume-Uni désirant quitter l'UE ou pour un pays comme la Suisse n'ayant pas l'intention de rejoindre celle-ci. M. Baudenbacher avait déjà martelé son opposition à l'accord-cadre lors d'une audition de trois heures, menée par la commission de politique extérieure du National en janvier.

Zentralschweiz am Sonntag/Ostschweiz am Sonntag: La Suisse est bien préparée sur le plan légal à la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne (UE), affirme dans Zentralschweiz am Sonntag et Ostschweiz am Sonntag l'ambassadeur de Suisse en Grande-Bretagne, Alexandre Fasel. "Nous avons été le premier pays à régler les relations post-Brexit avec le Royaume-Uni", ajoute-t-il, assurant que les bases juridiques des relations entre les deux pays sont sûres. Les accords avec le gouvernement britannique indiquent clairement qu'il n'y a aucun changement pour les ressortissants suisses basés au Royaume-Uni, selon lui. Le diplomate ne voit par ailleurs aucune tendance montrant une perte d'attractivité du pays pour les Suisses.

SonntagsBlick: Les offices régionaux de placements proposent des cours de langue à l'étranger pour les chômeurs, relate le SonntagsBlick. Le Secrétariat d'Etat à l'économie (SECO) a ainsi passé un contrat d'environ 1,7 million de francs avec une école de langue à Berlin. Le coût atteint 5900 francs pour participant. Les candidats au diplôme doivent tout de même payer 1600 francs de leur poche. Cette offre s'adresse à des personnes particulièrement bien formées, qui ont déjà des connaissances en allemand et qui peuvent partir trois mois à l'étranger, a expliqué au journal un porte-parole du SECO. L'avantage de tels cours est que les participants suivent des cours intensifs et qu'ils sont confrontés à la langue dans la vie quotidienne, a-t-il ajouté.

Pots-de-vin à des médecins

NZZ am Sonntag: Un nombre record de sans-papiers ont reçu un permis de séjour l'an dernier en Suisse, affirme la NZZ am Sonntag, qui se réfère à des chiffres du Secrétariat d'Etat aux migrations (SEM). La Confédération helvétique et les cantons ont approuvé 840 demandes pour cas de rigueur, 716 concernant des sans-papiers et 124 des requérants d'asile déboutés. Il s'agit du chiffre le plus élevé des dix dernières années, en hausse de près de 20% par rapport à l'année précédente. La plupart des sans-papiers ont obtenu un permis de séjour dans les cantons de Genève et de Vaud en 2018.

NZZ am Sonntag: Des médecins sont à nouveau pointés du doigt pour leurs pratiques douteuses. Cette fois-ci, c'est la NZZ am Sonntag qui rapporte plusieurs cas de pots-de-vin de laboratoires versés à des praticiens de la médecine à Genève. Dans l'une de ces affaires, un médecin recevait un remboursement de 10% du chiffre d'affaires lorsqu'il passait des commandes annuelles de 166'000 francs. Les rétrocessions ne sont autorisées que si elles sont accordées aux patients sous forme de rabais, expliquent dans le journal des experts. L'association faîtière des caisses maladie de Suisse, Santésuisse, estime à quelque dix millions de francs le montant payé par les assurés pour de tels contrats.

Source ATS

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Sport

Soirée cruciale pour le LS et Yverdon

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L'entraîneur du LS Ludovic Magnin, ici lors de la demi-finale de la Coupe de Suisse perdue contre Bâle, retrouvera les Rhénans mercredi à Lausanne en Championnat. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Les deux matches de l'antépénultième journée de Super League, mercredi soir, vaudront leur pesant de suspense pour les clubs vaudois.

Avant-dernier, Yverdon ira jouer une partie capitale à Zurich contre "la lanterne rouge", GC.

Quant au Lausanne-Sport, il aura une revanche à prendre, à domicile, face à Bâle. Les Rhénans avaient éliminé le LS en demi-finale de la Coupe de Suisse (3-2 ap). Assurés d'être champions, ils ne jetteront peut-être pas toutes leurs forces dans la bataille mercredi soir (20h30) à la Tuilière, face à des Lausanne toujours en course pour accrocher une des trois places restantes donnant accès aux Coupes d'Europe.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Gaza: "Allez-vous agir pour empêcher un génocide?" (ONU)

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Selon le chef des opérations humanitaires de l'ONU, Israël impose délibérément et sans la moindre gêne des conditions inhumaines aux civils de Gaza (archives). (© KEYSTONE/AP/MOHAMMAD ABU SAMRA)

"Allez-vous agir, de façon décisive, pour empêcher un génocide" à Gaza?, a lancé mardi le chef des opérations humanitaires de l'ONU aux membres du Conseil de sécurité. Selon lui, les conditions imposées par Israël dans le territoire palestinien sont "inhumaines".

"Israël impose délibérément et sans la moindre gêne des conditions inhumaines aux civils du territoire palestinien occupé", a décrit Tom Fletcher dans un discours choc et sans concession visant Israël mais aussi le Conseil de sécurité.

