L'ex-conseiller d'Etat genevois PDC Philippe Joye est décédé mardi à l'âge de 82 ans, a annoncé sa famille. Affecté par la maladie depuis plusieurs années, cet architecte avait siégé au gouvernement pendant une législature entre 1993 et 1997, dirigeant le Département des travaux publics.
La carrière politique de Philippe Joye a débuté en 1985 sur les bancs du Grand Conseil. Le démocrate-chrétien y siège à nouveau de 1988 à 1993, avant d'être élu au Conseil d'Etat. Quatre ans plus tard, rattrapé par des affaires privées, il doit finalement renoncer à briguer un second mandat.
En 2013, Philippe Joye, délaissé par son parti, passe dans les rangs du MCG et est élu au Grand Conseil. Atteint dans sa santé, il n'y siège qu'une année. En avril 2015, il obtient encore un fauteuil au Conseil municipal de Vernier, mais y renonce finalement.
"C'était un visionnaire remarquable, mais aussi un bâtisseur qui a mené à bien de nombreux projets", a déclaré jeudi le président du MCG François Baertschi, réagissant à l'annonce de son décès par la Tribune de Genève. "Il a notamment réussi à construire très rapidement l'autoroute d'évitement de Plan-les-Ouates qui allège le trafic au centre-ville", a-t-il rappelé.
"Philippe Joye avait des compétences politiques et techniques de haut niveau", souligne-t-il. Il n'a pas toujours été prophète en son pays: son grand projet, la traversée de la rade, a été refusé en votation populaire en 1996.
"C'était un homme plein de gentillesse et d'ouverture aux autres. Il avait aussi un brin de fantaisie, possédant une collection de cravates à l'effigie de Babar, ce qui lui avait valu son sobriquet", se remémore M. Baertschi.
Philippe Joye avait connu un épisode tragique dans son enfance. Au moment de sa naissance dans un hôpital fribourgeois, son frère jumeau avait été échangé avec un autre bébé. Ce n'est que six ans plus tard que la méprise avait été découverte et que les enfants avaient réintégré non sans déchirement leur famille de sang.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Boby
28 mars 2023 à 15 h 02 min
On va parler sans détour, y'en a marre de l'hypocrisie ! Genève est situé à côté d'un pays qui donne plus de droit aux délinquants qu'aux victimes, un pays qui ne punit plus la délinquance, voir collabore avec, un pays qui méprise ceux qui travaille et glorifie celui qui ne fait rien à part ennuyer les autres. Y'a un moment il faut comprendre que sans éducation, instruction ou punition SEVERE et EXEMPLAIRE, ce genre de chose ne fera qu'empiré ! Un délit et un délit peu importe sa gravité c'est un Délit POINT !
Donc les autorités si vous ne souhaitez pas que Genève deviennent pas comme, l'usine d'incinération à ciel ouvert de la décharge à ordures qu'est devenu Paris, peuple de chômeur assistés et de gens refusant toutes intégration depuis 20 ans, commencez donc à dresser les genevois à respecter les règles !
Bref à vouloir tellement copier le modèle français qui est tout sauf un exemple à suivre (je suis français, je l'ai vécu 30 ans ce modèle, j'en ai eu marre de voir que moi victime était plus punit que le délinquant qui m'aggresse, alors ciao pays de merde), ben vous vous rendez compte aussi que le modèle social ne fonctionne pas ! Quelqu'un qui ne bosse et s'ennuie va forcément emmerder les autres. Et l'augmentation des homocides par des moins de 18 ans doit être punit de la même façon que ce qu'ils ont voulut faire à leur victime quand on ne respecte pas la vie, pas de raison qu'on respecte la leur !!! CE genre de déchets n'a pas sa place dans notre société ! Et c'est nous les petites gens qui payont les décisions d'une politique sociale stupide et inutile. #idiocracry