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Un Genevois a participé à la saison 4 de Stranger Things

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Une réunion de fan devant l'Empire State Building de New York (USA) habillé aux couleurs de la série lors de la sortie de la saison 4 [Keystone]

La saison 4 de Stranger Things, disponible sur le service de vidéo à la demande Netflix, est un véritable carton. Sortie en deux temps, elle est devenue la deuxième série Netflix a dépassé le milliard d'heures de visionnages après Squid Game

Point fort de la série, un univers qui nous plonge au cœur des années 80 mais surtout ses effets spéciaux, présents en nombre. Employé par Rodéo FX, un studio travaillant notamment sur Stranger Things, Tiago Azevedo, un Genevois de 27 ans parti à Montréal en 2019 a pris part à l'épisode 4 de la dernière saison publiée. Son parcours, son rôle sur Stranger Things et son métier, interview garanti sans spoiler.

 

Son parcours (de Genève à Montréal):

Tiago Azevedo - Son parcoursCompositeur VFX chez Rodeo FX

 

Son travail (et celui de son studio) sur Stranger Things: 

Tiago Azevedo - Son rôle sur Stranger ThingsCompositeur VFX chez Rodeo FX

Pour identifier son travail sur l'épisode 4 de la saison 4 sans révéler d'élément, il s'étend de l'arrivée d'un personnage dans une atmosphère rouge jusqu'à la quasi fin de l'épisode. Une scène qui dure un peu plus de 5 minutes.

Son métier en général et l'évolution de celui-ci:

Tiago Azevedo - Son métierCompositeur VFX chez Rodeo FX

 

35 siècles de visionnage en une semaine

Rien que sur la semaine du 4 au 10 juillet, plus de 188 millions d'heures de visionnage ont été comptabilisées dans le monde par Netflix, ce uniquement pour la saison 4. Un décompte qui atteint plus de 311 millions en comptant les 4 saisons de la série se tenant dans la petite ville d'Hawkins, dans l'Amérique profonde. Cela représente 35'515 ans de visionnage.

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Fin de la grève des acteurs et actrices à Hollywood

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Des pancartes durant la grève des acteurs, devant les studios de Netflix le 8 novembre 2023 à Los Angeles. (© AP Photo/Chris Pizzello)

Les acteurs et les grands studios d'Hollywood sont parvenus mercredi à un accord pour mettre fin à la grève qui paralysait la production de films et séries depuis 118 jours, a annoncé le syndicat SAG-AFTRA. Le mouvement a coûté des milliards à l'économie américaine.

La grève prendra fin dès jeudi, grâce à l'obtention d'une nouvelle convention collective de trois ans pour les acteurs, dont la valeur est "évaluée à plus d'un milliard de dollars", a expliqué l'organisation dans un communiqué.

Le syndicat publiera les détails de l'accord dans quelques jours, mais assure qu'il a "une portée extraordinaire". Il comprend notamment une revalorisation importante des salaires minimums, des garde-fous en matière d'intelligence artificielle, et établit "pour la première fois" un système de prime pour les rediffusions en streaming.

"Lorsque les deux parties s'assoient à la table pour négocier sérieusement, cela renforce les entreprises et permet aux travailleurs d'obtenir des salaires et des avantages qui les aident à élever leur famille et à prendre une retraite digne", a salué jeudi le président américain Joe Biden dans un communiqué.

Pour que grandes vedettes et figurants reviennent en plateau et permettent la reprise des tournages, les 160'000 acteurs, danseurs et autres cascadeurs membres du SAG-AFTRA doivent encore approuver leur nouvelle convention collective par un vote. Une étape largement vue comme une formalité.

"Nouveau paradigme"

Les grands noms d'Hollywood ont célébré la fin de la grève. "La persévérance paie!", s'est exclamée Jamie Lee Curtis sur Instagram. "Je suis très heureux que nous soyons tous parvenus à un accord", a lancé Zac Efron depuis le tapis rouge de la première du film "Iron Claw". "Remettons-nous au travail, allons-y, je suis tellement content."

