Deux journées sont organisées à la Holy Trinity Church les 3 et 7 mars au centre de Genève. Les américains démocrates de l'étranger y sont conviés pour pouvoir désigner l'adversaire de Donald Trump pour la présidentielle.
C'est le bas de l'église anglicane de Genève, appelée Holy Trinity Church, qui a été aménagé pour permettre aux démocrates américains de Genève de voter à l'occasion du "Super Tuesday", lors duquel sont choisis 1357 délégués sur les 3979. Ici, environ 250 personnes sont attendues pour glisser dans l'urne un bulletin pour choisir leur candidat pour la présidentielle, face à l'actuel président américain.
Pour l'heure, trois candidats se démarquent: Bernie Sanders, Joe Biden et Elizabeth Warren. En fin de journée, à la Holy Trinity Church, une quinzaine de bénévoles sont présents pour l'organisation.
Parmi eux Rebekah Jorgensen, coordinatrice-presse pour les démocrates de l'étranger, s'est beaucoup investit pour cet événement. Vingt minutes avant l'ouverture du vote - prévu à 17h - tout est prêt. Rebekah Jorgensen rappelle les enjeux de cette primaire et nous explique comment cela fonctionne.
Rebekaj Jorgensen
Coordinatrice-presse pour les démocrates de Genève
Rebekaj Jorgensen Coordinatrice-presse pour les démocrates de Genève
Rebekaj Jorgensen Coordinatrice-presse pour les démocrates de Genève
Autre bénévole, Anne Shelton-Aaron vit à Genève depuis plusieurs années. Elle souhaite avant tout que ce soit un démocrate qui remportent la présidentielle face à Trump, ce qui explique son engagement.
Des premiers résultats tomberont donc dès ce soir à 21h30, mais il seront encore provisoires. Il faudra encore notamment attendre le dépouillement des votes par internet.
Ce dimanche, nos voisins français votent pour élire le président.e de la République. Après le premier tour qui a eu lieu le 10 avril 2022, le second tour de cette élection oppose le président sortant, Emmanuel Macron à Marine Le Pen, la candidate du Rassemblement National.
Retrouvez le suivi en direct du second tour de l'élection présidentielle française sur Radio Lac.
Ce dimanche a lieu le premier tour de l'élection présidentielle en France. Douze candidats sont en lice pour accéder à l'Elysée ces cinq prochaines années. Suivez toute l'actualité de ces élections en direct sur Radio Lac.
Plusieurs pompiers genevois sont partis bénévolement à la frontière entre la Pologne et l’Ukraine et ils ont vu de quoi avaient besoin les secours locaux.
Alors que les gestes de solidarités se multiplient depuis le début de la guerre en Ukraine, que ce soit pour accueillir les réfugiés ou pour fournir du matériel aux ukrainiens encore sur place, les pompiers genevois ne sont pas en reste. Ils sont en relations avec les secours polonais. L'idée est de permettre d'acheminer du matériel de secours jusqu'aux pompiers ukrainiens. Une grande collecte à laquelle la population peut participer, Nicolas Millot porte-parole du Service d'Incendie et de Secours de Genève:
Nicolas Millot
Porte-parole du Service d'Incendie et de Secours de Genève
Nicolas MillotPorte-parole du Service d'Incendie et de Secours de Genève
Nicolas MillotPorte-parole du Service d'Incendie et de Secours de Genève
C’est une première, le conseil d’Etat genevois a dévoilé mercredi le rapport sur les rémunérations des directions générales des établissements de droit public genevois pour 2020. Les précisons de Benoît Rouchaleau:
Le rapport publié courant janvier épluche les rémunérations des dirigeants des 14 établissements de droit public et d’une fondation de droit privé sans but lucratif pour l’année 2020. 1er constat: 6 des directeurs gagnent plus de 300 000 francs par an, indemnités et frais compris.
La palme pour André Schneider, le directeur de l’Aéroport, qui plafonne à plus de 470 000 francs annuels. C’est un peu moins toutefois que les 483 000 qu’il avait perçus en 2019. A titre de comparaison, le revenu annuel d'un conseiller fédéral se monte à 454 000 francs.
Sur la 2ème marche du podium genevois, Marie Da Roxa, la directrice de l’IMAD, l’institution d’aide et de soins à domicile, à 382 000 francs et Denis Berdoz aux commandes des TPG à 381 000 francs.
De quoi reléguer en 4ème position Bertrand Levrat, le directeur général des HUG, avec 379 000 francs. Et pour compléter le quinté de tête: Christian Brunier, le patron des SIG avec une rémunération annuelle de 375 000 francs.
Au bas de l’échelle, le "plus bas salaire" pour la direction de FASe, la Fondation pour l’animation socioculturelle, avec 204 000 francs annuels.
Notez enfin que ce rapport sur les rémunérations sera désormais publié chaque année.