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Première femme élue aux Etats en Valais

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La nouvelle élue valaisanne au Conseil des Etats Marianne Maret (PDC) avec son principal concurrent Mathias Reynard (PS) qui n'a pas réussi à ravir l'un des deux sièges PDC à la Chambre des cantons. (©Keystone/OLIVIER MAIRE)

Première historique en Valais dimanche: une femme a été élue au Conseil des Etats. La démocrate-chrétienne Marianne Maret est arrivée deuxième après son colistier Beat Rieder (PDC), dont la réélection ne faisait aucun pli.

Favorite bien que chahutée par la gauche, Marianne Maret est parvenue à s'asseoir dans l'un des deux fauteuils valaisans au Conseil des Etats, en main du PDC depuis plus d'un siècle et demi. Elle a récolté 48'402 voix durant ce deuxième tour de scrutin, devançant son principal concurrent, le socialiste Mathias Reynard, de 1370 voix.

La Chablaisienne de 61 ans s'assiéra dans le fauteuil laissé vacant par Jean-René Fournier (PDC), qui ne s'est pas représenté. Elle a fait un carton dans le Haut-Valais, récoltant 22'654 voix, soit près de la moitié de son score total.

Dans le Valais romand en revanche, Marianne Maret recueille 25'748 voix et se retrouve largement derrière Mathias Reynard, qui en engrange 42'550. Dans les villes, la démocrate-chrétienne cède aussi le pas: à Sion et Sierre, elle est quatrième derrière Mathias Reynard, Brigitte Wolf et Beat Rieder. A Martigny et Monthey, elle est troisième derrière Mathias Reynard et Brigitte Wolf.

Le poids du Haut-Valais

La partie germanophone du canton a donc pesé de tout son poids dans l'issue de cette élection. Interrogée par Keystone-ATS, Marianne Maret a confié ne pas encore réaliser être élue. "On savait que ce serait serré. J'ai gagné dans le Haut-Valais comme au premier tour, mais je veux tout de suite dire que le Valais est un seul canton".

"Est-ce acceptable que le Haut-Valais impose au canton ses deux conseillers aux Etats", s'est interrogé Barbara Lanthemann, présidente du PS du Valais romand, sur le plateau de la télévision cantonale Canal 9.

Voix PLR et féminines

Marianne Maret a bénéficié d'un resserrement des rangs d'un PDC malmené dans la course au Conseil national (perte d'un siège). Elle a aussi profité d'un apport de voix du PLR, qui a retiré son candidat Philippe Nantermod de la course sans toutefois donner de consigne de vote, et de l'UDC du Haut-Valais.

La nouvelle sénatrice, qui n'a jamais siégé à Berne, n'a pas fait les frais de l'annonce de Pascal Couchepin: l'ancien conseiller fédéral avait fait sensation durant l'assemblée extraordinaire du PLR valaisan en déclarant donner sa voix au socialiste Mathias Reynard.

Quant à l'effet femme sur la victoire de Marianne Maret, il est difficile à mesurer. Solidarité Femmes avait appelé à voter pour la démocrate-chrétienne et pour la Verte Brigitte Wolf, et le Collectif Femmes Valais, organisateur de la grève des femmes, n'avait pas pris position.

Mathias Reynard échoue

Sans surprise, le sortant Beat Rieder a été réélu. Le sénateur haut-valaisan a récolté 52'355 voix et entamera en décembre sa deuxième législature à la Chambre des cantons. Il a fait toute la course de ce deuxième tour en tête. Il n'était contesté par aucun parti.

Avec 47'032 voix, Mathias Reynard (PS) ne réussit pas à mettre fin à l'hégémonie du PDC à la Chambre haute. Bien que premier dans la partie francophone du canton et dans les villes du Valais romand, le conseiller national ne parvient pas à se hisser à la deuxième place. Il a aussi remporté la mise dans des bastions du PDC comme Collombey-Muraz, et dans la commune de Troistorrents que Marianne Maret a présidée.

Mathias Reynard avait des sentiments partagés à l'issue du scrutin: il s'est réjoui de son "résultat sensationnel dans le Valais romand", mais s'est dit déçu et un peu frustré pour lui et la partie francophone du canton d'avoir échoué à 1370 petites voix de Marianne Maret.

Sa colistière, la Verte Brigitte Wolf, obtient 31'411 voix. L'UDC Cyrille Fauchère ferme la marche avec 14'227 voix.

Participation en baisse

La participation a atteint 50,43 %. C'est mieux qu'en 2015 (46,21%) mais moins bien qu'au premier tour (55,01%).

Elle est plus haute dans le Haut-Valais (55,21%) que dans le Valais central (52,82%). Le Bas-Valais enregistre une participation beaucoup plus basse avec 44,01%.