Les négociations avec le patronat ont eu lieu presque quotidiennement ces deux dernières semaines, souvent avec les PDG de Disney, Netflix, Warner Bros, et Universal en personne. Car la nécessité de mettre fin à ce mouvement social devenait pressante. Outre une minorité de célébrités, la plupart des acteurs sans tournage avaient de plus en plus de mal à joindre les deux bouts. Certains se sont rabattus sur d'autres emplois.

Les studios, eux, accusaient des trous béants dans leurs calendriers de sortie pour l'année prochaine et au-delà, avec le report notamment de productions majeures, comme le second volet de la saga "Dune" ou la série "Stranger Things".

L'Alliance of Motion Picture and Television Producers (AMPTP), qui les représentait dans les négociations, a qualifié l'accord de "nouveau paradigme" pour le secteur. Le patronat "attend avec impatience que l'industrie reprenne son travail pour narrer de grandes histoires", a-t-elle expliqué dans un communiqué.

Crise historique

Le secteur vient de traverser un double mouvement social historique: lorsque les acteurs sont entrés en grève mi-juillet, les scénaristes avaient déjà cessé le travail depuis début mai. Hollywood n'avait pas connu une telle crise depuis 1960.

Au total, la paralysie du secteur ces derniers mois a coûté au moins six milliards de dollars, selon de récentes évaluations d'économistes. Soulagée, la maire de Los Angeles, Karen Bass, a salué un "accord juste", en rappelant que la grève avait affecté "des millions de personnes" dans le pays.

Acteurs et scénaristes partageaient un constat: hormis les comédiens vedettes et "showrunners" stars, la plupart d'entre eux n'arrivaient plus à gagner correctement leur vie à l'ère du streaming. Non seulement parce que les plateformes produisent des séries avec bien moins d'épisodes par saison qu'à la télévision, mais aussi parce que Netflix et consorts ont fait chuter drastiquement les revenus dus à chaque rediffusion de films et séries.

Contrairement à la télévision, où une rediffusion peut être rémunérée grâce au modèle publicitaire lié aux chiffres d'audience, une oeuvre diffusée en streaming faisait l'objet d'un paiement forfaitaire, indépendamment de la popularité du programme.

Intelligence artificielle

Les studios ont fini par trouver un accord avec les scénaristes fin septembre et la plupart d'entre eux ont depuis repris le travail. Mais les négociations avec les acteurs ont traîné en longueur.

Selon la presse spécialisée, le compromis débouche sur une hausse du salaire minimum d'environ 8% par rapport à la précédente convention triennale, la plus forte augmentation depuis des décennies, bien qu'en deçà des revendications initiales des acteurs. Côté streaming, un système de primes pour les acteurs jouant dans des séries ou des films à succès va être mis en place.

L'encadrement de l'intelligence artificielle était un autre point de crispation majeur, particulièrement dans la dernière ligne droite des négociations. Les acteurs craignaient que les studios utilisent cette technologie pour cloner leur voix et leur image, afin de les réutiliser à perpétuité, sans compensation ni consentement.

Ces derniers jours, les deux parties ont notamment bataillé sur les conditions entourant les droits des studios sur l'image des acteurs stars après leur mort.

Avec Keystone-ATS

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A Hollywood, toujours pas de fin en vue à la grève des acteurs

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Archives (© KEYSTONE/AP/Damian Dovarganes)

Lumière, caméra... toujours pas d'action. Le syndicat des acteurs d'Hollywood a annoncé lundi n'être toujours pas satisfait des propositions des studios, qui lui ont transmis un texte présenté comme leur "dernière" offre pour mettre un terme à la grève qui paralyse la production de films et séries américains.

