"Nous sommes dans un concept de renforcement de l'employabilité". Déclaration ce lundi de Delphine Bachmann. La conseillère d'Etat chargée du Département de l’économie et de l’emploi a présenté le bilan pour 2023 de l'office cantonal de l'emploi ainsi que les perspectives. L'Office cantonal de l'emploi met l'accent sur l'employabilité des personnes à la recherche d'un travail afin d’apporter son soutien aux 15’000 demandeurs d’emploi.
Il avait atteint son plus bas niveau depuis 30 ans il y a quelques mois. Mais le taux de chômage est reparti à la hausse à Genève. 4,3% enregistré fin février. La raison? Genève, pôle urbain dynamique attire de très nombreux travailleurs mais leur profil ne correspond pas forcément aux besoins des secteurs faisant face à une forte pénurie de main-d'œuvre. Explication donnée ce lundi par Delphine Bachmann. La Conseillère d’Etat chargée du Département de l’économie et de l’emploi a présenté le bilan 2023 pour l’Office cantonal de l’emploi mais également les perspectives.
Le Département veut développer l’employabilité des 15’000 demandeuses et demandeurs d’emploi. Il s’agit de faire correspondre les profils des demandeurs d’emplois avec les besoins des entreprises, explique Charles Barbey, directeur général de l’Office cantonal de l'emploi.
L'objectif à terme sera de développer des micro-certifications pour accéder à des postes dans les secteurs à pénurie comme la santé, l'informatique ou encore le social. Des formations pratiques vont aussi déboucher sur une reconnaissance d'aptitudes professionnelles, dans la restauration, notamment. Les précisions de Caroll Singarella, directrice du service des mesures pour l'emploi à l'OCE.
Deux projets ont été mis en route récemment pour répondre à cet objectif.
"Nolimit", le numérique pour tous, a été lancé au printemps 2022 et se donne pour mission de lutter contre la fracture numérique. Depuis son démarrage, près de 8200 personnes ont suivi les cours. Il y a quatre mois, "Lift" tes talents, un autre projet, a vu le jour. Il vise à développer les compétences dans la recherche d'emploi.
Parallèlement à ces deux projets, d'autres mesures sont proposées pour augmenter les chances des demandeurs d'emploi de réintégrer le marché du travail.
L'OCE collabore ainsi avec les entreprises qui peinent à trouver de la main-d'oeuvre qualifiée pour développer de nouvelles voies de formation et de reconversion professionnelle.
Outre le fait d'évoluer très vite, le marché du travail genevois a des caractéristiques spécifiques. L'économie du bout du lac est fortement tertiarisée et manque de bras. On compte environ 400'000 emplois pour une population active de 237'000 personnes.
Mais le chômage persiste néanmoins. Par exemple, dans l'hôtellerie restauration, il existe une pénurie de main-d'oeuvre compétente, alors qu'il y a des personnes qui recherchent du travail dans ce secteur. Avoir été employé dans un bistrot de quartier ne signifie pas que l'on est apte à travailler dans l'hôtellerie de luxe.
Chaque année ce sont 50 millions de francs qui sont investis à Genève pour la formation et la réinsertion professionnelle.
Laurie Selli avec ATS
Boby
28 mars 2023 à 15 h 02 min
On va parler sans détour, y'en a marre de l'hypocrisie ! Genève est situé à côté d'un pays qui donne plus de droit aux délinquants qu'aux victimes, un pays qui ne punit plus la délinquance, voir collabore avec, un pays qui méprise ceux qui travaille et glorifie celui qui ne fait rien à part ennuyer les autres. Y'a un moment il faut comprendre que sans éducation, instruction ou punition SEVERE et EXEMPLAIRE, ce genre de chose ne fera qu'empiré ! Un délit et un délit peu importe sa gravité c'est un Délit POINT !
Donc les autorités si vous ne souhaitez pas que Genève deviennent pas comme, l'usine d'incinération à ciel ouvert de la décharge à ordures qu'est devenu Paris, peuple de chômeur assistés et de gens refusant toutes intégration depuis 20 ans, commencez donc à dresser les genevois à respecter les règles !
Bref à vouloir tellement copier le modèle français qui est tout sauf un exemple à suivre (je suis français, je l'ai vécu 30 ans ce modèle, j'en ai eu marre de voir que moi victime était plus punit que le délinquant qui m'aggresse, alors ciao pays de merde), ben vous vous rendez compte aussi que le modèle social ne fonctionne pas ! Quelqu'un qui ne bosse et s'ennuie va forcément emmerder les autres. Et l'augmentation des homocides par des moins de 18 ans doit être punit de la même façon que ce qu'ils ont voulut faire à leur victime quand on ne respecte pas la vie, pas de raison qu'on respecte la leur !!! CE genre de déchets n'a pas sa place dans notre société ! Et c'est nous les petites gens qui payont les décisions d'une politique sociale stupide et inutile. #idiocracry