Le calendrier pour ce deuxième tour de scrutin n'était pas favorable: deux semaines seulement entre les deux tours, dont une de vacances dans le Valais romand, et un jour férié.

Source: ATS

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la journée finit bien

VIDEO - Œufs et bien-être des poules : connaître les bons gestes

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Crédit KEYSTONE/ENNIO LEANZA

Près de 70'000 ménages en Suisse détiennent des poules à titre privé et la tendance est à la hausse. Les détenteurs ne répondent toutefois pas toujours aux besoins spécifiques de leur volaille. Benjamin Smadja et Elsa Duperray rappellent les choses à savoir pour les consommateurs.

Les poules sont populaires, ont expliqué mardi devant la presse à Berne l'Office fédéral de la sécurité alimentaire et des affaires vétérinaires (OSAV) et la Protection suisse des animaux (PSA). Leurs œufs aussi ! L'an dernier en effet chaque Suisse a consommé 186 œufs. L'occasion de rappeler la signification des numéros qui suivent l'indication du pays, en l'occurrence CH pour la Suisse.

  • 0 pour un élevage biologique. Celui-ci est limité à 5 poules par mètre carré avec accès à au moins 5 m² par poule en extérieur. Les élevages sont limités à 500 gallinacés et 80% de leur alimentation doit provenir de l'agriculture biologique.
  • 1 pour l’élevage en plein air. L'accès au pâturage est quotidien et chaque chaque poule possède 2,5 m² au minimum, ainsi que de perches, de nids et d'une basse-cour.
  • 2 pour l’élevage au sol. Les gallinacés peuvent se déplacer librement dans l’étable, peuvent voir la lumière du jour et ont suffisamment de place pour gratter le sol, voler et se rouler dans la poussière.
  • 3 pour l’élevage en cages, interdit en Suisse depuis 1992 mais toujours en vigueur dans certains pays.

Pour les poules chez les particuliers, les services vétérinaires cantonaux et la PSA constatent que les exigences ne sont pas toujours remplies.

Point particulièrement important: l’enregistrement des animaux est obligatoire et aide à prévenir des épizooties comme la grippe aviaire.

Dans la nature, les poules vivent en groupes et ne doivent donc pas être détenues seules. Ce ne sont pas des animaux à caresser et elles n’ont pas leur place dans un appartement. Pour que soient satisfaits les besoins propres à leur espèce, elles doivent pouvoir gratter le sol, picorer et prendre des bains de poussière. L’idéal est de leur donner accès à un parcours extérieur.

60 m2

Pour trois à six poules, la surface d’un enclos composé d’un poulailler, d’une volière et d’un pâturage devrait idéalement faire 60 m2. La surface au sol du poulailler devrait être d’au moins 2 m2

Il devrait être équipé de nids de ponte, ainsi que de perchoirs pour dormir. Le pâturage devrait être entouré d’une clôture pour empêcher les prédateurs tels que les renards d’y pénétrer.

Les poules sont omnivores, mais il ne faut pas leur donner n’importe quoi. Les aliments complets, sous forme de farine ou de granulés, conviennent bien comme nourriture principale. Mélanges de graines, épluchures et fruits d’arbustes ne devraient être donnés qu’en petites quantités. Les restes de repas ne sont pas appropriés.

Il est important de respecter une bonne hygiène pour protéger les poules des maladies et des parasites. Les poules en bonne santé sont pleines de vivacité, leur plumage est intact, ainsi que leurs pattes et leurs coussinets plantaires. Les poules malades sont apathiques. En cas de doute, il faut consulter un vétérinaire.

Dix ans de vie

L’acquisition de poules doit être mûrement réfléchie, car elles peuvent vivre jusqu’à dix ans. Les acheteurs devraient se rendre au préalable chez leur fournisseur: le poulailler doit être propre et les animaux en bonne santé. L’OSAV et la PSA déconseillent l’achat de poules de race présentant des formes d’élevage extrêmes ou d’animaux provenant de l’étranger.

Ces recommandations figurent sur le site mespoulesjenprendssoin.chm sur les réseaux sociaux et dans une brochure.

 

Plus d'informations sur mespoulesjenprendssoin.ch

Avec ATS

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Economie

Airbnb: presque la totalité des taxes de séjour payées à Neuchâtel

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Le canton de Neuchâtel recense environ 200 prestataires Airbnb (poto symbolique). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Grâce à une surveillance et à des campagnes de mise en conformité, 99% des 200 annonceurs Airbnb sont correctement annoncés et encaissent la taxe de séjour à Neuchâtel. Les députés ont donc accepté mardi de classer un postulat PLR de 2018.