"Il y a plusieurs points essentiels sur lesquels nous n'avons toujours pas d'accord, y compris sur l'intelligence artificielle", a fait savoir sur X (anciennement Twitter) le SAG-AFTRA, qui représente 160'000 acteurs, danseurs, cascadeurs et autres professionnels du petit et grand écran.

Malgré la fin de la grève des scénaristes en septembre, plusieurs rounds de négociations entre acteurs et studios ont eu lieu, lors desquels le fossé entre les deux parties s'est réduit, sans pour autant parvenir à un compromis.

Samedi, les studios ont annoncé transmettre leur "dernière, meilleure et ultime" offre au syndicat. Autrement dit, le patronat assurait se refuser à toute concession supplémentaire.

Cette proposition prévoit une prime de rediffusion largement revue à la hausse pour les acteurs jouant dans les séries ou films qui font un carton sur les plateformes de streaming, ainsi qu'une forte augmentation des salaires minimum et des garde-fous pour encadrer l'usage de l'intelligence artificielle, selon le magazine spécialisé Variety.

Mais le jargon juridique autour de la question de l'IA est particulièrement scruté par le syndicat, qui nourrit visiblement encore des divergences avec le patronat.

Les acteurs, entrés en grève mi-juillet, craignent que les studios n'utilisent cette technologie pour cloner leur voix et leur image, afin de les réutiliser à perpétuité sans compensation ni consentement.

"Eaux troubles"

Le SAG-AFTRA s'est dit lundi "déterminé à obtenir le bon accord et à mettre fin à la grève de manière responsable."

"Nous vous tiendrons informés au fur et à mesure des développements", a ajouté le syndicat.

"Nous sommes à la table des négociations et nous travaillons très dur pour y parvenir", a déclaré à l'AFP le patron de Netflix Ted Sarandos, en assurant qu'un accord semblait "très proche".

"Mais vous savez, il s'agit d'accords compliqués et nous naviguons en eaux troubles", a-t-il ajouté.

La pression à Hollywood pour trouver une issue à ce mouvement social s'est accentuée ces dernières semaines, car la grève coûte des milliards de dollars au secteur et à l'économie californienne.

Les acteurs sans tournage ont de plus en plus de mal à joindre les deux bouts, et les studios accusent des trous béants dans leurs calendriers de sortie pour l'année prochaine et au-delà.

Ces dernières semaines, les PDG de Disney, Netflix, Warner Bros et Universal se sont directement impliqués dans les pourparlers pour sortir de l'impasse.

Après le report de productions majeures, comme le second volet de la saga "Dune" ou la série "Stranger Things", les studios souhaitent reprendre le travail au plus vite.

"Notre objectif est de remettre les gens au travail. C'est un fardeau énorme pour tout le monde dans cette ville", a poursuivi Ted Sarandos. "Nous essayons vraiment de faire avancer les choses."

Hollywood n'avait plus connu une grève simultanée des scénaristes et des acteurs depuis 1960.

Avec Keystone-ATS

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La voix française de Matthew Perry: "l'impression d'avoir perdu un proche"

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KEYSTONE Source AP Invision BRIAN ACH

Il a été l’un des personnages les plus populaires des années 90.

Matthew Perry, alias Chandler Bing dans la série "Friends" est décédé dimanche matin à l'âge de 54 ans.

L'acteur américain a été retrouvé mort à son domicile de Los Angeles.

Une personne a été particulièrement touchée par cette disparition, il s’agit d’Emmanuel Curtil qui était la voix française de Matthew Perry.

Il l’a doublé pendant plus de 20 ans et pourtant ils ne sont se sont jamais rencontrés:

Emmanuel CurtilVoix française de Matthew Perry pendant plus de 20 ans

Selon Emmanuel Curtil, Matthew Perry était un acteur qui avait le potentiel de jouer bien plus que des rôles comiques:

Emmanuel CurtilVoix française de Matthew Perry pendant plus de 20 ans

Le doublage est un exercice particulier.