"Je peux vous dire, pour avoir visité moi-même ce qui reste du système de santé de Gaza [avant la fin du cessez-le-feu, ndlr] que la mort à cette échelle à un son et une odeur qui ne vous quittent pas, comme une infirmière l'a décrit: 'Des enfants qui crient pendant qu'on arrache le tissu brûlé de leur peau'".

"Nous avons informé ce conseil en détail sur le mal fait de façon extensive aux civils dont nous sommes témoins chaque jour: mort, blessure, destruction, faim, maladie, torture, autres traitements cruels, inhumains ou dégradants, déplacements répétés à large échelle", a-t-il ajouté. "Nous avons décrit l'obstruction délibérée des opérations humanitaires et le démantèlement systématique de la vie des Palestiniens et de ce qu'il en reste à Gaza".

"Pour les morts et ceux dont les voix sont réduites au silence, de quelles preuves supplémentaires avez-vous besoin? Allez-vous agir, de façon décisive, pour empêcher un génocide et assurer le respect du droit humanitaire international ou direz-vous à la place: 'Nous avons fait tout ce que nous avons pu'?".

"Faim" comme "monnaie d'échange"

La Cour internationale de justice est saisie d'une accusation de génocide contre Israël, "mais ce sera trop tard", a-t-il prévenu. "Pour ceux qui ne survivront pas à ce qui, nous le craignons, se profile à la vue de tous, ce ne sera pas une consolation de savoir que les générations futures nous tiendrons nous, dans cette salle, pour responsables", a-t-il encore lancé.

Après 18 mois de guerre entre Israël et le Hamas, provoquée par l'attaque du mouvement palestinien contre Israël le 7 octobre 2023, le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a annoncé que l'armée entrerait "avec toute [sa] force" dans les jours à venir dans la bande de Gaza dévastée et assiégée.

Après deux mois de blocage de l'entrée de l'aide humanitaire, le territoire est confronté "à un risque critique de famine", selon le rapport IPC (cadre Intégré de classification de la sécurité alimentaire), publié lundi.

Dans ce contexte, Tom Fletcher a une nouvelle fois rejeté les propositions pour réautoriser l'entrée de l'aide avancées par Israël depuis quelques semaines et reprises en partie, selon des sources diplomatiques, par le projet américain de création d'une fondation pour prendre en charge cette aide humanitaire.

"Cela fait de la faim une monnaie d'échange. C'est un spectacle cynique, une distraction délibérée, un prétexte pour plus de violence et de déplacements", a-t-il dénoncé.

Principes humanitaires

Le système, dont les détails n'ont pas été rendus publics et au sujet duquel des responsables de l'ONU ont rencontré "12 fois et encore aujourd'hui" les autorités israéliennes, "exclut quasiment de nombreuses personnes y compris handicapés, femmes, enfants, personnes âgées et blessées", a-t-il assuré.

"Nous sommes très inquiets concernant les propositions d'établir un nouveau mécanisme pour la fourniture de l'aide, qui, selon l'ONU, ne respecte pas les principes humanitaires", ont également estimé dans une déclaration commune cinq membres européens du Conseil de sécurité (France, Royaume-Uni, Slovénie, Grèce, Danemark). "L'aide humanitaire ne doit jamais être utilisée comme outil politique ou tactique militaire".

L'ambassadeur israélien à l'ONU, Danny Danon, a rejeté des accusations "sans fondement et scandaleuses" contre son pays.

"L'ONU veut préserver le cadre humanitaire qui sert le Hamas, un système qui nourrit les terroristes pendant que les civils et les otages meurent de faim", a-t-il ajouté.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Sur TF1, Macron réinvestit tous azimuts la politique française

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L'intervention d'Emmanuel Macron sur TF1 a duré plus de trois heures. (© KEYSTONE/EPA/LUDOVIC MARIN / POOL)

Le président français Emmanuel Macron a longuement abordé, mardi sur la chaîne télévisée TF1, de nombreux aspects de la politique française. Il a évoqué des pistes de référendums, tout en défendant âprement son bilan, notamment la réforme des retraites.

Pendant plus de trois heures, répondant au journaliste Gilles Bouleau et à plusieurs intervenants, le chef de l'État a semblé tourner une page mardi soir. Il a esquissé quelques pistes, prônant notamment la tenue "dans les prochaines semaines d'une "conférence sociale".

Le "financement de notre modèle social" repose "beaucoup trop sur le travail", a jugé M. Macron, qui souhaite également l'ouverture d'une "négociation sociale" sur "la qualité" et "l'évolution des formes de travail".

Attendu sur le sujet, Emmanuel Macron a expliqué "ne rien s'interdire" en matière de référendum, sans pour autant annoncer de projet arrêté de consultation des Français.