"L’égalité de traitement complète entre les prestataires Airbnb, les hôtels et les autres hébergements est aujourd’hui atteinte, tout comme la perception de l’ensemble des taxes de séjour. Il n’existe plus de potentiel d’augmentation des recettes qu’un éventuel prélèvement à la source pourrait générer", a déclaré le conseiller d'Etat Laurent Favre, responsable du développement territorial.

Environ 200 prestataires neuchâtelois offrent près de 300 objets (appartements ou maisons de vacances) à la location sur Airbnb. Ils assurent environ 1,75% des nuitées soumises à la taxe dans le canton et 1,9% des recettes de la taxe de séjour. En 2021, les nuitées Airbnb se sont élevées à 7382 pour un total cantonal de 425'451.

Lors d’une première surveillance du marché en 2018, 70% des logements d’hôtes et 58% des logements de vacances Airbnb n’étaient pas déclarés à l’autorité cantonale et ne prélevaient pas la taxe de séjour. Les campagnes de mise en conformité ont permis d'arriver à un taux actuel de 99%.

Certains prestataires non conformes ont été indirectement dénoncés car certains touristes se sont plaints de ne pas recevoir la Neuchatel Tourist Card. Cette dernière est très convoitée car elle donne droit à la gratuité des transports publics et à de nombreux loisirs.

Pas d'accord

Par contre, le Conseil d'Etat a renoncé à un accord avec Airbnb, même si des contacts ont été noués avec la plateforme, dans le but de conclure une convention de collaboration sur le prélèvement à la source de la taxe de séjour. Le postulat PLR demandait d'automatiser la perception de celle-ci avec la multinationale.

Selon le Conseil d'Etat, les conditions proposées par l’entreprise généraient nettement plus d’inconvénients que d’avantages. Airbnb n'exonère pas par exemple les mineurs de la taxe de séjour, prélevée à la source, et n'admet qu'un seul montant. "On veut continuer à avoir un tourisme familial et ne pas avoir une taxe unique", a ajouté Laurent Favre.

Neuf accords, dont huit avec les cantons de Lucerne, Zurich, Bâle-Campagne, Bâle-Ville, Zoug, Genève, Schaffhouse et Fribourg, ont déjà été signés en Suisse avec Airbnb. Le dernier en date concerne 20 communes vaudoises. Il entrera en vigueur au 1er avril. Le canton de Genève et la Ville de Lucerne limitent par ailleurs la location Airbnb à 90 jours par an et par logement.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Vingt-cinq chars Leopard pourraient être revendus en Allemagne

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La Suisse devrait mettre hors-service 25 chars Leopard, estime une commission parlementaire. Afin de permettre la revente au constructeur allemand (archives). (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

La commission de politique de sécurité du National veut la mise hors-service de 25 chars Leopard 87 de l'armée. La Suisse pourrait ainsi revendre au constructeur allemand les véhicules dont elle n'a plus besoin.

La commission a soutenu une proposition en ce sens par 17 voix contre 7, indiquent mardi les Services du Parlement. Il s'agit de créer la base qui permettra à la Suisse de revendre à son fabricant en Allemagne, Rheinmetall, les véhicules dont elle n'a plus besoin.

La commission veut préciser, par 10 voix contre 9 et 6 abstentions, que les chars ne seront mis hors-service que s'ils sont revendus à leur fabricant. La mise hors-service et la vente ultérieure de ces chars ne présentent aucun inconvénient pour la Suisse du point de vue de la garantie d'un équipement complet des troupes mécanisées, de l'instruction et de la constitution d'une réserve de pièces de rechange, selon la majorité.

Une minorité de la commission s'y est opposée, afin que l'armée suisse puisse recourir aux chars en cas d'éventuel besoin futur.

Pas pour l'Ukraine

La question de la mise hors-service des chars Leopard, et de leur potentielle revente, a fait la une récemment. Le Conseil fédéral avait indiqué lors de la dernière session qu'il était prêt à se passer de certains Leopard mis hors-service. Actuellement, 96 chars de combat Leopard 2 sont ainsi entreposés en Suisse.

Selon l'armée, les Leopard mis hors-service gardent leur importance, soit pour être revalorisés, soit sous forme de pièces de rechange. Son chef Thomas Süssli avait précisé que l'armée avait besoin de 34 de ces chars.

L'Allemagne et la République tchèque se sont déjà proposées pour en acheter. Un transfert des chars à l'Ukraine n'est pas envisagé, avait alors précisé le Département de la défense, qui avait confirmé la demande de Berlin. Une destination finale de l'équipement de guerre en Allemagne ou chez les partenaires de l'alliance de défense nord-atlantique OTAN et de l'UE serait garantie. Les chars devraient permettre de remplacer ceux cédés à l'Ukraine et d'améliorer l'approvisionnement en pièces de rechange.