Parfois les comédiens qui doublaient les acteurs pouvaient prendre des petites libertés avec le texte:

Emmanuel CurtilVoix française de Matthew Perry pendant plus de 20 ans

L'interview en intégralité d'Emmanuel Curtil ci-dessous:

Emmanuel CurtilVoix française de Matthew Perry pendant plus de 20 ans

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Disney fête 100 ans de magie, et quelques polémiques

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Mickey et Pluto, en 1946 (© KEYSTONE/AP Photo/Walt Disney Co/Str)

Plus de 500 héros Disney reprennent vie dans un court métrage en forme de lettre d'amour au studio d'animation. De Mickey à Elsa en passant par le capitaine Crochet, la marque aux allures d'empire fête son centenaire lundi sur fond de turbulences.

C'est un 16 octobre que Walt Disney et son frère Roy - qui ont démarré les Disney Brothers Studios dans un garage hollywoodien - ont signé un contrat de distribution déterminant pour leurs "Alice comedies", des courts métrages suivant une petite fille en chair et en os dans un monde animé.

Le personnage de Mickey n'est lui survenu qu'en 1928, en réponse à la mainmise d'Universal sur les droits de son prédécesseur, Oswald le lapin chanceux, tombé dans l'oubli.

"C'est vraiment 100 années où on se retourne et on dit merci aux personnes avec qui on a travaillé (...) et à nos fans", insiste auprès de l'AFP la présidente France de Disney, Hélène Etzi, rappelant que l'empire du divertissement s'est installé dans l'Hexagone dès 1934 avec le Journal de Mickey.

Reste que l'entreprise californienne, qui a mis le grappin au XXIe siècle sur Pixar, Star Wars et Marvel, traverse une période agitée.

Supprimer 7000 postes pour faire des économies

Confrontée à la baisse du nombre d'abonnés à Disney+, la firme aux grandes oreilles a notamment entrepris de supprimer 7000 postes pour faire des économies, tandis que se poursuit la grève historique des acteurs à Hollywood.

Antisyndicaliste farouche, régulièrement taxé de racisme ou de misogynie, l'emblématique fondateur du groupe éponyme a perdu de sa superbe, même si certains détracteurs critiquent désormais les positions progressistes ("woke") de la marque, qui a choisi une actrice noire pour son remake de la Petite sirène.

Dans tous les cas, "les films Disney trouvent une résonance chez tout le monde", estime Eric Goldberg, soulignant qu'ils sont souvent les premiers vus dans l'enfance au cinéma. "Leurs personnages et leurs histoires ont donné beaucoup de joie et d'espoir (...) et,avec un peu de chance", cela continuera "pendant encore 100 ans".

Mais le plus grand défi qui attend Disney reste à venir: la firme va perdre en 2024 son droit d'auteur sur Mickey, devenu centenaire. Le magazine Forbes estime que le personnage rapporte chaque année près de six milliards de dollars à l'entreprise. Pour éviter que Mickey ne tombe dans le domaine public, Disney pourrait aller jusqu'à demander au Congrès américain de prolonger son copyright.

Avec Keystone-ATS

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Le GIFF est plus pluriel que jamais et lorgne sur l'IA (Interview)

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Maral Mohsenin, responsable des programmes du GIFF, entourée de Paola Gazzani Marinelli et Anais Emery. (Archives) (© KEYSTONE/Martial Trezzini)

Tandis que l'intelligence artificielle s'est imposée dans le débat social, le Geneva International Film Festival (GIFF) en dévoilera quelques productions et débattra de ses enjeux du 3 au 12 novembre. L'occasion d'en parler avec Maral Mohsenin, responsable des programmes du festival, à retrouver en version longue.