"Je souhaite qu'on puisse organiser une consultation multiple, c'est-à-dire un référendum, plusieurs référendums dans les mois qui viennent", a-t-il précisé, évoquant notamment la question des temps scolaires ou encore celle de l'accès aux réseaux sociaux pour les moins de quinze ans.

Politique fiscale et retraites

Interrogé sur la fin de vie, après un témoignage de l'ancien journaliste Charles Biétry atteint de la maladie de Charcot, il a dit souhaiter que la loi en cours d'examen "soit votée" au Parlement. Mais sans exclure d'en appeler aux Français en cas de désaccord entre les deux chambres.

Il a également répondu "pourquoi pas" à l'idée de référendum sur les finances publiques prônée par François Bayrou, dont il attend cependant encore "le plan". Il a en revanche rejeté l'hypothèse d'un référendum sur les questions d'immigration, hors cadre de la constitution, malgré les demandes répétées de la droite et de l'extrême droite.

Pour le reste, le président a longuement défendu son bilan économique et social, de sa politique fiscale menée dès 2017 à la réforme des retraites adoptée sans vote par l'article 49.3, un an après sa réélection. Pas question pour lui d'accepter un référendum sur cette réforme, comme le lui a suggéré la secrétaire générale du syndicat CGT, Sophie Binet.

Insécurité et immigration

M. Macron a rappelé avoir été réélu en prônant une réforme des retraites. "En face de vous, vous aviez l'extrême droite. Même moi j'ai voté pour vous", lui a rétorqué Mme Binet.

Confronté au maire de Béziers Robert Ménard sur les questions d'insécurité et d'immigration, M. Macron a dit vouloir une loi étendant les pouvoirs des polices municipales.

Il s'est également dit favorable à une participation des détenus à leurs frais de détention, idée défendue par le garde des Sceaux Gérald Darmanin, et à la location, "si besoin était", de places de prison à l'étranger. Tout comme il a opiné en faveur de l'interdiction des mariages si un futur époux réside de façon irrégulière en France.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Microsoft restructure, milliers de licenciements

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Moins de 6000 personnes sont touchées par les coupes, selon Microsoft (image prétexte). (© KEYSTONE/AP/Jason Redmond)

Microsoft va procéder à une nouvelle vague de licenciements, dans le but notamment de simplifier sa structure hiérarchique, a indiqué mardi l'entreprise à l'AFP.

Le groupe n'a pas précisé le nombre d'employés affectés. Une source proche du dossier a indiqué que ce plan social portait sur "moins de 3%" des effectifs du groupe, soit environ 6000 personnes. Microsoft comptait 228'000 employés à la clôture de son exercice comptable décalé, fin juin 2024.

"Même lorsque la conjoncture est favorable, nous ajustons régulièrement nos effectifs pour faire face aux exigences stratégiques de notre activité", a expliqué la société. Un avis légal envoyé aux autorités de l'Etat du Washington, où se trouve le siège de Microsoft, mentionne la disparition prévue de 1985 postes à partir du 12 juillet.

Ce chiffre ne comprend pas les licenciements concernant d'autres régions américaines ou d'autres pays d'implantation du groupe. "Nous gagnons en agilité en réduisant les échelons" hiérarchiques, a précisé Microsoft qui, selon plusieurs médias, s'était déjà séparé d'environ 2000 salariés depuis le début de l'année.

"Nouvelles technologies"

Début 2023, l'entreprise de Redmond (Etat du Washington) avait licencié environ 10'000 personnes, une décision présentée comme un contrecoup à l'accélération des dépenses informatiques lors de la pandémie de coronavirus.

"Nous continuons à effectuer des changements organisationnels afin de positionner au mieux la société pour réussir sur un marché en mouvement", a dit une porte-parole. Le directeur général Satya Nadella a révélé fin avril, lors d'un échange public avec le PDG de Meta Mark Zuckerberg, que 20% à 30% du code informatique produit par Microsoft était désormais généré par l'IA.

"Nous allons permettre aux employés de passer plus de temps à des tâches utiles grâce au déploiement de nouvelles technologies et fonctionnalités", a décrit Microsoft, mardi. Le conglomérat informatique, présent dans les logiciels mais aussi l'informatique à distance et les équipements, a publié, fin avril, des résultats supérieurs aux attentes et a assuré que la demande de services et de capacités liés à l'IA était toujours soutenue.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Suisse

Personne ne devine la bonne combinaison de l’Euro Millions

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La loterie transnationale Euro Millions est proposée dans douze pays européens, dont la Suisse. (© Keystone/SALVATORE DI NOLFI)

Personne n'a trouvé la combinaison gagnante à l'Euro Millions mardi soir. Pour gagner, il fallait jouer les numéros 9, 19, 44, 47 et 50 et les étoiles 2 et 9.

Lors du prochain tirage vendredi, 145 millions de francs seront en jeu, indique la Loterie Romande. Cette loterie transnationale est proposée dans douze pays européens, dont la Suisse et le Liechtenstein.

https://jeux.loro.ch/games/euromillions

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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