Dépenses relevées

Ce débat s'est tenu dans le cadre de l'examen du message sur l'armée 2023, adopté sans problème par la commission. Le projet du Conseil fédéral prévoit des crédits d'engagement de quelque 1,9 milliard de francs au total pour le programme d'armement, le programme immobilier ainsi que l'acquisition de matériel de l'armée.

Le gouvernement veut aussi relever le plafond des dépenses pour les années 2021 à 2024 de 21,1 à 21,7 milliards de francs. La commission a accédé à cette requête par 15 voix contre 7 et 3 abstentions. Elle "reconnaît que la situation sécuritaire en Europe s'est encore détériorée avec l'agression militaire de l’Ukraine par la Russie et considère que les investissements demandés sont essentiels".

Diverses propositions visant à rogner sur les dépenses ont échoué.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse Romande

Immeuble en feu à Bex (VD)

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Les pompiers ont dû intervenir dans la nuit de lundi à mardi à Bex en raison d'un incendie dans un immeuble (photo d'illustration). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Un incendie s'est déclaré dans la nuit de lundi et mardi à Bex (VD), peu avant deux heures du matin. A l'arrivée des secours, les habitants avaient déjà tous pu évacuer le bâtiment. Aucun blessé n'est à signaler, hormis une personne légèrement incommodée par la fumée.

Un des appartements situés au rez-de chaussée a été entièrement ravagé par les flammes. Durant les opérations, les locataires ont été pris en charge par la commune et la plupart ont été relogés chez des proches, précise la police vaudoise dans un communiqué. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes du sinistre.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

L'activité du Pouvoir judiciaire toujours plus importante

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Olivier Jornot, procureur général de Genève, présente l'activité du pouvoir judiciaire 2022 lors d'une conférence de presse au palais de justice, ce mardi 28 mars 2023. © Miguel Hernandez

À Genève, le bilan 2022 du Pouvoir judiciaire fait état d'une hausse de 4,9% des nouvelles affaires pour quasiment atteindre les 105'000 procédures traitées. Parmi les inquiétudes, le Tribunal de protection de l'adulte et de l'enfant qui voit ses chiffres prendre l'ascenseur. Les revenus de la justice sont également en augmentation.

Toujours plus d'activité pour le Pouvoir judiciaire genevois. En 2022, la justice a traité près de 105'000 procédures, ce qui représente une hausse de 1,7% par rapport à 2021. Pour la huitième année consécutive, plus de 100'000 procédures ont été traitées. Une hausse qui se ressent dans tous les domaines. Ecoutez Olivier Jornot, procureur général.

Olivier JornotProcureur général et président de la Commission de gestion du Pouvoir judiciaire

La croissance de 5% des procédures traitées dans la filière pénale résulte d'une hausse de 12% des entrées au Ministère public. Celle-ci comprend l'augmentation de 31,5% des procédures liées aux délits routiers suite à la mise en service de nouveaux radars. La filière pénale a obtenu quatre nouveaux postes de juges.

De son côté, la filière civile représente 52,5% des procédures traitées en 2022. Son niveau d'activité a été globalement stable, hormis le Tribunal de protection de l'adulte et de l'enfant, la Commission de conciliation en matière de baux et loyers a connu une hausse de plus de 15%.

Revenus exceptionnels

Une augmentation des affaires qui se ressent aussi dans les livres de comptes. 2022 a été une bonne année pour les recettes du pouvoir judiciaire avec plus de 116 millions de francs de revenus contre 58 millions en 2021. Comment expliquer ces bons résultats? La réponse d'Olivier Jornot

Olivier JornotProcureur général et président de la Commission de gestion du Pouvoir judiciaire

Conséquence de ces bons résultats: 56% des charges, qui s'élèvent à près de 207 millions, sont couvertes par les revenus, contre 25% habituellement.

Bureau de la médiation

S'agissant des projets en cours de réalisation, le procureur général a rappelé l'adoption par le Grand Conseil, lors de sa première session 2023 de la loi sur la médiation, issue du travail commun du Pouvoir judiciaire, des associations d'avocats, de médiateurs ainsi que du département de la sécurité, de la population et de la santé (DSPS). Un projet de loi qui devrait entrer en vigueur en janvier 2024. Le détail avec Olivier Jornot.

Olivier JornotProcureur général et président de la Commission de gestion du Pouvoir judiciaire

Parmi les autres projets qui occupent la justice, la nouvelle gouvernance prévue pour les prochaines élections générales de 2026. Celle-ci prévoit que le patron du Ministère public et le président de la Cour de justice se partage à tour de rôle la gouvernance du pouvoir judiciaire. Le projet doit encore être adoptée par le Grand Conseil. Egalement à l'ordre du jour, la mise en oeuvre cantonale du projet national de dossier judiciaire électronique et la révision du Code de procédure pénale.

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