Maral MohseninResponsable des programmes du GIFF

Le GIFF présente un programme convergent, unique en Suisse, de films, séries et expériences immersives. Cette année, les spectateurs pourront découvrir 110 œuvres (53 films, 27 séries, 28 expériences immersives et 2 spectacles) dont 17 premières mondiales, 7 internationales, 2 européennes et 64 suisses. Ces films s'affronteront au sein de quatre compétitions internationales pour décrocher un Reflet d'OR : douze longs métrages, dix séries et dix expériences immersives ainsi que dix formats confondus dans "Future is Sensible".

La cinéaste lausannoise Stéphanie Chuat assumera le rôle de présidente du jury pour choisir le meilleur long métrage. Parmi les films retenus, on peut citer "Sidonie au Japon" avec Isabelle Huppert et "La Vénus d'argent", où la chanteuse Pomme joue pour la première fois au cinéma.

Nouveauté: les festivaliers pourront regarder les séries en intégrale chez eux une fois les deux premiers épisodes découverts en salle. Cette possibilité existe depuis l'an dernier, mais elle était limitée aux séries en compétition. Cette année, elle a été étendue à toutes les séries, sauf celles, qui seront bientôt disponibles sur les grandes plateformes.

Boîte de Pandore?

Le Geneva Digital Market (GDM), destiné en premier lieu aux professionnels, s'ouvre cette année à un plus large public, avec un cycle d'ateliers autour du "Machine learning", une branche de l'intelligence artificielle (IA).

"On parle par exemple d'applications, des outils assez puissants, qui permettent de générer des images à partir d'un texte, a relevé Anaïs Emery. Pour en mesurer la portée, le GIFF, en collaboration avec la Haute école d'art et de design (HEAD) de Genève, a invité des professionnels qui utilisent déjà ces possibilités, mais aussi une jeune éthicienne, l'Américaine Nora Khan, également artiste, pour réfléchir aux limites et aux risques de ces nouvelles technologies.

Côté programmation, le GIFF propose deux oeuvres en création numérique, qui utilisent l'IA de façon assumée : "Consensus gentium" de Karen Palmer, un film interactif, où le récit est orienté selon les réactions faciales du spectateur. Et "Tulpamancer" de Marc Da Costa et Matthew Niederhauser ou comment créer sa première oeuvre artistique avec l'IA.

"Dans le domaine du film et de la série par contre, relève la directrice artistique, l'IA est déjà fréquemment utilisée, mais de façon moins avouée." Les usages, les réglementations et les lois n'ont pas encore éclairci ce point. "Paradoxalement, dans les formats immersifs, l'utilisation de l'IA est beaucoup plus transparente", a-t-elle encore souligné.

Si au final, il s'agit toujours de raconter une histoire, les nouvelles technologies changent les dynamiques de scénarisation. Selon Anaïs Emery, "si les technologies vont passer, ces outils scénaristiques sont là pour rester".

Le Giff se propose aussi comme une plateforme de lancement pour les séries produites par la RTS ou la SSR, avec "Les Indociles" cette année, la 3e saison alémanique de "Tschugger", le champion des vues sur Play Suisse, ainsi qu'une série, qui vient du Tessin, "Alter Ego".

Le programme est à retrouver sur le site du festival.

Jean-Michel Jarre et le collectif Kourtrajmé

Le pionnier de la musique électronique Jean-Michel Jarre sera l'invité d'honneur du festival de l'audiovisuel. L'artiste français vient présenter sa dernière création immersive "The Eye and I" et recevoir le prix "Film & Beyond" pour sa contribution à la musique ainsi qu’aux arts numériques. Il donnera une masterclass le 7 novembre.

Le collectif Kourtrajmé est également primé. Il recevra le Geneva Award pour son apport artistique au travers d’une filmographie bouillonnante et pédagogique avec l'école de cinéma gratuite Kourtrajmé, dont les antennes sont basées près de Paris, à Marseille, à Dakar et en Guadeloupe, avec des formations prévues en Martinique et en Guyane.

Avec Keystone-ATS

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