Le Canton de Vaud va continuer de financer la Fondation pour l'innovation technologique (FIT), qui soutient les jeunes entreprises vaudoises et romandes. Il versera 16 millions de francs jusqu'en 2030, soit deux millions par an.
"La FIT est un outil nécessaire et crucial pour le développement des start-up vaudoises", a relevé jeudi le conseiller d'Etat Philippe Leuba, cité dans un communiqué. Entre 2013 et 2021, elle a contribué à créer 196 start-up et 1295 emplois qualifiés dans le canton de Vaud, soit des résultats au-delà des attentes.
La Fondation est notamment soutenue par le canton de Vaud, l'EPFL - sa vice-présidente à l'innovation Ursula Oesterle préside la FIT - et la Banque cantonale vaudoise (BCV). Celle-ci a aussi renouvelé son soutien à hauteur de 4 millions, soit 500'000 francs par an.
Success story
Globalement, depuis ses débuts en 1994, la fondation a déployé près de 58 millions de francs d'aides financières et soutenu la création de 4550 emplois, dont 2930 en Suisse. Certaines des starts-ups qu'elle a aidées ont fait du chemin, en témoigne l'entrée en bourse de Sophia Genetics, Astrocast ou encore Onward.
Des entrepreneurs ont souligné l'importance d'un tel outil dans les phases de lancement d'un projet. "Pour une start-up, la FIT est essentielle pour soutenir les efforts d'innovation, de développement et de commercialisation", selon Patrick Trinkler, co-fondateur de Cysec.
Diversification
Depuis quelques années, la FIT a diversifié ses aides. En 2018, elle a lancé FIT Digital pour soutenir les entrepreneurs établis dans le canton qui développent des projets avec un modèle d'affaires innovant et basé sur une technologie numérique.
En 2021, elle a déployé pour la première fois des soutiens aux start-ups spécifiques à un domaine d'activité, celui de la nutrition et de l'accueil. Ce programme comprend deux volets: le premier pour les start-ups digitales, avec l'Ecole hôtelière. Le second en collaboration avec Nestlé.
D'autres projets sont en cours pour accroître et diversifier ses aides. La Fondation projette notamment de créer avec des entreprises privées de nouveaux programmes spécifiques à certains secteurs d'activité, à l'image de ce qui a été fait pour la nutrition et l'accueil, ajoute le communiqué de la FIT et de l'Etat de Vaud.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Fallot Anne-Marie
20 mars 2020 à 0 h 00 min
Bonjour,
Je suis surprise de la façon dont sont traités producteurs maraîchers à Genève en interdisant les marchés. Je vais régulièrement me servir à la Migros (Eaux-Vives).
Lors de ma question au responsable de Migros, lundi dernier à savoir si ils nettoyaient les anses des paniers et des portes des réfrigérateurs, il m’a répondu. « non, nous sommes pas suffisant pour tout assumer.
J’y suis retournée aujourd’hui vêtue d’un masque et de gants.
Aucun employé ne porte de masque, par contre ils portent des gants.
Les caisses self-payantes sont côte à côte à moins de 1mètre les unes des autres. Elles sont toutes en fonction. Il y avait un sécuritas, pour quelle raison ? La moindre des précautions serait de fermer la caisse du milieu pour respecter la distance de sécurité.
Je suis aussi surprise que les marchés ont été supprimés.
N’y a-t-il pas une idée que les producteurs-maraîchers genevois puissent avoir styles des paniers ou je ne sais pas quelle bonne idée, que l’on puisse acheter des légumes de saisons
Serais-je mal renseignée ?
Je ne sais à qui m’adresser ?
Il y a un manque de responsabilité qui est très grave.
Je vous remercie de m'avoir.
Avwc mes cordiales salutations
Anne-Marie Fallaot
Farhoumand Yasmin
20 mars 2020 à 14 h 01 min
Bonjour, je rejoins le commentaire de Mme Fallaot, je suis complètement stupéfaite par cette décision absolument incohérente : pour rester en bonne santé, il faut manger des légumes de saison et produits localement pour entretenir un système immunitaire sain. De plus, le marché est un lieu beaucoup plus sûr qu'un super-marché, il suffit de mettre en place quelques règles et on risque beaucoup moins de dangers qu'aller à la Migros de son quartier!
Et pour finir, qu'en est-il de soutenir notre production maraîchère de proximité, locale et éviter le gaspillage ridicule que cette fermeture des marché pourrait occasionner, alors que c'est justement en ce moment que nous en avons le plus besoin!
Comment pouvons-nous soutenir les initiatives allant dans ce sens ? Qui contacter ?
Merci et cordialement, Yasmin Farhoumand